Morgane et moi entendions les bruits de pas de notre mère résonner dans les escaliers. N’ayant pas suffisamment de temps pour nous rhabiller et aucun endroit où nous cacher, nous savions, les filles et moi, que maman allait nous surprendre.
Apeurés, nous étions incapables de bouger ou de prononcer le moindre mot. Ce fut avec effroi que nous vîmes la poignée tourner et la porte s’ouvrir.
Notre mère entra dans la pièce et, en nous voyant nus tous les quatre, son visage vira à l’écarlate. Les filles et moi baissâmes la tête, n’osant affronter le regard de maman.
— Mais… Qu’est-ce qu’il se passe ici?! cria ma mère.
Morgane tenta une explication en balbutiant, encore trop effrayée d’avoir été prise en flagrant délit moral d’i****te.
— Nous… Nous ne voulions pas aller si loin. Élodie, Thu Jin et moi devions rédiger un rapport de biologie sur la sexualité des mammifères. Nous avons voulu prendre un homme pour l’exemple. J’ai demandé à Alexandre s’il était d’accord. Il a été réticent au début mais il a accepté de nous aider par gentillesse puis les expériences nous ont fait prendre goût à ce genre de rapport et nous avons continué à nous amuser tous les quatre. Je suis désolée, maman. J’aurais dû me montrer plus réfléchie et faire preuve de discernement. Tout est de ma faute.
Sur ces derniers mots, ma soeur prit sa tête dans ses mains et se mit à sangloter. Ma mère posa une main sur son épaule.
— Sèche tes larmes, ma chérie. Ce que vous avez fait ton frère et toi est très mal moralement mais vous êtes adultes maintenant et, en tant que tels, vous êtes libres de faire vos propres choix. J’espère juste que vous vous êtes protégés avant de passer à l’acte.
— Oui, maman, nous nous sommes protégés.
— Bon, eh bien, tout est en ordre pour moi. Vous n’avez rien fait de mal en ce qui me concerne.
Surpris par la compréhension dont ma mère faisait preuve, je me demandais si elle n’essayait pas de cacher son état de choc.
— Quoi? Tu n’es pas fâchée? Nous nous amusions en cachette par peur de ta réaction et de celle de papa.
— Ne t’en fais pas, mon enfant. Pour tout te dire, ce n’est pas la première fois que je suis confrontée à l’i****te.
— Comment ça?
— Eh bien, je ne vous l’avais jamais dit auparavant mais, vu que vous l’avez fait, je peux, sans me sentir coupable, vous raconter mon plus grand secret. Est-ce que vous voulez connaître mon histoire?
— Oui, bien sûr, maman.
— Très bien. J’ai vécu une situation similaire à la vôtre avec mon père et des amis à lui. Vos grands-parents se disputaient très souvent lorsque j’avais votre âge. Mon père sortait toujours très déprimé de leurs disputes. Un jour, je l’ai trouvé assis dans son fauteuil, en train de fixer le mur du salon. Je me suis avancée vers lui et lui ai demandé ce qu’il se passait. Il m’a répondu qu’il s’était disputé avec ma mère au sujet de la complicité conjugale. Il m’a confié qu’il souhaitait retrouver les plaisirs qu’ils avaient connus au début de leur relation. Malheureusement, ma mère n’avait plus aucune envie de le satisfaire sur ce plan-là.
— Et qu’est-ce que tu as fait ensuite?
— Eh bien, à l’époque, comme beaucoup de jeunes filles, je fantasmais beaucoup sur mon père. Alors, en laissant parler mes pulsions, je lui ai proposé de lui donner ce que ma mère lui donnait au temps de leur rencontre. Bien évidemment, il a commencé par refuser en me rétorquant que j’étais folle et perverse. J’ai insisté en lui disant que son bonheur m’importait et que je serais très fière de pouvoir satisfaire ses envies. Il a finalement fini par céder et m’a demandé de lui faire une fellation. Toute contente de réaliser un vieux fantasme, je me suis agenouillée devant lui et ai fait glisser la fermeture éclair de son pantalon. J’ai ensuite fait tomber son caleçon au sol et, sans me poser de questions, j’ai commencé à sucer son sexe aussi bien que ma jeunesse et mon manque d’expérience de l’époque me le permettaient. Il était très bien équipé. Un peu comme tu as l’air de l’être en ce moment, Alexandre. Puis, après quelques minutes, il m’a demandé de recracher son pénis. Il a ouvert les cinq premiers boutons de ma chemise et il s’est mis à se masturber jusqu’à ce qu’il éjacule sur mes seins. Après que mon père ait repris ses esprits, je lui ai demandé comment il allait et s’il avait aimé ma fellation. Il m’a répondu que ma première fellation était meilleure que toutes celles que ma mère lui avaient prodiguées réunies et que j’avais un réel talent pour cela. Il m’a demandé si je voulais poursuivre notre relation. Je lui ai répondu tout de suite que oui et, depuis, il a fait mon éducation sexuelle et m’a pris ma virginité. Et, une fois qu’il m’a jugée prête, il a invité, dans le dos de ma mère, ses amis à coucher avec moi. Les petits jeux qu’il organisait ont duré jusqu’à ma rencontre avec votre père. À cause de mon mariage, je n’avais plus le temps de satisfaire votre grand-père et ses amis comme ils le souhaitaient.
— Quelle histoire! Et papa? Est-ce qu’il le sait?
— Oui. Il a été le premier à qui j’ai raconté mon histoire.
— Et comment a-t-il réagi?
— Il a été très compréhensif et n’a pas cherché à me juger.
Tout excité par la confession que ma mère nous avait faite, je me risquai à demander :
— Est-ce que tu as eu d’autres fantasmes de ce genre depuis ton mariage avec papa?
Ma mère éclata de rire.
— Si c’est une habile tentative de me demander de te montrer mes talents, il suffisait de me le demander tout simplement. Tu vas voir maintenant de quoi ta mère est capable.
Sur ces mots, ma mère ôta sa robe. Je fus surpris de constater qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge mais j’étais trop excité par la situation pour lui demander quoi que ce soit. Elle fit ensuite tomber sa petite culotte au sol et s’agenouilla devant moi.
Elle saisit la base de mon sexe et posa ses lèvres sur mon gland violacé par l’excitation. Dans un lent mouvement de va-et-vient, ma mère fit coulisser ses lèvres sur ma verge érigée.
Maman n’avait pas menti : son entraînement avec mon grand-père lui avait permis d’acquérir beaucoup d’expérience.
— Hum… Maman… Tu suces divinement bien! Cette fellation est la meilleure que je n’aie jamais connue!
Flattée par mon compliment, ma mère accéléra le rythme de sa fellation. La pression de ses lèvres sur mon sexe me procurait beaucoup de plaisir, tant et si bien qu’au bout de quelques secondes, je lui criai que j’allais jouir.
Ma mère recracha mon pénis et se tourna vers les trois filles.
— Bon, on le finit ensemble, les filles?
Ma soeur et ses amies s’empressèrent de se mettre à genoux aux côtés de ma mère. Maman s’empara de mon sexe et le plaça devant ses seins. Morgane, Élodie et Thu Jin engagèrent à leur tour leur poitrine sur mon phallus et les quatre femmes se mirent à me faire la plus belle branlette espagnole que je n’avais jamais connue.
Le contact de ces quatre magnifiques paires de seins ne mit pas plus de deux ou trois minutes à me faire éjaculer. Les quatre femmes se relevèrent et léchèrent leurs tétons. Ma mère donna ensuite ses seins à Morgane pour qu’elle les nettoie de ma semence tandis qu’Élodie faisait de même avec Thu Jin. Les deux duos changèrent ensuite les rôles et ma mère me demanda :
— Alors? Ta mère est-elle toujours aussi pleine de ressources?
— Oui, maman. Tu as été superbe. De plus, les années et les maternités n’ont pas affecté la beauté de ton corps. Je suis sûr que grand-père était très fier de toi quand tu avais mon âge. D’ailleurs, en parlant de lui, ça fait longtemps que nous ne sommes pas allés lui rendre visite. J’aimerais beaucoup que nous nous retrouvions en famille. Enfin, tu vois ce que je veux dire. Élodie et Thu Jin devraient venir avec nous, elles aussi. Qu’en dis-tu?
— C’est une bonne idée mais il faut d’abord que je parle de ce que j’ai vu entre vous à papa et à grand-père.
À peine ma mère avait-elle fini sa phrase que la porte d’entrée s’ouvrit. La voix de mon père se fit entendre.
— Bonjour, ma chérie. Bonjour, les enfants.
Ma mère nous fit signe de nous taire en mettant un doigt devant sa bouche. Mon père appela une nouvelle fois.
— Solange! Les enfants!
Intrigué par le mutisme qui régnait dans la maison, papa monta les escaliers. Lui aussi allait découvrir notre petit jeu.
[ à suivre ]
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