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Le meilleur plan à trois … (P1)

Le meilleur plan à trois … (P1)



L’action de ce récit se situe en 2006.

Je venais de m’installer sur Lyon dans un magnifique trois pièces, avec de grands espaces et super bien situé.

Mon retour dans la région, salué par mes amis et parents, a fait que, bien évidemment, j’ai reçu pas mal de visites, ce qui ne me dérangeait pas outre mesure, étant donné que j’adore recevoir.

J’ai toujours eu à cœur de bien scinder mes relations : Famille, travail, anciens potes, nouveaux potes, et même dans ces groupes, j’ai une catégorie spéciale : Le sexe.
Ce sujet qui ne peut être véritablement abordé qu’avec des personnes précises. De confiance. Des personnes avec qui l’on peut tout se dire et faire.

Ce vendredi après-midi d’automne allait m’amener à une situation que je n’imaginais pas, mais qui a initié un week-end de fou.

Mon pote Jean m’avait demandé s’il pouvait venir passer le week-end avec sa copine Stéphanie. Jean est un très vieil ami, d’enfance, avec qui nous avions passé tous les caps possibles : Exhibition, week-ends naturistes chez l’un ou l’autre, masturbation simultanée, puis mutuelle, puis fellation.
Une vraie complicité sexuelle.

Dès leur arrivée, il me demande s’il est possible de lire des photos à partir d’une clef USB sur ma télé. Je lui dis que oui et installe la clef. Quelques instant plus tard, je découvre sur ma télé Stéphanie, topless, je passe la suivante, pareil, mais plus proche. Je voyais dans leur regard une étincelle d’excitation particulière. Ils avaient bien préparé leur coup et attendaient une réaction. Je ne me déballonne pas, garde mon sang-froid et commente la beauté des aréoles, la courbe du galbe. Et conclu en disant que ça a le chic de tendre un peu mon pantalon. Il fait chaud, c’est l’été, Jean dis qu’il a prévenu Stéphanie qu’on peut s’habiller léger chez moi. Je m’absente quelques instant dans ma chambre et revient en boxer et t-shirt. Jean et Stéphanie ont fait la même chose. Autant dire que la tension commence à monter. Nous continuons à discuter, à blaguer, Stéphanie reconnait au tournant d’une phrase, qu’elle est chatouilleuse. Je la saisie alors doucement mais fermement par la hanche et l’attire vers moi pour la chatouiller. Elle me tourne le dos, je bascule sur le mien et continu à la chatouiller, mes mains s’égarent sur ses seins que j’effleure sous son top. Et soudain, je sens qu’on touche mon sexe qui commence à grossir. C’est Jean qui a bien une idée derrière la tête. Il dégage mon pénis de mon boxer, me branle un peu, histoire de durcir un peu plus tout ça et me mettre en approche de la vulve de Stéphanie. Je sens un fin duvet toucher le bout de mon gland, ça achève de me mettre au garde à vous. Je laisse alors échapper une petite remarque qui se veut encourageante.
– Dis donc ?! Tu n’aurais pas une idée derrière la tête toi ?
Malheureusement, l’effet escompté n’est pas du tout celui auquel je m’attendais et Jean arrête immédiatement ce qu’il faisait. Nous nous redressons lentement avec Stéphanie, mais on sent bien que l’occase est passée.
C’est dommage, avec quelques mouvements de bassin histoire d’exciter un peu cette chatte brulante qui commençait certainement déjà à s’ouvrir. Jean aurait juste à orienter ma bite, et moi à mettre un coup de rein et j’étais en elle.
La sensation aurait été excellente. Jean ne perdant pas de temps et tout en restant à genoux, se serait redressé et aurait mis son sexe à hauteur de nos visages. Stéphanie aurait commencé à titiller son prépuce qui se serait tendu très vite et aurait découvert son gland pourpre que je connais bien.
Elle l’aurait englouti et commencé à le pomper fermement et de mon côté, j’aurais continué à pistonner cette chatte confortable et inattendue.
Le week-end commençait bien, mais je venais de comprendre que même si j’espérais ne pas avoir gâché une occasion en or, la partie n’était pas réellement gagnée.

Cette première mise en bouche me rendait cependant curieux de voir jusqu’au cela pourrait aller.

Nous réajustons les quelques vêtements que nous portions et je leur propose un verre, un peu comme si de rien n’était, attendant de voir qui prendrait la parole en premier pour parler de ce qui venait de se passer de manière presque naturelle.
Rien ne vint, le sujet s’égara sur l’apéro et ce que je ferais à diner.
Commençant à préparer l’apéro dans la cuisine, Stéphanie partie dans la salle de bain pour se rafraichir.
Jean qui lança le sujet.
– Pierre, j’ai beaucoup parlé de toi à Stéphanie avec qui j’ai partagé notre goût du sexe expérimental. Elle est plutôt partante pour essayer un vrai plan à trois, et nous voulions savoir si tu étais OK pour faire cette tentative avec nous. Je peux comprendre que ça te bloque, mais je sais aussi que ça peut vraiment te tenter. »
– Ben écoute, j’avoue que l’entrée en matière est plutôt prometteuse et je reconnais que l’expérience est assez tentante. Si vous êtes OK, moi je suis OK aussi.
– Cool ! Après, je t’avoue que j’ai un peu peur que ça casse quelque chose entre nous, tu comprends ? C’est assez étrange comme situation, tu es mon meilleur pote, mais elle c’est ma nana.
– Oui, je comprends tout à fait, et c’est normal je pense, mais à mon avis nous sommes tous les trois suffisamment portés sur le cul pour ne tirer que du bon de la situation.
– OK, on va voir comment ça avance alors, et on avisera.

Nous retournons dans le salon, rapidement rejoint pas Stéphanie qui portait désormais un petit shorty en dentelle et un caraco en satin et petite fourrure, ne demandant qu’à exploser sous la pression de ces seins que j’avais aperçu plus tôt sur ma télé et effleuré sur le futon, mais que je n’ai finalement pas encore vu en vrai.

Je la complimente sur sa tenue et elle s’installe sur le canapé, entre Jean et moi.

– Jean t’a parlé de notre conversation ?
– Oui, je lui ai expliqué et il est partant pour jouer un peu avec nous.
– Un peu ? Beaucoup oui ! Dis-je en rigolant. Mais vous avez une idée de comment procéder ?
– Ben en fait, pas vraiment. Il y a des options, mais rien de précis.
– Parce que sur internet, j’ai découvert un site de libertinage qui propose une version d’action ou vérité en jeu de plateau. Ça vous dit de tenter cette voie ?
– C’est une idée… faut voir.
– Il y a trois niveaux de « chaleur », je pense que ça va le faire.
– Bon, ben banco alors !

Je pars dans mon bureau pour récupérer les 3 plateaux de jeu et récupérer des dés.
On se sent un peu fébriles, mais en même temps, plutôt détendus. Nous nous installons autour de la table basse sur laquelle j’ai posé le plateau vert, j’ai remplacé les pions par des capotes de différentes couleurs histoire de rester dans le ton.
Courtoisie oblige, Stéphanie lance son dé en premier. Elle déplace son pion et tombe sur une case action lui demandant de faire le tour de la table de manière sensuelle et en ondulant des hanches. Déjà en petite tenue, nous assistons ravis à au spectacle de magnifiques fesses délicieusement habillées de son shorty dentelle.
Je suis content, la partie est amorcée et d’ores et déjà, je sais que nous n’aurons plus aucune limite.
Le coup suivant est le mien, je dois caresser toutes les parties de peau visible des autres joueurs, avec la main. Je m’exécute en débordant un peu sous les vêtements, je ne laisse aucun cm² au hasard ce qui me permet de visiter, en partant des pieds, l’intérieur des cuisses de Stéphanie et sentir une forme de moiteur certainement en lien avec cette petite tâche foncée qui à l’air de naitre sur son shorty. Je remonte par les fesses, les côtes, le ventre, le cou, et enfin le visage. Très agréable. Elle est très douce.
– « Maintenant, il faut que tu fasses la même chose à Jean ! J’avoue que je suis curieuse de voir ça !»
Jean se redresse et attend… je procède la même manière, et si je ne sens pas d’humidité en remontant l’intérieur de sa cuisse, la réaction dans son boxer ne se fait pas attendre. Ca gonfle à vue d’œil. Le tissu se tend, Stéphanie éclate de rire en s’exclamant « Eh ben ! T’a l’air d’apprécier çà ! ».
Nous rions nous aussi et je fini ma caresse beaucoup moins intéressante sur la fin du parcours.
Jean tire le dé, comme d’hab il fait un 6 et obtient le droit de rejouer. Il avance beaucoup plus vite que nous et de fait, tombe sur un gage plus hot : Chaque joueur doit lui enlever un vêtement avec les dents.
Et en l’occurrence, des vêtements, il n’en a que deux. Un t-shirt et un boxer.
Plus grand, je m’occupe du t-shirt, Stéphanie s’occupe avec beaucoup de dextérité, du boxer, faisant surgir une bite au top de sa forme et que j’ai toujours adoré.
En effet, j’ai un sexe d’environ 18 cm d’un diamètre de plus de 5cm et je bande droit comme un bâton, on pourrait poser un niveau à bulle dessus, il ne bougerait pas.
Mais Jean, lui, a taille équivalente, est aussi large, mais plus aplatit et remontant dans une courbe parfaite ! Je la connais bien cette bite, depuis au moins 15 ans ! Nous nous sommes amusés de nombreuses fois à nous battre avec nos sexes en guise d’épée. Elle est très douce, mais à part la mienne, c’est la seule que je n’ai jamais touché.

Stéphanie pose un petit baiser sur cette hampe gracieuse et fini de faire tomber le boxer.
Jean est le premier tout nu de la soirée et se rassoit.
Stéphanie relance le dé et doit enlever un vêtement. Choix classique et logique, elle dégrafe son caraco et dévoile enfin cette poitrine qui me faisait de l’œil depuis la fin d’après-midi. Elle vient quémander un baiser sur chacun de ses seins, par nous deux.
Je lance le dé, 6, je relance et dois exécuter un strip-tease langoureux mais intégral. Je m’exécute. Jean se caresse machinalement et conserve son érection, Stéphanie joue avec le bout de ses seins. De mon côté, mon t-shirt vole au travers de la pièce. Je me retourne pour faire admirer mes fesses et fait glisser mon boxer. Je suis au garde à vous, les couilles ballantes, et me retourne en un bond. Ma bite est lourde et se balance énergiquement. Je commence à danser en faisant des mouvements de bassin très appuyés pour faire bouger tout ça. Mon public est ravi !
– « C’est marrant, j’ai vu quelques bites dans ma vie, mais jamais une aussi droite que ça ! ce n’est pas un peu gênant en missionnaire ? »
– « Je reconnais que je ne me suis jamais posé la question. Mes partenaires ne se sont jamais plaint, au contraire, mais c’est vrai que je ne suis pas fan de cette position. »
– « Et elle est grosse, massive en fait. »
– « Et pour l’avoir déjà touché plusieurs fois, je peux te garantir qu’elle peut devenir brûlante ma chérie. Tu verras. » Rajoute Jean
Stéphanie sent que la situation se resserre, nous n’avons plus rien de couvert Jean et moi et il ne lui reste que son shorty.
Le dé roule … vérité ! Petite déception, mais je saisi l’occasion !
– « Tu as déjà fait l’amour avec deux mecs ? »
– « J’ai failli, une fois, mais une fois qu’ils se sont retrouvés à poil l’un devant l’autre, ils ont débandé très vite. Ils ne supportaient même pas l’idée d’avoir un bout de peau en contact, ne serait-ce qu’une main. J’ai dû me finir toute seule.
– « Ben au moins, tu peux être rassurée, nous on ne débande pas en se voyant l’un l’autre et c’est pas le contact qui nous fait peur. »
– « C’est ce que je vois … »
Jean et moi lançons tour à tour nos dés, mais n’ayant plus de vêtements à enlever, nous passons nos tours, impatient d’avancer un peu plus dans le jeu, voir Stéphanie entièrement nue et passer au plateau suivant, plus chaud.
– « 4 ! S’il vous reste des vêtements, enlevez-les tous ! Et ben cette case-là ne s’embête pas avec les détails ! » s’exclame Stéphanie en souriant.
Sur ces mots, elle bascule en arrière sur le canapé, lève les jambes et fait glisser son shorty. Je découvre un magnifique abricot entre ses cuisses, poilu juste comme il faut. Il est resserré par les cuisses, mais les grandes lèvres dépassent ostensiblement de sa vulve. Elle semble assez trempée et j’admire sa maitrise d’elle-même.
Niveau suivant, je sors le plateau bleu. Au tour de Jean. Vérité. Question de Stéphanie.
– « C’est vrai que ce vous m’avez dit tout à l’heure, vous avez déjà été jusqu’à vous branler mutuellement ? »
– « Vrai de vrai, et même une fois devant une webcam. On ne voyait pas nos têtes, mais on l’a fait. »
– « Je suis impressionnée que vous ayez ce tempérament, c’est hyper rare. C’est une évidence que vous n’êtes pas homos, mais vous êtes plutôt bi ? »
– « Je dirais qu’on est juste sexuels. C’est-pas une question de sentiment, c’est juste le plaisir, l’excitation, et surtout le jeu en fait. »
– « Vous vous êtes déjà sucés ? »
– « T’as droit qu’à une question et c’est la troisième. On va te laisser te faire des films ! »
– « Mouais … ok. Mais ça veut dire oui ? Non, j’arrête, j’attendrais une autre occasion. »
Stéphanie lance le dé. « Vous devez lécher un partenaire comme vous voulez et ou vous voulez, pendant 2 mn ».
Elle se lève, se dirige vers Jean et puis se retourne d’un coup, me prend la main et me fait lever au milieu du salon.
– « Je connais le corps de Jean par cœur, on est là pour explorer des choses non ? » dit-elle en approchant sa bouche de mon torse.
Elle sort sa langue et commence à lécher doucement mes pectoraux, s’attarde sur mes tétons (je ne suis pas fan) remonte vers l’épaule, puis redescend sur mon ventre, mon pubis, tondu raz, puis se détourne sur la cuisse droite. Me demi molle à reprit toute la vigueur qu’elle avait mis en veille, je sens son visage toucher ma queue, sans que ça la gêne le moins du monde. Elle tourne la tête et fait remonter sa langue le long de ma hampe, puis passe sur l’autre cuisse.
– « Stop, deux minutes, c’est bon ! » Crie Jean.
Stéphanie s’arrête. Nous reprenons nos places.
Je lance le dé. Je dois faire tenir un crayon en équilibre sur mon sexe s’il est raide. Pour la raideur, pas de souci. Pour le crayon, pareil, avec mon niveau à bulle, rien ne bouge.
Jean lance le dé. « Caressez deux participants de votre choix avec votre sexe. Vous devez explorer un maximum de zones en 2 mn, mais sans jouir. En cas de jouissance, un gage sera choisi par l’ensemble des joueurs. »
Ça devient complexe.
Jean se lève, sert un peu plus la main autour de son sexe qu’il branlait doucement jusque-là. Stéphanie et moi nous redressons également et nous mettons debout au milieu du salon, côte à côte.
Il commence à frotter la cuisse de Stéphanie, on sent qu’il kiffe. Il tourne, s’attarde sur la fesse droite, puis la gauche, puis dans le sillon inter fessier. Automatiquement, presque par réflexe, Stéphanie écarte les pieds et se rend, de fait, plus accueillante.
Je comprends maintenant que son sexe courbé vers le haut l’aide à caresser la vulve de Stéphanie avec le gland, sans avoir à se contorsionner. Mais il ne doit pas jouir, il se retire donc et continue son périple, fesse gauche de Stéphanie, puis ma fesse droite, ma gauche, il pose la courbe de sa bite sur mon sillon, mais moi je n’ai pas de réflexe encourageant. Il comprend vite et me fait maintenant face, avec un large sourire, il commence à frotter mon propre pénis. Nos deux glands violets palpitent, c’est super doux. Mais il ne faut pas jouir. Et là, même moi je me sens concerné. Nous l’avons déjà fait, mais juste tous les deux, pas avec du public. Les deux minutes sont achevées depuis longtemps, Jean souffle en disant « Ben c’est pas facile ! ».
Stéphanie lance son dé, 6, elle relance et ma gorge commence à se nouer. « Vous devez vous assoir, écarter grand les jambes et vous masturber pendant 3mn, sans jouir. Sous vous jouissez, vous avez un gage décidé par les autres joueurs. »
Stéphanie se recule dans le canapé, écarte doucement ses jambes et dévoile une chatte de première classe. Joliment épilée, nette, mais avec suffisamment de poils pour montrer que nous sommes en présence du sexe d’une vraie femme. Je n’aime pas les minous intégralement rasés, ça fait petite fille et ça me coupe toute envie.
Là, je sens qu’il va y avoir une jouissance et certainement la mienne. Jean et moi nous rapprochons l’un de l’autre pour s’assoir sur le canapé d’en face, et nous regardons, fascinés par ce superbe spectacle.
Evidemment, nous admirons ça d’une main distraite mais assurée sur nos chibres qui venaient de dépasser un cap de durée d’excitation continue sans éjaculation. Ça devenait un défi.
L’œil de Stéphanie se fait fiévreux, elle prend doublement son pied. Elle se fait du bien, certes, mais elle apprécie vraiment de voir deux beaux mecs, détendus et en train de se branler pour elle.
Soudain, le lien qui nous lie avec Jean nous fais penser à la même chose en même temps, et sans se concerter, nous continuons notre masturbation, mais désormais avec le pénis de l’autre. Il faut reconnaitre que se faire astiquer par une personne du même sexe, c’est d’une qualité qui frise la perfection. Je passe doucement la main sous ses couilles, pour les palper un peu, les sentir, il me rend la politesse, et nous reprenons notre astiquage sans avoir jamais quitté la minette de Stéphanie des yeux. Minette qui est désormais dégoulinante et libère soudain un liquide abondant dans un râle profondément satisfait.
Stéphanie ne vient pas de jouir, elle vient d’avoir un orgasme extraordinaire. Elle explose de rire, un rire nerveux, serrant ses cuisses dans des spasmes adorables, elle tremble un peu, mais elle est au comble du bonheur. Elle s’amuse bien, nous passons en fait un véritable bon moment de complicité, dénué de toute autre considération que la quête du plaisir pur et simple.
Je ne sais pas quoi faire, on continue ? On fait une pause ?
C’est Stéphanie, enhardie par son orgasme qui prend les devants.
– « Allez les mecs, venez par ici, chacun d’un côté ! »
Nous nous levons et nous exécutons, nous sommes comme deux gardes présentant armes devant une maitresse coquine. Elle se redresse, saisi une queue dans chaque main et commence à nous masturber simultanément. Elle a bien vu que nous n’avons pas peur du contact et frotte nos bites, l’une sur l’autre, gland contre gland, couilles contre couilles, elle s’amuse de la différence des deux formes. Elle les colle l’une à l’autre, formant comme une bite géante, et commence à lécher, hyper lentement, nos deux sexes, de la base des couilles jusqu’au gland puis essaye de les mettre dans sa bouche, en vain. Qu’à cela ne tienne, elle nous suce tour à tour et ce qui devait arriver arrive, je commence à me tendre un peu, Jean réagi dans la seconde, de la même manière, nous allons jouir, c’est maintenant inévitable. Coups de langue, va-et-vient, pipe, coup de langue, c’est trop, j’ai un spasme que Stéphanie détecte suffisamment vite pour orienter mon engin et me laisser éjaculer sur sa superbe poitrine. Jean vient dans la foulée, mais plus discret, il est moins vite détecté et sa première giclée barre le visage de Stéphanie.
C’est juste génial !
Je viens de vivre la plus extraordinaire expérience de ma vie à ce moment-là !

Et il reste encore deux jours …

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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