La soirée avait plutôt bien commencé : un petit apéro et un bon repas bien arrosé, rien de mieux pour fêter notre BTS. Après des mois de travail, nous pouvions enfin nous lâcher un peu.
Nous étions maintenant vautrés sur le canapé pour digérer en papotant. Lucie, ma meilleure amie, une petite blonde aux yeux marrons, me parlait des notes qu’elle avait eues et du boulot qu’elle espérait trouver rapidement grâce à sa mention. Nous célébrions notre diplôme dans la maison de ses parents, partis en week-end, mais Enzo, son petit frère, beaucoup plus grand qu’elle mais tout aussi blond, était resté. Pendant qu’il s’occupait de mettre un peu de musique, Manon et Baptiste, en couple depuis quelques semaines, se bécotaient innocemment.
Soudain, Romain, le quatrième de mes camarades de promo présents, un grand mec bien bâti aux yeux bleus qui me plaisait tout particulièrement, nous proposa de faire un jeu.
Lucie lui demanda : « Jouer pourquoi pas, mais à quoi ?
– Je ne sais pas, tu as des cartes ou des dés ?
– Oui, mais un jeu de cartes à six, ça risque d’être compliqué. »
Nous passâmes quelques minutes à envisager différents jeux sans rien trouver d’intéressant, jusqu’à ce que Lucie propose : « Et si on faisait un action ou vérité ? ».
Je n’avais plus fait ça depuis le début du collège, et comme je suis de nature assez timide ça me faisait un peu peur. Baptiste partageait visiblement mes réserves, mais les autres étant plutôt enthousiastes, l’idée fut adoptée.
Je me retrouvais donc assise sur le canapé entre Romain et Enzo. Manon et Baptiste se partageaient un fauteuil à droite d’Enzo, tandis que Lucie était assise en face de moi sur un pouf. Les règles furent assez vite établies et le jeu commença avec quelques questions et gages plutôt faciles. Je dus manger une pomme de terre crue, raconter ma pire journée de cours et donner le prénom du premier garçon que j’avais embrassé.
Lorsque Romain me répondit « Action », je crevais d’envie de lui demander d’enlever son tee-shirt, mais je n’osais pas. J’avais déjà assez tendance à rougir en lui parlant, et nous savions tous que le premier qui proposerait un gage un peu osé risquait de devenir une cible.
Mais Lucie, qui avait accepté comme gage de boire deux bières en moins d’une minute, commençait à être pompette. Ce qui la rendait d’humeur quelque peu audacieuse… :
« Baptiste, action ou vérité ?
– Vérité
– Quelle est la position la plus osée que vous ayez tenté avec Manon ?
– Euh… joker !
– Très bien, tu n’en as plus que deux ! »
Quelques minutes plus tard, Romain acceptait de raconter sa première fois, Manon d’enlever son chemisier pour révéler un soutien-gorge rouge vif, et les jokers commençaient à tomber.
Enzo, du haut de ses seize ans, n’avait lancé que des questions et gages innocents. Jusqu’à ce qu’il se tourne vers moi :
« Pauline, tu as déjà essayé la sodomie ? »
Lucie explosa de rire. « Dis donc frangin, tu te lâches… cela dit, c’est une bonne question ! »
Je rougis jusqu’aux oreilles et répondis que non. Comme j’étais à sa gauche et que je jouais juste après lui, je me vengeais immédiatement :
« Et toi Enzo, action ou vérité ?
– Vérité !
– Tu as déjà couché avec une fille ?
– … Non… »
Vint le tour de Romain, qui fit enlever son tee-shirt à Baptiste. Celui-ci révéla un torse assez poilu avec un début de bedaine, ce qui commença néanmoins à m’émoustiller…
Lucie me regarda alors avec un sourire en coin et me posa la question fatidique. Je choisis le gage, et elle me demanda d’aller seule dans une pièce avec son frère et de lui montrer ma poitrine. J’hésitais, jettais un coup d’oeil à Enzo et constatais qu’une bosse commençait à se former sur son jean. J’avais eu un seul copain, pendant quelques mois en Terminale, et lui seul avait vu mes seins. Je n’osais pas accepter, et après une longue réflexion, malgré l’air déçu d’Enzo, je pris le risque d’utiliser mon dernier joker. Mais une petite voix me disait au fond de moi que le jeu durerait trop longtemps pour que je puisse y échapper.
Un quart d’heure plus tard, les trois garçons étaient torse nus. Manon était, elle, en sous-vêtements. Romain m’avait fait enlever mon jean, et je ne pouvais que me féliciter d’avoir mis des dessous noirs, m’évitant de montrer qu’entre ses abdos et le torse bien musclé d’Enzo, je commençais à être un peu mouillée. Quant à Lucie, elle avait juste perdu sa culotte et croisait les jambes pour éviter que l’on puisse voir sous sa jupe. Mais depuis deux tours, plus personne n’osait dire « Action ». Si Manon et Baptiste, peut-être par respect l’un pour l’autre, lançaient des gages plutôt gentils, Enzo et Romain commençaient à être très excités et Lucie me regardait d’un oeil lubrique qui me faisait craindre pour la suite.
Vint le tour de Baptiste, qui, un bras autour du cou de Manon, continuait à rester relativement soft :
« Enzo, action ou vérité ?
– Vérité…
– Est-ce qu’il y a une fille dans cette pièce qui t’excite particulièrement ? »
Le regard d’Enzo passa rapidement sur sa soeur et sur Manon, puis s’arrêta sur moi. Ses yeux se fixèrent dans les miens, puis sur mon soutien gorge, et il répondit simplement, avec un petit sourire timide : « Oui… ».
Manon m’interrogea alors : « Pauline, action ou vérité ? »
Pensant ne rien avoir à craindre d’elle, dont la plupart des gages avaient jusqu’ici consisté à boire un peu d’alcool ou à faire le tour de la table à cloche-pied, je décidai d’oser répondre « Action ! ». Avant de le regretter aussitôt :
« On ne va quand même pas laisser le p’tit jeune dans cet état… allez Pauline, glisse une main dans son caleçon pendant un tour ! »
Le jean d’Enzo étant assez serré, je commençai par en défaire le bouton, puis, n’ayant pas le choix, je glissai doucement ma main droite sous son caleçon. J’y sentis d’abord quelques poils, puis une bite qui semblait déjà assez dure et particulièrement grosse.
Manon se tourna vers Enzo : « A toi de jouer… si tu es encore en état ! ». Celui-ci lui fit un grand sourire reconnaissant, puis se tourna vers sa soeur : « Lucie, action ou vérité ?
– Action ! »
Vu l’état d’excitation générale qui commençait à envahir le groupe, plus personne ne songeait à choisir « Vérité ».
« Enlève ton débardeur ».
Pendant qu’elle s’exécutait en révélant un soutien gorge en tissu blanc qui laissait deviner que ses tétons pointaient, je pris mon courage à deux mains et commençai à faire de légers mouvements de va et vient avec ma main droite, ce qu’Enzo semblait beaucoup apprécier.
A mon tour, je décidai de me venger de Manon et lui demandai d’enlever son soutien gorge, mais elle utilisa son dernier joker. Seuls Enzo et Baptiste en avaient toujours un, mais ils les perdirent sur les gages envoyés par Romain puis Lucie. Au tour de Manon, j’ôtai enfin ma main du caleçon d’Enzo, dont la bite était désormais dure comme du bois. Manon lui donna alors comme gage d’enlever son pantalon, et nous aperçumes une énorme bosse qui déformait son caleçon, ce qui le fit rougir jusqu’au front. Sans se démonter, il dit à sa soeur d’embrasser Romain.
Lucie se leva, se pencha vers Romain et colla ses lèvres contre les siennes. Je ne pus m’empêcher de ressentir une pointe de jalousie. Oubliant qu’elle ne portait plus de culotte, elle s’assit lentement à califourchon sur les genoux de Romain. Sa jupe remonta légèrement, nous laissant apercevoir de jolies fesses menues. Les mains de Romain lui caressaient le ventre en remontant jusqu’à sa poitrine, mais juste avant qu’il n’y parvienne, elle se leva et se rassit sur son pouf en titubant un peu.
Le jeu continua avec quelques baisers langoureux et de moins en moins de vêtements. Les garçons étaient désormais tous en caleçon, Lucie ne portait plus que sa jupe et avait dévoilé de jolis seins menus avec des petits tétons roses pointus, et Manon n’avait plus qu’un string rouge. Ses seins beaucoup plus gros attiraient fortement le regard de Romain, mais celui-ci tentait de se retenir par respect pour Baptiste. J’étais donc la seule fille à avoir conservé tous mes sous-vêtements. Manon se tourna vers moi, je choisis à nouveau le gage, et elle me demanda de la suivre dans sa chambre, contigue au salon dans lequel nous nous trouvions. Sans même prendre le soin de fermer la porte, elle me fit m’allonger sur le lit et fouilla dans sa commode. Je commençai à me demander où elle voulait en venir, d’autant qu’elle ne m’avait jamais parue attirée par les filles en général ni par moi en particulier, quand elle sortit deux paires de menottes et m’attacha aussitôt au lit. Elle sortit alors de la pièce et lança en rigolant : « Amuse-toi bien frangin, tu as dix minutes ! »
Enzo entra dans la chambre, ferma la porte et s’approcha de moi. Je ne pouvais plus bouger et n’osai pas dire un mot, j’attendais simplement en me demandant ce qu’il allait faire. Cette situation avait beau me stresser, j’étais désormais complètement trempée et j’espérai qu’il en profite. Voyant qu’il hésitait un peu, je lui fis un large sourire pour le mettre en confiance. Ca le décida à passer à l’action : il commença par dégraffer mon soutien gorge et par me caresser les seins. Il approcha ensuite sa bouche et me mordilla les tétons l’un après l’autre. Je ne pus retenir un léger gémissement de plaisir. Il descendit ensuite en m’embrassant le ventre en divers endroits, puis appuya sa bouche contre ma culotte. Ses doigts se glissèrent en dessous, me caressèrent, puis il la baissa légèrement. Il ne pouvait l’enlever complètement car Lucie m’avait attachée les jambes écartées, mais ça lui suffit pour glisser sa langue sur mon clitoris. Je commençais à sentir des frissons me parcourir le corps, qui s’intensifièrent lorsque son majeur entra dans mon vagin. Il commença un va et vient délicat et je me pris à espérer qu’il enlève son caleçon pour me pénétrer, mais je n’osai lui dire. Juste au moment où ses mouvements devenaient plus rapides et où je commençai à gémir en oubliant tout le reste, quelqu’un frappa à la porte. Lucie, évidemment, qui cria en rigolant : « Les dix minutes sont terminées, dehors mes p’tits cochons ! Dépêchez-vous de sortir sinon je viens vous chercher ! ».
Enzo s’arrêta net, sortit ses doigts, les essuya sur la couette et me remit ma culotte. Il récupéra ensuite les clés que Lucie avait laissées sur la commode et entreprit de m’enlever les menottes. Je remis mon soutien-gorge et me levai. Je devinais qu’il bandait comme un taureau sous son caleçon mais malgré ce que nous venions de faire, il avait l’air d’être gêné que ça se voie autant. Avant d’ouvrir la porte, je lui glissai donc à l’oreille, pour le rassurer : « Merci, t’es beaucoup plus doué que je ne le pensais ! ».
Nous sortîmes alors de la pièce, et constatâmes que le jeu avait continué sans nous : Baptiste était nu et caressait les seins de Manon, nue également et assise les jambes croisées sur ses genoux. Romain, son caleçon posé à côté de lui et sa bite d’une dizaine de centimètres bien dressée regardait fixement Lucie, assise par terre les jambes un peu écartées, laissant apercevoir une chatte totalement épilée. C’était visiblement au tour de Manon de jouer. Elle tourna la tête, déposa un baiser sur les lèvres de Baptiste et lui demanda : « Mon coeur, action ou vérité ?
– Action »
Sans un mot, elle écarta légèrement les cuisses, attrapa la main droite de Baptiste qui lui titillait un téton, et la descendit jusqu’à son minou. Baptiste sourit et commença à lui caresser doucement le clitoris.
« A toi Enzo !
– Euh… Lucie ?
– Action.
– En remettant les menottes dans ta commode j’ai vu un flacon d’huile de massage, vas le chercher et enduis-toi le corps avec. A toi Pauline ! »
J’étais désormais au summum de l’excitation et un peu frustrée qu’Enzo ait du s’arrêter avant de me faire monter au septième ciel. Et à voir Romain nu assis juste à côté de moi sa bite fièrement dressée, je sentais la chaleur monter encore plus. Voyant que Lucie se mettait de l’huile partout et s’attardait particulièrement sur ses seins tout en regardant Romain, je décidai de prendre les choses en main :
« Romain ?
– Action
– Lucie, envoie le flacon à Romain, j’ai envie d’un petit massage aussi…, dis-je en me rapprochant de lui »
Lucie lança le flacon à Romain qui l’attrapa au vol, l’ouvrit, en versa un peu sur mes épaules et commença à me masser le cou et le dos. J’enlevai mon soutien-gorge, l’envoyai voler à l’autre bout de la pièce et collais mon dos au torse musclé de Romain pour l’obliger à me masser le ventre et la poitrine. Il ne se fit pas prier, d’autant que Manon commençait à gémir sous les va et vient des doigts de Baptiste. Elle avait passé une main derrière son dos et le caressait également.
Pendant que Romain s’occupait de mes seins et que Lucie avait abandonné l’huile pour se caresser le minou, tout en regardant Manon et Baptiste qui se masturbaient de plus en plus énergiquement, je voyais du coin de l’oeil qu’Enzo ne bougeait pas d’un poil. Je m’en voulais un peu de le laisser comme ça et sa bite, apparemment bien plus grosse que celle de Romain, me faisait envie. Croisant le regard de Lucie, je lui montrais son frère d’un signe de tête avec un petit sourire. Elle comprit aussitôt. Elle arrêta de se tripoter, se leva et s’approcha de nous pendant que j’enlevais ma culotte. Lucie souleva l’une de mes jambes et la mit sur le dossier du canapé, laissant ma chatte largement ouverte. L’adolescent ne se fit pas prier, et sa tignasse blonde s’enfonca à nouveau entre mes jambes.
Avec Romain qui massait mes seins huilés, Enzo qui jouait à nouveau de sa langue et de ses doigts, et les gémissements de plus en plus forts de Manon, je m’abandonnai au plaisir et j’explosai en quelques minutes.
En reprenant mes esprits, je constatai que Manon avait joui en même temps que moi. Les garçons, en revanche, étaient au bord de l’implosion. Ne pouvant décemment laisser Lucie s’occuper de son frère, je décidai finalement de lui laisser Romain. Je me retournai donc sur le canapé pour pouvoir prendre le sexe d’Enzo dans ma main droite, puis dans ma bouche. A peine quelques secondes plus tard, il gémit : « Attention, ça vient ! ». Je sortis sa bite de ma bouche et positionnai ma poitrine en face. Une quantité impressionnante de sperme éclaboussa mes seins. En me relevant, je vis Manon à genoux sur le fauteuil, agripée au dossier, et Baptiste juste derrière en train de la prendre en levrette. Mais de Romain et Lucie, aucune trace.
J’entendis alors des voix dans la chambre de Lucie : avaient-ils donc décidé de s’isoler pour passer aux choses sérieuses plus tranquillement ? J’attrapai un rouleau de sopalin pour m’essuyer puis me préparai à aller chercher une bière pour me rafraichir quand je sentis quelqu’un m’att****r par derrière. J’essayai de me débattre, mais Enzo, en rigolant, vint aider Lucie et Romain, et une minute plus tard, j’étais attachée le dos sur la table basse. Ils m’avaient mis une paire de menottes à chaque main, liée à un pied de la table, et plusieurs tours de scotch me collaient le bassin à l’autre bout, me laissant les fesses dans le vide et les pieds qui touchaient par terre. J’essayais de donner quelques coups de pieds pour faire semblant de désapprouver, mais cette situation m’avait à nouveau rendue folle d’excitation et j’attendais la suite avec impatience.
Lucie s’agenouilla devant Romain, le suça rapidement puis lui enfila un préservatif. Elle fit de même avec Enzo qui recommençait déjà à bander pendant que Romain s’approchait de moi et me pénétrait délicatement. Mais il était beaucoup moins doué que je ne l’aurais pensé, et ça ne dura qu’une minute sans que je ressente grand chose. A peine sorti, toutefois, Enzo pris sa place. Il m’attrapa les fesses à deux mains, posa sa bite à l’entrée de ma fente, puis l’enfonça d’un coup. Il ne perdit pas de temps et se mit à limer aussi fort et aussi vite qu’il le pouvait. Je ne pus réprimer des gémissements de plus en plus forts. A peine si j’entendis Lucie dire en rigolant « Tu vas réveiller les voisins ! ». Joignant le geste à la parole, elle se mit à califourchon sur mon visage, me couvrant la bouche de sa fourche imberbe pour m’empêcher de crier. Je la léchais goulûment tout en continuant à gémir jusqu’à atteindre à nouveau un orgasme bien plus fort que le précédent. Enzo se retira et je continuai à jouer de la langue sur le clitoris de Lucie jusqu’à sentir un flot de cyprine me couler sur le visage.
Elle se releva et je pus voir que Romain et Enzo étaient retournés sur le canapés boire une bière, sans toutefois se rhabiller. Je leur lançai : « Bon, vous pouvez me libérer maintenant ? », ce à quoi Lucie répondit en souriant : « On verra plus tard, je sens qu’on n’a pas fini de s’amuser… ». Et en effet, la soirée commençait à peine…
(à suivre quand j’aurai le temps)
J aurai bien voulu etre la…..