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Fruits mûrs2.Dans le cul de Monique, 70ans suite

Fruits mûrs2.Dans le cul de Monique, 70ans suite



-Monique…70 ans…ses gros seins, sa langue dans ton cul, sa chatte tellement serrée qu’il te faut une demi-heure pour enfoncer ta queue…c’est du propre de niquer les grand-mères pendant que les gens raisonnables râtissent leur jardin ou remplissent des grilles de mots croisés.
Marlène revient vers le lit. Elle a écrit un message à son mari comme quoi elle rentrerait plus tard que prévu. Ma jolie rousse malgré son âge déambule avec une grâce de nymphe, ses petits seins ronds coquettement dressés. Sa minceur, sa chevelure bouclée digne d’une peinture de la Renaissance et sa beauté belle époque lui donnent une innocence trompeuse.
-Sa chatte était serrée uniquement quand elle était toute sèche. Tu aurais dû voir quels coups de béliers obstinés je devais donner contre sa touffe.
-J’aurais aimé te voir. Je me serais glissée près de toi, je t’aurais fait comme ça…
Ses doits fins qu’on aurait mieux imaginé sur une harpe effleurent mes bourses.
-J’aurais palpé ses gros nichons pendant que tu la fourrais. Je me serais assise sur elle pour qu’elle me…
-Non, là tu rêves. Monique n’aime pas les femmes. Et puis ce n’est pas le genre à se lancer dans ce genre de musique de chambre.
-Pourtant c’était une sacré salope…te lécher le cul comme elle l’a fait.
-Remarque, elle en bénéficiait…ma queue bien raide la faisait mieux jouir. Sans ses coups de langue, il n’y aurait plus eu de queue raide du tout. Autant elle était serrée quand elle était sèche, autant son vagin s’élargissait quand elle était humide.
-Pas comme moi, n’est-ce pas? Allez, viens me la mettre. Fourre-moi, prends-moi comme une pute.
Elle aime ce genre d’expression, peut-être parce que je la respecte, et qu’elle peut se lâcher en toute confiance.
-J’aime te la mettre. J’aime tes petits seins.
-Eh oui, je n’en ai pas de gros comme Monique…elle te branlait entre ses nichons? Tu lui as giclé dessus?
-maintenant que tu me le dis, en fait, non. Après m’avoir léché le cul comme une bonne grosse cochonne, je me suis une fois placé sur elle, la queue entre ses seins. Elle m’a presque regardé avec un air choqué.
-Mais elle se laissait enculer?
-On ne l’a fait qu’une fois. Elle a eu un peu de mal à se laisser convaincre.
-Pas comme moi. Viens, j’ai envie.
Marlène étire son bras fin, et tord son dos de nymphe dans un mouvement gracieux pour att****r le petit pot de vaseline qu’elle a déposé sur la table de nuit.
-Allez viens, ce n’est pas le gros cul de Monique, mais tu aimes bien gicler dedans, dit-elle en se pommadant la rosette.
Je suis toujours étonné de voir avec quelle facilité qu’encule Marlène. Je vois ses hanches étroites, sa finesse, mon gros membre enthousiasmé de plonger dans l’anus accueillant…Et puis le derrière large de Monique, auquel je m’agrippe, en avançant péniblement mon gland d’un centimètre dans l’orifice contracté, ou encore Solange, du même âge, et de la même corpulence, dont les arrières sont impénétrables.
Ma petite rousse est une grande enculée. Son mari l’encule, ses amants l’ont sans doute enculée, je l’encule.
Je jouis dans le cul de Marlène en lui disant que je n’ai pour ainsi dire pas enculé Monique.

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