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M à voisine russe

M à voisine russe



Je n’ai jamais trop su s’ils étaient réellement russes. Nous sommes dans l’ère des fakes-news. On n’est plus sûre de rien. Tout cela nous voue à rien de bien fameux. Je remarquais la beauté singulière de sa femme. Elle était autant belle que vilain était son mari ou qu’on pouvait supposer tel. Rond, chauve et court sur pattes son regard vous fuyait sans cesse. De dire bonjour ou d’être aimable semblait tant lui peser. La compagne était tout le contraire. Un sourire charmant, un regard lumineux. Les premiers jours on glosa sur ce singulier couple. Puis tout s’apaisa.

Il faut dire que dans ce petit immeuble haussmannien du sixième arrondissement, chacun s’ignorait proprement. Je vivais quasi en célibataire. Ma petite amie, hôtesse de l’air venait me visiter entre deux avions. Nous fermions l’un l’autre les yeux sur nos potentielles aventures. D’un commun accord nous faisions la fête durant nos rares fois ensemble. Je ne mégotais pas sur la carte bleue. Elle avait droit aux meilleurs tables. Ceci toujours émaillé d’un spectacle genre théâtre ou cabaret. J’avais l’illusion de vivre en amoureux comme aux plus grandes heures de la comédie musicale.

Je m’étais pris de sympathie pour le concierge, un harki auquel j’avais eu le malheur de dire que j’avais lu sur le sort de ses comparses et l’injustice qui les poursuivait. En fait en parfait mufle je m’en contrefoutais. Pour moi la vanité et futilité de l’Histoire humaine étaient avérés. Nous allions tous vers une catastrophe finale car irrémédiable. Mon harki n’en décrétait pas moins que j’étais un type formidable. Il m’assurait des rares cancans de l’immeuble. Un jour avec une feinte gravité il me demanda ce que je pensais des russes. Je lui répondis rien à part que la dame était jolie.

Il me balança sans à propos : « C’est une prostituée ». Je lui rétorquais qu’il se fallait défier des préjugés. Toutes les filles de l’Est ne sont pas prostituées. Je convenais que le couple était mal appareillé et qu’il avait un comportement des plus singuliers. Tout au plus concédais-je que leur union était sûrement d’intérêt. Nous n’avions pas à juger de toute façon. En tout cas je ne le suivais pas sur la piste de la prostitution. Il me dit qu’il m’en donnerait des preuves. Elle faisait cela de toute façon en extérieur. Par le truchement du net elle allait à l’hôtel ou le client. Une sorte d’escort-girl.

Là aussi je songeais que les concierges avaient une propension à tout exagérer et fantasmer. Je n’en dévisageais pas moins autrement ma jolie russe. Même un jour vins-je à me hasarder à un début de drague dans la queue de la boulangerie. Je lui fis observer que je ne lui voyais plus son mari. L’avait-elle assassiné et découpé en morceaux ? Reprenant la balle au bond elle renchérit : « En effet c’est cela et je cherche un nouveau protecteur. » Nous éclatâmes de rire. Je ne pouvais croire qu’une telle femme d’esprit put s’abaisser au plus bas même si plus vieux métier du monde.

Cependant un matin tandis qu’elle sortait de l’immeuble et sans qu’elle me vit décidais-je sur le champ de la suivre. Je fis cela par jeu au début. Cette femme me fascinait. Ce jour-là j’observais qu’elle portait un long manteau de cuir que je ne lui connaissais pas ainsi que des bottes que je sus plus tard des cuissardes. Du peu que je pus voir outre de porter un singulier béret, elle était fortement fardée. Elle baissait la tête tâchant de ne pas trop croiser le regard des passants et notamment d’hommes. Tout cela rapidement m’alerta. Je décidais de poursuivre ma filature.

Il n’est pas aisé d’effectuer ce genre d’exercice. On est dupe de ce qu’on voit dans les films. Certes il faut maintenir une distance où il faut ne pas perdre de vue le gibier et n’être pas repéré par lui mais une foule d’autres détails en complique la chose. Heureusement pour moi le trajet se résumait à trois stations de métro et à deux cents mètres de rues sur la fin. Enfin je la vis devant un immeuble s’arrêter et entamer une conversation au téléphone portable. Durant ce coup de fil, je m’étais engouffré fort à propos dans un petit bistrot se trouvant là. J’y pourrais espionner à loisir.

Après qu’elle eût raccroché, elle demeura ainsi cinq longues minutes cachée dans la pénombre d’un porche. Puis elle répondit manifestement à un autre coup de fil. Je la vis faire alors le code de l’immeuble et disparaître peu après que la porte se fut fermée sur elle. J’hésitais. Devais-je arrêter là mon sinistre et ridicule exercice ? Ma curiosité l’emporta. Je choisis deux trois quotidiens nationaux sur un présentoir et commandait café sur café. J’avais la porte vis-à-vis de moi et nul de ceux qui entraient ou sortaient ne pouvaient m’échapper. Cela dura deux heures. Enfin je la vis réapparaître.

Elle filait et presque s’enfuyait. Je payais au vol mon barman et tâchait tant bien que mal de la ratt****r. Ce n’était pas compliqué. Elle allait au métro. Je compris bientôt qu’elle s’en retournait chez elle ou du moins dans notre immeuble. J’eus idée d’arriver là-bas avant elle et de la croiser de façon débonnaire dans la cage d’escalier. Pour cela je dus effectuer un sprint. Passant par le détour de rues j’ajoutais à la distance. Point besoin d’expliquer que je parvins à mon immeuble en sueur. En fait elle poussa la porte trois minutes peu après moi. Je l’observais de mon cinquième.

Je prie sur moi de paraître indifférent et banal. Difficile cependant de masquer ma sueur et rougeur. Je voulais surtout jouer de surprise et croiser son regard et lire sur son visage. Je devais surgir de mon appartement tandis que résonnaient ses pas. Elle résidait à l’étage du dessus. Mon regard dut comme se ruer sur son visage. Elle en parut surprise. Je devais ressembler à un fou. J’eus la présence de dire : « Bonjour. Excusez je suis mal foutu. J’ai une crève. Je me précipite chez le médecin. » Cela sembla crédible. Elle sourit et dit : « Soignez-vous bien. Vous n’êtes pas terrible. »

Sur cette entrefaite je déboulais dans les escaliers et disparaissais. Il me fallait maintenant réunir tous mes esprits. Qu’avais-je pu remarquer en son air voire son accoutrement. En effet sur ce dernier point ma surprise avait réussi. Le fameux manteau de cuir durant le bref échange avait su s’écarter. J’avais eu le temps de distinguer entre qu’elle portait de superbes cuissardes mauves, un haut en forme de gilet et une minijupe de cuir noir. Quant à son visage, il était remarquablement fardé et des marques de rouges comme des traces parsemaient ses joues. Peut-être l’avait-on griffé ou giflé.

Le harki avait raison ma russe avait une façon singulière de se vêtir en journée et d’honorer une rencontre de deux heures dans un lieu que manifestement elle ne connaissait pas avant. Le puzzle se reconstituait à grande vitesse et corroborait la thèse de mon concierge. J’étais fasciné plus qu’outré de telles révélations. J’en voulais savoir davantage de ma mystérieuse voisine. Je décidais de consacrer une partie de mes jours RTT à poursuivre mon enquête. Je décidais de me déguiser à mon tour. Planqué dans ma voiture j’attendais qu’elle sortit de nouveau de l’immeuble.

Le premier jour je fis chou blanc. Elle allait tout bonnement faire du shopping au Bon marché. La seconde fois j’eus la conviction qu’elle sacrifiait à son même mode opératoire. Cette fois nous étions devant un immeuble du 16°. Elle fit le code de l’immeuble après avoir reçu un coup de fil et restât là près de deux heures. Cette fois elle ne portait point de cuissardes mais hors du manteau on distinguait le port de bas résille. Elle semblait maquillée outrageusement. Mon harki m’avoua qu’il avait remarqué cela ainsi que d’autres dans l’immeuble. Ce n’était pas digne d’une épouse.

Le mari savait-il cela ? Le harki soupçonnait que ce ne fut un mari mais un souteneur. Néanmoins le bail était au nom de M et Mme. Il avait vu leur pièce d’identité en bonne et due forme. J’affectais de croire fantaisiste la thèse de mon harki. Je lui dis qu’une épouse avait droit d’être coquette et de vouloir se maquiller ainsi. Même ajoutais-je goguenard : « Et puis elle a droit d’aller rejoindre son amant ! » Mon harki haussa des épaules et dit : « Je sais reconnaître une femme allant rejoindre un amant. » Je n’osais lui rappeler cependant qu’il m’avait promis des preuves. Celles-ci tardaient.

Il me vint idée que mon harki pouvait tout comme moi la filer et qu’il allait réunir un jour un faisceau substantiel d’indices. Je trouvais ridicule que nous nous soyons improvisés tous deux espions. De quoi nous mêlions-nous ? Cette femme n’avait-elle pas droit de vivre de ses charmes fut-ce avec l’assentiment du conjoint ? Je ne savais pas que j’avais mis le doigt dans un terrible engrenage. Un soir à la nuit tombée à la sortie du bureau je fus abordé en effet par deux hommes arborant chacun, chapeau et lunettes noires tel en un mauvais film. Je crus à une blague.

L’un me pointant une arme ils m’invitèrent à les suivre. Peu à peu nous nous engouffrâmes dans une auto. Je trouvais de mauvais goût la blague. Je me remémorais tous les classiques du genre dont ce chef-d’œuvre : La mort aux trousses. Outre les costauds, il y avait dans le véhicule, le chauffeur et un homme mystérieux à ses côtés. Ce dernier se tourna enfin. Surprise c’était mon voisin russe. J’aurais du m’en douter. Le rêve virait au cauchemar. Il avait du savoir pour sa femme et que je la filais. Avais-je affaire à un mari jaloux ? Là il arborât un sourire maniant de suite l’humour.

Je l’avais toujours perçu comme obtus et grossier. Le masque tombait. Il maniait à ravir la langue de Molière et faisait montre d’un bel esprit comme sa femme. Peu à peu je perçus le sens de son propos. Il trouvait indélicat que je voulus connaître les mœurs de son épouse. Il appartenait à lui seul d’en juger. En outre il m’annonçait que j’avais mis le pied en de terribles secrets et qu’il en allait de ma vie ainsi que de celle de mon ami harki. Il voulait nous en sortir pendant qu’il était encore temps. Il parla aussi de ma petite amie avec cette fois un air de menace. Je vis toute mon erreur.

Je balbutiais et faisais profil bas. Je convenais de mon procédé peu gracieux à l’égard d’une épouse. Je promettais de ne plus y recourir. Il n’avait pas besoin d’user de l’intimidation ou à se plaindre auprès de la police. Je lui vis une grimace lorsque j’évoquais cette force publique. C’était de ma part un humour malencontreux. Il crut devoir alors enfoncer le clou. Il ajouta : « Vous ne savez pas à qui vous avez à faire et jusqu’où nous pouvons aller pour protéger nos intérêts. « La menace ne pouvait être plus explicite. Je fus relâché peu loin . Il me jeta : « Je vous recontacterai sur votre portable ».

Complètement bouleversé je m’avisais plus tard qu’il n’était pas sensé savoir mon numéro. Était-ce mon harki qui le lui avait refilé ou avait-il recouru à d’autres moyens ? Sur le coup je décidais de renoncer à trop savoir sur cette mystérieuse et son mari. J’allais compromettre la tranquillité de ma vie et celle de tous mes proches. Il était vérifié une fois de plus que la curiosité était un fort vilain défaut. Je n’en voulus pas m’ouvrir à mon harki. A sa mine basse deux jours plus tard, je sus qu’il avait été visité et menacé lui aussi. Penauds nous nous saluâmes que de loin tels deux bannis.

Je vécus les quinze jours suivants dans une indicible angoisse. Je sursautais quand le téléphone sonnait ou quand on frappait à la porte. Je me retournais souvent dans la rue croyant être sûrement filé. Je fuyais comme la lèpre mon concierge de harki. Lui en faisait autant à mon égard. Nous pensions avoir attiré le mauvais sort sur nous. Singulièrement je ne croisais plus ni mon russe ni son épouse. Cependant une fois je vis leurs deux silhouettes s’engouffrer en un taxi. Ils étaient encore de ce monde. Pour le coup je crus qu’ils m’avaient oublié et me laissaient en paix.

Puis un matin d’avril j’eus le coup de fil. J’étais pour une fois d’humeur allègre. Je sursautais. Je reconnus mon russe. Il avait le ton badin. Il me félicitât que j’avais tenu parole. Qu’il semblait que je ne suivais plus son épouse. Il m’annonçait qu’ils allaient bientôt déménager et quitter le pays. Cependant il avait un dernier service à me demander. Nous serions quittes après cela. Il précisa que ce service serait somme toute agréable. Il me dit qu’il ne voulait l’exprimer là maintenant au téléphone car nous étions peut-être sur écoutes. Je serais bientôt informé par une autre voie.

J ‘étais malheureux tout en sueur. Quel serait ce service demandé ? J’eus voulu être à l’époque où ce singulier couple serait parti et disparu de ma vie. Je ne comprenais pas que fut associé de l’agrément à ce service si mystérieux. Je n’avais personne à qui confier mon désarroi. Surtout pas au harki. Sûrement l’avait-on de même sollicité. Enfin récupérais-je dans ma boîte aux lettres, une enveloppe improprement fermé où rien n’était mentionnée. A l’intérieur un simple billet sur le quel était écrit : « Demain à 19h00 exactement, vous recevrez un coup de fil masqué. Veuillez décrocher alors. »

Ce que je fis le lendemain. Il s’agissait à l’autre bout du russe. Il ne m’invitait pas moins que d’aller à la même heure chez lui où serait sa femme et point lui. Il n’en disait pas davantage hors de préciser que je devais me conformer à cette demande et qui était un ordre.J’y vis l’aboutissement de mon histoire et une façon sûrement de m’en libérer quoiqu’il m’en coûtât. Je n’eus pas la présence d’esprit de me savoir ce qu’on me demanderait là-bas. Aussi parfaitement troublé frappais-je à heure précise à cette porte. J’épiais autour de moi pour voir si on n’espionnait pas. Tout était sombre et calme.

Ma belle russe en effet était derrière la porte. En effet j’eus au dernier moment la crainte que ce fut un autre qui m’égorgerait sur le champ. Je m’attendais à tout jusqu’au plus scabreux. Elle avait toujours le même sourire avenant que les autres fois. On n’eût dit qu’elle n’était au courant de rien. Elle m’en dit pas moins : »Passons au salon. Je vous attendais. » Je fus frappé qu’elle arborât une longue robe de chambre de soie portant dessous des bottes dont les talons hauts manquaient à chaque fois à de se tordre et de la faire trébucher. Accoutrement fort singulier.

Tel un petit garçon pris en faute je me pelotais dans un coin du canapé. J’acceptais sous son conseil le thé géorgien. J’étais tout ouïe. Je m’imaginais qu’on allait m’infliger une mission genre aller assassiner un potentat tchétchène sur Paris ou autre. Elle semblât marquer la surprise de tant d’angoisse. Elle s’exclamât : « Quelque chose ne va pas ? Détendez-vous. Vous êtes ici chez vous. Je vous invite de bonne grâce. Mon mari m’a demandé d’être à vos petits soins. » J’étais éberlué d’un tel discours. Manifestement je ressortirais vivant de cet appartement et n assassinerais personne.

Elle s’était disposée en un fauteuil face à moi. Seule l’ampleur de trouble peut expliquer que je pus escamoter tant de détails qui en un contexte normal m’eurent réveillé et émoustillé. En effet elle avait écarté à mesure les pans de sa robe. Elle portait dessous une gaine noire sexy qui ostensiblement livrait à moitié ses deux lourds seins dont on voyait pointer le dard des tétons. De même la culotte pour ce qu’on en pouvait deviner était d’une transparence indicible au point qu’on pouvait en tout ses détails considérer la chatte lisse et rasée. Cela m’étant manifestement adressé.

Les bottes en fait étaient toujours ses fastueuses cuissardes que j’avais une fois entrevu dans la cage d’escalier. On eût dit les mandibules d’un insecte. En l’occurrence d’une mante religieuse qui allait là me dévorer. Mon angoisse peu à peu s’était dissiper pour laisser place à une étrange et douce lassitude. Entre temps j’avais réclamé et obtenu qu’on me versa un whisky. Elle rit à cette inconvenante Et saugrenue demande. Cependant c’était le témoignage que je reprenais mes esprits et obéissait à un instinct de mâle. Maintenant je regardais sans vergogne son corps et m’en délectais.

Je sursautais un moment car depuis une minute, elle m’adressait la parole. L’alcool m’avait passablement abruti. Je n’avais pas saisi tous les mots. A peu-près me laissait-elle entendre que j’avais éventé une partie de son secret et que son mari en était passablement fâché. Il avait même pensé recourir à des moyens extrêmes pour me réduire et elle l’en avait découragé. Elle pensait que je n’étais pas un mauvais bougre. Que je saurais tenir ma langue même après leur départ. « N’ai-je pas raison ? » Je répondis avec une frousse sincère qu’ils pouvaient tous deux compter sur moi.

Elle éclatât de rire manifestement convaincu de mon insignifiance et de ma lâcheté. Elle me demanda de m’assurer que l’autre imbécile d’harki fit de même. Entre temps elle avait commencé d’écarter en large ses cuisses et commençait à se caresser la chatte devant moi sans façon. Ses doigts au bout desquels resplendissait un vernis bleu ostensible jouaient à mesure sur les lèvres et le clito de son sexe. Ma queue durcissait jusqu’à me faire mal. Je fermais les yeux me mordant les lèvres. J’avais une envie folle de calmer ma bite. Elle lança alors. « Lâche-toi mon chéri. Branle-toi ! »

Je me branlais un peu humilié tandis qu’elle souriant avait allumé une cigarette. On eût dit qu’elle tirait les fils d’un pantin que j’étais. Livré aux caprices de ses jeux. Elle n’en jeta pas moins ce compliment feint ou pas : « T’as une jolie queue chéri. » En un instant elle s’extirpa souple telle une panthère du fauteuil se coulant jusqu’à moi. Elle avait déjà prise dans sa main ma bite et la caressait. En chef de bord résolu elle prenait les commandes de l’avion. Je dus tel un de ses clients m’abandonner à elle et ses puissants talents. Elle suçât doucement et peu à peu de façon soutenue.

C’était merveilleux, délicieux. J’eus cette idée sotte et étrange que je pouvais maintenant mourir et que plus rien n’importait en cette vie. Elle me pompait comme si je fus un roi ou un être ici-bas des plus nécessaires. Je lui savais gré d’être de ces formidables actrices que sont les grandes courtisanes. Était-elle obligée vraiment de faire montre de tant d’égard à ma petite personne ? Elle se garda d’aller au bout pourtant de la fellation et d’obtenir du foutre dans sa bouche. Elle me murmura avec son accent russe indéniable. « Chéri tu me dois le meilleur. Prends-moi ici sur le divan. »

Tel un nageur fou téméraire, je me jetais alors entre ses belles cuisses. Auparavant d’un geste prompt elle ne m’en avait pas moins appliqué un préservatif. Ainsi calotté je commençais à pénétrer à m’enfoncer dans cette divine forêt. Aux faîtes du bonheur et de ma jouissance je balbutiais : « Comment dit-on Paradis en russe ? « Je perçus un vague baragouin au milieu de tous ses gémissements. La salope feignait à ravir un improbable orgasme. Un peu ulcéré je la sommais de se tourner et de m’offrir son cul. Je voulais poursuivre la besogne en levrette. La garce obtempéra.

Ranimé, je devins un de ces boucs lubriques qui devaient régulièrement disposer d’elle. Je la bourrais et bientôt sodomisais sans égards d’autant que j’avais envie de me laver des dernières humiliations. Le mari ou supposé m’avait donné carte blanche pour cela. Cette femme était une pute. Elle se devait à moi. Je n’aurais que cette unique occasion. Je pris mon temps. Après que je me fus répandu. Je demandais en sursis un second whisky et fumais avec elle une autre cigarette. Nous en étions à plaisanter tous deux. Je lui dis que je la regretterais maintenant à divers titres

D’un geste je l’intimais à s’approcher afin que je pus à loisir lui caresser les formes dont ses cuisses et fesses. Je m’autorisais même à ponctuer cela par un baiser sur la bouche, chose osée qu’elle sut prendre de bon gré. Puis elle se coula accroupie pour une autre et copieuse fellation. Avec pugnacité elle fut ensuite enculée longuement. Je quittais avec une sorte de tristesse le lieu. Ces deux-là avaient-ils tant voulu me punir au sein de cette félicité ? J’en doute. Je ne pouvais concevoir que tout cela fut rêvé ou mise en scène. Je songe encore aujourd’hui à ma belle voisine russe.

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