Je ne dormis que d’un oeil cette nuit là. Il faut dire que je me tenais malgré tout sur mes gardes. Montrer de l’assurance était une chose. Etre sûre de soi, c’était de l’inconscience. Je sortais de mon sommeil toutes les heures, pour m’assurer que Sandrine était toujours à coté de moi. Et c’était le cas, elle dormait paisiblement. J’imagine que passer sa nuit sous une couette, dans un lit king size, était bien plus agréable que dormir par terre sur un canapé.
Je fus éveillé vers 3h du matin. Elle avait bougé, et se levait doucement. Je ne fis aucun geste et garda les yeux fermés. Elle marcha dans la pièce sans faire de bruit, jusqu’à la salle de bain. Elle éclaira en fermant la porte derrière elle, et je l’entendis aller aux toilettes. Sans changer de position, j’attendis un moment, et elle sortit de la salle de bain, marcha un peu dans la pièce, puis revint se mettre dans le lit. Elle se tourna doucement sur le coté.
Au bout de quelques minutes, je sentais qu’elle ne dormait toujours pas. Je me serrais doucement contre elle, et lui murmura :
– Tu ne dors pas ?
Elle se tourna vers moi, gardant sa tête posée sur l’oreiller.
– C’est tellement fou… Tout ça… Tu vas me faire passer pour ta copine… Et j’ai l’age de ta mère…
– Non… Je ne vais pas te faire passer pour ma copine. Tu es ma copine.
Je posais ma main sur le mamelon droit de Sandrine. Son sein était chaud et généreux. Elle ne disait rien.
– On ira aussi d’acheter une garde robe. On fera le tour des boutiques ensemble.
Sandrine s’allongea à présent sur le dos. Elle s’étira un peu, chercha à trouver une position pour s’endormir.
– Moi aussi j’ai envi d’aller aux toilettes mais je n’ai pas envi de me lever. Ca te dérange si je pisse dans le lit ?
– J’imagine que quoi que je dise, tu vas le faire ?
Je répondais à Sandrine tout en commençant à pisser dans le lit. J’étais tourné vers elle, et m’approchait pour la serrer contre moi. Je lui pissais contre la peau, et pris un de ses seins en bouche pour commencer à le sucer et le mordiller.
– Je vais te baiser…
Je finissais de pisser, et me plaça sur Sandrine. Elle écarta un peu les cuisses, et je glissais mon sexe en elle. Je me mis à la baiser fort. Sa chatte m’accueillait, douce, chaude, délicieusement ouverte.
– Tu me fais souvent penser à ma mère, lui dis-je à mi-voix, comme une confidence.
Elle ne dit rien, me laissa continuer d’aller et venir, et me sentit une nouvelle fois jouir au fond d’elle.
– Je l’aime ta chatte, elle est divine…
On resta un moment l’un sur l’autre, puis je m’écartais, et alluma la lampe de chevet. Je me levais et allais vers la salle de bain.
– Change les draps. Je vais prendre une douche.
Sandrine se leva à son tour, les yeux plein de fatigue, et alla ouvrir le placard que je lui montrais du doigt. Elle sortit une nouvelle couette, et de nouveaux draps. J’allais me doucher, la laissant faire ça toute seule, puis revint en peignoire. Sandrine avait terminé, et posé les draps sals dans le couloir, derrière la porte de la chambre.
Elle aurait pu partir. Elle est toujours là. Je contemplais Sandrine, nue, qui attendait au milieu de la pièce.
– Va te prendre une douche si tu veux. Mais ne te lave pas la chatte. Garde mon sperme en toi, et mon odeur de pisse sur tes poils. Je veux que ce soit mon odeur qui soit là.
Elle acquiesca, et partit se prendre une douche à son tour.
Lorsqu’elle revint, je m’étais endormi. Elle se glissa sous les draps, sans me réveiller, et s’endormit à son tour.
Le lendemain matin, elle ouvrit les yeux tandis que l’une de mes domestiques des Philippines ouvrait les volets. Elle prit ensuite un grand plateau qu’elle posa sur le lit, tandis que je m’asseyais contre mon oreiller, et que Sandrine en faisait autant. Il y avait deux petits déjeuners complets, avec du café pour moi et du thé pour Sandrine, ainsi que des viennoiseries et deux verres de jus d’orange.
Sandrine tira le drap pour couvrir sa poitrine en se redressant, et elle fit un sourire en voyant ce qu’il y avait. La domestique, avec sa discretion habituelle, posa l’enveloppe contenant les culottes de ma mère et de ma soeur sur mon bureau, un peu plus loin, puis s’en alla avec un sourire.
On prit notre petit déjeuner silencieusement. Je fis glisser le drap avec lequel elle se recouvrait pour dévoiler ses seins, que je contemplais un moment.
– C’est bien ce que je verrai de plus beau ce matin, lui dis-je.
Sandrine me fit un sourire. Je lui demandais d’aller prendre l’enveloppe, qu’elle m’apporta. J’en sortis les deux culottes, et prit de préférence celle de ma mère. C’était une culotte turquoise, en dentelles. Je la portais à mon nez, et je fis signe à Sandrine de venir s’installer sur ma queue, que je découvrais de sous la couette.
Elle vint se mettre à genoux au dessus de ma queue, et descendit, engouffrant ma verge dans sa chatte. Je la regardais, tout en insipirant dans la culotte.
– Elle est à qui cette culotte, me demanda t-elle.
– A ma mère.
Sandrine montait et descendait sur ma queue, doucement, s’asseyant sur mon bas ventre à chaque fois qu’elle arrivait en bas, pour mettre mon sexe au plus profond du sien.
– Tu penses à elle ? Tu aimerais que je sois elle ?
– Non, je suis content que tu sois toi… Et oui, je pense à elle… Et j’aimerai que tu penses à elle aussi… Sens sa chatte…
Je tendis la culotte de ma mère vers le visage de Sandrine, vers son nez. Elle sentit doucement, tout en continuant d’aller et venir sur ma queue. Puis, elle prit la culotte dans ses mains, l’ouvrit, et me murmura :
– Regarde.
Elle sortit sa langue, et la fit glisser tout le long de l’interieur de la culotte. Je devins comme fou. Je saisis Sandrine par les seins, et me mit à donner des coups de queue rapides et forts. Sandrine glissa sur mon sexe, se trouvant presque assise, je me sentais completement au fond d’elle, je ne pouvais que de petits coups de queue, et elle passa une seconde fois sa langue sur la culotte de ma mère. J’explosais en elle. Mon foutre gicla à trois saccades. Sandrine prit ma tête, et la posa sur sa poitrine.
– C’est bien, me fit-elle.
– Je pensais que tu ne comprendrais pas.
– Après ce que tu m’as fait faire devant les photos de ma fille ? Et ce que tu m’avais fait quand on était allés visiter la chambre de ta mère. Je me doutais bien que c’était là ton plus gros fantasme. C’est un tabou qui te plait ?
– oui…
– C’est pour ça que tu veux t’afficher avec une femme de mon age ? Pour montrer à ta mère que tu es avec une femme comme elle ?
– en partie…
Je n’aimais pas trop qu’elle en sache autant sur moi, ou qu’elle joue à la psychologue, mais c’était difficile de lui cacher mes fantasmes, vu qu’elle était l’un de mes instruments à cela.
– Ce matin, on va aller faire quelques boutiques de vêtements. Car au final, tu n’as rien mis à part les habits que tu avais en arrivant.
Sandrine hocha la tête. Je voulais être sur qu’elle m’obéisse, que j’avais le controle sur elle. Elle fit quelques pas dans la chambre, et je l’interpelais.
– Viens.
Elle approcha. Je restais assis, et lui fit me tourner le dos.
– Ecarte tes fesses. Je veux que tu me montres ton cul.
Sandrine, sans un mot, mit une main sur chaque fesse, et les écarta, en se penchant très légèrement. Elle me montrait son anus sans la moindre hésitation.
– Reste comme ça.
Je contemplais le cul offert de Sandrine pendant un moment. Puis, je pris mon téléphone, et composa un numero interne. Ma mère décrocha au bout de quelques instants. Je regardais l’anus de Sandrine tout en parlant.
– Maman, j’aimerai faire venir mon amie au repas de midi, tu pourrais préparer des farcis ? Tu les fais tellement bien, je suis sur que ça lui plaira… oui, elle s’appelle Sandrine… Je ne peux pas trop t’en dire plus, tu seras peut etre un peu surprise, mais ne dis rien. Je suis sur que tu vas l’aimer autant que moi.
Je raccrochais. Je passais mon doigt sur les reliefs de l’anus de Sandrine, appuya un peu pour le glisser à l’interieur. Elle continuait de garder ses fesses écartées, sans rien dire. Puis je me levais, la pris par la main, et l’amena à la salle de bain.
– Je vais pisser, tu vas me tenir la queue.
Sandrine suivit et me prit la queue entre deux doigts, docile. Tout en pissant, je me penchais vers elle pour lui embrasser les seins.
(A suivre)
(soutien autour de mes histoires)
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