Léa et moi, on venait de décrocher le bac. C’en était fini du lycée. Pour fêter ça, on s’est payé un pack de bières qu’on est allé boire dans le grand parc public. Il faisait un temps radieux et on était en pleine semaine, il n’y avait pas grand-monde dans les allées. On s’est posées sur l’herbe et on s’est mise à boire en discutant. Jusqu’à ce que le mec se pointe.
Il avait dans les cinquante ans. Il était passé deux fois à quelques mètres de nous avant de s’arrêter et de nous dire :
« Bonjour mesdemoiselles. »
On lui a répondu et il a fini de s’approcher.
« On dirait que c’est la fête ? a-t-il dit. »
On lui a expliqué qu’on venait d’avoir notre bac et il nous a demandé ce qu’on allait faire ensuite. On lui a répondu chacune notre tour et il s’est mis à genoux dans l’herbe, à un mètre de nous. Il avait les cheveux grisonnants et des lunettes. Un air plutôt sympathique.
C’est moi qui me suis décidée à lui demander :
« Et vous, vous êtes qui ? »
Il s’est présenté. Il s’appelait Victor et il avait cinquante-trois ans. Il était divorcé et vivait dans un appartement situé tout près du parc. Il avait une fille de vingt-deux ans qu’il ne voyait jamais et il vivait de ses rentes. D’assez belles rentes, apparemment. Il ne s’en cacha pas.
Ensuite, il nous a dit qu’il venait marcher quotidiennement dans le parc. Il le connaissait par cœur. C’était un endroit qu’il aimait beaucoup pour son calme et pour le fait qu’il était possible d’y faire des rencontres.
Nous avons discuté quelques minutes encore. Victor a pris son temps. Nous lui avons expliqué qu’on n’avait pas de copain à l’heure actuelle, puis on lui a offert une bière. Il nous regardait attentivement, c’était évident, et je me demandais de quelle façon il allait s’y prendre pour nous faire des avances. Car ne nous mentons pas : un homme qui aborde deux lycéennes qui portent des robes légères dans un parc public a forcément des idées derrière la tête.
C’est ainsi. C’est la vie. C’est dans la nature humaine.
Et c’est de nouveau moi qui lui ai demandé :
« Et vous cherchez quoi au juste ? »
J’avais déjà bu trois bières.
Victor a terminé la sienne et m’a répondu :
« Pour être très honnête avec vous, je cherche des jeunes personnes qui acceptent que je me masturbe devant elles. »
Je me suis tournée vers Léa. Elle grimaçait.
Je suis revenu à l’homme et j’ai dit :
« Et vous en trouvez ? »
Il a secoué la tête et répondu :
« De temps en temps, oui. Et je les rémunère. »
Léa a dit :
« C’est dégueu, on se casse. »
Elle s’est levée avec sa bière et a ramassé ses affaires sur l’herbe.
Je n’ai pas bougé.
J’ai dit à Victor :
« C’est bizarre votre trip. »
Il a souri et répondu :
« Je suis désolé, je ne voulais pas vous choquer. »
Léa m’a dit :
« Tu viens ? »
« Attends, lui ai-je répondu, puis je suis revenu à Victor à qui j’ai dit : Et vous ne demandez rien aux filles en échange ? »
« Non. Nous nous éloignons juste des allées et je me masturbe en les regardant, c’est tout. »
« Je me casse, a dit Léa. C’est un pervers. »
« Mais non, ai-je répondu. On discute, c’est rien. »
« Ben moi, je me casse. »
Je lui répondu :
« Je t’appelle en fin de journée. »
Et elle s’est cassée.
Nous l’avons regardée s’éloigner, puis Victor s’est tourné vers moi et m’a dit :
« Je comprends qu’elle soit choquée. En revanche, toi, tu n’as pas l’air de l’être. »
J’ai fini ma bière et j’en ai décapsulé une autre. Ma robe était gris clair, assez courte, et j’avais posé mes nu-pieds dans l’herbe. J’étais assise sur une serviette de bain et Victor se tenait pile en face de moi.
Je lui ai répondu :
« Vous ne demandez vraiment rien aux filles en échange ? »
« Rien, a-t-il dit. Je me masturbe devant elles, c’est tout. Ceci dit, elles sont libres de faire ce qu’elles veulent. »
J’ai pris une gorgée de bière en regardant l’homme dans les yeux.
« Et vous payez combien ? »
Il s’est raclé la gorge et il a répondu :
« En général, trente ou quarante euros. Un peu plus si je mets du temps à éjaculer. Je ne te choque toujours pas ? »
J’ai remué la tête et j’ai dit :
« Il y a des trucs pires dans la vie. »
Il a souri et répondu :
« Donc, tu serais d’accord pour qu’on aille dans un endroit discret et que je me masturbe en te regardant ? »
J’ai pris une autre gorgée de bière et mis quelques instants à répondre :
« OK. »
Trois minutes plus tard, très à l’écart des allées publiques, derrière des barrières de bosquets en fleurs, j’ai vu Victor sortir sa queue. J’étais debout à deux mètres de lui, les mains dans le dos. Il bandait à moitié, mais quelques mouvements de ses doigts ont suffi pour faire grossir sa bite, mais surtout son gland qui était violet et énorme.
Il m’a dit :
« Je suppose que des garçons se sont déjà masturbés devant toi. »
J’ai répondu sans quitter le gland des yeux :
« C’est arrivé. »
« Des garçons de ton âge ? »
« De mon âge et un peu plus vieux. »
« Mais jamais aussi vieux que moi… »
« Non, jamais. »
« Et ça ne te dégoûte pas ? »
« Pourquoi ça me dégoûterait ? »
Il a souri. Il n’a pas répondu. Il se branlait.
Une minute a passé avant qu’il me dise :
« Tu es très jolie. Tu acceptes qu’on discute ? »
« Oui. »
Il a hoché la tête et ajouté :
« C’est stimulant de discuter. Toutes les filles n’acceptent pas de le faire. Je vais te donner cinquante euros pour ça. »
Je fixais toujours sa queue du regard, sans bouger.
Victor a continué :
« Est-ce que les mots vulgaires te choquent ? »
« Essayez, je vous dirai si ça me choque. »
Il a souri. Sa queue était raide.
Puis il a dit :
« Tu dois avoir de jolis petits nichons. Et tu ne portes pas de soutien-gorge sous ta robe. Tu portes une culotte ? »
« Oui. »
« De quelle couleur ? »
« Blanche ? »
Les mouvements de ses doigts sur sa queue étaient assez lents.
Il a dit :
« Est-ce qu’on voit ta petite chatte à travers ? »
« Non, elle est opaque, très sobre. »
« Bien, a dit Victor. Tu aimes me voir me branler devant toi ? »
J’ai pris quelques secondes pour répondre :
« Ce n’est pas désagréable. »
Il a aussitôt répondu :
« Ne me mens pas, tu dois avoir un petit brin de perversité pour accepter qu’un vieux bonhomme comme moi se branle devant toi. »
J’ai fait une moue et haussé une épaule en disant :
« On en a tous un, non ? »
« Oui, tu as raison. Il m’est arrivé de rencontrer des femmes mariées qui ont accepté que je me branle devant elles. C’étaient des salopes, au fond. Et toi, je pense que tu es un peu salope, je me trompe ? »
J’ai souri et répondu :
« Oui, je peux être salope. »
« Et un peu pute, je me trompe ? »
« Pourquoi pute ? »
« Parce que je vais te donner cinquante euros pour avoir accepté de me suivre dans les bosquets. Donc tu es une petite pute. »
Je n’ai pas répondu.
Victor a ajouté :
« Une petite pute qui aime les bites. »
Je n’ai rien dit. Je matais sa bite. Le mouvement de ses doigts s’était nettement accéléré.
Il a dit :
« Dis-moi que tu es une petite pute qui aime les bites. »
Je l’ai regardé dans les yeux et j’ai dit :
« Je suis une petite pute qui aime les bites. »
« Tu es sincère quand tu dis ça ? »
« Oui. »
« Alors répète-le moi. »
« Je suis une petite pute qui aime les bites. »
« Encore. »
« Je suis une petite pute qui aime les bites. »
« Dans ce cas, soulève ta robe. Montre-moi ta culotte de petite pute. »
J’ai hésité, car Victor avait avancé d’un pas en me disant ça. Nous étions seuls, à l’abri des regards. On entendait seulement des bruits au loin : des klaxons sur le boulevard qui était proche, des cris d’enfants dans le parc, le murmure perpétuel de la ville.
J’ai soulevé ma robe.
Victor a dit :
« Salope. »
Il a fait un autre pas vers moi. Il avait une grosse bite, enguirlandée de veines saillantes. Et de gros doigts qui la manipulaient. Je la regardais.
Il a dit :
« Tu t’épiles, petite pute ? »
J’ai répondu :
« Oui, au maillot. »
Il a secoué la tête en regardant ma culotte, puis il a dit :
« Si tu me laisses éjaculer sur ta fente, je te donne cent euros. »
« Sur ma fente ? »
« Oui. Je frotte mon gland dans les poils de ta chatte et je gicle. Et je t’offrirai une culotte neuve en plus des cents euros. Es-tu d’accord ? »
J’ai réfléchi.
J’avais laissé faire ce genre de truc à plusieurs mecs par le passé. Des mecs un peu plus âgés que moi, quand j’avais onze ou douze ans. Ils avaient approché leur queue de ma chatte et j’avais regardé le sperme gicler sur mon pubis, puis couler dans ma culotte. Ensuite, j’avais eu treize ans et je m’étais faite pénétrer.
J’ai dit à Victor :
« D’accord. »
Puis j’ai baissé un peu ma culotte, suffisamment pour exhiber ma chatte et sa fente. Il a fait un autre pas en avant et j’ai regardé son gland s’approcher de mes lèvres. Il s’est collé contre ma toison, puis Victor s’est mis à se branler très rapidement, pour en finir.
Je mouillais.
Et le visage de l’homme était à moins de trente centimètres du mien. On se regardait. Son gland frottait mes poils et moi je gardais ma robe relevée, histoire que ça ne gicle pas dessus. Je regardais tantôt le gland, tantôt la bouche de l’homme. J’ai eu envie de me foutre à poil, mais je ne lui ai pas dit. Ôter ma robe, puis ma culotte. Me faire baiser.
Je n’ai rien dit.
Je me suis contentée d’embrasser Victor sur la bouche, à deux reprises. Et lui s’est contenté de me toucher un sein pendant quelques secondes, juste avant de décharger violemment dans les poils de ma chatte.
Quatre giclées.
Son sperme était liquide, il a dégouliné dans ma culotte.
J’ai cueilli la dernière goutte avec mes doigts, pour la porter sur le bout de ma langue en entendant Victor me dire à voix basse :
« Petit amour. »
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