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Un couple inattendu

Un couple inattendu



J’ai mis la clef dans la serrure et j’ai ouvert la porte. Je pensais trouver ma mère mais la maison semblait vide. Pour une fois que je venais sans prévenir… Je suis même montée à l’étage mais il n’y avait personne. Alors, je suis descendu à la cave et puis dans le garage. La maison était désespérément vide. Quand je pense que ma mère me reprochait de ne jamais venir la voir.
J’ai regardé par la fenêtre et j’ai vu mon beau-père. Il était en train de cueillir des légumes dans le jardin et justement, il avait un melon dans chaque main. Il a tourné la tête vers la maison et il m’a vue et il s’est dirigé vers moi. Je suis sortie sur la terrasse pour aller à sa rencontre. Ma mère s’était remariée avec lui et c’était sans doute pour ça que je ne l’aimais pas.
Il n’était pas mal comme mec pourtant. Avec moi, il était toujours discret. Jamais un mot de travers même quand j’avais fait une tentative de suicide quand mon petit-ami m’avait lâchée pour une autre, mais je ne risquais pas de mourir parce que je n’avais pris que quelques cachets et je ne peux pas vraiment dire que mon beau-père m’avait sauvé la vie en m’emmennt à l’hôpital.
Il avait toujours ses melons dans les mains quand il s’est planté devant moi. Je lui ai dit que je n’en ai pas des comme ça et il n’a pas semblé comprendre. Pourquoi avais-je dit ça ? Parce que je me désespérais d’avoir un jour un peu de poitrine. Je ressemblais plutôt à un garçon sur ce point de vue là.
– Les melons, ai-je insisté sottement !
– Ah, a alors réagi mon beau-père ! Je me souviens de t’avoir entendu dire que tu voudrais bien avoir une poitrine aussi belle que celle de ta mère !
Je me souvenais. Ma mère avait un décolleté profond et mon beau-père semblait littéralement subjugué par la vision qu’il avait des seins de ma mère. J’étais sortie de la pièce mais j’avais eu un remort et je m’étais retournée. Ils en avaient profité pour se rouler un patin et j’avais pu voir qu’il avait plaqué sa main sur les gros seins puis ils étaient allés dans le couloir. Je savais bien ce qu’il allait arriver et j’ai attendu un peu avant d’aller coller mon oreille à la porte de leur chambre et je les avais entendus. Il n’y avait aucun doute qu’ils forniquaient.
– Baise-moi ! Touche-moi les seins, gémissait ma mère ! J’aime que tu me prennes avec ta grosse bite !
J’ai fait le tour de la maison et je suis allée regarder par la porte-fenêtre de leur chambre sur la terrasse. Par chance, ils n’avaient pas tiré les rideaux. Ma mère était à quatre pattes sur le lit, mon beau-père derrière elle. Ça m’était arrivé plusieurs fois et je détestais me faire prendre en levrette parce que j’avais l’impression de ne rien contrôler. Ça ne gênait pas ma mère. Ses seins valdinguaient dans tous les sens et même si je ne l’entendais pas, je pouvais imaginer le bruit que faisait le ventre de mon beau-père sur les fesses de ma mère.
Tout à coup, elle a semblé s’échapper, mais c’était pour prendre la bite dans sa bouche. Jamais je n’avais imaginé qu’une bite aussi grosse pouvait exister. C’était carrément une bite de cheval. Je pouvais imaginer ce que pouvait lui dire mon beau-père pendant qu’elle faisait ça : salope, putain, etc.
Mon beau-père s’est allongé sur le dos et ma mère a enjambé son corps et comme c’était au premier plan, j’ai bien vu qu’elle guidait la bite dans son anus puis elle s’est enculée en se soulevant et en se rabaissant. J’en étais malade de voir ça.

– T’as pas soif, m’a demandé mon beau-père ?
Euh, oui, pourquoi pas ? Je lui ai ouvert la porte de la cuisine et il a posé les melons sur la table puis il a ouvert la porte du frigo. Il a commencé par dire qu’il n’y a pas grand chose.
– Blanquette ? Vin doux ? Tu ne veux pas que j’aille chercher une bouteille à la cave ?
– Whisky, je préfère, lui ai-je répondu !
Il a pris deux verres et je l’ai suivi au salon et nous avons bu plusieurs verres. J’avais l’impression que c’était moi seule qui parlait. Les paroles sortaient de ma bouche. Quand il m’a demandé si j’ai retrouvé un copain, des larmes me sont venus aux yeux et il s’est excusé puis il m’a pris par le coude et il m’a emmenée m’asseoir sur le sofa. Je commençais à être pompette.
– Tu as une grosse bite !
– Quoi ?
– Tu as une grosse bite, ai-je répété !
Je n’osais pas regarder mon beau-père en face et… je me demande s’il m’a demandé si je veux la voir mais j’ai déboutonné sa braguette et j’ai sorti sa bite du caleçon puis j’ai sorti les couilles aussi.
– Eh bien, si j’attendais ça de toi, m’a-t-il lancé !
J’ai mis sa bite dans ma bouche et j’ai commencé à la sucer même si ça semblait mission impossible. Gilbert a posé ses doigts sur ma tête et je crois me souvenir qu’il m’a dit que je suis une drôle de fille. En touchant ses couilles, j’ai eu l’impression de cueillir des citrons puis j’ai déboutonné mon corsage que j’ai retiré et aussi mon soutien-gorge.
Bien sûr, ma toute petite poitrine ne pouvait pas exciter mon beau-père mais il a quand même frotté son gland sur mes mamelons avant de le ramener à ma bouche. J’avais une curieuse impression, comme un remerciement pour ce que me faisait mon beau-père, J’étais heureuse que ça soit arrivé. Il m’a aidée à me lever et à retirer ma jupe puis j’ai retiré mon string. Maintenant j’étais toute nue et offerte à son appétit mais il semblait hésiter. Je lui ai tourné le dos et j’ai posé les mains sur les bras du fauteuil et je lui ai dit qu’il peut m’enculer s’il le veut.
Je n’ai pas attendu longtemps. Il a posé ses mains sur mes hanches et sa bite énorme s’est enfoncée dans mon anus et je me souviens encore que ce fut un labour profond. J’ai eu l’impression que son pénis allait ressortir par ma bouche.
Mon beau-père ne parlait pas. Il caressait les seins que je n’avais pas, tirait sur mes mamelons, serrait mes hanches dans ses doigts et il s’enfonçait encore et encore dans mon anus. La douleur devenait un plaisir et j’ai crié à mon beau-père que s’il veut, je ferai la putain avec lui chaque fois qu’il le voudra mais la semence a jailli et j’ai été secouée comme par une tempête. Nous sommes restés collés l’un à l’autre puis j’ai dit que je veux qu’il recommence mais il s’est décollé et il est resté debout devant moi. Sa bite ne semblait pas vouloir débander et elle restait raide. Je l’ai prise dans ma bouche et du sperme s’en est encore écoulé.
– Recommence par devant, l’ai-je supplié ! Tu vas quand même faire jouir ta petite femme !
Mon beau père m’a répondu que ça ne se commande pas, et qu’un homme n’est pas comme une femme, qu’il lui fait du temps pour… J’ai fait le nécessaire pour que ça redevienne comme avant et cette fois, il m’a prise dans la chatte. Quelle sensation magnifique ! Jusqu’ici, je n’avais jamais été prise que par des petites queues. J’étais enfin heureuse et cette bite m’ouvrait le vagin pour faire de moi une vraie femme. La vache à la saillie. La jument à l’étalon. J’étais enfin heureuse. La semence à giclé au moment même où j’avais atteint à l’orgasme.
– Rhabille-toi, m’a crié mon beau-père ! Ta mère arrive !
Je me suis rhabillée en vitesse et mon string, je l’ai roulé en boule pour empêcher le sperme de s’enfuir de mon vagin. Deux minutes plus tard, ma mère est arrivée.
– Ah, tu es là, m’a-t-elle dit ! Tu aurais pu prévenir de ta visite ! Tu déjeunes avec nous ? On va manger un melon et tu emportera l’autre pour manger chez toi plus tard ! Je m’en occupe ! Tu pourras en profiter pour te donner un coup de peigne !
J’ai attendu que ma mère sorte de la pièce puis je suis allée me laver et me repeigner. En revenant dans la cuisine, j’ai surpris ma mère et mon beau-père en train de discuter :
– Elle ne risque pas d’ être enceinte ?
– Je ne sais pas !
– Elle a aimé ça ?
– Je crois ! C’est bien ta fille ! Elle adore se faire enculer !
– Alors là, tu me rassures ! J’ai toujours eu peur qu’elle soit gouine !
– Pourquoi ? Toi aussi tu aimes les femmes ? Tu ne te souviens pas ? Quand je t’ai fait gouiner, tu as aimé ça !
– Mais j’aime aussi la bite, a protesté ma mère !
– Et moi, j’aime te voir avec une femme et te prendre ensuite ! J’ai toujours l’impression de te punir d’aimer ça !
– Et tu ne pourras jamais m’en empêcher ! Samedi soir, j’ai invité Sonia ! Tu l’aimes bien ? Il y a longtemps que tu ne l’a pas vue et en plus elle est enceinte de huit mois ! Ça devrait te plaire ?
– Ça serait bien que tu invites aussi ta fille ! Je rêve depuis toujours que tu baises avec elle ! Ça te fera l’impression que tu baises avec un mec !
– Pourquoi pas, lui a répondu ma mère mais j’attends toujours son coup de téléphone. Je revois de temps en temps mon beau père quand il passe près de chez moi. On va à l’hôtel parce que mon n’ami n’aimerait pas qu’on fasse un trio femme mec mec. Je lui en ai parlé un jour et ce dont il a peur c’est de se prendre une bite dans le cul, l’imbécile !

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