« J’attends une rame de métro, entièrement nue sous une petite robe printanière. Elle est sage mais vaporeuse. J’ai l’impression que tout le monde me regarde.
– Monter en queue de train.
– Filer dans le coin, tout au fond, face à la vitre qui donne sur le quai d’en face.
– Me tourner légèrement pour ne pas être surprise par les voyageurs de ma rame.
– Déboutonner ma robe et l’écarter quand le train démarre.
– M’exhiber aux voyageurs du quai opposé.
… huummm leurs regards ébahis. »
J’ai joui, je me suis masturbée ce matin, encore haletante allongée dans mon lit nue sous la couette, en pensant à ce rêve.
Je me lève, encore un peu dans les vapes. Direction la salle de bain, une petite douche pour bien pour me réveiller.
Une grande serviette blanche autour de moi, je déambule dans mon appartement pour aller ouvrir les volets, un grand soleil m’éblouit, il fait bon et la journée va être belle. J’allume le transistor de la cuisine et me fait un café accompagné de quelques tartines. Je prends tout mon temps car aujourd’hui c’est mon jour de repos, et je compte bien en profiter.
Je n’ai rien prévu de spéciale et je réfléchis à ce que je pourrais bien faire tout en fouillant dans mon armoire pour trouver ma tenue de la journée.
Tiens je tombe sur la petite robe printanière que je portais dans mon rêve et cela me donne justement une idée.
Et si j’osais? Si j’osais la mettre pour vraiment réaliser ce fantasme.
Me voilà sortie, ma petite robe légère comme unique tenue, puisque je ne porte pas de culotte dessous, la sensation de nudité commence déjà à faire son effet lorsque je passe devant des passants en direction de la bouche de métro. J’en descend les marches pour me retrouver dans le souterrain qui me mène jusqu’au quai.
Prête, le cœur battant, j’entends un grondement dans le tunnel. Un courant d’air, avant même que le métro ne surgisse, tente de soulever ma robe. Mais je la maintiens d’une main.
Le train entre en gare et stoppe.
J’ouvre la porte et pénètre dans la rame en direction de l’angle du wagon.
Catastrophe !
J’ai imaginé des tas de choses, sauf cette situation si évidente pourtant.
Un homme se tient à la place que je désirais occuper.
Déçue, je me place devant lui et lui tourne le dos. Ainsi, dès qu’il partira, je serais prête à prendre sa place. J’espère qu’il le fera bientôt, avant que mon courage ne me quitte et que je n’ose plus faire ma petite exhibition.
Hélas après un moment d’attente, il n’a pas bougé et il commence à vraiment y avoir du monde dans le wagon.
Les corps se heurtent doucement, ça se bousculent, ça se frôlent lors des arrêts pour en monter et en descendre.
Maintenant placée dans le fond, coincée par le monde qui est entré, assez loin de mon objectif, je ne prête pas attention tout de suite à ce qui touche le haut de ma cuisse, derrière moi.
Peut être un sac, le coin d’une sacoche.
Puis la pression se fait plus forte et se déplace lentement de gauche à droite, sur ma fesse.
Je m’écarte un peu, mais ça se reproduit très vite. De plus, ça se déplace désormais d’une fesse à l’autre, en appliquant des poussées saccadées mais régulières.
Ca… ce n’est pas un sac !
J’en suis persuadée lorsque « la chose » se cale entre les deux globes de mon cul.
J’essaye de tourner légèrement la tête sur le côté, mais je ne parviens pas à voir le visage de l’homme derrière moi. J’ai une vague image de lui pour l’avoir vu montant dans le wagon, mais je n’y ai pas vraiment porté attention.
J’att**** alors le plus discrètement possible un petit miroir dans mon sac et faisant mine de regarder mon maquillage, je l’utilise comme un rétroviseur pour le voir.
Une cinquantaine d’années, cheveux grisonnant, bedonnant et assez laid, je l’avoue.
Son regard vicieux, croise le mien dans la petite glace. Un grand frisson me traverse lorsqu’il me sourit. Ne voulant pas lui montrer que je l’ai aperçu, je replonge le miroir dans mon sac.
Il est évident que c’est son sexe dressé dans son pantalon qui se frotte à moi. Bien sûr, je devrais faire un scandale, me retourner, le gifler peut-être. Pourtant, malgré son air de vieux sadique je n’en fais rien.
Je n’en fais rien parce qu’il se passe quelque chose en moi. Une émotion, une excitation certainement et il faut dire que je l’ai bien cherchée.
Mon ventre me chauffe, mon sexe s’humidifie. Je suis troublée.
Devant mon manque de réaction, l’homme, plus sûr de lui que jamais, pousse plus fort, montant et descendant le long de ma raie.
Je me doutais bien qu’il n’en resterait pas là.
Un doigt caresse doucement une de mes fesses. Puis deux, trois…sa main prend possession du lieu. Puis mon autre fesse reçoit le même traitement.
Il malaxe maintenant mon cul sans gênes tout en se frottant de plus en plus fort.
Je me laisse faire, je ne bouge pas et presque sans que je m’en rende compte, il relève ma robe.
Je suis prise d’une chair de poule lorsque ses doigts touchent ma peau. Le frottement de son pantalon sur celle-ci, me rend folle. Je me sens clairement inondée.
Au bout d’un moment pendant le trajet, le pervers toujours collé contre mes fesses, je me surprends à appliquer moi-même de petits mouvements d’avant en arrière pour encore mieux le ressentir.
Encouragé de savoir que cela me plaît et qu’il a constaté que je ne porte rien sous ma petite robe, il devient audacieux et déboutonne rapidement sa braguette, il sort sa queue discrètement et la glisse entre mes cuisses, que j’ouvre un peu plus, avec délice.
Je n’aurais pas cru qu’un homme puisse bander aussi fort dans ces conditions. Non seulement il a une érection que beaucoup de jeunes pourraient lui envier, mais en plus il a l’air d’être monté comme un âne.
Son sexe est dur, chaud, le gland humide. Je sens sa respiration dans mon cou. La mienne s’accélère, tout comme les battements de mon cœur.
Ses mains glissent de ma partie charnue à mes hanches. Il m’agrippe et me serre fort contre lui. Puis ils les plongent sur les plis de l’aine, descend très vite pour arriver sur mon mont de venus.
Un doigt glisse encore, s’étire et se pose sur mon clito, m’arrachant un petit cri étouffé en faisant semblant de toussoter pour ne pas éveiller de soupçons.
Je ne tiendrais pas longtemps comme ça, car son gland est près à s’enfoncer à l’intérieur de ma chatte toute chaude et toute mouillée.
Je sens que le gros vicelard excité derrière moi est un expert. Il varie les caresses avec sa queue, remontant parfois de mon sexe à mon bas-ventre, revient à mes fesses, puis retourne à mon clitoris.
Soudain, perdant peut-être tout contrôle, il remonte ses mains jusqu’à mes seins et les malaxe avec force.
Impossible pour moi de rester ainsi.
Ma robe qui a suivi le mouvement, est passée au ras de mes seins et le bas de mon corps se retrouve en partie dénudé. Si un voyageur se retournait, se serait une catastrophe.
Fermement, j’abaisse ses bras, ma robe heureusement a eu le temps de retomber même si j’ai l’impression de me sentir mentalement nue contre son corps.
Je craque.
Il caresse mon corps, mes seins. Moi, perdant toute pudeur, j’arrive à att****r sa tige de béton pour venir la frotter outrageusement contre ma chatte dégoulinante et bouillonnante de plaisir.
Tout en tentant de me pénétrer de son gros dard, subitement, je le sens se contracter. Sa verge d’un coup, rentre complètement en moi puis elle est prise de soubresauts. Je la sens déjà tout au fond de moi quand elle se libère puissamment de giclées épaisses et brûlantes.
La sentir palpiter comme ça dans ma chatte, me conduit directement a l’orgasme et j’ai toutes les peines du monde pour réussir à jouir en silence…ou presque.
Sous le regards des voyageurs sentant qu’il se passait une agitation dans le fond du wagon, certains se retournent et me toisent bizarrement juste avant que le métro arrive à une station.
Honteuse de ce que je viens de faire, je rabats ma robe en me retenant de tout le sperme que cet homme vient d’éjaculer en moi et me sauve en me faufilant entre les voyageurs.
Arrivée sur le quai, j’ai besoin de reprendre mes esprits. J’avance un peu jusqu’au couloir pour me mettre à l’abri des regards. Je m’arrête et m’appuie contre le mur carrelé pour retrouver une respiration normale et me calmer.
Je fouille mon sac, en sort des kleenex pour essuyer en moi les souillures gluantes qui coulent à flots tel une lave blanchâtre.
Mais une fois fini mon nettoyage, une main agrippe mon bras. Je relève la tête.
C’est lui. C’est cet homme, le pervers du wagon qui m’a suivie !
Surprise, encore sous le choc de le voir, je n’avais même pas remarqué qu’il était descendu aussi.
Je me dégage et presse alors mon pas dans le couloir vers la sortie. Mais il me ratt**** et m’arrête.
« Attendez ! N’ayez pas peur. »
« Laissez-moi ! Excusez moi, j’ai fais une bêtise. C’était une erreur. J’ai fais n’importe quoi. »
« Je ne crois rien, mademoiselle. Et puis, vous n’avez rien fait. Si quelqu’un à quelque chose à se reprocher, c’est bien moi. Vous ne croyez pas ? Ne vous inquiéter pas. Je vais vous laissez tranquille, mais promettez moi une chose. »
« Vous promettre quoi ? »
« Promettez-moi de m’appeler un de ses jours. D’accord ? »
Et il me tend une carte de visite.
« Non ! Pas question ! Je suis désolée. »
« J’insiste. Prenez-là et prenez le temps d’y réfléchir. »
« D’accord ! Je la prends mais ne comptez pas sur mon appel. »
« Nous verrons bien… Au plaisir et j’espère à bientôt… »
( Faites moi part dans vos commentaires si vous aimeriez qu’elle le rappelle.)
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