Que faisais-je ici ? Je n’en savais rien. Je me rappelle simplement que lorsque j’ai reçu ma lettre d’admission, j’ai sauté de joie, sachant pertinemment que j’allais devoir tout raconter à ma famille et que cette lettre ne leur ferait pas autant plaisir qu’à moi. Je me rappelle de ce que m’avait dit ma mère le soir où je lui ai annoncé la pseudo-bonne nouvelle.
« Comment ça !!! Tu as postulé dans cette école et tu es pris !!! »
Je pensais qu’elle serait heureuse, qu’elle finirait par respecter mon choix. C’était bien mal la connaître. Elle n’avait pas attendu que je me remette de ma déception pour me donner un énorme coup de pied dans les parties. Je m’effondrai de suite sur le sort, me tenant les couilles douloureuses suite à ce coup. Alors que je pensais ma punition terminée, elle s’agenouilla, baissant mon pantalon et prit mes testicules dans sa main droite. Elle me regarda d’un air enragée tandis qu’elle commença à forcer, broyant mes couilles entre elles. Je hurlais de douleur. Il était très probable que mes voisins m’aient entendu, mais ils s’en fichaient pas mal, surtout depuis qu’ils m’avaient surpris, moi, Bastien, 21 ans, enculer à sec leur fille de 18 ans.
Je disais donc que ma mère me broyait les couilles. Alors que je croyais qu’elles allaient exploser, j’entendis un cri féminin. Mylène, ma petite sœur de 19, envoya une gifle dans le visage de sa mère, la forçant à lâcher prise. Elle se pencha vers moi, me demandant où je souffrais.
-Ici, disais-je en lui montrant mes couilles.
Aussitôt qu’elle connut l’emplacement de mes souffrances, elle porta mes deux boulettes à sa bouche et les embrassa, sous le regard écœuré de ma mère.
-Vous osez faire ce genre de saloperies devant moi alors que vous êtes frère et sœur ! Je devrais vous le faire payer bandes de crétins !
En ce qui me concerne, j’avais peur de ce que cette femme, celle qui s’était transformée en monstre depuis le suicide de mon père, trois ans plus tôt. Ma sœur, quant à elle, ne semblait pas effrayée le moins du monde, au contraire. D’un simple regard, elle la défia et, aussi vite que l’éclair, elle plongea mon gland en érection dans sa bouche et commença la fellation la plus étrange de toute ma vie. J’avais pourtant l’habitude de faire ce genre de chose avec elle. Depuis qu’elle avait fêté ses 18 ans, elle s’était mise en tête de me sucer et m’avait demandé de la lécher. Depuis, nous continuons, mais nous n’avons jamais été plus loin que notre bouche. Je me relaxais sur le sol jusqu’à ce que le hurlement de notre mère ne me fasse trembler de plus belle.
-Salope !! Arrête-ça tout de suite !
Mylène s’arrête. Sa langue arrêta de caresser mon organe et elle avait cesser cette petite succion qui m’avait envoyé au septième ciel. Elle sortit alors ma bite de sa bouche pour mieux la caresser de sa main, celle qui ne se trouvait pas en train de masser son clitoris à l’intérieur de sa culotte, frottant l’extrémité gluant de mon gland avec dextérité.
-Sinon quoi ? Tu vas me faire souffrir, comme la fois où tu as volé ma virginité avec ce manche à balai ?
Je me rappelais très bien de ce moment. On avait dû l’emmener à l’hôpital, ma mère prétextant qu’un homme masqué avait pénétré dans notre maison pour faire souffrir sa fille. La police n’avait jamais trouvé de preuve et ne pensèrent pas un seul instant que ma mère pouvait être derrière tout ça.
Je fus tiré de ma rêverie lorsque ma mère fonça sur ma sœur et lui asséna un terrible coup de poing dans la chatte. Heureusement pour elle, Mylène avait pu retirer sa main, mais cela ne l’empêcha pas de hurler de douleur. Ma mère, voyant qu’elle faisait payer à ma sœur son outrecuidance, de la même manière qu’elle avait procédé avec moi, ôta le pantalon en jean de ma sœur avant de déchirer sa culotte blanche en dentelle, celle qui m’était réservée pour me féliciter de mon admission.
-Alors petite pute ! Tu crois toujours pouvoir parler sur ce ton à ta mère ? Regarde ton frère, trop occupé à mater ta fente pour te sortir de là !
Ma mère n’avait pas tort. J’étais là, les yeux rivés sur le vagin de ma sœur. Je me rappelais toutes les fois où je l’avais vu de près, soit pour le lécher, soit pour le caresser. Cette fois-ci, je le voyais de loin, mais je voyais surtout le poing de ma mère frapper ce joli petit organe qui avait fait doubler mon excitation. Soudain, elle s’arrêta et regarda ma bite.
-Alors, c’est ce pénis qui t’excite ma fille ! Alors tiens ! Avale-le !
Sans plus attendra, elle attrapa la mâchoire de Mylène, la forçant à ouvrir la bouche et à planter mon gland dans sa gorge. Je pensais que ce moment serait agréable, mais je me rendis vite compte de ce qu’essayais de faire ma mère. Elle voulait que ma sœur me morde. Elle voulait d’ailleurs qu’elle me morde très fort, mais au lieu de ça, Mylène porta ses lèvres devant ses dents. Je voyais alors ma mère essayer de refermer la mâchoire de Mylène sur ma bite tandis que celle-ci essayait de se débattre ? Soudain, lorsque je vis les dents de ma sœur atteindre sa gencive, je me décidai à intervenir. Je fermai le poing et je l’envoyai très fort dans la joue de ma mère. Celle-ci s’effondra sur le sol, inconsciente. Sans plus me soucier d’elle, je me plaçais devant ma sœur et je lui touchais le vagin.
-C’est ici que tu as mal ?
-Oui. Ma chatte me fait mal, mon clitoris aussi. Fais quelque chose s’il te plaît.
Je ne me fis pas prier plus longtemps. Je posai ma bouche à l’entrée de son orifice et je l’embrassais, tantôt avec la langue, tantôt sans. Ma sœur se mit alors à rire tout en plaçant sa main gauche à l’arrière de mon crâne pour m’empêcher de m’échapper et se servit de sa main droite pour placer ma main libre sur son sein.
-Tu me lèches toujours la chatte comme tu embrasses les filles.
-Tu n’aimes pas ?
Elle poussa un grognement de plaisir lorsque je me mis à sucer son clitoris
-Si, c’est juste que c’est original !
Alors que je prenais un pied incroyable, elle me poussa, me faisant tomber à la renverse. Ma bite se tenait alors bien droite. Elle l’empoigna après s’être mise à genoux. Elle m’enjamba et posa son entrejambe au-dessus de ma bouche avant de reprendre la fellation tandis que je me remis à lui lécher le vagin. Nous adorions les 69, c’était tellement bon, se faire sucer pendant que je lui faisait un bon cunnilingus. Alors que nous nous amusions depuis bientôt cinq minutes, je sentais les muscles de ma bite s’agiter : j’allais jouir. Je vis qu’elle se trouvait dans les mêmes conditions lorsqu’elle commença à agiter son vagin et son cul dans tous les sens. J’enfonçai donc mon majeur jusqu’au bout de son trou du cul, elle adorait sentir quelque chose à l’intérieur de ses fesses pendant l’éjaculation. Dix secondes plus tard, ma semence sortit tout droit vers sa bouche qui accueilli tout ce jus comme il se devait tandis que je recevais sa mouille et son liquide séminal sur le visage. Elle se remit alors à genoux et m’embrassa. J’ouvris de grands yeux dégoûtés : elle n’avait pas encore avalé et venait de me refilé tout mon sperme dans ma bouche. Je la retourne et la plaque sur le dos immédiatement et lui rendais mon sperme, m’assurant bien qu’elle avale tout le contenu. Pour la punir, je lui donnai trois bifles sur la joue et trois autres sur les fesses. Nous nous relevons alors, satisfait, avant qu’elle me glisse à l’oreille
-Moi aussi je suis prise à Lisle.
Lisle était l’école devant laquelle nous nous trouvions. La meilleure école en ce qui concernait l’éducation sexuelle de ses étudiants. Ma sœur et moi avions posé nos candidatures ensemble, et ensemble nous allions y entrer. Une fois à l’intérieur de cet antique château médiéval, une vieille femme appelée Madame Gustave nous fit entrer et nous demanda de tous nous mettre en sous-vêtements. Nous étions vingt filles et vingt garçons, et tous, nous nous exécutions. Elle nous demande alors de nous trouver un binôme. Sans réfléchir, je choisissais ma sœur et nous regardions les autres se décider. Les belles filles se retrouvaient avec les beaux garçons et les moins jolies avec les moins beaux. Seuls restaient une fille et un garçon. La fille semblait vraiment timide. Elle croisait les bras devant sa faible poitrine que je trouvais pourtant attirante et croisait les jambes pour ne pas dévoiler sa petite culotte toute mignonne que j’aurais bien arrachée si ma sœur l’avait portée. Elle dut alors se mettre avec un garçon obèse, qui, apparemment, semblait enchanté de sa partenaire.
-Personne n’est seul ?
Madame Gustave fut satisfaite de ne rien entendre.
-Bien, mesdames, pour que nous puissions identifier votre partenaire, veuillez plonger votre main dans le sous-vêtement de monsieur et lui att****r le pénis. Vous, messieurs, faites de même avec leurs vagins. N’hésitez pas à enfoncer vos doigts dedans, vous ne les perdrez pas sur la route.
La vieille femme se mit à rire, elle fut bien la seule. Ni ma sœur, ni moi n’avions eu de problème à le faire, nous étions habitués. Elle tenait fermement mon manche tandis que j’agrippais l’intérieur de sa chatte. Je regardais de nouveau la jeune fille que j’avais repérée. Son obèse de compagnon n’hésita pas avant de plonger la main dans sa culotte. Elle semblait au bord des larmes, surtout quand ce porc lui attrapa la main pour la forcer à att****r sa bite qui, d’après ce que je venais de voir, était d’assez bonne taille.
Nous n’attendîmes pas plus longtemps pour entrer dans le hall, sous les regards comblés des étudiants de deuxième à septième année. Nous nous arrêtâmes devant le directeur de ce lycée. Un grand homme à la longue barbe brune prénommé monsieur Auburn. Il se leva et nous accueilli à bras ouvert.
-Jeunes gens, bienvenu à l’école de Lisle. Ici, nous vous apprendrons à baiser vos futures femmes ou vos futurs maris à merveille. Jamais ils ne pourront se plaindre du plaisir que vous leur apporterez. Mais avant que nous vous offrions ce savoir unique, nous devons nous assurer que vous le méritez. Ainsi avons-nous décider de vous tester. En face de vous se trouve une urne. Ranger-vous les uns derrière les autres en binômes
Nous nous exécutons. Nous avions devant nous l’Albus Dumbledore de ce château, alors nous ne devions pas le décevoir.
-Bien. Tout d’abord, sachez que le partenaire que vous avez aujourd’hui restera le même durant ces sept années, sauf cas exceptionnels, je vous conseil donc de ne pas vous fâcher avec lui, les cours risqueraient alors de très mal se passer.
Ma sœur et moi étions comblés. Nous allions être partenaires sexuels pendant sept années. Sept superbes années à venir. Nous souriions, mais au passage, mon regard croisa celui de cette jeune fille timide qui se tenait juste derrière moi. Elle était prête à pleurer. Je n’y avais pas pensé, et à voir la réaction de ma sœur, elle n’aurait pas non plus aimé avoir ce gros bout de viande avariée comme partenaire.
-Bien, nous allons maintenant passer au test. Je vous parlais de cette urne tout à l’heure (il pointa le bocal en verre placé devant nous du doigt). Par binôme, lorsque votre tour viendra, vous vous déshabillerez, vous piocherez un morceau de papier et vous suivrez les indications. Toutes personnes déclinant ce défi sera expulsée avant que l’année ait pu commencer.
Ce détail nous coupa le souffle, mais nous ne comptions pas abandonner. Chacun leur tour, les binômes s’avançaient et réussissaient les défis imposés. Il s’agissait parfois d’une fellation, parfois d’une branlette, parfois d’une position du Kama-Sutra. Après quelques minutes, notre tour vint. Elle tira un papier : Je devais lui faire un cunnilingus. Je fus plutôt satisfait, je pensais avoir à faire pire. Je me mis alors à genoux et, en lui attrapant les fesses, je la poussais jusqu’à ce que sa chatte arrive sur ma bouche. Je commençais alors à promener ma langue sur et dans son vagin. Elle appréciait vraiment et se caressait la poitrine comme quand nous étions seuls. Je pensais le faire jusqu’à ce qu’elle jouisse, mais monsieur Auburn tapa dans ses mains et nous comprîmes que nous avions suffisamment joué. Vint le tour de la jeune fille timide et du porc de service qui, apparemment, dégoûta madame Gustave. Il piocha un morceau de papier et je l’entendis souffler à l’oreille de sa partenaire :
-Prépare tes fesses, je dois t’enculer.
Elle ouvrit de grands yeux paniqués, ne sachant plus du tout si elle devait pleurer ou s’enfuir.
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