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Un samedi après-midi

Un samedi après-midi



Ce samedi soir, je décidais d’aller faire un tour en boite. Comme d’habitude il y avait beaucoup de monde. Lors d’un slow avec une fille, (mais si ! Une fille…, je rappelle que je suis 100 % bisexuel). Alors que je commence à avoir une érection de la sentir contre moi et, qu’elle se trémousse contre mon bas ventre, je glisse une main sous sa jupe. Je caresse ses fesses dans sa culotte en nylon, le doux contact me fait frissonner d’avance. Après la danse, nous allons sur les banquettes du bord de piste Ma main toujours, non plus sur mais, dans sa culotte glisse vers le bas alors qu’elle s’asseoit. La belle, déjà toute humide s’empale sur mon doigt tout de go. Rapidement, elle me demande de sortir dans la voiture pour aller plus avant dans nos caresses. Je réalise alors que j’ai affaire à une chaude, très chaude enfant de 20 ans et, que je porte mes dessous féminins sous mon jean. Pensez donc PJ et bas, sous tif et string noirs, un must pour TV mais une fille ça risque d’être différent !
Qu’à cela ne tienne, je l’emmène dans ma voiture, un cabriolet ou l’on manque singulièrement de place et de confort mais bon… Nous reprenons nos ébats sitôt installés. La chaleur de nos corps rend vite les vitres opaques de buée, c’est heureux car je suis garé près du grand REX à Paris et les poulets ne sont jamais loin. Une fois qu’elle est déshabillée, nue, je me mets à genoux devant son siège pour la lécher pendant qu’elle me masse le dos. Elle s’attarde sur mon soutien gorge, mais ne dis rien. Rapidement elle se cabre de plaisir, ce qui me donne une érection difficile à supporter dans un string et dans un jean serré. Alors que je reprend ma place derrière le volant elle me demande si je suis PD. Je suis à voile et à vapeur lui dis-je et aussi TV, mais sûr de mes choix, j’aime prendre et être pris. Comme elle me demande si j’ai un endroit plus confortable, je la conduis chez moi. C’est un studio que nous louons à trois pour nos ébats respectifs, voire collectifs. Une fois rendus, elle demande à me voir en dessous, elle-même ne gardant que les siens. Elle veut que je lui raconte ce que je ressens quand un mec me saute. En bref, elle me demande de lui dire ce que je fais et comment avec un homme. Bien, je vais donc lui expliquer et alors que je commence mon récit, elle met la main dans sa culotte et commence à se masturber. La situation ne manque pas de sel, elle est couchée sur le lit, se caressant et moi je raconte des insanités en dessous féminins sexy et en érection, debout devant elle. Après avoir jouis pour la deuxième fois de la soirée, elle me dis qu’elle avait bien vu la marque du sous tif sous la chemisette. Je me sent piègè, un délicieux sentiment de honte m’envahi, démasqué et….excité à la fois. Elle me dis ne pas aimer être prise, mais aime voir, être vue et léchée, qu’en général elle préfère les femmes. Je lui fais alors un beau cunnilingus à sa demande en me masturbant pour enfin lâcher ma semence avec un sentiment d’explosion dans le bas ventre, le jet part jusque sur mes bas. Il est vrai que j’ai toujours eu un petit faible pour les lesbiennes.

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