Il commençait à faire nuit. Judith savait qu’elle était partie trop tard pour Dallas. Le voyage dure environ entre trois heures et demi et quatre heures. D’habitude, elle faisait en sorte de faire le trajet en plein jour. Mais aujourd’hui, elle avait eu une réunion avec l’association de la paroisse qui avait duré trop longtemps. Donc la voilà sur la route à 18h00 avec encore au moins trois heures de trajet. La radio était ennuyeuse si bien qu’elle devait s’arrêter souvent pour se tenir éveillée.
Judith était une femme séduisante près de la quarantaine mais qui en paraissait 10 de moins. Elle était adepte des cours de gym, si bien qu’elle faisait toujours tourner les têtes. Elle mesurait 1m60, assez fine mais elle avait de belles courbes. Ses seins, pas très gros, restaient encore fermes et toniques. Ses fesses bombées et musclées la rendaient sexy sous sa robe d’été légère. Sa dernière permanente embellissait ses cheveux roux. Ses talons rendaient ses jambes « sexy ». Elle portait un string couleur crème sous sa robe mais elle n’avait pas de soutien-gorge. En bref, elle était un régal pour les yeux.
Mais Judith était dépendante. Elle gardait ce secret en elle depuis deux ans. Personne ne savait ou ne pouvait deviner que cette femme attrayante qui participait à la vie de la paroisse, ne pouvait pas résister à l’attraction d’hommes noirs avec leurs grosses queues.
Son mariage ne lui procurait pas souvent de jouissances sexuelles, son mari étant très croyant, d’un âge avancé et avec la santé fragile. En effet il avait 25 de plus qu’elle.
Comme toute femme bien constituée, elle avait des besoins et des désirs. Elle avait bien essayé de combattre ses pulsions mais elle avait besoin de sexe et d’hommes noirs bien membrés.
Pour Judith, ce n’était pas seulement ce besoin de sexe qui faisait d’elle une salope, mais son besoin d’être dominée et humiliée par ses partenaires. D’être traitée comme une moins que rien ainsi que les insultes la rendait folle. Elle aimait et en redemandait encore et encore.
Elle n’arrivait pas à comprendre comment tous ces hommes noirs l’envoutaient seulement en la regardant. Combien de fois alors qu’elle faisait des courses ou alors qu’elle se promenait, si un homme noir l’approchait, elle le suivait dans une voiture, une chambre d’hôtel ou un appartement où il la possédait pendant des heures. Certaines fois, pas un seul mot ne fut prononcé. Elle les suivait simplement.
Elle se demandait s’ils faisaient de même avec toutes les femmes mais elle savait qu’elle était différente. Elle dégageait une aura qui leur faisait comprendre qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient d’elle.
Quand un homme noir se trouvait devant elle, Judith était paralysée, impuissante et commençait à trembler.
Dès qu’ils étaient dans une chambre ou un appartement, elle s’agenouillait et déboutonnait leur pantalon afin de pouvoir sucer leur grosse queue. Ils l’appelaient salope ou sale pute ce qui l’excitait encore plus.
A de nombreuses reprises, elle fut utilisée pas plus d’un homme. Sept ou huit blacks la baisaient et l’utilisaient pendant des heures. Elle savait que c’était dangereux et que sa vie serait ruinée si ces activités étaient révélées à sa famille ou ses amis mais elle ne pouvait arrêter. C’était un besoin irrésistible.
C’était d’ailleurs la raison de ses voyages à dallas. Ses parents y vivaient et elle prenait toujours quelques jours par mois pour aller les voir. La principale raison était qu’elle se trouvait loin des regards et connaissances et qu’elle pouvait être utilisée comme un jouet sexuel par autant d’hommes noirs qu’elle trouvait.
Sa routine était d’aller au restaurant à midi puis de passer l’après-midi en débauche. Puis elle était de retour chez ses parents pour le diner. Ses cheveux permanentés étaient faciles à laver afin de les débarrasser du sperme. Le plan de Judith était élaboré. La routine était bien huilée jusqu’à ce jour où sa vie allait changer pour toujours.
Contente de pouvoir sortir de chez elle et sure d’obtenir ce dont elle avait besoin, Judith était détendue. Elle vit la sortie pour rejoindre le lieu où elle faisait toujours un arrêt. Il s’agissait d’un garage avec un bar-restaurant isolé au milieu de la campagne. Si elle ne s’arrêtait pas là, elle ne trouverait pas à manger avant d’atteindre Dallas.
Donc, après avoir garé la voiture, elle en sortit et s’étira. Puis elle parcourut les trente mètres la séparant de l’entrée et se dirigea à l’intérieur. L’endroit était peu éclairé mais elle le connaissait pour s’être arrêtée souvent. Des cabines étaient disposées le long des murs et des tables étaient dispersées au milieu de la salle. Elle se glissa lentement dans une cabine.
Regardant autour d’elle, elle vit un couple de personnes âgées qui payaient leur facture au comptoir ainsi qu’un chauffeur de camion qui prenait un café.
Au bar se tenaient deux autres hommes âgés sirotant des bières mais sinon le restaurant était vide. Le serveur vint et elle commanda un demi-poulet frites et un coca.
Alors qu’elle buvait en attendant son repas, elle entendit un bruit sourd qui semblait faire vibrer le bâtiment. Elle ne reconnaissait le son mais elle se demanda si les vibrations ne venaient pas de plusieurs poids-lourds démarrant en même temps. Le bruit augmenta puis chuta jusqu’à ce qu’il disparaisse.
Judith était encore perplexe quand la porte du bar s’ouvrit et qu’un flot de grands motards noirs entra.
Les deux papys au comptoir jetèrent rapidement de l’argent et sortirent.
Judith pouvait lire sur le dos des blousons des motards l’inscription « Chevaliers noirs ». Elle put compter l’entrée de 25 hommes noirs. Elle fut étonnée de voir qu’il y avait aussi plusieurs femmes blanches vêtues aussi de vêtements de moto. Ces femmes semblaient être ignorées par les hommes sauf lorsqu’elles étaient bousculées quand elles gênaient l’accès au bar.
Judith fut prise à la fois de peur et d’excitation. Elle aimait le regard de ces hommes et leur présence la faisait trembler de tension sexuelle.
Elle regarda les femmes. Elles étaient toutes habillées de la même façon avec un débardeur serré sans soutien-gorge et une veste au couleur de la bande. Elles avaient toutes des mini-jupes courtes en jean et il était évident qu’elles avaient soit un string soit rien du tout en dessous. Enfin elles portaient des santiags noires. La question du string ne se posa pas longtemps. Un grand motard attrapa une des femmes et tira sa jupe vers le haut avant de lui donner une grand claque sur le cul qui résonna dans toute la salle. Judith vit que la femme n’avait pas de culotte. Elle n’essayait pas non plus de baisser sa jupe alors que le motard se retournait vers le comptoir. Judith mouillait de plus en plus.
Comme elle regardait le bar, elle remarqua qu’une ombre se projetait soudainement sur la cabine. Elle tourna la tête et vit un énorme homme noir à 40 centimètres d’elle la détaillant de haut en bas. Il avait des bras et des pectoraux d’athlète. Son jean serré laissait deviner des attributs exceptionnels. Sa tête était rasée et son visage sombre et brillant. Quand il baissa les yeux sur elle, elle se rendit compte qu’il était très grand, surement plus d’1m90.
Quand elle croisa ses yeux, elle fut perdue. Elle commença à glisser hors de la cabine. Alors qu’elle était sur le point de tomber à genoux sur le sol, il posa une main sur son épaule. Pendant quelques instants elle ne sut que faire. Puis, assise sur le bord de la banquette, elle tendit la main et défit la boucle de ceinturon du colosse. Elle baissa la fermeture éclair et sortit sa grosse bite noire.
L’homme se tenait là, les mains sur les hanches regardant les petits doigts de la femme sur son membre.
Judith commença à forcer sa bouche autour de la queue. Ses mains branlaient la verge noire tandis qu’elle essayait d’étirer ses lèvres au maximum.
Elle était familière de cet acte et elle le désirait. Elle aimait que le sexe grossisse dans sa bouche. Elle voulait servir l’homme et le laisser l’utiliser comme il le voulait.
Soudain le motard ordonna :
– Met ton cul sur la table salope !
A contrecœur, elle laissa la queue de l’homme, se leva et se dirigea jusqu’à sentir le bord de la table sur son cul. Puis elle recula et monta ses fesses dessus.
Judith étant maintenant en face de lui, le noir se pencha et d’un seul mouvement déchira la petite robe d’été des épaules à la taille. Puis, il finit de déchiqueter le vêtement avant d’arracher le string. Elle était complétement nue devant lui.
Les grandes mains de l’homme prirent chacune un genou dans leur paume afin d’écarter les jambes de Judith. Ensuite il poussa sa grosse bite vers l’avant, écartant les lèvres gonflées de sa chatte et il s’enfonça en elle avec une forte poussée. Elle haleta bruyamment à l’invasion soudaine de son intimité ainsi qu’à la douleur initiale. Mais tout entra. Le black martela la chatte exposée. Il baissa les yeux sur elle et gronda :
– Demande salope !
– Baisez-moi ! baisez-moi comme une pute ! s’il vous plaît !
Judith cria lorsqu’il augmenta son assaut. L’abus de son sexe ainsi que la dégradation l’excitaient. Se voir comme une pute utilisée par un grand black inondait sa chatte de jus. Et elle jouit. Son orgasme fut long, les spasmes traversant son corps. Elle adorait la sensation et elle ferait tout pour en avoir encore et encore.
Mais l’homme n’éjacula pas. Il la poussa à plat sur la table afin de voir son petit trou du cul serré. Levant les jambes de la femme, il plaça sa bite humide à l’entrée de son anus et il força. Elle cria quand il pénétra en elle. La douleur continua le temps qu’il loge son sexe en entier tout au fond. Puis une fois encore, il la pilonna sans relâche jusqu’à ce qu’elle halète de plaisir, en route vers un nouvel orgasme. A nouveau il demanda :
– Demande salope !
– Enculez-moi ! S’il vous plait, faites-moi mal ! Remplissez mon cul de chienne de votre sperme !
Judith délirait alors qu’il continuait à l’utiliser brutalement. Elle voulait sentit son sperme à l’intérieur de son cul. Ce fut en gémissant et pleurant qu’elle eut son deuxième orgasme alors qu’il éjaculait dans ses entrailles. Judith avait du mal à reprendre son souffle. Elle leva les yeux sur l’homme alors qu’il retirait sa verge de son cul suivie par un flux de sperme coulant lentement. Le noir saisit la robe déchirée pour essuyer son sexe puis il remonta son pantalon et se dirigea vers le comptoir.
Le cul dégoulinant, Judith le regarda se diriger vers une des femmes blanches pour lui parler. Celle-ci protesta mais il la saisit par le cou avant de la gifler violemment. La femme trébucha vers la table ou Judith était affalée et elle laissa son visage tomber sur sa chatte, commençant à la manger.
Judith regarda le travail de la femme sur son clitoris puis elle retomba en arrière afin d’apprécier les sensations. La femme était une experte si bien qu’un autre orgasme était prêt à terrasser sa partenaire.
La main droite de Judith attrapa une poignée de cheveux de la femme blonde et elle tira la bouche dans sa chatte. Elle sentit deux doigts entrer dans son intimité et s’enfoncer profondément.
– OHHHHH OUIIII !
Elle cria alors que son corps explosa d’extase, ses fluides coulant dans la bouche de la blonde. Finalement, la femme se releva. Elle se mit à enlever veste et débardeur ainsi que la mini-jupe. Bientôt elle fut nue, les vêtements soigneusement pliés à côté de Judith. Cette femme était jolie avec de gros seins, une taille fine et un beau cul rond. Même si Judith venait juste de jouir, la vision de cette blonde sexy l’excitait de nouveau.
En se détournant cette femme dit :
– Ces vêtements sont maintenant à vous. Rodney m’a remplacé dans le gang par vous. Vous être maintenant un sac à foutre des « chevaliers noirs ». Rodney vous veut alors je m’écarte.
Judith fut surprise de cette déclaration et elle fut à la fois excitée et effrayée. Elle était une épouse respectée dans sa communauté et ne pouvait pas laisser tomber sa vie existante et disparaitre avec une bande de motards noirs.
Mais une autre voix à l’intérieur de son esprit lui expliquait combien elle voulait être utilisée encore et encore par de grosses bites noires.
Elle regarda Rodney qui la dévisageait d’un regard dur. Il hocha lentement la tête dans sa direction. Elle fit de même pour répondre.
C’était fait, elle venait d’accepter une nouvelle vie et une nouvelle réalité alors que des mains se posaient sur ses genoux. Elle regarda et vit un autre motard, le pantalon à ses pieds, sa bite appuyant sur son sexe et plongeant profondément dans son vagin. Il prit ses jambes, plaçant les chevilles sur ses épaules afin de la pénétrer complétement. Elle gémit à cette attaque. Sans qu’on lui dise, elle connaissait les règles. Elle était leur jouet à tout moment. Elle savait aussi, qu’un jour, cette nouvelle vie se terminerait tout aussi brusquement que celle de la blonde qui l’avait léchée.
Mais Judith accepta cette situation et se dit qu’elle ferait tout ce qu’elle pourrait pour rester leur chienne le plus longtemps possible.
Le motard baissa sur ses chevilles et la retourna sur le ventre, investissant de nouveau par derrière son vagin.
Le membre la pilonnait, elle allait jouir bientôt.
Mais une grosse main l’attrapa par les cheveux, lui tournant la tête, et forçant une autre bite noire dans sa bouche. Elle la suça et la lécha afin de donner un maximum de satisfaction à son propriétaire. Son cul accompagnait les coups de boutoirs de l’homme derrière elle. Puis elle gémit et se cabra sur la queue noire alors qu’un autre orgasme la traversait.
Le motard sortit de sa chatte et il tira Judith vers le bas, la mettant à genoux. Elle vit les deux hommes se branler devant elle alors elle ouvrit la bouche. Ils éjaculèrent en même temps, leurs spermes tombant dans sa gorge, sur son visage et ses cheveux roux.
S’étant vidés, les hommes se rhabillèrent et la laissèrent, agenouillée, recouverte de sperme et récupérant de son orgasme.
Une des autres femmes s’approcha d’elle, lui demandant ses clés de voiture ainsi que son sac, son argent et ses documents d’identité. Judith savait que suite à cette demande elle serait à la merci du gang. Mais curieusement, cette pensée ne la dérangea pas. Elle donna toutes ses affaires à la femme brune. Sa vie ne serait plus la même. Elle se demandait combien de fois elle serait encore utilisée avant la fin de la journée.
Traduit avec l’aimable autorisation de l’auteur Loansum
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