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Une jeune noire pas si timide (1).

Une jeune noire pas si timide (1).



Une jeune noire pas si timide (1).

En visite chez un fournisseur je fais la visite des ateliers avec le patron qui me montre le matériel et me présente le personnel. 3 personnes en tout dont une jeune femme noire qui est la fille adoptive du patron. Comme bien des noires je remarque sont cul bien rebondi et ses seins ni trop gros ni trop petits qui ne semblent pas être soutenus. Sa tenue de travail dans l’atelier ne la met pas en valeur et je l’oublie assez vite.
La visite terminée je retourne au bureau avec le patron et nous discutons affaires jusqu’à la signature d’un contrat dans lequel nous allons y gagner tous les deux. Après cette réussite il m’invite à manger chez lui et devant son insistance j’accepte.

Arrivé chez lui il me présente sa femme, noire la quarantaine très souriante et je sais de qui tient la fille que j’ai aperçu tout à l’heure. En discutant un peu j’apprends que sa fille à 23 ans et qu’elle est très timide. Au moment où nous parlons d’elle la voici qui arrive et cette fois je vois une sublime jeune fille dans une toute autre tenue. Petit chemiser à travers lequel je peux voir ses tétons rendus ce qui me prouve qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et une petite jupe plissé grise mi-cuisses sur sa peau ébène. Je ne peux refreiner une envie de bander qui heureusement ne peut pas se voir.

Nous passons à table et le patron de la boîte m’explique que sa fille à des problèmes de santé et qu’elle ne travaille que le matin. Elle n’est pas rapide mais elle est très consciencieuse dans son travail et c’est pour ça qu’il l’a embauchée.

Le repas terminé et un petit café après il me propose de visiter tout le chantier avec comme guide sa fille qui me montrera l’ensemble du site pendant qu’il recevra d’autres clients. Je ne peux refuser surtout en aussi charmante compagnie et je le remercie.

Nous partons alors tous les deux dans un silence total au début et je sens bien qu’elle a du mal à dire quelque chose. Arrivés à l’écart des regards je commence la conversation en lui demandant si elle ne s’ennuie pas trop en habitant dans ce coin perdu et je lui demande si elle a des passes temps. Elle me dit écouter beaucoup de musiques mais qu’elle n’a personne avec qui s’amuser un peu mais elle a toujours aimé la solitude.

Elle prend un peu d’avance sur moi et je la regarde marcher ses fesses rebondies se balançant devant moi. Je recommence à bander sans pouvoir m’en empêcher en la regardant et je m’imagine lui mettant la main au cul. Tout à coup elle se retourne et surprend mon regard et me répond par un large sourire.

Elle hésite à parler et finir par me demander si j’aime la suivre ce à quoi je ne peux que répondre oui. Elle me demande alors si son cul me plait et je lui avoue que oui qu’il est très joli. Sans rien dire d’autre elle se penche pour me montrer des pièces de bois stockées par terre et m’offre alors une vue imprenable dans son chemisier, me dévoilant deux seins magnifiques et pointus. Elle reste dans cette position. Je ne sais pas quoi dire puis je me lance en lui disant que je vois d’autres objets très jolis. Elle sourit encore avant de proposer de continuer la visite au bout du chantier.

En arrivant vers la clôture de la propriété j’aperçois un petit cabanon en bois vers lequel elle m’emmène pour me proposer de rentrer voir les pièces rares. Je pousse la porte mais le cabanon est vide. J’entends alors la porte qui se referme et quand je me retourne elle est juste derrière moi souriante commençant de déboutonner son chemisier. Je suis surpris mais je ne dis rien et en un instant tous les boutons sont défaits. Elle écarte les pans de son chemisier et me montre ses seins qui pointent vers l’avant tout en avançant vers moi.

Tu les trouves comment me dit-elle en les prenant dans ses mains ? Je lui réponds qu’ils sont magnifiques ce qui provoque un rire de sa part. Elle prend mes deux mains et les pose sur ses seins en me disant ils sont à toi et le reste aussi si tu veux. Je m’ennuie trop pour ne pas en profiter. Je sers ses seins à pleines mains et elle m’enlace par le cou jusqu’à ce que sa bouche rencontre la mienne pour un baiser qui devient fougueux en un instant. Sa langue rentre dans ma bouche et la mienne essaye de faire pareil pendant que je joue avec ses tétons qui sont biens durs.

Elle se recule un peu tout en laissant mes mains sur sa poitrine qui durcie puis dans un mouvement rapide elle déboutonne sa jupe et la laisse glisser par terre. Je vois alors qu’elle ne porte rien dessous et que sa chatte est toute lisse. Elle recule encore et prend un sac en toile qu’elle pose par terre pour s’allonger dessus. Elle ouvre bien grand ses cuisses pour m’offrir une vue imprenable sur sa vulve qui brille en me demandant de la lécher. Je me place entre ces jambes et j’embrasse ses lèvres déjà trempées de cyprine avant de lui fourrer la langue à l’entrée de sa grotte. Je fouille un peux son puits d’amour pour finir par aller titiller son clitoris du bout de la langue.

Elle pose ses mains sur ma tête et appuie dessus pour me faire comprendre de continuer plus fort sans hésiter. Je fais alors rouler son clito en passant bien ma langue dessus, puis je tourne autour avant de recommencer. Elle gémit et frémis sous mes coups de langue jusqu’au moment où elle ne tient plus et me demande de la prendre. Moi qui la trouvait timide je suis surpris mais j’obéis et pose ma bite sur sa fente. Elle me repousse en me disant pas là je veux rester vierge pour mon futur mari mais que je peux l’enculer autant que je veux. Elle m’autorise même à le faire sans capote et à gicler dans son cul bien rond. Je suis surpris de cette demande qui semble même être une prière et pour lui faire plaisir je lui accorde son souhait.

Doucement je lui soulève les jambes en les laissant bien ouvertes pour poser mon gland gonflé sur sa rosette. Je lui frotte un peu le cul sans pour autant rentrer ma queue dans son fion et c’est en me suppliant qu’elle me demande de l’enculer directement. Je prends plaisir à la faire languir encore un peu pour ce qui l’excite davantage et elle se met à bouger son cul contre ma tige pour essayer de s’empaler. Je la regarde dans les yeux en lui demandant si elle veut vraiment la prendre directement à fond et me dit oui. Alors sans me retenir et lui bloquant le cul avec mes mains je pousse sauvagement lui arrachant un cri tout le temps que ma bite rentre dans son cul. En rien de temps je suis entièrement en elle mes couilles contre son cul ferme et je sens ses sphincters s’ouvrir et se refermer en serrant fort ma queue dure. Elle se mord les lèvres sous la douleur mais ne bouge pas tout comme moi bien calé au fond de son intestin.

Je lui demande si c’est sa première fois et elle m’avoue que oui, qu’elle a mal mais qu’elle veut que je continue pour gicler mon foutre dans son fion. Je commence lors doucement mon va et vient lui arrachant toujours des cris de moins en moins bruyants tout en sentant son cul s’ouvrir doucement. Ma petite salope noire commence à apprécier mon traitement mis je décide alors de l’enculer sauvagement sans précautions. Elle gémit de nouveau de douleur pendant que je la ramone bien profond pour passer à l’étape où elle commence à apprécier de sentir ma bite lui chauffer les boyaux.

Elle ferme les yeux et commence à avoir du mal à garder sa position mais je vais encore plus vite et je sens ma sauce qui arrive. Je finis par inonder ses intestins en me calant le plus loin que je peux et plusieurs jets de foutre remplissent son cul brulant. Elle gémit et sourit contente de ce qui lui arrive en me demandant de bien la remplir. Je reste enfoncé en elle un petit moment jusqu’à ce que ma bite ramollie ressorte de son trou du cul dans un bruit de succion. Je regarde alors sa rondelle qui reste grande ouverte pour attendre l’écoulement de mon foutre mélangé à son jus de cul. Je pose mes doigts sous son fion pour récupérer un peu de ces jus et je l’oblige à lécher pour qu’elle goute. Elle fait une petite grimace avant de se mettre deux doigts dans le cul et les ressortir recouverts de foutre pour les lécher. Elle y prend gout et me souris.

Je lui souris à mon tour et la remercie pour se plaisir intense qui est aussi ma première fois avec une belle noire salope. Elle répond gentiment qu’elle veut être ma salope qui sera à ma disposition quand je voudrais. Je lui propose alors de venir passer le week-end chez avec l’autorisation de ses parents.

Une fois rhabillés et de retour au bureau nous retrouvons son père à qui je fais part de mon invitation qu’il accepte sans hésiter. Il me propose même d’emmener sa fille avec moi en repartant ce que j’accepte bien volontiers car nous allons passer 4 jours ensemble à baiser comme des bêtes.

Je la laisse partir chercher ses affaires qu’elle met dans le coffre de la voiture et nous voici partis chez moi. Au bout de quelques kilomètres elle me demande si je peux m’arrêter car elle a envie de pipi et elle voudrait aussi marcher car elle a mal au cul. Je me gare le long d’un bois et nous descendons pour rentrer dans les bois. Je la regarde en souriant et je lui dis que j’aimerais la voir faire pipi devant moi. Elle accepte en s’accroupissant et très vite elle commence à faire son petit besoin. J’admire son jet qui sort de sa chatte et qui coule part terre pendant un bon moment. L’envie était grosse en effet mais sous l’impulsion de son pipi elle se met à avoir des bulles qui sortent de son cul. Je lui demande si elle a toujours mal car je crains que la marche ne change rien. Elle finit son pipi, se relève sans même s’essuyer pour commencer de marcher. Deux minutes plus tard elle me dit que c’est toujours pareil alors qu’elle n’avait presque pas mal avec ma bite dans le cul. Je la pousse contre un arbre et la fais se pencher puis je sors ma queue qui a repris sa forme avant de lui poser sur le cul.

Elle m’implore cette fois de ne pas le faire mais sans l’écouter je m’enfonce dans son fion. Elle crie de douleur sur le coup, puis une fois mon pieu planté dans son cul elle ne dit plus rien. Au contraire elle me dit avoir eu mal au moment où je l’ai enculée de nouveau mais que maintenant ça va mieux. Je prends alors le rythme pour la limer comme la première fois et en cinq minutes je jouis de nouveau au fond de ses boyaux. Je me retire tout de suite et lui demande de nettoyer ma queue luisante de foutre et de son propre jus ce qu’elle fait avec application. Telle une sucette elle me lèche la queue pour bien enlever ce qui reste dessus tout en mettant une main sous son fion pour pousser et faire ressortir le jus dans sa main. Une fois le cul vide elle me montre sa main et me propose de toute mettre dans sa bouche avant de m’embrasser. J’accepte sans hésiter et nous finissons par nous embrasser à pleine bouche nos langues jouant avec ce jus avant d’avaler chacun notre part.

Nous repartons à la voiture mais en arrivant elle me dit avoir de nouveau mal au cul. Elle veut savoir combien de temps ça peut durer mais je ne lui dit pas. Je sais qu’elle en a pour un bon moment mais d’ici là je lui aurais encore mit un coup de bite. Nous repartons chez moi tranquillement ma main caressant sa vulve dégoulinant de cyprine sous sa petite jupe et la sienne tenant ma queue en la branlant doucement. Je sens que son séjour va bien e passer.

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