Je n’avais aucune idée de ce qui allait m’arriver ce midi, quand à la fraicheur du matin, je sorti de chez moi pour me rendre au bureau. Après une toilette minutée, mais procédurière comme à chaque matin de la semaine, j’hésitais entre le pantalon noir, petit t-shirt décontracté ou le tailleur noir très strict. Mes doutes se dissipèrent quand je décidais de porter ce jour, les très chics chaussures rouges à haut talons, joliment décorée de petites boucles servant à bien enlacer les chevilles, ce qui leur donnait un aspect très « sexe ». Je porterais donc le tailleur noir avec un joli chemisier blanc, délicatement transparent. De beaux sous-vêtements blancs en dentelle complétaient la panoplie.
Dehors, il faisait frais, presque froid. Je n’avais pas pris de manteau, le beau soleil qui avait irradié dans le salon au petit matin, m’avait fait croire à une journée plus chaude. Mais cela m’importait peu, j’aimais ressentir sur mon corps cette fraicheur, elle avait pour vertu de bien me réveiller tout en laissant échapper des pensées lubriques. Certainement parce que mes tétons s’endurcissait au contact du froid. C’était en effet une merveilleuse sensation que de marcher dans la rue, sentir ses tétons qui pointent dans un chemisier fin et transparent. Pas seulement pour moi-même, j’avais déjà remarqué que des hommes mais aussi des femmes aimaient regarder fixement, certainement avec envie, ces excroissances, et moi ça m’excitait.
Ce fût d’ailleurs le cas en arrivant au bureau. Le bonjour de Mademoiselle la secrétaire n’était pas habituel, un léger rictus sur ses lèvres pulpeux et maquillé d’un beau rouge, ainsi qu’un regard trop prononcé avaient trahis son observation de la chose.
La matinée fût chargée comme cela est souvent le cas au bureau. A 11H40, Mademoiselle vint m’annoncer que le Directeur souhaitait me voir sur les coups de 12H20. Cela m’enragea, cette fâcheuse habitude que de coincer les gens durant leur pause déjeuner ! Mais le Directeur avait de sérieux atouts, belle homme, élégant, toujours courtois, il présentait une belle carrure musculaire et un très beau sourire. Plus d’une femme dans le bureau fantasmait de cet élégant Monsieur. Une fois, l’une de mes collègues s’était laissé aller à me raconter son fantasme de se faire prendre dans le bureau du directeur, avec des détails assez croustillants. Aussi, à chaque fois que l’une d’entres nous était convoquées dans son bureau, cela nourrissait le fantasme de toutes les autres.
Les 40 minutes qui me séparèrent de cette convocation me semblèrent très longues. A midi, toutes les collègues sortirent pour la pause déjeuner, après m’avoir jeté un regard noir. J’étais seule dans le bureau, seul Mademoiselle se trouvait dans le bureau d’à coté. Inconsciemment, mes doigts glissèrent entre mes cuisses et se mirent à caresser mon pubis à travers ma jolie petite culotte blanche en dentelle. Mes tétons se durcirent à nouveau.
Ma culotte était trempée quand le téléphone sonna. C’était la ligne du Directeur, il était 12H19, ponctuel ! Je répondis, mais ce ne fut pas sa voix que j’entendis, mais celle de Mademoiselle « Monsieur le Directeur vous attends dans son bureau ». Je raccrochais le téléphone, réajusta ma jupe, nettoya mes doigts avec un kleenex et me dirigea vers son bureau. La porte était ouverte, mais la voix de Mademoiselle anticipa mes questions, « entrez et fermez la porte ». Je m’exécutais et me dirigeais vers le fond de la pièce où à ma grande surprise se trouvait Mademoiselle … seule.
Elle se tenait assise sur le grand bureau du Directeur, ses joues étaient rouges et ses yeux fixaient mes tétons à nouveaux. D’un geste délicat, elle poussa d’une main le bureau ce qui fît rouler son fauteuil vers l’arrière du bureau, laissant découvrir de belles jambes au milieu desquelles, sa main opposée s’agitait comme cela fût le cas pour moi il y a quelques minutes. Je restais debout à regarder, il se passa deux minutes sans que nous nous adressâmes la parole. C’est alors qu’elle se leva, vint vers moi, me pris la main et m’accompagna jusqu’au siège ou elle était assise. Elle me fît signe de m’assoir, ce que je fis sans lâcher son regard du mien. Elle glissa debout ses jambes entre les miennes, souleva sa jupe et me pris mes mains pour faire glisser sa petite culotte le long de ses cuisses. Son geste était d’une rare générosité, car doux et inter temporel. La culotte glissa tout doucement ce qui me fît observer sa magnifique chatte délicatement épilée en grand I. Quand sa culotte eut atteint ses genoux, sans lâcher mes mains elle les remonta sur ses fesses où elles se mirent à imprégner à mes mains « un ordre », celui de lui malaxer doucement mais fermement son cul. Je m’y éxécuta avec un réel plaisir, que je découvrais, tout en regardant et en salivant sur sa magnifique chatte. Quand ses doigts se glissèrent dessus et se mirent à la caresser, je pu distinguer de magnifiques lèvres roses, toutes lubrifiées de mouillure. Mes mains se mirent à malaxer plus fermement ses fesses, et certains de mes doigts glissèrent sous ses fesses pour rejoindre les siens. Le contact chaud et mouillé de son vagin me fit frissonner tout mon corps, je savais que ma chatte était également toute mouillée. Tout devenait fou ma tête, cette belle chatte sous mes yeux, cette mouillure sur mes doigts, cette chaleur dans mon ventre, … Sans réfléchir, je jetai mon visage contre son pubis, et me mis à la lécher de grands coups de langue qui me donnaient à moi-même autant de plaisir que celui qu’elle lui donnait. Le goût de mouillure sur ma langue était tellement chaud que je me mis à en avaler chacune de ses gouttes. Elle prenait désormais ma tête avec force, la serrant contre son pubis. Ce moment dura de longues minutes, et à mon étonnement elle arracha ma tête à son corps comme si elle voulait s’en débarrasser. Au sentiment presque terrible de peur que cela créa en moi, se mélangea un désir fou quand je vis ses yeux remplis d’envie qui me dévisageaient : « petite pute, tu vas prendre cher me dit-elle ». Elle ouvrit un tiroir du bureau et en tira une cordelette, fit le tour de ma chaise et m’attacha mes mains entres elles autour de la chaise, puis mes pieds aux pieds de la chaise. Quand elle revint en face de moi, je vis une autre femme, une femme qui ne voulait plus être possédée, mais qui allait prendre possession de moi, de mon corps à sa façon, selon sa volonté.
Elle prit possesion de mon corps, de ses doigts, de sa langue, d’un godemichet sorti d’un autre tiroir, mon vagin mais également mon anus furent pénétrés sauvagement sans retenu de ma part, je ne pouvais pas. La douleur de la pénétration anale se transforma en une vague de plaisir qui me submergea de la tête au pied,
Quand je me mis à crier ma jouissance, tout en levant la tête vers le plafond pour mieux m’exprimer, un flot de sperme s’abattit sur moi, je ne compris rien, mais ne voulu pas interrompre mon plaisir, je criais, criais, pendant que tout ce flot de sperme décora l’ensemble de mon visage, et se mis à couler dans ma gorge ….
Quand j’eue repris mes esprits, Mademoiselle était assise face à ma chatte, apaisée et souriante. Je me retournai, Le Directeur, il était là, le sperme c’était lui il avait assisté à tout et avait joui sur mon visage.
13H30, je repris le travail sain d’esprit et de corps, les autres me dévisageaient, le sperme avait enlevé mon fond de teint, … je souriais et imaginais ce que leurs esprits pouvaientt imaginer. J’étais libre, heureuse …
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