J’ai convaincu ma femme d’accepter un massage érotique « istanbul » à l’occasion d’un de nos voyages au bout du monde. Je nourrissais ce fantasme depuis longtemps mais je n’avais jamais osé le lui proposer.
Contre toute attente elle a facilement accepté ma proposition. Ce qu’elle ne savait pas c’est que j’avais soudoyé son masseur pour qu’il essaie par tous les moyens dont il disposait pour arriver à la faire jouir voir plus si cela était possible. nous appelons Masseure partir du site Web de massageforwife.com
Quand je lui exprimais mon envie d’assister au massage, il m’a alors proposé moyennant finance, de m’installer dans une pièce spécial « voyeur ». Je découvrais alors une toute petite pièce légèrement surélevée jouxtant la cabine de massage. Il y a avait un fauteuil, un système d’écouteurs branchés sur des micros installés dans la fameuse cabine et surtout, une glace sans tain permettant d’avoir une vue imprenable sur la table de massage.
A peine le temps de m’installer que je vois mon épouse, entrer dans la pièce accompagnée d’une ravissante jeune fille « istanbul ». Cette dernière l’aide à se déshabiller entièrement puis, après l’avoir fait allongée sur le ventre, recouvre ses fesses d’une large serviette.
Quelques secondes après son départ, l’homme du « deal » entre dans la cabine. Il porte un kimono et mon imagination me pousse à penser qu’il doit être nu sous son vêtement, prêt à sauter sur la moindre occasion qui pourrait s’offrir à lui.
Le jeune homme enduit ses mains d’huile puis commence son massage. Pendant de longues minutes, le massage est très professionnel si bien que je vois mon épouse se détendre jusqu’à entrer dans une semi-léthargie. Ses yeux sont fermés, elle semble complètement relâchée, confiante. C’est à cet instant qu’habilement, l’homme fait glisser très lentement la serviette pour découvrir progressivement son magnifique fessier. Depuis un moment déjà, il masse d’une façon beaucoup plus érotique si j’ose dire sans que mon épouse ne manifeste une quelconque désapprobation. Ses mains remontent très lentement vers les fesses qu’elles finissent par atteindre mais sans s’y attarder. L’homme s’occupe de ses reins et du bas de son dos. Je vois son regard sur les globes bien fermes de mon épouse. Il sait que je ne perds pas une miette de ce qui se passe car de temps en temps, discrètement, il jette un regard complice vers le miroir derrière lequel je suis installé.
Ma femme est tellement relâchée que ses fesses se sont naturellement séparés, offrant ainsi au masseur, une vue imprenable sur son œillet que je sais si attirant.
De temps en temps, les mains reviennent sur les fesses, les écartent mais sans exagération, repartent vers les cuisses, reviennent, et repartent vers les reins à la plus grande satisfaction de mon épouse qui pousse de discrets petits soupirs de satisfaction.
Au bout d’un moment, les mains se concentrent sur les globes fessiers tantôt en les pressant, tantôt en les caressant. Les doigts s’égarent insidieusement entre eux pour effleurer la petite corolle plissée qui se contracte à chaque attouchement mais aussi plus bas, vers la fente que j’aperçois maintenant distinctement comme par magie.
Jusqu’à cet instant, je ne m’étais même pas rendu compte que mon épouse a écarté ses cuisses sans doute pour mieux permettre à son masseur d’accéder à son intimité. Cela s’est fait si naturellement que je ne m’en étais pas aperçu. Je me rends compte que ses lèvres intimes, légèrement ouvertes sont brillantes de secrétions. J’en suis maintenant sûr, elle est excitée et dans cet état, je sais qu’avec beaucoup de tact, l’homme va arriver à obtenir d’elle tout ou presque tout, ce qu’il voudra.
D’ailleurs un de ses doigts, de temps en temps, passe rapidement mais sans ambiguité sur la fente, dans le sillon qui sépare les deux lèvres. Il s’insinue un peu plus entre elles à chaque passage sans que mon épouse ne se rebelle. Elle semble s’abandonner complètement aux caresses. J’ai même l’impression qu’elle est beaucoup plus cambrée qu’au début de la séance. Ses fesses sont complètement offertes aux mains du masseur qui les malaxent maintenant sans plus aucune retenue. J’entends grâce à la sonorisation de la pièce les soupirs que poussent mon épouse, témoins du plaisir qu’elle ressent.
Au moment où un des doigts glisse entre les lèvres d’une manière plus incisive, très certainement en direction de son bouton, je vois mon épouse esquisser un léger retrait de son bassin comme si elle voulait échapper à cette intrusion plus franche. L’homme s’arrête puis lui demande si cela lui déplaît et s’il doit arrêter. Il précise qu’elle n’était pas obligé de parler mais que si elle voulait qu’il continue, il suffisait simplement qu’elle écarte un peu grand ses jambes.
Je l’entends alors lui dire qu’elle le laisserait bien continuer mais qu’elle était mariée et qu’elle ne savait pas comment je réagirais quand j’apprendrais ce qui s’est passé.
L’homme lui réponds que ça ne dépendait que d’elle et que pour sa part, il était lié au secret professionnel et rien ne sortirait de cette cabine de massage.
Je la sens hésitante mais il finit par ouvrir doucement la fourche de ses cuisses. Ses jambes sont maintenant de chaque côté de la table. La cause est entendue, l’homme sans plus attendre, fait glisser ses mains dans l’ouverture pour atteindre le fruit défendu. Ses doigts séparent la fente d’où s’échappe un filet de mouille. Un doigt s’engage dans le trou de ma petite femme et s’enfonce lentement. Après quelques « va-et-vient » un deuxième rejoint le premier sans rencontrer de désapprobation. Le masseur commence à la prendre plus franchement tandis que mon épouse se met à émettre des petits gémissements des plus excitants. Elle cambre son dos pour permettre aux doigts de mieux l’investir. Elle est totalement consentante, participe même en s’offrant clairement aux doigts qui la possèdent. Je bande de plus en plus fort en pensant que ma femme était une adorable petite salope. J’ouvre ma braguette pour en extraire ma verge et commence à me branler lentement. C’est la 1ère fois que je voie d’autres doigts que les miens coulisser dans la chatte de mon épouse. Mon sang bouillonne dans mes tempes, je suis partagé entre excitation extrême et jalousie bien légitime de constater qu’elle n’oppose plus aucune résistance et facilite même l’accès à son puits d’amour.
L’homme est habile car lorsqu’il introduit un 3ème doigt, il lui caresse en même temps le bouton ce qui lui fait donner des coups de reins d’avant en arrière. Quand je la voie se ramasser sur elle-même et tous ses muscles se tendre, je sais qu’elle va jouir. Elle relève la tête et laisse échapper distinctement un feulement de chatte en chaleur. Elle jouit longuement les yeux dans le vague. Ses fesses et ses cuisses tremblent de longues secondes tandis que j’imagine les vagues de plaisir parcourir son corps, remonter le long de sa colonne vertébrale pour atteindre son cerveau et mourir dans un feu d’artifices. Je n’en reviens pas de la facilité avec laquelle cet inconnu est arrivé à ses fins.
Il la laisse jouir en continuant à lui caresser les fesses et le dos puis la prends dans ses bras et la retourne délicatement sur le dos. Il continue à la caresser, ses mains courent sur son ventre, descendent dans la fourche de ses cuisses et les écartent délicatement toujours sans qu’elle n’oppose la moindre résistance sans doute vaincue par la jouissance qui s’estompe lentement.
Il lui ouvre la chatte en séparant ses lèvres intimes d’où s’écoule une importante quantité de secrétions intimes comme à chaque fois qu’elle jouit bien. De ma position je peux voir distinctement l’ouverture béant de son trou, luisant de mouille. L’homme contemple le spectacle qu’elle lui offre quelques secondes puis se penche en avant. Il se met à lui lécher le pourtour de son sexe dans un 1er temps puis, glisse sa langue dans l’ouverture pour se délecter du nectar qui ne cesse de s’échapper au rythme des puissantes contractions de son vagin. Quand il s’attaque à l’imposant clitoris en le prenant entre ses lèvres pour le sucer comme un petit sexe d’homme, mon épouse se raidit en piaillant sans plus aucune retenue.
Oh yessssssssssssss. Yesssssssssssss.
Elle lui parle en anglais pour manifester sa satisfaction ce qui ne manque pas de booster un peu plus son masseur qui la flatte en lui disant qu’il adore son goût et son odeur et qu’il avait envie de la dévorer, de la boire jusqu’à son dernier souffle.
Quand elle lui saisit la tête à deux mains et que son corps se tends d’un seul coup comme un arc, je sais qu’elle va jouir à nouveau. L’homme lui remonte les cuisses vers sa poitrine et colle son visage à sa chatte pour mieux la dévorer. Deux ou trois de ses doigts la fouille aussi profondément que possible, accompagnant les mouvements désordonnés qu’elle imprime à son bassin. Elle jouit. Un puissant orgasme la submerge une nouvelle fois. Sa voix résonne dans la salle, m’inonde la tête d’un plaisir dont je ne me serais pas senti capable d’éprouver en voyant ma femme jouir grâce à un autre mâle.
Quand elle retombe sur sa couche, inerte, sa poitrine bouge à peine tant elle semble être allée au bout du plaisir. Elle est magnifique. Cette 2ème jouissance a été magnifique. L’envie de la serrer dans mes bras et de l’embrasser me submerge mais malheureusement, de là où je suis, c’est un plaisir que je ne pourrais pas avoir d’autant que l’homme reste la bouche soudée à son sexe. J’imagine avec un nouveau petit pincement au cœur qu’il la nettoie consciencieusement et se délecte de sa liqueur intime. Mon épouse épuisée se laisse faire, appréciant sans doute les attentions dont elle est l’objet. De longues secondes s’écoulent encore avant que l’homme ne se redresse. Quand il se lève, je vois son sexe dressé contre son ventre. Je n’arrive pas à détacher mon regard du sexe qui va bientôt s’engouffrer dans le ventre de mon épouse car je n’ai aucun doute sur ce qui va bientôt arriver . La tige de chair est ni très longue, ni très épaisse. Normal en quelque sorte ce qui me rassure un peu quelque part de ne pas avoir affaire à une bête de sexe qui rendrait ensuite mes prestations définitivement fades et dénuées d’intérêt. Il se branle lentement tout en rapprochant son gland de la vulve à sa merci.
Mon sexe me fait mal tant l’excitation qui m’habite est intense. J’ai joui sans même me toucher et pourtant je bande encore. Je ne rappelle pas avoir jamais été aussi excité.
J’assiste le cœur serré au moment fatidique où, s’aidant de sa main, il pose son gland entre les lèvres intimes de mon épouse. Il le fait glisser entre les lèvres deux ou trois fois à la recherche de l’entrée puis l’enfonce délicatement dans le trou qui n’attends que çà.
Le souffle me manque, j’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter quand je le vois avancer son bassin lentement. Le gland disparaît, comme happé par un ventre affamé. Il ressort luisant de mouille puis s’enfonce à nouveau, la hampe suit. Il ressort encore et replonge aussitôt cette fois qu’aux couilles. Mon épouse pousse un long gémissement en sentant le membre buter contre sa matrice. Elle est prise complètement. Mon cœur se serre à nouveau lorsque je la vois distinctement soulever ses reins de la couche et avancer son bassin à la rencontre du pieu qui la perfore puis, tendre ses mains pour crocheter ses jambes sous les genoux et les tirer vers sa poitrine comme elle le fait avec moi lorsqu’elle veut être prise le plus profondément possible. Dans cette position hyper excitante, elle s’offre au maximum. L’homme la saisit aux hanches et commence à la besogner tout en profondeur ce qui a l’air de lui beaucoup lui plaire si j’en juge par les encouragements tantôt en anglais, tantôt en français qu’elle lui lance.
La possession est interminable. Après deux nouvelles jouissances, mon épouse épuisée, au bord de la syncope, se laisse retomber sans force sur la couche. Lui n’a toujours pas joui ce qui me fait supposer qu’il a pris quelque chose pour faire preuve d’une telle endurance. Il fait coulisser doucement son sexe en elle puis lui relève les jambes qu’elle venait de laisser choir. Il s’extrait de sa chatte et mouille avec son gland couvert de cyprine, l’anneau de chair brun. Il enduit son gland copieusement de salive puis se branle sur l’œillet, s’y enfonce, se retire, s’y enfonce encore. Remet de la salive directement sur l’anneau puis devant le manque de réaction de sa partenaire, appuie plus fermement sur les chairs qui s’ouvrent étonnement facilement. Je n’avais pas prévu ni même pensé qu’il lui ferait çà mais il est déjà trop tard. Mon épouse pousse un faible « non pas çà » Le bout de son sexe disparaît rapidement dans l’anus de ma femme. Il se retire doucement et recommence sa manœuvre à mon plus grand désespoir. En trois coups de reins, il est arrivé à la sodomiser complètement malgré les protestations il est vrai peu convaincantes, de ma petite femme. Il coulisse maintenant fièrement dans l’anus de cette femelle qui a repris ses gémissements. Il lui assène de véritables coups de boutoir, faisant bouger tout son corps à chaque impact. Il va lui défoncer l’anus à la prendre aussi fort et pourtant, mon épouse ne bronche pas, ne se plaint pas, au contraire elle l’encourage à la prendre encore plus fort ce qui malgré le petit malaise de la voir s’offrir ainsi aux coups de queue, m’excite de plus en plus. Je sais qu’il ne va plus tarder à se vider dans les entrailles de ma femme. Son ventre claque contre ses fesses, ses muscles se tendent, ses coups de reins deviennent plus profonds, plus incisifs. Il se bloque tout d’un coup en poussant un long cri rauque. Il décharge son foutre, ses yeux basculent, il prend son pied le salaud, il bouge à peine pour mieux sentir sa sève monter le long de sa hampe. Ma femme bouge son cul doucement comme pour extraire les dernières gouttes de semence de la tige profondément enfoncée entre ses fesses. Le calme revient. J’ai joui une 2ème fois simplement grâce à l’excitation que m’a procuré cette sodomie à laquelle je ne m’attendais pas. Je nettoie les dégâts sur mes cuisses et quitte précipitamment la pièce sombre pour aller attendre mon épouse au « coffee-lodge » de l’hôtel où elle m’avait laissé.
Un bon quart d’heure s’écoule avant qu’elle ne réapparaisse. Je la chambre gentiment en lui disant que d’habitude les massages ne durent pas aussi longtemps puis je lui demande sur le ton de la plaisanterie si elle ne s’est pas faite le masseur des fois.
Elle rit de bon cœur puis me réponds en riant qu’il l’a un peu touché avouant même que ça l’avait excité, rajoutant finalement qu’elle se serait bien laissé faire si je lui avais donné la permission avant.
Je souris en rependant à la séance de voyeurisme qu’elle m’a offerte puis je lui rétorque sûr de moi qu’elle avait eu bien tort de ne pas en profiter car moi, je n’aurais pas hésiter si j’avais eu une jolie masseuse à ma disposition.
Je la sens sur le point de tout me balancer quand elle plante son regard dans le mien de longues secondes qui me paraissent une éternité. Dans sa tête ce doit être l’orage, elle semble complètement déstabilisée, hésitante. Elle finit par me demander si j’étais sérieux en lui disant que ça ne m’aurait pas gêné qu’elle laisse un autre homme la faire jouir voire plus peut-être.
Je ris de bon cœur en me penchant vers elle pour lui murmurer dans le creux d’une de ses oreilles :
C’est les vacances mon amour. Nous ne connaissons personne ici. Tu peux te lâcher sans crainte et puis, ces masseurs sont là pour çà tu sais. De nombreuses femmes craquent entre leurs mains. Ça fait partie de leur prestation. Ce serait dommage de s’en priver.
Je n’en reviens pas de t’entendre me dire çà. Vraiment, tu n’es pas jaloux ?
Jaloux ? Et de qui ma chérie. Un masseur n’est pas un rival, il ne va pas t’enlever à moi. C’est juste un professionnel capable de nous emmener au bout du relâchement, au bout de nous-même en nous débarrassant de nos interdits qui nous empêchent de nous laisser aller de temps en temps et Dieu sait si nous en aurions besoin.
Elle est vraiment sur le point de tout m’avouer quand elle plante à nouveau ses jolies yeux dans les miens mais je ne la sens pas vraiment prête aussi, avant qu’elle ne s’exécute, je me penche encore vers elle pour lui voler un baiser et lui souffler :
Je t’aime ma chérie, laisses-toi aller, lâches-toi, c’est les vacances.
Elle me sourit presque timidement comme une petite fille qui vient de commettre une bêtise avant de me souffler à son tour :
– Toi, t’es un coquin mais je t’aime.
La suite dans un prochain récit…
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