Cette scène m’a obsédée les jours suivants. Je ne pouvais m’empêcher d’y penser, quand je croisais un de ces jeunes hommes dans les rues de la ville. En me déshabillant, je tombe dans le tiroir de la commode de ma lingerie, sur le vibromasseur commandé il y a quelques années aux 3 Suisses, sur le conseil d’une amie, quand j’ai découvert les mensonges de mon ex mari. J’ai remis une pile, çà remarche, et c’est la fête à mon clitoris, jusqu’à l’explosion de jouissance.
Au cours de salsa, tango et autres danses, où je me rendais régulièrement pour entretenir une petite forme, il y avait Doudou, un sénégalais fidèle, qui dansait comme un dieu. Pour les exercices pratiques, le professeur formait les couples, et cassait les affinités. Doudou était toujours monopolisé par les deux mêmes jeunes femmes de 20/25 ans. J’ai eu la chance de lui être affectée, et je lui ait fait f comprendre qu’il ne tenait qu’à lui de nous connaître davantage.
Il s’est précipité sur l’occasion, nous sommes allé boire un verre après le cours, il m’a fait une cour empressée, j’étais très amusée, il était courtois, de l’humour, et de bonnes manières. J’ai appris qu’il avait 23 ans, employé dans une agence de voyages, et une adoration pour les « femmes européennes de 40 ans, assumant seules avec courage leur destinée». J’ai repoussé son désir de rendez-vous au lendemain, pour me laisser un temps de réflexion. Mais sa voix, ses réflexions un peu enfantines, sa décontraction m’avaient envoutée, j’avais envie d’un homme, de le revoir vite. Et nous nous sommes retrouvés chez moi, il m’a caressé les cheveux, ses grosses lèvres ont effleuré mon front, mes joues, puis ma bouche pour un long baiser, sa langue épaisse enveloppait la mienne, nos salives se mélangeaient, il me serrait contre lui, ses grandes mains se sont emparé de mon dos, mes fesses, me plaquant contre son ventre, je sentais sa virilité raidie contre moi, à travers nos habits. Il a enlevé son polo, son torse était musculeux, une grande sensation de le caresser, de prendre en bouche ses petits tétons. Il a dégrafé son pantalon, il était en slip blanc moulant, faisant un beau contraste avec sa peau noire, jeune lisse.
Et çà pointait sous le tissu coton blanc, c’était ravissant !
J’ai défait ma robe, j’étais en slip, en collant et soutien-gorge devant ce beau jeune homme, en slip et en érection. Sans réfléchir, je m’entendis lui dire :
« – Ne bouge plus, je veux te regarder. »
Ah ! quel délicieux spectacle, son corps noir luisant, ventre plat, petites fesses, les jambes un peu fines, mais musculeuses. J’étais assise sur le lit, envoûtée, le regard fixe. Nous sommes restés ainsi un instant, il me regardait, étonné, ses yeux noirs roulant dans leurs orbites. J’ai senti la chaleur qui venait dans mon ventre, et la bosse qui gonflait sous son slip. C’est tellement agréable d’être désirée…Il m’a tirée contre lui, dégagé son slip, et j’ai alors senti son membre durci placé entre mes jambes, contre le pubis. Il a dégrafé mon soutien-gorge et a tété mon sein ? Une onde de plaisir a envahi mon corps. Il était nu nous étions peau contre peau, il m’a embrassée, j’ai fait descendre mon collant et ma culotte pour sentir son contact. J’ai touché son pénis , toujours tendu et arqué vers le haut, comme j’aime. Une chance !
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