Quand Pascal entra dans la chambre Monique était nue sur le lit et regardait la télé distraitement, Pascal se déshabilla et rejoignit sa belle.
Monique éteignit la TV et se lova contre son homme et lui fit remarquer qu’il en avait du temps à rentrer.
_ Sylvie n’a pas voulu de la nuit de réflexion, que sa décision était prise, qu’elle était sure d’elle, qu’elle voulait devenir ma pute dès ce soir.
_ Tu l’as donc accompagné chez elle et…..
_ Non, elle s’est offerte à moi dans le hall d’entrée.
_ Raconte, je veux tout savoir, ses paroles, ses gestes, ce que tu as dit et fait.
Et Pascal commença à raconter sa seconde partie de soirée et plus le récit avançait plus Monique se faisait chatte, jusqu’à chevaucher allongée la jambe de son homme, son bassin faisant de légers mouvements circulaires, sa main caressant le membre de Pascal qui lui, lui caressait la nuque, le dos, les fesses, un doigt passait lentement sur le petit trou vers son intimité mouillée et déjà ouverte, il le laissa là massant lentement l’intérieur de son antre.
Monique exerçait une pression plus importante de son clito sur la cuisse de son homme, alternant les mouvements circulaires avec des mouvements rotatifs, son souffle s’accéléra et devint plus fort, elle hurla sa jouissance, Pascal sentit des jets de cyprine inonder sa cuisse, Monique avait jouie quand Pascal lui raconta la jouissance de Sylvie, toutes deux étaient des femmes fontaines.
Pascal avait connu quelques aventures et une seule femme avant de rencontrer Monique en était une, sa prof de physique. Et voilà qu’à plus de cinquante ans il en connaissait deux.
Monique revenait à elle, continuait à s’agiter sur la jambe de son chéri.
_ Tu ne l’as pas prise, elle n’a pas goûté à ta queue
_ Non
_ Alors, prends moi, baise moi.
Elle se mit à genoux les mains en appui sur le mur, Pascal passa derrière elle, fît passer son membre érigé entre les lèvres pour l’humidifié et entra lentement en elle puis ressorti et de nouveau entra mais de quelques centimètres dans la chatte bien ouverte, ce qui mécontenta Monique.
_ Non pas comme ça
_ Ah bon, comment?
_ Tu sais très bien comment
Pascal avait posé le bout du gland juste à l’entée de l’antre et d’un violent coup de rein propulsa son membre dans la chatte béante, il toucha le fond de l’utérus et ressenti une légère piqure dû au stérilet.
Monique se trouva projetée contre le mur
_ Tu préfères comme cela?
_ Ouiiii, comme ça, défonce moi, dit……
_ Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase que le sexe était sorti et de nouveau entré violement et ainsi de suite Pascal la possédait toute en puissance et lui dit ce qu’elle aimait entendre.
_ T’aimes ça te faire baiser, salope, tu es ma putain.
_ Ouiii,
_ Tu es ma putain number one.
Monique parlait avec difficulté tant le rythme était soutenu, elle criait de plaisir
_ Ouiii pour tou……jours une bo…nne sal….ope, ta pu…..tain, ….a chienne
_ Donne moi ta langue, chienne
Monique ouvrit la bouche et donna sa langue
Leur langue tournaient et retournaient, un filet de bave coulait.
Pascal avait passé sa main sous Monique, lui pressant les seins, pinçant les tétons puis elle était descendu jusqu’au clito gonflé, elle s’agita frénétiquement dessus
Ce traitement et les coups de rein puissant firent hurler de jouissance Monique, la cyprine coulait sur la hampe, sur les couilles, Pascal continuait de la défoncer, elle hurlait de plus en plus belle.
Quand elle jouissait Monique hurlait, c’était sa façon à elle d’exprimer son plaisir. Cela avait surpris Pascal au début de leur relation, il s’y était habitué, avouant même que cela l’excitait.
Maintenant qu’ils habitaient une maison, plus de petits mots au dessus des boites aux lettres ou de plaintes de voisins comme cela s’était passé à leur deux anciennes adresses.
Sauf qu’habitant une résidence pavillonnaire, les voisins s’avaient qu’il y avait une salope qui se faisait baiser dans son jardin.
Pascal, la première fois qu’ils avaient baisé dans le jardin, lui avait demandé de se retenir, il voulait un peu plus de discrétion mais Monique avait des cris
_ Tu veux vraiment faire savoir aux voisins que tu es une salope
_ Je m’en moque
_ Ah tu t’en moques, alors jouie salope.
Un puissant coup de rein avait fait se soulever Monique, ses deux bars restant en appui contre le barbecue, elle avait hurlé.
Pascal fît se retourner sa belle.
_ Ouvre ta bouche et avale salope
Le nectar se déversa en flot dans la bouche, coula dans la gorge, Monique referma la bouche pour ne perdre aucune goute, pressa la queue de son mari pour en faire sortir une toute dernière gouttelette.
_ Merci mon amour se fût divin.
Ils s’endormir enlacés sur un drap mouillé.
Le lendemain, dans la mâtiné, Pascal reçu un message de Sylvie « ma chatte est toute lisse, elle attend impatiente la venue du membre viril de mon homme, quant à mon petit trou, il serait plus pratique que mon homme s’occupe de son épilation » Ta Pute Sylvie, puis une photo.
Pascal donna le, message à lire à Monique
_ Depuis le temps qu’elle te trouve à son goût, elle va pouvoir te goutter.
_ Ah bon?
_ Les femmes parlent entre elles.
_ Il faudra que tu m’explique.
FIN
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