Un soir dans mon petit studio, seule devant mon ordi, j’ai décidée de mettre par écrit les aventures de ma vie, tous ces trucs bizarres qui m’arrivent sans que je les aie cherchés, ou presque pas, c’est vrai que je suis un peu « innocente », comme dit ma mère, je me laisse porter par la vie, sans réfléchir à l’avenir, c’est pour ça qu’il m’arrive des surprises, la plus part agréables, ce sont celles que je vais vous conter au cours des pages qui suivent, mais tout d’abord, un peu de moi, histoire que vous voyez un peu qui je suis…
Je m’appelle Martine, j’ai vingt cinq ans, cheveux longs châtain clair, j’ai des yeux vert, un mètre soixante cinq pour cinquante cinq kilos, j’ai une poitrine 85B, j’aimerai en avoir un peu plus mais ça va, elle ne tombe pas, mes fesses sont un peu trop rondes mais les hommes aime ça, j’ai finie mes études après un bac 2, je bosse dans une maison d’édition, je suis célibataire, je vis seule avec un poisson rouge, « Gnangnan », c’est mon confident, ma vie me convient très bien comme ça, j’aime bien les mecs, mais pas trop longtemps, pour la « chose » surtout, et après, basta, je les envoie voir ailleurs, j’ai deux ou trois copines pour sortir et faire les connes, et d’autres aussi, mais des aventures, pour la « chose » aussi, j’aime bien faire les deux, j’alterne, au grès du vent et des rencontres, je ne suis pas fidèle, je me lasse vite des gens, parfois je reste des semaines sans avoir personne dans mon lit, je me débrouille toute seule pour les câlins, j’ai mes mains et des jouets pour ça, je vois juste mes potesses pour sortir et faire des teufs, on picolent un peu, on fument des pettes, on se tapent les mecs qui passent, si on est en manque d’affection, voila pour mon autoportrait…
Martine à la Plage…
Pour cette histoire de plage, j’avais dans les vingt et un à l’époque, j’étais en fac, c’était les vacances et pour me faire un peu de « soussous », je gardais le petit garçon d’une amie de ma grande sœur en Bretagne, maison à cinq cent mètre de la plage, je m’occupais de lui du matin au soir, sa maman travaillait, le père était partit avec un jeune, il faisait beau cette année là et je passais mon temps avec le gamin à nous baigner et jouer dans le sable, pas une minute à moi pour glander sur ma serviette au soleil, à dix ans, ça demande de l’activité un gosse comme ça, le pire, c’était les constructions de châteaux forts, avec mon petit deux pièces qui finissait toujours par me rentrer dans la raie et les pelletés de sable qui me remplissaient le slip de bain, j’en ramenais tous les jours à la maison, je passais une heure sous la douche à enlever tout ce qui avait collé sur mes parties intimes…
Un jour où j’en avais autant à enlever que t’habitude, je ne sais pas ce que j’avais fais en me lavant les fesses mais des grains de sable c’étaient introduits dans mon petit trou, bien coincés dans les plis annaux, façon papier de verre, impossible à enlever, même du bout des ongles qui me pinçais l’anus atrocement, très douloureux à enlever, je n’y arrivais pas, même en entrant mon doigt dedans, il en restait quand même, j’ai laissé tomber, me disant qu’ils finiraient bien par s’en aller tous seuls, mais à table pendant le diner avec la maman et le petit, j’ai été prise de terrible démangeaisons, à la limite de l’insupportable, je m’agitais le popotin sur ma chaise, essayant de me frotter sur le siège, je ne pouvais décemment pas me mettre la main dans la culotte pour me gratter, Marie Hélène, la maman, a finie par me demander ce que j’avais à m’agiter comme ça, j’ai que c’était rien, j’allais quand même pas lui dire que j’avais le trou de balle en feu, nous avons finis le repas, et pendant que je débarrassais la vaisselle dans la cuisine, n’y tenant plus et je me suis lâchée en me grattant la rondelle avec les doigts dans la culotte sous la jupe, wouaaa…! La vache…! Quel bonheur, quel soulagement…
Mais je n’avais pas entendue Marie Hélène arriver derrière moi, elle resta un moment figée à me regarder faire avant de toussoter pour me faire voir sa présence, la honte que j’ai eu, la baby-sitter de son fils se fouillant avec des doigts entre les fesses dans la cuisine, mais elle était cool, elle me demanda sérieusement quel était mon problème, elle voyait bien qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas chez moi, on pouvait tout se dire entre femme, j’ai lâché le morceau, très gênée d’avoir à parler de cette partie de mon intimité, elle a rit, elle connaissait le problème, elle avait vécue cela étant ado et c’est une Tante à elle qui lui avait fait les soins propices à enlever les méchants grains de sables irritants, elle me raconta comment sa Tante s’y était prise, la honte et la gêne qu’elle avait ressentie à exposer son anus devant elle, mais elle me dit aussi l’extase libérateur qu’elle avait ressentie une fois tous les grains de sable enlevés, elle se proposa pour en faire de même avec moi, j’ai été pour lui dire non merci, par pudeur, mais la démangeaison était devenue trop forte, je risquais de ne pas en dormir de la nuit, j’acceptais…
Et c’est comme ça que je suis retrouvée à quatre pattes sur mon lit, le cul en l’air, avec Marie Hélène à genoux derrière moi, me demandant d’écarter mes fesse avec mes mains et de pousser sur mon sphincter pour qu’elle puisse voir dedans et repérer les méchants grains, elle avait mit une serviette de bain sous moi, j’ai compris pourquoi quand je l’ai vue revenir de la salle de bain avec une petite poire en caoutchouc et une cuvette, elle a trouvée les premiers, – Ils sont là…! – Poussez…!, m’a-telle dit en utilisant un coton tige pour les sortir un par un, puis elle m’aspergeait l’ouverture avec une pette giclée du liquide tiède de la poire pour nettoyer, récupérant l’eau avec la cuvette sous moi, c’était très agréable ce petit jet, ajouté à la délivrance de ma démangeaison, elle en a trouvée deux encore, m’a rincée de nouveau en passant ses doigts délicats sur mes plis, j’étais bien, je me suis surprise à me penser que je resterai bien comme ça un moment, à me faire tripoter l’anus par elle, Marie Hélène était si douce, si caressante, j’ai sentis que je commençais à mouiller, c’est alors qu’elle m’a dit qu’elle voudrai bien voir plus loin s’il n’en restait pas, si j’étais d’accord…
Je lui ai répondus qu’elle savait ce qu’elle faisait, si ça ne faisait pas mal, je voulais bien, elle à commencée par me rentrer entièrement le tube de la poire dans les fesses…
– Je vais vous faire un petit lavement pour tout évacuer… Vous connaissez…? M’a-t-elle demandée.
– Heu…Non… on ne m’a jamais fait ça… ai-je répondue alors qu’elle finissait de vider la poire en moi, je sentais le liquide tiède gicler dans mon rectum.
– Videz-vous dans la cuvette maintenant… Je la tiens…
Je me suis vidée honteusement, le visage enfoncé dans le dessus de lit pour ne pas qu’elle me voit rougir, puis elle m’a nettoyée la raie avec une lingette et m’a essuyée, elle est allée chercher un gant vinyle, ce genre de gant qui sert pour se faire des colorations, elle m’a montrée un petit pot de crème épaisse en me disant que c’était de la vaseline pour lubrifier, elle m’en a déposée sur l’anus, me le massant délicatement, j’aimais cette attouchement, j’avais discrètement glissé une main sur ma vulve pour empêcher ma mouille de s’écouler devant-elle et je me touchais, elle s’est enduite un doigt de pommade et me l’a rentrée doucement dans les fesses en me disant de pousser à nouveau, je m’étais faite ça un jour, pour voir, ayant entendue des copines parler de sodomie, je voulais essayer seule, mais cela ne m’avait pas convaincue, mais là, en poussant, le doigt rentrait comme dans du beurre, je crois qu’elle me l’a mit entièrement, puis Marie Hélène m’a demandée si ça allait, si j’avais mal, j’ai dis non, elle m’a prévenue qu’elle allait bouger son doigt dedans et, d’une voix douce, m’a dit que je pouvais laisser ma main où elle était, elle avait vue et comprit…
Quand son doigt à bougé en moi, ça m’a fait bizarre au début, comme si un petit serpent était en moi, puis elle a commencée à faire des vas et viens, me demandant si j’aimais ça, j’ai miaulé un « oui » timide, elle m’a doigtée plus vite, son souffle était court, comme le mien, mes doigts se sont agités sur mon sexe, passant des lèvres à mon clito, la jouissance est montée très vite, ce n’était pas ma première fois avec une fille, mais là, c’était une femme de trente ans, comme une initiatrice, elle me faisait découvrir le plaisir anal, j’ai eu un orgasme foudroyant, j’ai giclée sous moi, une femme venait de me faire jouir par les fesses…
Elle n’a pas tentée d’avoir des caresses de ma part, elle n’a rien demandée en échange, elle m’a dit bonsoir et est partie se coucher, un peu plus tard, j’ai entendue des gémissements qui venaient de sa chambre, elle se masturbait, cela me troublait, en repensant à ce qu’elle m’avait fait, je me suis touchée aussi, j’ai jouis une nouvelle fois en l’entendant prendre son pied, le lendemain, je ne l’ai pas vue le matin, elle partait tôt, mais le soir, elle m’attendait pour diner, dans mon assiette, il y avait un petit paquet cadeau, elle m’a dit de ne l’ouvrir que dans ma chambre, j’ai patienté fébrilement toute la soirée, au lit, quand j’ai ouvert le petit paquet, ma surprise a été totale, c’était un petit vibro blanc, fin et d’une quinzaine de cm de long, j’en ai compris l’utilité de suite, il n’était pas assez gros pour un plaisir vaginal, elle avait joint au cadeau, un petit tube de lubrifiant et un mot, à utiliser sans moi et sans grains de sable, ça n’a pas traîné, j’ai goutté de suite à son objet, tout en me caressant, je me suis faite seule un plaisir sodomite prolongé en pensant à elle, le lendemain, je l’ai remerciée en voulant lui faire une bise, nos bouches ont glissées l’une vers l’autre et nous nous sommes embrassées langoureusement, nous avons passées la nuit ensemble, elle avait envie de moi depuis longtemps, elle me l’a montrée…
FIN…
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