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Dessous de table

Dessous de table



Tout a commencé par jeu. Je ne m’étais pas cachée le trouble que me procurait ma partenaire. Elle avait remplacé Philippe un collègue et ami. Nous débarquions au quotidien dans des restaurants ou des magasins. Nous incarnions alors la DGCCRF, administration croupionne et moribonde. L’hygiène et la santé relevant de notre chaste ministère. Annie autre collègue m’avait dit plus pis que pendre de ma remplaçante. Celle-ci brune piquante m’avait suscité dès le premier jour le frisson caractéristique. La jalousie d’Annie me confortait dans ce délicieux danger. Notre collaboration ne durait que deux semaines. Je n’escomptais pourtant de faire de bêtises.

D’autant que je la voyais régulièrement répondre à de nombreux SMS. Elle ne me cacha pas qu’il s’agissait de son amoureux par trop harceleur. C’était une façon comme une autre de me reléguer à ma place si d’aventure j’avais eu idée de la draguer. N’empêche elle ne pouvait pas ignorer l’ardeur de mes yeux sur ses cuisses qu’elle savait belles eu égard à la dimension courte des jupes adoptées. Ainsi sus-je facilement dès le premier jour la couleur de sa culotte et qu’elle portait des bas plutôt que des collants. Je ne démêlais pas dans ce genre de femme si elle aimait à allumer ou à se vêtir plutôt pour son exclusif plaisir.

Quoiqu’il en soit je reluquais sans vergogne. La garce m’avait certes interdit la drague et non pas de mater. Je subodorais même outre qu’elle en avait l’habitude que cela la flattait aussi. Bref je fis entendre à Philippe que sa remplaçante était charmante et qu’il pouvait à dessein réclamer du rab à son médecin car je saurais mettre à propos son absence. Garçon un peu coincé il goûta moyennement cet humour. L’imbécile se croyait irremplaçable. Il ne concevait pas que je pus m’en sortir sans lui. Finalement côtoyer une nouvelle personne m’était une récréation d’autant que celle-ci je me répète me suscitait à tout moment comme un frisson.

Tout cela eût de conséquence la première incartade. Cela survint un après-midi tandis que nous savourions un café dans un bar. Nous faisions la synthèse de la journée et établissions ensemble sur une tablette notre rapport. Elle avait l’a propos et le poids des mots pour rédiger. J’abandonnais volontiers l’initiative à une maîtresse femme. Durant ce temps je surfais sur mon Iphone. Hochant de la tête j’approuvais chacune de ses observations. C’est à ce moment qu’une feuille glissa sous la table et que je dus aller récupérer. Évidemment je savais y voir aussi entre les cuisses de la dame. Celles-ci étaient ouvertes. Elle avait une culotte dont la base était, miracle, toute transparente.

Je distinguais le dessein et le relief de sa chatte et la pilosité excitante. Je m’attardais un temps avec quelque inconséquence sous la table. La garce sembla ne s’en trop émouvoir. Bien au contraire j’eus l’impression qu’elle écartait davantage et jouait aussi maintenant de son escarpin avec le pied. J’émergeais cette fois rouge de sous la table et un peu penaud. J’avais peur qu’elle devina trop tôt que je bandais. Un sourire méchant barrait son visage. Elle sollicita le papier que j’avais si laborieusement récupéré en ces termes : « Tu en as mis du temps. La lecture devait en valoir le coup. Passe ! » Elle affecta de le lire avec le même sourire.

A partir de cet instant je fus convaincu du vice de cette personne. Elle ne dédaignait pas les cochons dans mon genre. Je compris peu à peu la jalousie de son copain laquelle était raisonnée et tout à fait légitime. Le pauvre s’était accoquiné avec une femelle de la pire espèce. Il était indubitable qu’elle jouissait à exciter et faire bander autour d’elle. J’étais sa énième et banale victime. Non contente de m’émouvoir elle passa peu après à l’attaque avec une relative insolence. Elle me demanda si j’avais une épouse ou amie ce que je lui confirmais. J’étais mariée avec deux gosses. Je lui laissais entendre que c’était depuis réfrigéré au pieu. Bref j’étais open à toutes propositions.

Elle n’en allumât que plus. D’évidence elle mit les jours suivants une jupe plus courte ou du moins avais-je l’impression que celle-ci lui découvrait impunément la cuisse. J’en étais gêné devant nos clients et administrés. L’un vieux cochon tunisien me fit observer avec un clin d’œil que ma collègue n’avait pas froid aux yeux de se balader ainsi au milieu ds hommes. Dans la rue nous ne passions pas inaperçue à cause d’elle. J’en éprouvais un certain malaise. Je me trouvais à accompagner une salope ou femme de mauvaise vie. Elle au contraire semblait se réjouir de susciter pareille et sulfureuse impression. Plus d’une fois eu-je envie de lui mettre la main au cul.

En tout cas au café l’après-midi il s’établit un jeu et comme un rite entre nous. Régulièrement décidais-je de faire choir une feuille ou mon crayon et d’aller les récupérer un temps certain sous la table. Elle adhérait à cette sorte d’apnée. J’avais droit dessous à un singulier spectacle. Elle passait longuement un de ses doigts sur sa culotte mi-transparente que je percevais mouillée. Puis elle extirpait nonchalamment son joli pied puissant et sensuel d’un de ses escarpins et s’en caressait tour à tour l’un l’autre mollets. J’en devenais dingue. Elle n’escomptait pas d’autre résultat. J’émergeais de dessous bouleversé et pris comme de vertige.

Tout cela se passait de mots n’usant que du langage des regards. Le mien lui signifiait déjà que j’avais envie d’elle et la voulait posséder avant qu’elle ne me quitte. Elle avec un regard méchant et de défi me signifiait qu’elle suspendait pour l’instant sa décision et son verdict. Un jour après qu’elle eût reçut un SMS elle dit mi-excédée : « Gonflant tous ces types jaloux. Tu sais j’ai du raconter à mon mec que t’étais moche et bègue et que tu puais à cent mètres alentour.  » Je goûtais moyennement le personnage dont elle m’avait affublé. Cependant subliminalement je compris qu’il ne lui était pas exclu que je pus la sauter.

Il nous restait trois jours. J’étais résolue à ne plus me contenter de ses cuisses exhibées sur la route et de la reluquer longuement sous la table des cafés. Dans les toilettes de ces derniers elle devinait des fois que j’allais m’y branler et y cracher mon foutre. Cela devait à force l’intriguer et l’exciter. Un midi et après qu’au déjeuner nous eûmes un peu forcé sur la boisson, elle se lâcha et m’avoua qu’elle savait que je me branlais souvent à cause d’elle. Sans sourciller j’en convins et avec aplomb lui demandais si elle accepterait qu’une prochaine fois je me branlas devant elle. J’obtins ce privilège le lendemain. Dégrisé et un peu penaud du propos de la veille j’avais cru que celui-ci avait été enfoui. Je pensais surtout qu’elle avait voulu m’humilier.

Machinalement mes regards allaient tantôt de la route à ses cuisses que je me résignais bientôt à ne plus contempler. J’entendis soudain : « Aimes-tu mes cuisses ? » Je dus avoir un regard triste. Celui-ci disait : Oui en même temps qu’il avouait sa tristesse de son proche départ. Elle m’adressa un sourire sincère presque ému. Elle dit : « Arrête toi dans un coin. J’ai envie de fumer. » Là après que nous fûmes arrêtés à l’orée d’un bois elle dit avec sérieux : « Veux-tu te branler pour moi ? » Ce vœu ne souffrait nulle contestation. Je m’exécutais sur le champ. J’observais son regard à mesure que celui-ci devenait lubrique. Je savais ma bite de belle taille. J’en vins à l’astiquer jusqu’à éjaculation.

Après l’aveugle frénésie, je demeurais yeux mi-clos comme mort sur mon siège. Je sentis alors sa main sur ma queue qu’elle s’employait doucement et comme avec affection. Elle parvint à ranimer celle-ci peu à peu. Dans ce rêve je savais ne pas devoir rouvrir les yeux de crainte qu’Eurydice sur le champ disparut. Peu après je sentis sa bouche, sa langue sur mon gland elle avait entrepris de me sucer. Je perçus que c’était son cadeau. Celui de l’adieu. Un zeste de sperme advint à nouveau et fut recueillie dans sa bouche. Nous tînmes à ne proférer nul mot et à conserver le silence sur la suite du trajet. J’étais heureux et content de ce qui pouvait me paraître une victoire.

Les deux derniers jours j’eus droit ainsi à lui pouvoir caresser la cuisse et hasarder la main souvent jusqu’à la culotte pour s’y enfouir. Je lui arrachais ainsi de petits cris de jouissance. J’obtins enfin de lui manger la bouche avec la mienne. Rangeant la voiture sous des arbres je parvins ainsi à la baiser. Elle était autant chaude et lubrique que j’espérais. Quel fabuleux volcan. J’ai peu rencontré pareil tempérament. Cela dura une heure. Je ne fus pas peu fier de lui montrer ma vigueur et mon endurance. La salope goûtait particulièrement d’être enculée. Je découvrais ce cul tant de fois et ignoblement moulé dans des mini-jupes. Je soupirais de devoir bientôt retrouver le falot Philippe.

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