J’habite dans le nord du Danemark, dans un petit village près d’un lac. Nous avons une maison individuelle entourée d’un petit jardin dans une verdure magnifique. Mon épouse et moi nous avons une petite cinquantaine et notre sexualité s’est bâtie au fil du temps. Elle a toujours été forte et nous nous comprenons bien. Nos enfants habitent dans la capitale et y travaillent après avoir terminé leurs études. Mon épouse est blonde, elle a des cheveux courts, un beau cul que j’adore, tant pour le toucher que pour le voir A telle enseigne que je ne la baise plus qu’en levrette pour ne rien manquer de son cul, de son contact avec ses fesses et surtout de sa rondelle qui forme un anneau un peu plus sombre dans la blancheur ambiante de son corps. Elle a des seins assez gros, fermes mais qui tombent un peu et quand je la baise ils battent à la mesure de mes coups de boutoir contre ses reins.
En fait, on a pris l’habitude de baiser dans la cuisine, en général le matin avant que de partir au travail. Je la baise rapidement, en relevant sa nuisette sur ses reins. Je la lubrifie en lui léchant la chatte et je m’enivre des senteurs du matin. Je me finis rapidement en me branlant sur ses fesses et en lui touchant les seins pendant qu’elle se branle le clito pour se donner du plaisir. Quand mes grands jets de sperme s’étalent sur ses fesses et dans la raie de son cul, j’arrive à une pleine jouissance et j’y repense souvent dans la journée ce qui me fait bander en général.
Je sais en fait que cette manière de baiser ne la satisfait pas et qu’elle a pris l’habitude de se branler à grands coups de ses godes pour se satisfaire. Je l’ai surprise en train de le faire une fois que je suis revenu sur mes pas ayant oublié quelque chose. Elle a eu l’air un peu gênée mais je les encouragée en lui disant qu’elle avait bien raison. Elle se met en général sur le plan de travail à côté de la cuisinière, elle écarte grand les cuisses, sort ses godes, elle a trois dont un noir, le plus gros qu’elle affectionne particulièrement. De fait, je les connais bien ses godes pour les avoir trouvé un jour par hasard dans un des tiroirs de la cuisine. Après avoir manipulé ses godes jusqu’à un orgasme violent et tonitruant, elle vaque ensuite à ses occupations journalières.
Il y a deux semaines de cela, l’été battait son plein, chacun vaquant à ses occupations dont des travaux de peinture et d’entretien de leurs maisons. J’avais pris quelques jours de congé et cela n’avait fait qu’aiguiser mon désir de sexe. Ce jour là, on avait baisé avec ma femme comme d’habitude et pour jouir j’avais visé sa chatte et sa rondelle avec mon sperme qui s’était mêlé à sa mouille abondante et luisante. Pour ne pas la gêner dans ses habitudes de jouissance auxquelles je la sais très accrochée, je prétextais que j’avais quelques travaux de bricolage à faire au garage. Faisant le tour de la maison pour rejoindre mon atelier, je vis qu’un des jeunes ouvriers qui faisait des travaux chez le voisin était en train de jeter un coup d’œil dans notre cuisine où nous venions de baiser et où je savait que ma femme était en train de se bourrer la connasse à grands coups de godes, de quoi bien exciter les sens d’un jeunot d’une vingtaine d’années.
Passée ma première idée de le déloger de son poste d’observation, je me décidai de l’épier à mon tour pour voir où il voulait en venir. Je n’attendis pas très longtemps pour le voir se caresser la bite à travers son pantalon. Il la frotta avec de plus en plus d’insistance jusqu’à ce je le vois sortir son engin non sans difficulté car il bandait à la verticale et il avait du mal à l’extirper de sa cachette. Le spectacle qu’il voyait devait être à son goût car il commença à se branler le nœud avec vigueur en même temps qu’il se touchait les couilles de fort belles tailles qu’il avait réussi à sortir elles aussi. De le voir se branler me faisait bander aussi malgré le fait que j’avais déjà juté abondamment ce matin. Que c’était bon de sentir que l’envie de jouir revenait dans ma bite et on se branlait à l’unisson, le jeune ouvrier et moi. Le spectacle que lui offrait ma femme devait être magnifique et comme il était près de la fenêtre de notre cuisine ses cris et gémissements devaient ajouter à sa jouissance. En fait, nous étions tous les trois à nous branler, ma femme donnant le tempo !
Elle devait être sur le point de jouir car soudain, je vois le jeune accélérer le rythme de ses mouvements sur sa bite. Je me mets aussi à me branler plus vite et finalement on décharge presque ensemble mon jus allant s’écraser sur les branches d’un buisson tandis que son foutre atterrit sur le carrelage devant lui. Je ne lui laisse pas le temps de rentrer sa bite dans son pantalon rangeant rapidement la mienne pour plus de convenance et à grands pas j’arrive vers lui : « Alors, on vient chez les gens, on mate, on se branle et pour finir on décharge sur le carrelage ! ». Il est rouge et sa bite est encore bien grosse, encore plus grosse que je ne pouvais me l’imaginer en la voyant d’un peu plus loin. Il la tient bêtement en mains et ne sait trop quoi dire. « Bon, range ta bite dans ton pantalon et rassure-toi, je ne dirai rien, on sait ce que sait l’envie de se branler ! Viens demain vers la même heure si tu veux et tu verras bien à quoi tu assisteras et, peut-être, participeras si tu en est d’accord ! ». Il acquiesce d’un mouvement de tête et file sans demander son reste. Il a juste le temps de me dire qu’il s’appelle Joachim et qu’il a 21 ans.
Je rentre dans la maison et rejoins ma femme dans la cuisine. Elle est ravissante et rayonnante dans sa nuisette qui lui arrive juste un peu plus bas que sa chatte et qui recouvre à peine ses fesses et qui dévoile largement sa beaux nichons. A croire qu’une bonne masturbation matinale, ça rend heureux ou plutôt heureuse dans son cas. Je la complimente sur sa beauté et lui dis la scène à laquelle je viens d’assister, un jeune ouvrier qui travaille chez un voisin qui vient de se branler en assistant à ce qu’elle faisait. Elle est incrédule et pense que je viens d’inventer cette scène pour la faire mouiller davantage car je connais son goût pour le voyeurisme. Pour la convaincre, je lui dis me suivre dans dehors pour voir le sperme de notre jeune voyeur. Elle me suit, toujours en nuisette et sans slip si bien que je me dis que si quelqu’un la voit, il va pouvoir se rincer l’œil. Très vite, on arrive là où se tenait le jeune et je lui montre les gouttes de sperme qu’il a laissé. Plus que des gouttes c’est un véritable paquet de jus que je lui montre. Toujours incrédule, elle se baisse, dévoilant sa fesses, sa rondelle et sa chatte et y met un doigt pour vérifier la consistance du sperme. Elle a l’air d’apprécier car elle ne lasse pas de remuer le foutre qui traîne sur le carrelage et, alors qu’elle croit que je ne la vois pas, elle porte le doigt qu’elle utilisait pour malaxer le sperme à sa bouche, une fois, deux fois avant de le sucer carrément. Elle me dit alors : « Oui, pas de doute, c’est bien du sperme et ce n’est pas le tien car il y en a beaucoup plus !!! », avec un sourire coquin. Je lui dis alors qu’il se pourrait bien que le jeune revienne le lendemain pour assister encore à nos ébats ou aux siens. Je rajoute : « Tu ne te laisserais pas tenter par lui, je crois qu’il aimerait bien te fourrer et tu sais, il a une bite énorme ». Elle me réponds alors, un peu minaudeuse, « Oh, je n’oserai jamais !!! ».
La journée se passe tranquillement par une chaude journée d’été à peine perturbée par les coups de marteau qui viennent du chantier de la maison du voisin et chacun vacant à ses occupations. Le soir, on se retrouve dans l’intimité et je sens ma femme plus excitée que d’habitude. On s’embrasse, on se caresse. Elle prend ma bite en mains et branle juste pour me faire bander sans aller jusqu’à me faire juter. Je lui mets la main entre les cuisses et là, curieusement, je sens sa culotte toute humide, je pousse un peu plus loin et lui mets un doigt dans la chatte que je découvre alors superbement mouillée, dégoulinante de mouille je dirais même. Je fais quelques allées et venues dans sa chatte en lui branlant son clito. Elle est tellement excitée qu’elle a très rapidement un orgasme violent qui lui fait enserrer ma main qui est restée dans sa connasse pendant une bonne minute. Elle revient à elle après ce splendide orgasme, je la prends dans mes bras et la câline. Elle me dit alors après m’avoir fait un baiser profond : « Tu sais, je ne suis pas contre si notre voyeur revient demain ! ». Je comprends alors ce qui l’avait tellement excitée, baiser avec le jeune étalon et je suis sûr qu’elle avait profité de quelques instants où elle était seule pour se branler une ou plusieurs fois dans la journée depuis qu’elle avait vu et goûté le paquet de foutre du jeune voyeur sur le carrelage derrière notre cuisine. Et nous nous endormons, heureux en pensant à ce qui allait se passer le lendemain.
On se réveille par un beau soleil qui est déjà haut dans le ciel quand on ouvre les yeux. Ma femme est sans culotte et sa nuisette est relevée dévoilant ses grosses fesses que je ne me lasse pas d’admirer . Une de ses mains est sur sa chatte et je suis sûr qu’elle s’est donné du plaisir durant la nuit. Je vais à la cuisine pour préparer le café et elle me rejoint pour le petit déjeuner. Les toast sont excellents, le café aussi. On plaisante, on se sent bien par une si belle journée. Je me rapproche d’elle et je commence à la peloter. Je commence par ses seins, j’agace ses pointe, je les lèche, je les suce. Je m’attaque ensuite à son vagin en me plaçant entre ses cuisses qu’elle écarte largement. Comme je m’en doutais, sa chatte est déjà pleine de mouille signe qu’elle a eu du plaisir durant la nuit. Je lèche là aussi, je suce son clito pendant que je lui mets des doigts dans la chatte. Je lui dis alors de se retourner pour que je la fourre avec ma bite. C’est là que je vois la tête blonde du jeune travailleur qui affleure à la fenêtre de la cuisine. Je ne veux pas lui faire rater le détail de notre spectacle sachant ce qu’il va faire en sortant sa bite pour se l’astiquer que je me place parallèlement à la fenêtre pour qu’il voit mieux ma bite pénétrer la chatte de ma femme et ses beaux seins ballotter dans tous les sens pendant que je la baise. Je me place derrière elle et je fourre ma bite dans son con que je ramone avec force. J’en profite pour lui masser ses splendides fesses en lui donnant quelques claques de temps en temps ce qui les fait rosir. Je ne me retiens pas longtemps, connaissant la suite de son programme de jouissance qui je le sais va être particulièrement copieux aujourd’hui, et je me retire de son con pour me finir en me branlant de quelques coups de mains rapides au dessus de son cul en le frôlant pour profiter de sa chaleur. Je jouis rapidement en longs jets crémeux et chauds qui arrivent sur la raie de son cul et dégoulinent sur son anus et sur sa chatte. Elle les étale de sa main et se donne quelques mouvements de sa main pour mieux répartir mon sperme sur la chatte qui ruisselle de sa mouille. Je l’embrasse, elle me met la main à la bite et je me retire, prétextant comme à mon habitude que j’ai à bricoler dans le garage.
Je lui laisse en fait le temps qu’il faut pour qu’elle prépare ses godes pour se branler et pour aller chercher le jeune étalon qui, je le sais, va la baiser sauvagement et lui faire prendre un pied qu’elle n’a pas connu depuis longtemps. Je me dirige rapidement vers la fenêtre de la cuisine où je sais que je vais retrouver Joachim. Il est là en effet, la bite à l’air toujours tendue à la verticale signe qu’il n’est pas allé jusqu’à décharger son sperme et qu’il l’a gardé pour la prochaine étape. Je la lui propose et il n’ose pas y croire. J’insiste et il me suit. Nous entrons dans la cuisine. Ma femme est comme à son habitude installée cuisses largement ouvertes sur le plan de travail qui donne face à la fenêtre. Ses godes sont bien en évidence et quand on entre, Joachim et moi, elle en a un, pas le plus gros planté au beau milieu de sa chatte et elle le manipule doucement. Elle est à peine surprise de nous voir entrer ensemble. Je fais les présentation et je leur dis : « Je vous laisse, je suppose que vous saurez quoi faire ensemble ». Ma femme fait un magnifique sourire à Joachim et de son doigt elle lui fait signe de s’approcher. Apanage de la jeunesse, il bande toujours et sa bite énorme est à la verticale. J’ai à peine franchi le seuil de la porte de la cuisine qu’il la déjà placée dans le con de ma femme et il ne reste plus qu’à prendre position au poste d’observation à la fenêtre de la cuisine pour ne rien rater du spectacle.
Quand je m’installe, Joachim est entrain de bourrer la chatte de ma femme à grands coups de bite et visiblement la taille de la bite qui la besogne lui donne un plaisir intense rien qu’à entendre ses gémissements qui se transforment en cris de jouissance. Cela fait bien longtemps, à ma connaissance, qu’elle n’a pas joui autant. Les mains de ma femme ne sont pas inactives, l’une est sur ses seins qu’elle est en train de se malaxer avec force et de l’autre, elle se branle son clito. Lui, sort de temps en temps sa bite, se donne deux ou trois coups de mains et la pénètre à nouveau d’un seul coup. A un certain moment, je les vois changer de position et il la pistonne en levrette. Je me régale des seins de ma femme qui bougent et les coups de boutoirs qu’il lui donne sont tels que ses seins battent à un rythme effréné. Elle, elle continue à s’acharner sur son clito, tandis que je vois une de ses mains qui a l’air de passer et de repasser sur la rondelle de ma femme. Puis je vois distinctement qu’il lui met un doigt dans le cul et commence à y faire des va et vient. Ce geste me fait bander à nouveau au point que je suis obligé de sortir ma bite tellement elle est à l’étroit dans mon short. Je m’attends à ce que ma femme lui dise d’arrêter car je sais qu’elle n’aime pas se faire enculer par moi.
A mon grand étonnement, elle ne dit rien et à ses gémissements qui augmentent, elle a l’air de beaucoup apprécier cette caresse. Car ce n’est plus un doigt qui lui ramone le conduit anal mais trois mis en bouquet. Sans crier gare, je vois que Joachim fait sortir entièrement sa grosse bite et je vois qu’il la lui met dans le cul. Ma femme a juste un petit rictus qui ne dure pas. Il lui fourre sa bite dans le cul jusqu’à la garde et ses couilles viennent battre sur son vagin. Elle l’encourage à y aller franchement et je vois qu’il fait maintenant de grands va et vient dans son anus. Elle lui crie sa joie en lui disant : « Vas-y, défonce moi le cul avec ta grosse bite, je jouis !!! » et elle se mit à avoir son premier orgasme. Joachim continuait à baisser comme un taureau, passant ses mains sur ses seins ou sur sa clito. Puis je le vis s’abattre sur le dos de ma femme et là je compris qu’il était en train de lui lâcher tout son foutre dans son cul. Le spectacle était trop jouissif et de trois coups de poignet je lâchais aussi mon sperme, presque au même endroit où Joachim avait lâché le sien la veille.
Je vis qu’il se rhabillait. J’en profitai pour aller réellement dans le garage cette fois et pour laisser prendre congé de ma femme. Quand je revins dans la cuisine, un bon quart d’heure plus tard, ma femme était toujours en nuisette, aussi radieuse qu’hier. Quand elle se retourna, je vis des traînées de sperme sur l’arrière de ses cuisses et elle m’apprit que Joachim avait terminé son travail chez le voisin. Je me mis à penser que ce n’était pas la première fois qu’il nous observait et qu’il avait observé ma femme se masturber le matin !!!
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