Je venais d’avoir 18 ans et j’étais avide de nouvelles expériences.
Mes parents avaient tout prévu pour nous faire voyager. Un petit périple à bord d’un bus tout confort. A chaque arrêt, je ne voulais pas attendre et je demandais la permission de quitter le bus avant eux. C’était pour moi comme voyager seul, sans mes parents ou mes frères et sœurs.
Après plusieurs heures de voyage finalement, je suis arrivé dans la petite ville sur le lac où habitent mes oncles et mes cousins. Ils attendaient mon arrivée et il était convenu que je resterais à la maison d’une tante et d’un oncle qui ont le plus de commodités. La famille se consacre à l’élevage, à cultiver un champ et un grand verger.
Le lendemain de mon arrivée Paul, un de mes cousins, m’a invité à l’accompagner pour effectuer des tâches dans le domaine. J’ai accepté son invitation, mais je n’avais pas les vêtements adéquats. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter à ce sujet, il m’en donnerait. Après quelques minutes, je fus habillé d’un vieux pantalon usé et d’une chemise de travail. Mon apparence a beaucoup changé, mais je me suis senti à l’aise.
Nous avons passé toute la matinée à travailler. Paul me montrait les détails de chaque tâche. A midi, nous revenons à la maison pour le déjeuner, puis retour au travail.
Nous étions au milieu de l’été et la chaleur se faisait sentir. Paul a choisi de retirer sa chemise et l’accrocher sur une branche. Il avait le même âge que moi, mais j’ai été surpris en voyant son torse nu. Le dur travail de terrain lui avait fourni un corps très bien développé.
« Je me sens mieux comme ça », a déclaré Paul, avec un sourire en coin et il a continué à travailler.
On était vendredi. Dans le village une fête était organisée de la fin d’après-midi jusqu’au petit matin. Paul a suggéré d’aller y faire un tour avant de retourner à la maison.
En fin d’après-midi nous sommes allés ensemble au village et il m’a présenté à ses amis. Ils étaient entrain de danser dans le club local et nous attendaient. Nous avons décidé de rentrer pour nous doucher et nous préparer pour la nuit.
Il n’y avait personne à la maison. Probablement toute la famille était allé à la plage et reviendrait très tard, peut-être après le dîner.
« Ne perdons pas de temps », a déclaré Paul, « on ne doit pas manquer une minute de la fête. »
Nous sommes allés ensemble à la salle de bain. J’ai ôté mes vêtements et je suis arrivé sous l’eau chaude. Quel bonheur de ressentir ce jet relaxant après une dure journée de travail. Paul a commencé à se déshabiller et le reste de son corps que je n’avais pas encore vu m’a laissé bouche bée : il était parfait.
Sans réaliser ma bite avait commencé à se prendre forme et je me palpais les couilles. Puis j’ai commencé à me masturber.
Paul était totalement nu et se retourna. J’étais subitement très confus et gêné. Mais je me suis vite rendu compte que, malgré mon état, Paul n’a montré aucune surprise. Il m’a juste regardé malicieusement et dit : « tu veux un coup de main ? »
Il n’a pas attendu ma réponse. Il entra dans la douche et se tenait en face de moi. Ses énormes mains ont attrapé ma verge et il a caressé mes organes génitaux. Très calme, il a pris l’éponge savonneuse, m’a frotté le torse et le dos, ce qui a continué à élever mon excitation.
Paul était très bien équipé et sa queue a commencé à gonfler. Comme il caressait mon dos, j’ai senti sa bite prendre de l’épaisseur contre mes fesses. Il m’a alors pénétré avec un doigt. Paul a titillé mon anus pendant que je me masturbais. Je sentais comme des ondes de plaisir et j’ai commencé à haleter.
C’était incroyable. Paul a alors collé sa bouche à la mienne et a commencé à m’embrasser. Mon corps se détendait. Quand il sépara ses lèvres des miennes, je me suis penché, j’ai pris sa queue dans mes mains, puis ne résistant plus à la gourmandise qui m’était offerte, j’ai commencé à le sucer.
Je sentais le corps de Paul se raidir et ses muscles se contracter. Ce fut un plaisir de donner ma première pipe à ce beau corps. Je gobais ses couilles et je jouais avec ma langue sur toute sa queue. Je suis arrivé à le mettre presque entièrement dans ma bouche.
Avec le traitement que je lui prodigais, Paul n’était pas loin de venir. Il m’a donc délicatement fait comprendre d’arrêter. Le coquin avait une autre envie. Il s’est assis sur la cuvette des toilettes et m’a montré son pénis en demandant » Tu veux t’assoir ? ». J’en mourais d’envie. J’ai fait quelques pas vers lui et lui ai présenté mon postérieur. Paul a pris un pot de crème et m’a généreusement frotté le cul et sa queue. Il fouilla dans mon cul jusqu’à mettre deux doigts à l’intérieur de moi. Ce massage a augmenté mon désir.
J’ai commencé à descendre jusqu’à sentir sa queue à l’entrée de mon anus. Mais j’ai eu un peu peur de la douleur. Paul a senti mes doutes. Nous étions face à face, mes mains sur ses épaules. Il m’a regardé dans les yeux avec ses grands yeux bleus et a souri.
« C’est ta première fois, je vais y aller en douceur. Détends-toi et baisse ton cul lentement, très lentement. Allez… c’est bien, continue, le gland va rentrer doucement, c’est bien, vas-y progressivement, tu vas voir, la douleur ne va pas durer, voilà je suis en toi, mon pieu est à toi, commence à bouger lentement, tu vas prendre ton pied. » Avec se musculature acquise au travail, Paul n’a eu aucun mal à me soulever et a commencé à donner le rythme. Nous nous sommes étreints, nous nous sommes embrassés passionnément. Puis subitement, j’ai senti que Paul ne pouvait plus résister. Il m’a rempli le cul de sperme au moment même où j’éjaculais sur son torse.
Nous nous sommes séparés très lentement entre deux baisers et des caresses sur cette frénésie de plaisir.
« Tu as aimé ? » me demanda Paul.
« Oh oui ! » lui répondis-je avec un sourire explicite. « J’espère qu’on va recommencer ».
« Ne t’inquiète pas, tu restes un mois ici, on aura l’occasion de refaire ça souvent » dit Paul.
Et effectivement, on a remis ça toutes les vacances, même plusieurs fois par jour. Paul m’a aussi fait découvrir le plaisir d’être actif. Mais ça c’est une autre histoire !
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