40 ans, un âge clé, un tournant dans la vie.
Karine allait avoir 40 ans, trouver un cadeau inoubliable à cette occasion était un défi. Karine était belle, souvent quand nous faisions l’amour, le fantasme d’une troisième personne accompagnait notre jouissance.
Et si pour ses 40 ans je lui offrais un autre homme, une autre queue. Au début Karine était réticente à l’idée, le fantasme était excitant mais passer à l’acte lui semblait ubuesque.
Petit à petit, l’idée faisait son chemin, le scénario se dessinait à chaque étreinte, chaque orgasme était un pas vers la réalisation.
Au bout de quelques semaines, après beaucoup d’hésitation, elle finit par accepter, non sans poser ses conditions.
Karine et moi sommes un couple uni qui vient de passer la quarantaine, elle est fine, sportive mais avec une belle poitrine ronde. Depuis quelques années, elle a pris le contrôle de ma sexualité, c’est elle qui décide de nos ébats, de ma jouissance. Par amour et par soumission, je lui ai offert le contrôle de mon sexe, d’un jeu au début, le port d’une cage de chasteté est devenu le quotidien pour moi. La clé de la prison de mon sexe est pendue à son cou, elle seule choisit les moments et les manières de jouir pour moi. J’aime cela, j’aime lui être soumis et dépendre d’elle.
Un homme, sympa, pas brutal, comprenant notre démarche et nous accompagnant en douceur sans nous forcer, voilà ce que nous cherchions. Karine me demande de chercher et de lui proposer….
Les trois premiers ne convenait pas, pas au goût de madame, le quatrième fut le bon, après quelques échanges de mails, je pris rendez-vous avec lui dans un café pour discuter. A partir du moment où Karine dit oui, je ne fus plus autorisé à jouir tant qu’elle n’aurait pas eu sa soirée.
Quasiment un mois sans pouvoir me vider est passé avant le grand soir.
Le grand jour arriva, les minutes semblaient une éternité. En début de soirée, Karine me demanda de l’aider à se préparer et la rendre complètement lisse. Allongée nue sur le lit, je lui passais délicatement le rasoir sur son pubis. Plus le temps passait, plus sa fente était mouillée. Mon travail achevé, son sexe aussi lise qu’à sa naissance, je mis mon doigt entre ses lèvres qui s’écartèrent pour l’accueillir sans problème.
– Tu es bien excitée ma chérie, mon doigt est entré comme dans du beurre !
– Tu es toujours sûr d’être d’avoir envie qu’une autre queue entre dans ta femme ?
– Oui ma chérie et je t’aime.
Karine pris sa douche et quand elle revint nue dans la chambre, elle n’enfila qu’une robe noire légère sur son corps.
– Tu ne mets pas de culotte ?
– Pour quoi faire mon chérie, pas de culotte, plus de poils, ce soir je serai nue voire plus que nue. Et toi, tu ne mettras qu’une chemise et un pantalon, ça suffira bien, de toute façon tu es bien habillé avec ta cage de chasteté.
Un manteau sur le dos et le trajet en voiture jusqu’à la chambre d’hôtel choisie se passa en silence.
Sur place, le manteau enlevé, elle s’assit sur le lit et me regarda préparer la chambre.
Lumière tamisée, bouteille de champagne au frais, tout était prêt pour accueillir notre invité.
L’attente fut courte, Gilles était ponctuel.
Une poignée de main, puis la bise à Karine qu’il ne connaissait qu’en photo, un peu de fébrilité planait dans l’air. Un verre de champagne accompagné par une discussion tranquille calma la nervosité du début. Nous discutions de tout, de rien comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Quand Karine lui appris que je portais une cage de chasteté, il fut surpris et curieux.
– Chéri, tu veux bien lui montrer, s’il te plait.
Un peu gêné j’ouvris mon pantalon pour lui montrer.
– Non, enlèves tout, mets-toi nu, il verra mieux et de toute façon, tu n’allais pas rester habillé.
Chemise et pantalon ôtés, je me tenais nu debout devant eux.
Gilles examina le dispositif pendant de longues secondes puis se tourna vers Karine.
– Et toi, tu n’en portes pas ?
Tout en posant sa question, les yeux dans les yeux, sa main glissa sur la cuisse de Karine en direction de son entrejambe.
– Pas de culotte, ça j’aime bien aussi
Sa deuxième main pris également place sur les hanches de Karine et d’un geste coordonné les deux mains firent glisser la robe sur le corps de Karine.
Karine nue lui sourit. Sans un mot, elle déboutonna la chemise de Gilles, l’enleva puis fit de même avec le pantalon. Les deux futurs amants étaient nus, j’assistais à leur rapprochement dans le même état.
Gilles avait un corps bien fait, les muscles dessinés. Karine s’allongea complètement sur le lit sans le quitter du regard. Doucement Gilles s’approcha des cuisses de Karine qui s’ouvraient au fur et à mesure qu’il avançait.
Un soupir s’échappa des lèvres de Karine quand la langue de Gilles atteint son but, elle ferma les yeux, écartant les cuisses le plus possible pour que je puisse assister au spectacle.
– Tu es complètement trempée, une vrai fontaine….Regarde comme je suis dur, viens goûter.
Karine se tourna et pris la belle queue dressée de Gilles en bouche. Ses lèvres épousaient parfaitement les contours de ce membre. Sa bouche montait et descendait sur ce sexe, à chaque fois que ses lèvres se réappropriaient cette tige, elle me défiait du regard.
Ma femme suçait un autre, ma queue prenait toute la place dans sa cage sans pouvoir se raidir, cette fellation était torride.
Toujours dans le silence, les mains de Giles accompagnèrent Karine pour qu’elle se retrouve allongée sur le dos. Tel un serpent, Gilles glissa entre ses cuisses offertes, sur son ventre, ses seins et finit par l’embrasser dans le cou. Dans cette harmonie des sens, le baiser dans le cou avait précédé la pénétration de son membre dans ma femme. Le long soupir de plaisir qui sorti de la bouche de Karine me fit comprendre qu’elle s’était abandonnée au joug de son amant.
Doucement, les hanches de Gilles bougeaient, celles de Karine répondaient à ce mouvement. Réticente à lui offrir sa bouche et un baiser au début, le passage de ce sexe au fond de son intimité lui ôtait toute volonté de résister, elle lui donna aussi sa bouche pour de fougueux et passionnés baisers. De longs moments, les corps des deux amants bougeaient soudés en symbiose, les jambes de Karine nouées autour du corps de Gilles.
Gilles se retira, Karine se mit sur le côté, il se colla à elle mais d’un geste elle l’arrêta dans son mouvement.
– Viens mon chéri, j’aimerai que ce soit toi qui me mette sa queue, viens et regarde.
Sans un mot, je m’approchai, m’accroupis à côté d’elle, Sa main guida ma main vers la queue de Gilles.
Sa queue était douce mais dure, le gland placé à l’entrée de son étui, Gilles la fit coulisser dans Karine.
– Oh mon chéri, c’est bon ce qu’il me fait, regarde.
A quelques centimètres, ce sexe plein de désir prenait possession de l’intimité de ma femme. Les deux sexes semblaient faits l’un pour l’autre.
– Viens me lécher pendant qu’il me prend
Sa main aida ma tête à se rapprocher….
– Allez, vas-y, fais le
Ma langue caressa tout d’abord son pubis glabre, mais Karine guida ma tête pour que ma langue se place au point de rencontre des deux sexes. Je léchais le sexe de Karine avec application, à chaque passage, la queue de Gilles s’invitait au festin. Excité par la situation, je léchais autant la queue de Gilles que les lèvres de Karine.
Un mouvement mal contrôlé et le sexe de Gilles sorti de son logement, immobile, me défiant, je le pris entièrement en bouche, une fois, deux fois, trois fois puis je le remis en Karine.
– Bien mon chéri, tu m’épates…..
Pris en tenaille par la queue et ma langue, Karine ne tarda pas à jouir, Gilles la suivi rapidement et se vida en elle.
Les deux amants rompirent leur union et se retrouvèrent sur le dos, la semence de Gilles coulait du sexe de Karine.
– C’était trop bon mon chéri, maintenant tu me fais ma toilette.
Un sourire renforça son regard qui me dominait.
Dans un mouvement lent mais continu, je me plaçai entre ses cuisses, ma langue commença à passer sur les endroits sans semence puis glissa dans son intimité honorée par Gilles. Je m’appliquais à nettoyer toute trace de sperme, Gilles s’était redressé et regardait amusé son sperme léché par e mari de son amante.
– C’est bien, tu m’as bien nettoyé, maintenant il y a aussi le sexe de Gilles qui en a besoin.
Cette queue semi dure, gluante de sécrétions mêlées des deux amants m’attendait. Sans un mot, sans mes mains, ma bouche pris possession du membre. Je le léchais avec application, plus je le léchais, plus le membre reprenait de la vigueur.
Une fois propre, la queue de Gilles était à nouveau dressée.
– Tu as vu ce que tu as fait mon chéri ! C’est pas sympa, on ne peut pas le laisser comme cela !
Je regardais ma femme interloqué !
– Ben oui, maintenant que tu as commencé, va au bout, finis le !
Je voulus le prendre avec ma main mais
– Non, pas avec tes mains, ta bouche suffira et ça ne va pas te gêner après ce que tu viens de faire.
Un sourire et sans un mot, j’obéis et ma bouche entreprit son travail. Gilles souriait, la situation était inédite pour lui mais pas désagréable.
Me rappelant les fellations de ma femme, je m’appliquais à le sucer, lui lécher toute la tige ou ses couilles, je voulais qu’elle soit fière de moi. Ce traitement portait ses fruits et de longs jets me remplirent la bouche.
– Bien mon chéri, c’est un très beau cadeau d’anniversaire.
– Et pour ma fête, tu me referas un cadeau spécial ?
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