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Jessica, ma meilleure amie 3

Jessica, ma meilleure amie 3



L’eau chaude coulait sur mon corps nu. Ce n’était pas la première fois que je dormais chez Jessica et j’adorais leur douche à l’Italienne. La salle de bain était spacieuse, au style nordique avec des meubles en pin, des vasques de designer, avec des bibelots de très bon goût. Le père de Jessica était cadre supérieur dans une grande entreprise, et gagnait très bien sa vie. Sa mère n’avait pas besoin de travailler mais luttait depuis des années contre une dépression nerveuse.
Les yeux clos sous le jet d’eau, je refaisais le film de cette soirée. Jessica m’avait envoyé sous la douche pendant qu’elle nettoyait toute trace de nos ébats sur le canapé. J’avais l’impression d’avoir participé à un film porno super excitant. Jamais je n’avais vécu un tel lâché prise au niveau sexuel avec une fille.
Je connaissais Jess depuis 1 an et demi. Je l’avais rencontrée par le biais d’un ami qui connaissait une de ses copines au cours d’une soirée et nous avions assez vite accroché car nous avions les mêmes goûts en matière de séries TV, de films, de livres, à peu près tout en fait. C’était une fille assez discrète, un peu triste, voire un peu dark sans verser totalement dans le style gothique. Cela s’expliquait par ses problèmes de santé.
CIV. Communication intra-ventriculaire. Un trou congénital dans une des parois du cœur. Le plus souvent, c’est une opération qui se fait bébé. Mais ses parents n’avaient pas eu le courage de l’opérer si jeune. A présent, sa vie était en sursis. Elle devait se faire opérer dans 4 mois et elle crevait de trouille. Sans cette opération, elle risquait ne pas atteindre la quarantaine.
Cela expliquait sans doute son ardeur au lit. Je n’avais jamais connu ça. Elle que je connaissais si discrète, se transformait en reine du sexe comme si sa vie allait s’arrêter demain.

(A moins que… )

Cette foutue petite voix dans ma tête me titillait à nouveau. Mais je ne pouvais pas l’empêcher.

(A moins qu’elle soit éperdument amoureuse de toi… Qu’elle cherche à te rendre amoureux en te montrant quelle bête sexuelle elle peut être pour toi… Allons, elle aime tout ce que tu aimes ! Dès qu’elle a su que tu aimais jouer à la Playstation, bing elle s’en est acheté une ! Avec les jeux que tu aimes. Quelle fille aime jouer à Metal Gear Solid ?)

Sornettes ! Il y a plein de filles qui aiment jouer aux jeux vidéos !

(Ah oui ? Gladys aimait ça ? Myriam aussi ?)

Oui mais Jessica est justement différente et c’est pour ça qu’elle est ma meilleure amie. Elle savait pertinemment que j’étais exactement le type de mec qui ne pouvait pas lui convenir : compliqué, incertain.

(Oui mais c’est ce qu’elle aime comme type de mec, car elle-même ne sait pas si elle va survivre dans 4 mois donc elle évite toute relation durable. Elle est folle amoureuse de toi !)

Non pas possible. C’est Jess ! Ma meilleure amie ! Je l’ai réconfortée dans ses doutes et ses peurs. Elle m’a consolé quand Gladys m’a quitté pour l’autre connard. Il n’y a rien entre nous ! Et puis… mais oui ! Ce soir ce n’était que du cul. De la baise frénétique et extra entre 2 potes de sexe opposé, sans prise de tête. On est des sexfriends. La preuve : on ne s’est embrassés à aucun moment. Qu’est-ce que t’as à répondre à ça hein ?

(…)

J’avais enfin chassé le vilain Gollum qui polluait mes pensées avec cette révélation, un sourire de contentement éclaircit mon visage. Je sentis soudain la chaleur d’un corps nu contre mon dos, deux bras enserrant mon torse. La poitrine opulente et chaude de Jess se pressa au dessus de mes lombaires, dans un massage salvateur.

– C’est à moi que tu penses pour sourire comme ça ? me demanda-t-elle d’un ton taquin.

Ses mains descendirent vers ma verge qui commençait délicieusement à gonfler à l’encontre de mon amante. Elle me branla lentement par derrière d’une main savonneuse pendant que l’autre cajolait mes bourses. Je la laissais faire un moment puis me retournait pour lui faire face. Je pris ses seins à pleines mains, et les savonnais dans un massage érotique. Elle se retourna à son tour et je caressais ses fesses couvertes de mousse. Je plaquais ma queue bandée contre ses fesses pendant que l’eau chaude coulait sur nos corps. J’avais ma main gauche sur son sein gauche et ma main droite se perdait dans son entrecuisse. Elle mouillait encore beaucoup, une vraie patinoire.
Elle se pencha en avant en levant une jambe, et mon gland se fraya un chemin dans ses muqueuses vaginales. Je caressais toujours son bouton en lui donnant des grands coups de rein, pétrissant son nichon. Nous gémissions comme des bêtes.
Jess me surprit en s’enfonçant profondément le majeur dans l’anus. Je sentais son doigt à travers la fine paroi qui me séparait de son rectum. Ce n’était pas du flan, elle avait vraiment envie que je la sodomise et elle se préparait en conséquence avec un lavement interne. Je me dis que cette fille devait vraiment être habituée à la chose…
Elle me repoussa puis s’agenouilla pour me pomper avec tout son savoir-faire, son regard de panthère plongé dans le mien. Cela ne dura pas très longtemps. Elle se releva et me dit :

– Viens, on va dans ma chambre.

L’appartement comptait 3 grandes chambres séparées par le salon, central. La suite parentale avec une salle d’eau était au sud est. A l’opposé de l’appartement, il y avait celle de Jess et celle de la grande sœur de Jess, mais qui avait quitté depuis un moment le domicile parental pour convoler en justes noces. Cette dernière chambre servait à présent de chambre d’ami et j’y avais dormi quelques fois lors de soirée précédente (beaucoup plus sage). Au milieu des chambres des sœurs, la salle de bain dont nous sortions dans un nuage de vapeur d’eau, nus après nous être essuyé.
Je matais le cul rebondi de mon amie, la queue toujours tendue au maximum au point d’envisager de réaliser un créneau pour entrer dans sa chambre (oui j’exagère mais l’idée était là).
Jessica se jeta sur le lit sur le dos, ses seins lourds rebondissant dans une danse compliquée. Je me précipitai sur sa chatte avec une furieuse envie de la lui dévorer. Je lui bouffai littéralement le con, me gavant de sa mouille encore très abondante. Je suçotais ses lèvres, enfonçais ma langue dans son vagin, titillais et aspirais son clitoris. Je plongeais un doigt, deux, trois, quatre dans sa grotte, en laissant mon pouce caresser son clito. Elle hurlait de plaisir, me disant des obscénités, le visage déformé par ses orgasmes successifs.
Je léchai ensuite son anus tout lisse, avant d’enfoncer mon majeur. Je fus surpris de la souplesse de son sphincter, car très vite je pus y enfoncer sans mal deux puis trois doigts.

– Regarde dans la table de nuit, commanda-t-elle le souffle court et les yeux enfiévrés de désir.

Je trouvai un gode de bonne taille. Je tenais dans ma main l’explication à sa maîtrise de ses orifices.

– Garde le joujou pour ma chatte, dicta Jess. Je te veux déjà dans mon cul, Ju.

Les jambes relevées, Jessica se léchait les lèvres avec gourmandise en attendant la saillie. Je fis glisser mon gland sur ses lèvres détrempées. Mon sexe plongea dans le gouffre de son sexe tellement il était bien lubrifié. Je ressortis mon engin et le positionnai devant son petit trou.
J’avais déjà eu un ou deux expériences dans la sodomie. Surtout avec Gladys. Mais le fait de faire souffrir dans un premier temps ma partenaire me rebutait et avait tendance à couper l’élan.
Avec Jess, je fus magique. Ma bite, pourtant épaisse, fut absorbée par son anus avec une facilité déconcertante. Jessica cria non pas de douleur mais d’un orgasme immédiat et qui ne voulait plus s’arrêter.

– Oh putain oui ! Je le savais que ce serait trop bon avec toi ! Vas-y oui encule moi à fond ! J’adore ta grosse bite dans mon cul ! Enfonce moi le gode dans la chatte ! Vas-y !

Le gode entra aussi facilement dans sa chatte, même si je me sentais d’un coup plus à l’étroit de l’autre côté. J’alternais les mouvements entre le chibre en latex et ma queue. Mon amante émettait continuellement des petites giclées de mouille, trempant les draps.
Je retirai bientôt le gode pour mieux profiter de son anus. Sa chatte béait comme une fleur exotique rare. Mon pieu coulissait merveilleusement bien. J’étais en sueur mais en transe, le visage déformé par le plaisir de défoncer ma copine comme jamais je n’avais défoncé quelqu’un.
Je déculais, je n’avais pas de traces suspectes sur ma queue. Jess me renversa afin que je sois sur le dos.

– A ton tour de profiter un peu, me dit-elle, déchaînée.

Sans y réfléchir deux fois, elle me suça et se positionna en 69. Je pus lécher sa chatte en même temps qu’elle mettait tout son cœur à l’ouvrage dans sa fellation. C’était un peu comme le concours de celui qui ferait jouir l’autre en premier. Vu ce que j’avais joui dans le premier acte, je parvenais bien à me maîtriser, mais la bougresse entreprit d’enfoncer son majeur dans mon cul tout en me pompant. C’était une première pour moi, surprenante mais très agréable. Cette fille était vraiment dépravée.
La punchline de Marla Singer dans Fight Club me traversa l’esprit :
« Mon Dieu ! On ne m’avait plus baisée comme ça depuis l’école primaire. »

Elle se positionna ensuite comme une grenouille obscène au-dessus de ma bite luisante de salive, me tournant le dos, et s’empala la chatte.
La position était physique, si bien qu’elle prit appui en arrière, me laissant la main pour pistonner sa chatte à volonté. J’avais toujours en tête la prérogative de ne pas lâcher la purée dans sa chagatte.

– Oh la vache ce que tu me mets ! Regarde le miroir c’est trop excitant de voir ta bite me pistonner comme ça !

En effet, elle avait un miroir en pied idéalement positionné pour qu’on se voie dans une position digne de film porno. Je caressais ses seins qui tremblaient sous mes coups de butoir. Mon pieu allait et venait dans sa chatte, qu’elle écartait au maximum pour m’exciter.
Elle releva soudain les fesses et se rassit, plantant cette fois mon sceptre dans son cul. Le trou était fait…
Jessica s’allongea sur moi, et se branla le clito pendant que je prenais son anus avec toute la longueur de mon sexe.

– Jess ! m’exclamai-je. Je viens ! Putain je viens !

– Oui Ju, crache tout dans mon cul ! Je te sens gonfler en moi ! Je vais jouir aussi ! Oui ! Ouiiiiii !

Ce fut un volcan qui explosa dans son petit trou. Je connus l’orgasme ultime, à la limite de la perte de connaissance. Je vis blanc, noir, puis deux fois blanc pour paraphraser Perceval dans Kaamelot.
Jessica décula, s’essuya les fesses avec un mouchoir à côté de son lit. Puis vint se lover contre mon torse, sa cuisse droite recouvrant les miennes.

– Hum c’était trop bon… miaula-t-elle.
Je regardais son radio réveil. Il indiquait 03H30. J’étais épuisé. Elle m’avait tué. Mes couilles devaient alors la taille de raisins secs.

Jess me caressa la joue pour attirer mon attention, puis approcha ses lèvres des miennes pour donner un baiser passionné qui me surprit tellement que je ne pus faire autre chose que de lui rendre.

Et merdeuh !
(Je te l’avais bien dit, dit Gollum dans ma tête).

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