Il était une fois, dans une contrée fort lointaine… enfin, lointaine et inaccessible pour le commun des mortels que nous sommes… un beau et valeureux prince charmant qui se préparait à convoler en juste noce avec sa très belle princesse, Éléonore BUISSET DE BOMPANA, la plus jeune fille du célèbre capitaine d’industrie du même nom.
Éléonore était la cadette de son futur époux de presque huit ans, mais elle était folle amoureuse de lui depuis qu’ils s’étaient rencontrés au fameux bal des débutantes de l’hôtel de CRILLON. Quant à lui, il ne s’était pas fait prier, lorsqu’elle lui proposa le mariage, pour répondre « oui », avec la perspective de rentrer dans une des plus grandes familles de la haute-société française… et il s’était d’ailleurs très vite fait adopter.
Il fallait dire que notre beau et jeune prince charmant avait tout pour plaire à Éléonore, mais également à sa future belle-famille. Jean-Édouard DE BRETUIDE, puisque c’est comme ça qu’il se nommait, avait une gueule d’ange, un physique fort avantageux et tout lui réussissait depuis sa naissance ! A seulement vingt-neuf ans, il était déjà Directeur-Général adjoint d’une des plus grandes banques d’affaires françaises, roulait en PORSCHE 918 Spyder et possédait, parmi tant d’autres choses, deux montres ROLEX… une à chaque poignet ! En quelques sortes, il avait déjà réussi doublement sa vie, le jeune homme !
Seule toute petite ombre à ce tableau idyllique, la particule des DE BRETUIDE n’avait pas traversée les siècles, puisque Jean-Édouard l’avait fait mettre à son nom de famille, lui-même déjà d’emprunt, il n’y a que quelques années en arrière… pour essayer de cacher ses véritables origines et se donner une généalogie qu’il n’avait pas !
Il faut dire que, pour appartenir à l’élite de la société française, le fait d’avoir un père simple fonctionnaire territorial et une mère femme de ménage qui nettoie les chiottes de l’aéroport Charles DE GAULLE, n’aidait pas vraiment… Mais, de cela… personne de son entourage et surtout pas sa belle-famille, n’en avait le moindre soupçon… la « bonne » fée Morgane ayant pris soin de tout effacer et de créer pour Jean-Édouard des parents explorateurs multimillionnaires et hédonistes, qui étaient morts sur les pentes du Piton de la Fournaise, léguant de fait toute leur fortune à leur unique fils !
Bien sûr, il y avait bien eu le cousin Hubert qui, soucieux de voir arriver un jeune homme aux dents longues et à l’ambition débordante dans la famille, était aller gratter dans de vieilles archives et avait découvert l’usurpation d’identité, le couple BRETUIDE n’ayant jamais eu de descendance… monsieur étant plus stérile qu’un eunuque. Seulement, encore une fois, la « bonne » fée Morgane avait fait le nécessaire pour que le cousin Hubert ne puisse jamais révéler le secret…
La « bonne » fée Morgane… Ou plutôt tante Morgane, la soi-disant jeune sœur de son défunt père… voilà comment Jean-Édouard présentait celle qui, alors qu’il venait de naitre, avait décidé qu’il serait « l’élu » et qu’elle lui donnerait une vie complètement différente de celle que son milieu social lui prédestinait… quitte à user de tous ses pouvoirs magiques !
Oui ! Tante Morgane avait des pouvoirs étranges et puissants, qu’elle utilisait depuis des siècles et des siècles, avant tout pour son plaisir… ses plaisirs ! Celui par exemple de contrôler un homme, de le façonner, de le formater tel qu’elle le désirait, puis de s’en servir comme objet de tous ses propres désirs et notamment ceux sexuels…
Ses désirs de jouissance, ses envies sexuelles étaient énormes ! Elle aimait sentir des mains sur son corps après s’être fait arracher ses vêtements, de belles grosses queues s’introduire en elle et lui remplir tous les orifices, la pilonner profondément jusqu’à l’extase, jusqu’à l’évanouissement… Se faire prendre farouchement, bestialement par plusieurs hommes !
Pour rassasier son appétit orgiaque, mais aussi combler ses goûts de luxe, il fallait à la « bonne » fée Morgane sans-cesse trouver de nouveaux jeunes protégés, les faire intégrer la haute-société avec l’aide de ses pouvoirs magiques… et profiter d’être très proche d’eux pour s’introduire elle-aussi dans ce monde fermé, dans lequel l’apparence était primordiale. C’est pourquoi, quelles que soient les époques, la « bonne » fée Morgane savait se donner un physique et une apparence qui la mettaient toujours en valeur et qui la rendaient très attirante…
Pour Jean-Édouard, elle était dans une période « blonde » bourgeoise, la quarantaine, cheveux mi-longs… qui savait toujours choisir le petit tailleur qui mettrait en valeur ses jolis petits seins et son non-moins joli petit cul… Pour notre bas-monde, nous dirions d’elle qu’elle est vraiment trop bandante, monstre bonasse ! Eux… emploient plutôt le terme « exquise », même si, en fin de compte, elle provoque pour tous la même excitation de nos sens !
En ce magnifique jour d’avril, alors que le mariage approchait à grands pas et que Jean-Édouard revenait tout juste d’un voyage d’affaire à Londres, la « bonne » fée Morgane eu une furieuse envie de se faire prendre comme une chienne, là, tout de suite ! Elle s’approcha de son jeune protégé du moment et lui saisit les couilles à travers le pantalon, tout en lui susurrant à l’oreille :
« Je veux que tu me défonces… que tu défonces ma petite chatte ! Je veux être ta pute et que tu me baises contre le mur… maintenant !
Jean-Édouard, qui était fatigué de son voyage et qui avait en tête la réunion du lendemain, ainsi que la préparation de son mariage… lui répondit un peu brusquement !
– Si tu veux te faire défoncer, tu n’as qu’à prendre un bélier !!!
A peine avait-il prononcé ces mots qu’il comprit avoir fait la plus grosse connerie de sa vie… La « bonne » fée Morgane avait instantanément arrêté de caresser ses « bijoux de famille » et elle le fusilla du regard, ses beaux yeux bleus ayant viré au noir et lui lançant des éclairs !
– Non! Tante Morgane… Non ! Je t’en supplie… je ne voulais pas dire ça !
– Me faire défoncer par un bélier… Oui… bien-sûr !
Elle s’était reculée de lui ; elle avait les deux mains crispées près de son visage… qui, lui-même, était devenu de marbre.
– Je t’en supplie… je t’en supplie ! Morgane… pardonne-moi… je vais te défoncer…
– Non ! Jean-Édouard… ou plutôt Kevin, devrais-je dire !? Je vais faire mieux que ça pour toi !
– Non ! Je t’en supplie…
Il s’était mis à pleurer et s’était laissé tomber à genoux devant elle, l’implorant de lui laisser une dernière chance… Malheureusement, en prononçant le prénom qu’il avait reçu à sa naissance, il compris qu’elle avait définitivement rompu le pacte qui les liait…
– Puisque tu veux que je me fasse défoncer par un bélier… je vais exaucer ton vœu et tu seras même celui-là !
Elle fit claquer ses doigts et pointa son index dans la direction de son protégé… qui se mis à hurler en se tordant littéralement de douleur ! Tout en lui était en train d’exploser, de se déchirer… Sa vue se brouilla… il perdit même conscience un moment !
Quand il reprit connaissance, Jean-Édouard tenta fébrilement de se relever… mais tout était devenu beaucoup plus haut ! C’est alors qu’il vit juste à sa hauteur, en face de lui, tante Morgane assise lascivement dans le canapé, les jambes écartées et la jupe relevée… Elle lui fit signe avec le doigt de s’approcher d’elle, tout en faisant glisser avec son autre main sa petite culotte le long de ses cuisses, découvrant ainsi sa jolie petite chatte finement taillée…
– Approche, mon petit Jean-Édouard !
– …
– Pour commencer, tu vas me brouter le minou… et tu as intérêt de t’appliquer, si tu veux un jour retrouver une forme humaine !
– …
C’est là qu’il saisit l’horreur dans laquelle il était… quand il aperçut à la place de ses bras, deux pattes avec un poil ras, au bout desquelles ses mains étaient devenues des sabots ! Il poussa alors un bêlement d’effroi !
– Mon petit Jean-Édouard… je t’attends ! Viens me bouffer ma jolie petite chatte !
Il savait qu’il n’avait pas trop le choix… S’il ne s’exécutait pas, cette salope de « bonne » fée Morgane était capable de lui jeter un autre sortilège encore plus terrible. Le jeune bélier s’approcha donc de sa belle maitresse et commença à lui lécher ses petites lèvres… puis se concentra sur le clitoris, le dardant à petits coups de langue.
Morgane avait saisi les cornes de l’a****l et elle le faisait avancer ou reculer au rythme de ses propres mouvements de bassin. Elle écartait toujours plus ses jambes et dirigeait maintenant le museau du bélier vers son petit trou. La langue ****use et pointue du bovidé lui procurait de plus en plus de plaisir en s’insinuant le plus profondément possible dans le conduit anal… et elle ne tarda pas à avoir un violent orgasme qu’elle exprima de manière fort sonore !
Encore toute haletante de plaisir, elle caressa le dessus du crâne de l’a****l et rajouta :
– Tu as bien fait de me donner cette idée de bélier, Jean-Édouard ! Je crois que nous n’avons pas fini de nous amuser ensemble !
Le pauvre Jean-Édouard bêla de dépit… La « bonne » fée Morgane est bien une vraie salope !
La tête entre les cuisses de la « bonne » fée Morgane, Jean-Édouard n’avait pas encore vraiment réalisé toute la gravité de la situation, profitant, malgré les circonstances, de ce moment de pur bonheur fait de saveurs et de senteurs épicées… vrai plaisir des sens, même pour un bélier !
Il aurait opté pour « Rêve Indien » de chez FRAGONARD, même s’il en était pas tout à fait sûr… Il se fit même la réflexion qu’il devait bien être le seul mouton au monde à reconnaitre le nom d’un parfum… à moins que la « bonne » fée Morgane n’en soit pas à son coup d’essai et ait déjà transformé beaucoup de personnes avant lui en ovin ?!
D’autre part, la sensation de se faire chopper par les cornes et d’être utilisé comme un vulgaire sex-toy était certes bizarre mais pas du tout désagréable, bien au contraire… Pour être même tout à fait honnête, cela avait particulièrement excité Jean-Édouard d’être l’objet sexuel de sa fée protectrice… au point de sentir son sexe se tendre jusqu’à avoir une féroce érection !
De fait, Jean-Édouard avait énormément apprécié cette première expérience sexuelle dans la peau d’un bélier !
C’est donc seulement quand il se retrouva seul dans le salon, à essayer vainement de se gratter une couille avec une de ses pattes avants… que notre beau et valeureux prince charmant comprit que son conte de fée s’était transformé en cauchemar. Il prenait enfin conscience de la réalité ! Plus jamais de voitures de sport, de voyages aux quatre coins du monde, de haute gastronomie, de fêtes endiablées, de luxe… tout ça envolé à cause d’une malheureuse petite phrase, de quelques mots de malheur !
Terminée également l’ambition de devenir le « prince héritier » de la grande famille BUISSET DE BOMPANA, de mettre la main sur l’immense fortune amassée par le père, mais aussi par les générations précédentes… Et pourtant, combien de fois s’était-il imaginé comment, une fois marié avec Éléonore, il se débarrasserait avec l’aide de la « bonne » fée Morgane, de tous les autres prétendants à l’héritage ?! Combien de fois s’était-il imaginé s’installant dans le château familiale à peine ses beaux-parents malencontreusement décédés, pour le transformer en un immense lieu de sexe et de luxure… en un lupanar pour toute la haute société, dans lequel il voulait organiser des orgies sexuelles géantes et sans fin ?!
Mais non ! Tout s’écroulait d’un seul coup… Sa vie toute entière s’était arrêtée en cette belle journée d’avril ! Jean-Édouard se morfondait face à son triste sort… quand Éléonore arriva dans leur villa, fermant la porte d’entrée derrière elle et l’appelant…
– Édouard chéri, tu es là ?! Tu es rentré de Londres ?
– …
– Doudou adoré ! Tu ne croiras jamais qui j’ai rencontré hier soir, au GLAM !
Jean-Édouard se remit difficilement sur ses quatre pattes pour aller à la rencontre de sa bien-aimée qu’il n’avait pas vu depuis trois jours… mais…
– Bonjour, Tante Morgane ! Jean-Édouard n’est pas là ?
– Venez dans le salon avec moi, Éléonore… j’ai une très mauvaise nouvelle à vous annoncer !
A l’intonation même de sa voix, comme si elle portait toute la misère du monde sur ses épaules, Jean-Édouard comprit que la « bonne » fée Morgane sortait le grand jeu pour tenter d’expliquer sa propre disparition ! D’ailleurs, qu’allait-elle raconter comme bobard… il était fort impatient de l’entendre !?
– Asseyez-vous, ma belle jeune princesse !
– Qu’y a-t-il ? Il est arrivé un accident ?… Dites-moi !? Il est mort ?!?
– Non ! Rien de tel… Vous a-t-il dit qu’il recevait des nouvelles de votre cousin Hubert ?
– …
Il y eût un blanc… Éléonore restait bouche bée ! Quant à Jean-Édouard, sa tête et ses cornes dépassant à peine du dossier du canapé du salon, il pouvait voir les deux femmes debout de l’autre côté de la pièce…
– Non… il ne m’a jamais parlé de quoi que ce soit concernant mon cousin… C’est quoi, la chèvre, là, dans mon salon ?! Il est où, cousin Hub’ ?! Et mon Doudou ?!…
– Ce n’est pas une chèvre, ma chérie… c’est un beau et jeune bélier, plein de vigueur !… Tu sais, ma belle… Jean-Édouard se posait beaucoup de questions, ces derniers temps…
Tante Morgane s’était rapproché d’Éléonore pour la serrer dans ses bras et lui caresser les longs cheveux roux… Elle l’embrassa sur la joue pour sécher une larme qui venait de couler…
– Il est parti rejoindre votre cousin Hubert dans un ashram au fin fond de l’Inde… Il a laissé un courrier dans lequel il explique tout… pourquoi il est parti… ses peurs, ses obsessions, la révélation qu’il a eue il n’y a pas longtemps et lui ordonnant d’aller là-bas ! Les autres courriers, ce sont ceux de Hubert… que je viens de retrouver dans les affaires de Jean-Édouard !
Tante Morgane tendit plusieurs courriers à la jeune femme qui paraissait complètement désemparée et incrédule ?
Jean-Édouard, par contre, comprit tout d’un seul coup ! Il réalisa où était réellement le cousin Hubert… et quel horrible sort la « bonne » fée Morgane lui avait lancé il y a maintenant trois ans en arrière ! Bien que ne l’ayant jamais vraiment apprécié, il eût pour le cousin Hubert un sentiment d’effroi et de compassion !
Vraiment, il en était maintenant intimement persuadé, la « bonne » fée Morgane était la pire des salopes ! Il fallait absolument qu’il fasse comprendre et découvrir la vérité à sa bien-aimée !!!
– Mais pourquoi, Tante Morgane ?!… Nous allions nous marier… nous nous aimions !… Je lui aurais donné de beaux enfants !
– Tu sais, jeune fille, les hommes sont des lâches, la plupart du temps… et puis, ils ne savent pas exprimer leurs sentiments ! Ils préfèrent fuir comme l’ont fait ton cousin Hubert et ton Jean-Édouard chéri…
Elle caressait toujours Éléonore mais avec ses deux mains maintenant et celles-ci ne se limitaient plus seulement aux cheveux de sa partenaire, descendant le long de tout le corps de la jeune femme ! La « bonne » fée Morgane approcha son visage et posa délicatement ses lèvres contre celles de la belle et jeune princesse… qui se laissait faire, comme si elle était paralysée !
Jean-Édouard, pendant ce temps, s’était rapproché des deux femmes et regardait la scène avec une colère intérieure d’être l’oublié de la partie, mais également une pointe d’excitation face à cet érotisme féminin !
Il s’apprêtait à retourner se coucher derrière un fauteuil du salon pour ne pas continuer à voir l’insoutenable quand la « bonne » fée Morgane l’interpella…
– Et bien, mon petit bélier adoré… ne pars pas comme ça ! Viens t’amuser avec tata Morgane et la jolie princesse !…
Et puis, s’adressant à Éléonore :
– Des fois, quand je vois la lâcheté des hommes, je préfère encore l’instinct primaire d’une bonne bête… avec une bonne queue bien dure et pas d’états d’âme pour la ramollir au mauvais moment !
– …
– …
Tant Jean-Édouard qu’Éléonore semblaient déconcertés, chacun bien-sûr avec les éléments d’expression liés à sa propre condition !
– Tu as entendu, mon joli petit bélier… viens nous montrer ce dont tu es capable, si tu ne veux pas que je te transforme en descente de lit ! Ou non ! Plutôt en godemichet… comme ça, je pourrais toujours t’utiliser !
– Mais, tante Morgane, vous n’êtes pas sérieuse ?! Et puis, en plus, il ne peut pas vous comprendre, le mouton !?
Mais, bien sûr que si ! Il avait bien tout compris, le mouton… même qu’il s’était posé la question de ce que pouvait être la vie d’un godemichet ?! L’a****l en avait d’ailleurs conclu que de passer du temps dans de belles petites chatounes ou de jolis petits culs n’avait d’intérêt que si on en avait conscience… ce dont il doutait fortement pour un morceau de caoutchouc ! Et puis, le risque de finir oublié au fond d’un tiroir était vraiment trop grand…
Jean-Édouard s’approcha donc des deux femelles qui s’embrassaient maintenant à pleine bouche ! La « bonne » fée Morgane avait défait et fait glissé vers le bas des jambes le pantalon de sa jolie partenaire qui n’avait plus qu’un très fin shorty en dentelle. Les deux corps se collaient, se frottaient l’un contre l’autre… les caresses étant quant à elles de plus en plus appuyées et suggestives.
Éléonore sursauta néanmoins quand Jean-Édouard passa sa langue ****use et pointue sur l’intérieur de ses cuisses ! Seulement, comme tante Morgane s’acharnait maintenant sur les seins de la jeune femme, les pinçant, les mordillant, les suçant… celle-ci commençait à s’abandonner et ne s’opposa pas à l’incursion de la langue de l’a****l vers son intimité. Elle eût même tendance à écarter progressivement les jambes au fur et à mesure que les caresses labiales du bélier se faisaient plus pressantes !
C’est alors que la « bonne » fée Morgane décida de faire se mettre à genoux devant le canapé la belle et jeune princesse, de lui retirer complètement sa culotte et de la faire se pencher en avant. Éléonore, qui avait sans doute compris la suite du programme qui lui était destinée, regardait avec inquiétude le bélier lui-même dans un état second et halluciné, de la bave au niveau de la bouche et le sexe gonflé d’excitation ! Elle se mis malgré tout en position…
Instinct primaire ou pas, il ne fallu pas longtemps à l’a****l pour monter sur le dos d’Éléonore, la « bonne » fée Morgane l’aidant juste à poser ses deux pattes avants sur le canapé du salon. Malgré des coups de reins désordonnés et saccadés, Jean-Édouard pénétra assez rapidement son sexe dans le vagin de la jeune femme et commença à la pilonner frénétiquement…
La princesse criait tout ce qu’elle pouvait, de jouissance… Elle en voulait encore… et encore ! Plus profond ! La fée s’est donc placée derrière le couple et poussa l’arrière-train du bélier afin que le sexe de l’a****l rentre au maximum… En même temps, elle s’était mise à califourchon sur le dos du mâle et elle se frottait le clitoris sur le lainage rêche, lui tirant à elle-aussi de petits cris de plaisir ! Quant au quadrupède, tout en continuant à faire des vas-et-vient, il essayait de parler dans l’oreille de sa partenaire… mais seuls des borborygmes sortaient de sa gorges !
Éléonore eût plusieurs orgasmes successifs mais le dernier dépassa les autres en force et en puissance… elle était au firmament ! Jean-Édouard choisit le même moment pour lâcher sa semence, avec un bêlement de bonheur et de jouissance !
– Mais !!! Mademoiselle Éléonore !… Vous avez perdu la raison ?!…
C’était Luna, la femme de ménage, qui se tenait à l’entrée du salon… outrée de voir sa jeune patronne en train de se faire sauter par un bélier !
« Vas chier… salope !!! Ahhh !… Je… Euhhh !… Je jouis… Oh oui ! Encore ! Ahhh !… Défonce… Ahhh !… Con… Défonce-moi !…
Autant le début du propos d’Éléonore, qui sortit comme un cri du cœur, s’adressait clairement à la jeune femme de ménage d’origine marocaine, autant la suite devait être a priori plus en direction du bélier… Tout du moins, Jean-Édouard voulut le comprendre de la sorte et redoubla donc d’énergie pour besogner sa princesse, les sabots de ses pattes arrières glissant sur le parquet, quand ce n’était pas sur les mollets de la jeune femme, en essayant vainement de trouver un point d’appui. Il ahanait, la langue pendante, bavant sur les épaules de sa bien-aimée, l’air hagard et le regard halluciné… Il était en transe…
Elle… hurlait sa jouissance à chaque coup de reins de l’a****l !
La « bonne » fée Morgane, qui s’était quant à elle remise debout et qui réajusta sa jupe, vola tout de suite au secours de la jeune maghrébine.
« Éléonore, vous ne devriez pas parler comme ça aux gens… et encore moins à la gentille Luna !
Elle traversa la pièce et pris dans ses bras sa nouvelle protégée en tenue de soubrette, lui caressant furtivement la joue d’un geste qui ne laissait aucune équivoque sur ce que pouvait être leur relation. Jean-Édouard, bien qu’occupé et l’esprit embrouillé, aperçut de fait les mimiques particulièrement expressives entre les deux femmes.
Il ne put s’empêcher de penser que la « bonne » fée Morgane devait se chopper la bonne et que cela ne datait sûrement pas d’aujourd’hui… alors que lui s’était cassé les dents maintes et maintes fois sur la jeune tigresse. Et pourtant, il n’avait pas ménagé sa peine depuis qu’il l’avait embauchée, après le départ en retraite de la vieille Mariette… tentant de coincer sa jeune employée dès qu’une situation s’offrait à lui. C’était même lui qui avait choisi sa tenue de travail sexy mais, manifestement, son rêve de la lui arracher avec les dents était devenu plus qu’hypothétique !
Alors que la jeune princesse tremblait de tout son corps d’un énième orgasme, ne se préoccupant plus du tout de la disparition de son fiancé, la « bonne » fée Morgane et Luna s’approchèrent du couple. Jean-Édouard remarqua tout de suite le regard malicieux de sa tante, emprunt d’une perversité qui lui faisait craindre le pire…
Cette dernière pris d’ailleurs un ton condescendant quand elle s’adressa à la future jeune épouse.
– Éléonore, vous savez, c’est normal que votre femme de ménage soit surprise de vous voir copuler avec un bélier… non pas que l’acte en lui-même la choque… mais c’est le fait que ce soit vous, une fille de bonne famille, avec la bonne éducation religieuse que vous avez !
– Oui, mademoiselle Éléonore… je ne pensais pas que vous aussi, vous fassiez cela avec des animaux. Avec monsieur votre futur mari, qui est tellement beau et plein de vigueur… et votre famille ?!
Ah ! La salope, celle-là aussi ! L’hypocrite ! « Beau et plein de vigueur… » Combien de fois l’avait-elle laissé en plan avec une trique à concurrencer un âne, le beau Jean-Édouard… après l’avoir excité avec son magnifique cul d’africaine et sa poitrine toute en rondeur, son décolleté à rendre jalouses toutes les espagnoles de la terre… invitations à tous les plaisirs des sens.
Il n’y aurait pas eu la « bonne » fée Morgane juste à côté d’elle, avec tous les risques de représailles que cela comportait, le bovidé n’aurait pas hésité à lui foutre un bon coup de corne bien placé ! Mais là, il n’osa rien…
Éléonore, quant à elle, se dégagea de l’étreinte de son compagnon d’infortune et se releva. Son corps, ses jambes surtout… luisaient de sécrétions, de semence lâchée par le quadrupède… Des gouttes de sperme coulaient le long de ses cuisses. Son odeur corporelle était particulière, son propre parfum se mêlant à une senteur beaucoup plus forte et musquée de bouc. Pour autant, cela n’était pas insupportable… cette moiteur respirant le sexe continuant à exciter les sens de chacun.
– Je ne vois pas ce que le fait d’être une BUISSET DE BOMPANA change ?! Cela m’interdirait-il de baiser avec qui j’ai envie !? Et puis, de toute façon, c’est la première fois avec une bête et je n’ai éprouvé aucun plaisir… Je ne recommencerai pas et je vous prie de n’en parler à personne… vous m’avez bien comprise, Luna ? Pas un mot de ce que vous avez vu, ou sinon je vous mets à la porte immédiatement !
La pimbêche avait pris un air hautain et sa voix était devenue cassante, d’un seul coup…
– C’est bien dommage pour vous, mademoiselle Éléonore BUISSET DE BOMPANA… car Luna se serait fait un plaisir de vous faire goûter aux délices d’un a****l avec une queue au moins trois à quatre fois plus grosse que celle de notre gentil bélier… Elle et moi l’avons déjà testé… et c’est encore autre chose, en termes de jouissance, d’extase !
– Quel a****l ?!
– Ah ben non, mademoiselle Éléonore… vous venez de nous dire que c’était la première et la dernière fois…
– Je veux savoir quel a****l !?! Tout de suite ! Luna, c’est un ordre !
Telle la petite fille gâtée et capricieuse qu’elle avait sans doute toujours été, le ton de ses propos devint impérieux. Jean-Édouard se fit même la réflexion que l’hypothèque sur son mariage avec sa jeune princesse n’était peut-être, en fin de compte, pas une si mauvaise chose.
Par contre, son orgueil masculin prit un sérieux coup, quand il entendit qu’un autre mâle en avait une qui faisait « trois à quatre fois » la taille de sa queue… sentant bien que sa belle princesse n’était pas restée insensible à l’argument. Et puis, qu’elle ose dire qu’elle n’avait éprouvé aucun plaisir, alors qu’elle devait avoir déchargé sa jouissance une bonne dizaine de fois ! Quel manque de considération pour son beau et vaillant prince charmant…
Mais le pire arriva ensuite… et si le bélier n’avait pas eu une santé irréprochable et un cœur solide, celui-ci aurait probablement lâché !
– Vous voulez vous faire prendre par une belle et grosse queue qui avoisine facilement le demi-mètre, ma chère Éléonore ?! Alors, il vous faut me promettre de ne plus jamais parler à Luna comme vous l’avez fait tout-à-l’heure… Vous devez la respecter comme si elle était votre sœur ! Enfin, vous lui triplerez son salaire, afin qu’elle puisse vivre décemment et s’offrir de beaux habits, de belles robes !
– Mais, madame Morgane…
– Tut, tut… vous le méritez bien, ma belle Luna… Vous faites un travail admirable et vous savez toujours vous rendre disponible et agréable !
Puis se tournant vers Éléonore que la perspective d’augmentation salariale pour son employée semblait avoir bloquée…
– Alors, ma belle… étant donné votre compte-en-banque bien fourni, vous pouvez vous offrir ce petit plaisir, surtout maintenant que votre prince charmant vous a larguée ! Vous verrez, vous n’allez faire que des heureux, vous la première…
Après un moment d’hésitation et de réflexion…
– Oui, c’est d’accord, tante Morgane… mais vous me promettez toutes les deux de ne jamais rien dire à personne.
– C’est promis, ma belle Éléonore ! Hein, mon gentil petit bélier ?!
Elle se tourna vers l’a****l et lui caressa la base de ses cornes avec beaucoup d’érotisme. Celui-ci eut un regard éploré en direction de la « bonne » fée Morgane, accablé qu’il était par tant de cruauté à son égard. Il avait pourtant toujours été reconnaissant et intentionné envers sa fée protectrice pour tout ce qu’elle avait fait pour lui.
Ce qui l’anéantit complétement… fut l’identité de son concurrent.
– Puisque nous sommes toutes d’accord, les filles, nous allons profiter les trois ensemble… avec bien-sûr aussi notre petit bélier en spectateur… de cette belle grosse queue qui nous attend chez votre oncle Jacques-Henri, ma belle Éléonore ! L’âne qu’il a dans l’écurie de son manoir d’Argenteuil n’a pas forcément la plus grosse, comparé aux autres étalons de haute lignée… mais c’est un obsédé de première ! Infatigable…
Putain ! Non ! Enfer et damnation ! Elles allaient se faire sauter par le cousin Hubert !!!
C’est bien connu, il suffit de faire miroiter une belle grosse queue bien raide à une femme pour lui faire déplacer des montagnes ! Et Éléonore, malgré son rang social très élevé et son éducation catholique irréprochable, ne dérogea bien sûr pas à la règle.
Complètement oublié, son beau prince charmant parti méditer dans un ashram… D’ailleurs, il pouvait bien y rester, à boire du lait de yack caillé et à faire tourner des rouleaux de prières toute la journée ; la belle n’en avait vraiment plus rien à battre. Seule cette monstrueuse queue de l’âne de son oncle, avec laquelle les deux autres chaudasses la faisaient saliver, l’obsédait maintenant… Elle voulait la sentir, la palper, la prendre en bouche, la glisser entre ses cuisses, se l’enfiler jusqu’à atteindre l’extase… et il n’y avait plus que ça qui comptait pour elle !
Elle s’était d’ailleurs empressée de téléphoner à son cher papa pour qu’il lui prête son jet privé et un pilote, afin de pouvoir rallier rapidement Argenteuil depuis Nice. A peine avait-elle eu son accord, qu’elle décida de faire ses valises, car il fallait qu’elle ait ses robes de grands couturiers et ses bijoux, bien sûr ! Enfin, faire ses valises était un bien grand mot…
« Luna, allez chercher mes deux grosses valises au deuxième étage, dans la buanderie, et préparez ma garde-robes, je vous prie ! Il faut que nous soyons partis dans trente minutes au plus tard !
– Mais, mademoiselle Éléonore…
– Il n’y a pas de mais, ma petite Luna ! Dépêchez-vous !… Vous demanderez à Omar de les porter jusqu’au taxi qui va nous emmener à l’aéroport !
– Éléonore, je crois que votre bonne voulait juste vous dire de prendre le temps de vous laver. Vous êtes encore couverte de sperme de notre valeureux bélier et, sans vouloir vous faire offense, vous sentez un peu fort le bouc. Je doute d’ailleurs que vous comptiez partir dans cette tenue d’Eve même si cela serait terriblement excitant ! D’autre part, Luna doit savoir combien de jours nous partons chez votre oncle, pour préparer vos valises en conséquence.
– Et bien, jusqu’à demain matin, tante Morgane ! A dix-sept heures, je suis invitée à un vernissage chez SAPONE et je ne voudrais le manquer pour rien au monde ! Il y a la princesse Caroline de MONACO et Brigitte BARDOT qui seront présentes pour une uvre de charité pour la défense des lapins nains d’appartement… c’est trop chou !
Brigitte BARDOT ! Jean-Édouard tendit l’oreille car l’information pouvait bien l’intéresser. Il fallait qu’il puisse s’entretenir avec cette dernière et lui toucher un mot de l’horrible condition des béliers, confrontés à une concurrence totalement déloyale des ânes et autres chevaux. A priori, elle en connaissait un rayon sur la protection des moutons… elle pourrait peut-être vraiment le comprendre et faire voter une loi pour interdire la zoophilie avec les animaux dont la bite dépasse les vingts centimètres, voire même de limiter la pratique uniquement avec des béliers !
Certes, tout bon juriste pourra rappeler à notre valeureux prince charmant que nul n’est censé ignorer la loi et donc lui reprocher de ne pas connaitre l’article du Code Pénal du 9 mars 2004, qui précise que même avec les pauvres béliers, la zoophilie est interdite en France. Seulement, on pouvait aisément lui reconnaitre, à notre bon Jean-Édouard, la circonstance atténuante que jusqu’à ce matin, il n’avait pas vraiment de raisons de s’intéresser au sujet. Et puis, il avait tellement d’autres choses qui accaparaient son esprit…
En tout cas, Jean-Édouard reprit le fil de la discussion entre sa future épouse et la « bonne » fée Morgane…
– …Pour autant, j’ai besoin de toutes mes robes car je ne sais pas encore laquelle je veux porter ! Imaginez-vous, tante Morgane, que ce soit justement celle que je n’ai pas prise que je veuille mettre là-bas !?
– Ma petite chatte, nous allons dans une écurie avec du crottin et des mouches… Je ne vois pas à quoi vont vous servir vos robes CHANEL ou Christian LACROIX, surtout que vous y allez avant tout pour baiser avec un âne ?!
– Vous ne voulez quand même pas que je m’habille comme une souillon, tante Morgane !?!
– Bien sûr que non, ma belle princesse…
Deux énormes valises pleines à craquer uniquement des affaires d’Éléonore, garnirent donc le coffre du taxi…
Bon, ceci dit, le voyage jusqu’à Argenteuil se passa sans encombre, même si les chauffeurs des taxis, que ce soit à Nice ou à l’aéroport du Bourget, rechignèrent l’un et l’autre à l’idée de transporter un bélier sur les sièges en cuir de leur « Mercos » flambant neuves ! Seulement, dans les deux cas, la « bonne » fée Morgane prit sur sa personne et leur promit une petite gâterie pour leurs jolies petites couilles à l’arrivée de leur course respective… ce qu’elle fit, mais malheureusement pas de la façon dont ils se l’imaginaient !
Les deux fois, elle commença par ouvrir leur braguette avec beaucoup de sensualité, à glisser une main experte à l’intérieur et… avec ses pouvoirs maléfiques dont on ne connait pas toute l’entendue, elle leur laissa une poignée de morbacs affamés sur leur pilosité pubienne respective.
Ils doivent probablement toujours l’un et l’autre se gratter les couilles, à l’heure qu’il est !
Jean-Édouard se fit d’ailleurs la réflexion que tous les chauffeurs de taxi qui se grattent les couilles en conduisant avaient sans doute déjà croisé le chemin de la « bonne » fée Morgane, cette dernière les initiant à une forme très particulière de zoophilie. Se faire sucer le nœud par des morpions, il fallait quand même être bien motivé !?
Revenons à nos moutons…
Jacques-Henri fut ravi de cette visite impromptue des trois jeunes femmes, toutes plus jolies les unes que les autres… Il ne savait plus où donner du regard, lui qui n’avait pas été à pareille fête depuis la disparition de son unique fils, Hubert, et le décès de sa femme peu de temps après.
Il se sentait d’ailleurs vraiment seul ces derniers temps, dans sa grande propriété d’Argenteuil. Encore heureusement, il avait ses nombreux animaux pour lui tenir compagnie et lui rendre sa solitude moins difficile ! Certaines mauvaises langues laissaient même entendre qu’il entretenait des relations « contre-nature » avec certains d’entre eux… mais cela restait à l’état de rumeurs car ce ne sont pas des choses dont on parle dans la bonne société française…
De toute façon, Éléonore s’en foutait comme de l’an quarante, des états d’âme de son oncle. A peine arrivée et accueillie par le propriétaire du domaine, elle prétexta une envie de pisser et partit en courant en direction des écuries, Jean-Édouard lui emboitant le pas tel un dévoué garde du corps. Surtout, il ne pouvait pas lui laisser faire n’importe quoi avec son cousin Hubert, car c’eût été i****tueux et complètement immoral !
Jaloux, Jean-Édouard ? Non… pas le moins du monde ! Mais si ce putain de canasson osait toucher ne serait-ce qu’un poil pubien de sa future épouse, il ne savait de quoi il était capable… la situation pouvant très rapidement dégénérer et se transformer en carnage… Jaloux ?… Non ! Et puis, si cela se trouvait, elle s’était rasée le minou comme elle le faisait relativement régulièrement !? D’ailleurs, il n’avait même pas fait attention si elle était épilée ou non, en la tringlant ce matin ?…
En tout cas, la jeune princesse semblait attirée comme un aimant par la fameuse bite de son cousin, car elle tomba du premier coup sur le box de l’âne, certes un peu à l’écart du haras pour éviter que ce dernier aille se chopper les juments de race et leur coller un mulet dans le buffet.
La première chose qu’Éléonore regarda en rentrant dans le box fut bien sûr l’entre-jambes de l’a****l… mais sa déception fut de taille car l’objet de sa convoitise était très loin d’avoir les dimensions annoncées… tout au plus quinze centimètres, en comptant large !? Elle regarda même à plusieurs reprises, faisant le tour de l’a****l et se baissant, pour être sûre qu’il n’avait pas une deuxième bite plus grosse cachée le long d’une de ses pattes arrières. Mais non… rien ! Elle s’était bel et bien faite abuser sur la marchandise par les deux autres salopes !
Une colère froide submergea l’esprit de la belle et jeune princesse…
Le cousin Hubert, comme chaque longue journée de sa triste vie, réfléchissait comment il pourrait déjouer la surveillance des palefreniers employés par son père et par quel subterfuge il parviendrait enfin à saillir une des belles jeunes juments du coin ? L’aspect technique de sa réflexion ne lui provoquait aucune excitation particulière, bien sûr…
C’est pourquoi il fut pris complètement au dépourvu quand sa jeune et très belle cousine entra en trombe dans son box, suivie par un drôle de bélier qui, à sa première impression, ne semblait pas avoir inventé l’eau chaude. Tout de suite, bien sûr, Hubert pensa aux sortilèges maléfiques de la tante Morgane et à ce jeune arriviste prétentieux. Ah, si c’était bien Jean-Édouard que l’autre salope de Morgane avait transformé en mouton… il était prêt à lui pardonner tout le reste !
Fut-ce cette pensée jouissive ou plutôt de voir le très joli petit cul de sa jeune cousine, moulé dans une robe a priori signée Giorgio ARMANI, lui tourner autour… toujours est-il que l’âne retrouva son instinct de mâle ; son sexe commença à gonfler et se tendre.
Sans doute aussi, le souvenir des longues parties de cache-cache de leur enfance, lors des réunions de la famille BUISSET DE BOMPANA, où il suivait volontairement sa plus jeune cousine dans sa cachette et lui caressait la zézette en lui disant que c’était un jeu… amplifia encore son émoi.
Éléonore, qui s’apprêtait à repartir en direction du château avec une colère noire et la ferme intention de congédier sa bonne pour cet affront… fut d’un seul coup témoin d’un miracle, un peu comme le Cardinal BILLÉ voyant son hostie faire un bond et se mettre en lévitation ! Le vin de messe devait être particulièrement bon, ce jour-là !!!
En tout cas, Éléonore, elle, resta scotchée devant cette belle grosse queue qui grandissait encore, et se mit même à parler toute seule… enfin, le croyait-elle !
– Ohhh ! Doux Jésus Marie… comme elle est belle… comme elle est grosse !… Comme elle doit être bonne !?… Hummm !…
Et s’adressant à l’âne…
– Monsieur l’âne, je peux la caresser, votre belle grosse queue ?!
La candeur de la belle ingénue finit de mettre Hubert dans un état d’excitation comme jamais il n’avait connu. Il bandait comme un âne… enfin, façon de parler !
Quant à notre beau prince charmant, il sentit que s’il n’agissait pas rapidement, il aurait bientôt une autre paire de cornes beaucoup moins agréables à porter que celles existantes. Être le cocu de service de l’histoire ne l’enthousiasmait pas du tout, pour être même tout à fait honnête… Mais bon, Jean-Édouard voyait bien que le baudet le regardait d’un mauvais œil et qu’il risquait un mauvais coup de sabot s’il ne faisait pas attention. Il dut donc se résigner à voir l’insoutenable, dans un premier temps…
En effet, la sublime blonde s’était accroupie et prit l’imposante queue avec ses mains. C’était vraiment bizarre, cette sensation au touché… une espèce de grande trompe en caoutchouc gris foncé et rose, mais toute chaude. La jeune femme ne savait pas trop par où commencer avec ce chibre géant, comme intimidée par la bête.
Mais bon, Éléonore avait malgré tout une folle envie de le sentir bien profond en elle et son tanga s’humidifia de cette agréable perspective.
Elle s’avança donc de l’engin tout en commençant à le branler avec ses deux mains… et posa délicatement ses fines lèvres sur le bout presque noir de l’appendice. L’odeur était forte et âcre… et provoqua un recul de la jeune princesse, qui se fit même la réflexion que l’a****l devait avoir une hygiène corporelle plutôt négligée. Et elle qui n’avait même pas pris son sac à main et son CHANEL numéro 5 !
Néanmoins, son fantasme de sucer cette magnifique queue prit le dessus sur ses principes et ses inhibitions… elle entama donc l’opération par de petits coups de langue sur celle-ci. Son excitation grandissait au fur et à mesure qu’elle transgressait ce qui était pour elle des interdits, notamment par rapport à tout ce qu’on lui avait dit au cours de son éducation de jeune fille de bonne famille.
Le cousin Hubert, lui, était aux anges car, en plus de cette fabuleuse fellation par sa jeune cousine encore très inexpérimentée, il était maintenant quasiment certain que le bélier qui trépignait à une petite distance de sécurité de ses sabots, était ce salopard de Jean-Édouard. Il allait donc utiliser toute sa virilité pour besogner la belle blonde et rendre un maximum jaloux le bovidé.
Éléonore avait maintenant entièrement le bout du chibre de l’âne dans sa bouche grande ouverte et elle pompait énergiquement la hampe avec ses deux mains. Tout son corps était parcouru de frissons de plaisir ; elle fermait les yeux pour encore plus profiter de l’instant, en attendant bien sûr d’enfiler cette fabuleuse queue dans sa jolie petite chatte. Elle accélérait… elle accélérait ses mouvements sur la colonne de chair… elle sentait que l’âne était sur le point de tout lâcher…
Jean-Édouard, qui s’était fait un peu oublié dans un coin du box mais qui ne supportait plus cette scène totalement immorale, prit son élan et fonça cornes en avant dans l’arrière-train du baudet… qui, surpris, lâcha d’un seul coup toute sa jouissance ! La queue du canasson rentra encore un peu plus dans la bouche d’Éléonore et un flot de sperme inonda la cavité, le liquide laiteux débordant de toute part. La jeune femme hoqueta, expulsant la colonne de chair qui, telle une lance d’incendie laissée à elle-même, projeta encore de longs jets de sperme sur le visage et le corps de la belle princesse, l’inondant littéralement !
Quand la « bonne » fée Morgane, Luna et l’oncle Jacques-Henri arrivèrent dans le box, il n’y avait plus qu’Éléonore à l’intérieur, assise dans du crottin, sa robe Giorgio ARMANI et son visage maculés de sperme comme si elle venait de prendre une douche de lait concentré ou de crème Mont-Blanc saveur vanille… et une nuée de mouches tout autour. Elle pleurait à chaudes larmes, même si elle avait joui juste avant !
Les deux quadrupèdes avaient, quant à eux, disparu !?
« Calmez-vous, ma petite Éléonore !… Mais d’ailleurs, pourquoi pleurez-vous comme ça ?! Que vous est-il arrivé pour que vous soyez dans un tel état ?!…
– Il est parti, l’âne… Il est parti avec le méchant bélier et il ne reviendra plus !… Ce n’est pas de ma faute…
– Ce n’est pas grave, ma chérie… vous voyez, votre oncle n’est pas en colère ; il voulait juste savoir ce qu’il s’était passé pour que vous pleuriez à chaudes larmes comme une petite fille… mais, en regardant votre robe, j’ai déjà une petite idée. Il vous est sans doute arrivé un peu la même chose qu’à Luna, la première fois qu’elle a astiqué le chibre d’Hub… euh… enfin, de l’âne !
– Madame Morgane !?!…
– Oui, je sais… Luna ! Ne t’inquiète pas, ça reste entre nous !…
Puis, se tournant de nouveau vers Éléonore et lui tendant le bras pour l’aider à se relever…
– Allez, ma belle princesse, remettez-vous debout et séchez vos larmes ! Vous allez voir, il va revenir tout seul de lui-même, notre gentil baudet… Et puis le méchant bélier aussi… et nous lui donnerons une grosse fessée pour le punir !
– Oh oui, une très grosse… Hein, tonton Henri ?!
– Mais bien sûr que oui, ma petite chatte… et si ça ne suffit pas, je prendrais la trique pour corriger le méchant bélier !
Une lueur de perversité traversa le regard du sexagénaire, ce qui n’échappa pas à la « bonne » fée Morgane. L’oncle Jacques-Henri devait sûrement aimer le sexe violent, parmi tant d’autres pratiques inavouables… elle en était maintenant intimement persuadée. Elle fit un clin d’œil à la belle marocaine qui avait manifestement eu le même sentiment en entendant s’exprimer le vieil homme et qui mouilla sa petite culotte presque instantanément !
Les perspectives qui s’ouvraient aux deux femmes, puisque Luna ne doutait pas un instant que la tante Morgane ne résisterait pas à la tentation, devenaient vraiment alléchantes et se devaient d’être explorées, quitte à laisser Éléonore s’amuser toute seule avec son âne…
D’ailleurs, puisqu’on parlait du loup, le sieur Hubert arriva à la porte de son box l’air tout guilleret, du genre l’âne satisfait du devoir accompli… avec, qui plus est, ce sentiment jouissif de s’être pleinement vengé, d’avoir eu une revanche éclatante sur son triste sort ! Quant à notre valeureux et beau prince charmant, il suivait le canasson à bonne distance, la démarche claudicante et le regard hagard. Il semblait porter sur son frêle corps de bélier toute la misère du monde !
Personne ne sut jamais ce qu’il s’était réellement passé pendant le laps de temps où les deux quadrupèdes avaient disparu… mais, depuis, une légende circule à travers forêts et prairies du nord de la France, comme quoi un bel âne plein de vigueur aurait sodomisé à sec un pauvre bélier, après l’avoir coincé dans un taillis d’aubépines. On raconte même qu’un effroyable bêlement transperça la douce quiétude de la forêt d’Argenteuil, en cette belle fin d’après-midi d’avril, comme s’il s’agissait de la fin du monde.
Mais vraiment… que ne sont-ils pas prêts à inventer, ces conteurs, pour essayer de se rendre intéressants ?! Un âne sodomisant un bélier… et puis quoi encore ? La marmotte qui met le chocolat dans le papier d’aluminium ?!… [Ndr : « Encore un qui ne connais pas les contes et légendes de la Yaute, parce que nous savons tous ici que la marmotte est une chaudasse de première… mais ça, c’est une autre histoire !… »]
Toujours est-il que Jean-Édouard laissait apparaitre des signes évidents de dépression aiguë, même si cela ne faisait qu’une demi-journée qu’il avait l’apparence d’un bélier. Sans doute était-ce davantage sa vie d’avant métamorphose, à toujours courir à gauche à droite, sans aucun répit et toujours sous pression… qui l’avait amené dans cet état proche du burn-out ! A moins que ce fusse le fait de ne plus avoir ses deux magnifiques ROLEX aux poignets ?!
Seulement, la suite ne fut pas pour lui remonter le moral, bien au contraire… à croire qu’ils s’étaient tous ligués contre lui pour l’achever avant la fin de la journée et faire un méchoui avec sa dépouille !?
– Oh ! Il est revenu mon petit âne d’amour !… Mon gentil petit âne à qui je vais faire un gros câlin pour le consoler du coup de corne du méchant bélier…
Puis, se tournant vers son oncle…
– Tonton Henri, il faut que tu att****s le méchant bélier et que tu lui coupes les couilles !
Jean-Édouard, qui n’était déjà pas dans une grande forme, passa tout près de l’infarctus du myocarde. L’idée qu’on l’émascule et lui enlève sa seule raison de vivre en tant que bélier… lui était tout bonnement insupportable ! Autant finir en côtelettes et tajine de mouton tout de suite ! Il gisait donc sur l’allée en terre battue, la tête recourbée contre le sol et les cornes sous son corps… dans un état semi-comateux. Il voulait de toute façon se laisser mourir là, pour donner mauvaise conscience à tous ceux qui passeraient devant sa carcasse bouffée par les asticots et les vautours d’Argenteuil.
Mais bon, la « bonne » fée Morgane sauta à sa rescousse… sans doute son côté humaniste !
– Ma petite Éléonore, vous n’allez quand même pas châtrer vos anciens amours lorsque vous en trouvez un mieux membré !? Sinon, les mâles vont hésiter à deux fois avant de coucher avec vous… et vous allez vite vous retrouver à devoir vous titiller le minou toute seule. Allez, ma belle princesse… nous allons plutôt nous occuper de notre bel âne qui a sûrement toujours envie de donner un peu de sa personne ! Et si cela ne suffit pas, il y aura encore les étalons du haras…
– Et moi aussi !… rajouta l’oncle Henri qui avait manifestement flairé le bon plan et qui comptait bien être de la partie.
– Et vous aussi, effectivement… mais vous n’allez quand même pas sauter votre jeune nièce, monsieur BUISSET DE BOMPANA, car ce sont des choses qui ne se font pas dans votre milieu, normalement !? Mais, ne vous inquiétez pas, mon cher… avec la belle Luna, nous comptons bien nous occuper de vous, une fois que mademoiselle aura eu sa petite gâterie.
– Petite… petite… Madame Morgane aime jouer sur les mots !
– C’est vrai, mon cher Jacques-Henri… et pas seulement sur les mots ! Mais ça, vous le verrez de vous-même tout à l’heure…
– …
– Tout à l’heure, monsieur BUISSET DE BOMPANA, car pour l’instant, on ne touche pas ! … rajouta la « bonne » fée Morgane, avec un regard qui le glaça tout le long de la colonne vertébrale, alors qu’il s’apprêtait à caresser les cheveux de sa jeune nièce.
Le propriétaire des lieux était forcément déçu de ne pouvoir toucher au corps juvénile de sa nièce, surtout que cela faisait de nombreuses années qu’il fantasmait dessus et que la situation ne s’était jamais présentée aussi bien. Il y avait toujours une âme bien-pensante à côté de la jeune femme, puis, ces dernières années, l’autre petit prétentieux de Jean-Édouard, pour l’empêcher de coincer cette petite chienne entre deux portes et lui montrer ce qu’était un vrai mâle. D’ailleurs, si elle avait envie de se faire prendre par son âne, c’est bien qu’elle ne devait pas trouver son plaisir avec son bellâtre !
Il n’avait pas osé poser la question de son absence quand elles arrivèrent toute à l’heure… mais peut-être y avait-il de l’eau dans le gaz entre les deux tourtereaux… et cette pensée enthousiasma au plus haut point ! Une jeune femme qui se sépare juste avant son mariage était forcément un peu déstabilisée et devenait donc une proie d’autant plus facile pour un coureur de jupons comme le beau tonton Henri…
De toute façon, le sexagénaire comptait profiter de la scène qui commençait à se dérouler devant lui et, à la moindre opportunité, s’inviter aux ébats… Il sortit d’ailleurs sa queue d’une taille tout à fait honorable, toute proportion gardée avec son âne, et entama une lente masturbation de celle-ci.
Les trois filles, quant à elles, n’avaient plus d’yeux que pour le sexe du cousin Hubert, qui comme par magie s’allongeait sous leurs regards ébahis. Elles se mirent les trois accroupies sous les flancs de l’a****l et se passèrent à tour de rôle l’énorme mandrin tout en le branlant, comme si c’était un jeu, à celle qui arriverait à le mettre le plus profond dans sa propre bouche… Quitte à se déboiter la mâchoire !
La belle marocaine gagna largement, pour le plus grand plaisir de l’âne qui lui inonda la bouche et le visage… mais les deux autres femelles en chaleur ne lui en tinrent pas rigueur, trop occupées à se caresser mutuellement, leurs mains libres s’immisçant dans l’intimité humide de l’autre. Elles s’embrassaient maintenant goulûment…
L’oncle appréciait de plus en plus le spectacle, mais il était malgré tout frustré de ne pouvoir jouer avec un de ces petits corps exquis à portée de main, ni fourrer une de ces petites chattes toutes dégoulinantes de cyprine. Il décida donc de braver ce que lui avait dit la tante Morgane, même si cette dernière lui faisait peur et qu’il sentait qu’il ne fallait pas trop la provoquer, au risque de le regretter amèrement.
Aussi, il s’approcha tout doucement, progressivement… des trois femmes et de l’âne, la bite toujours à l’air, en se disant qu’elles ne feraient pas vraiment attention à lui, trop occupées qu’elles étaient à branler l’âne et à se faire des caresses intimes entre elles…
Il avait presque le bout de sa queue dans les jolis cheveux dorés d’Éléonore et comptait bien se branler avec… mais la « bonne » fée Morgane, qui se releva pour justement passer à l’étape suivante avec sa jeune protégée, l’aperçut et coupa l’homme mûr dans son élan.
– Que vous ai-je dit, mon cher Jacques-Henri ?!? C’est plus fort que vous, les hommes… quand vous voyez de jolis petits culs, vous êtes incapables de vous contenir et d’attendre que nous vous invitions pour vous joindre à nous !
– Non, non !… Ce n’est pas ce que vous croyez, madame Morgane !… Je ne faisais juste que regarder… je n’ai rien touché !…
– Puisque vous êtes un petit cabotin qui n’écoute rien, je vais vous donner de quoi assouvir vos fantasmes et votre orgueil de mâle !…
– …
Elle claqua des doigts en direction de son hôte qui n’eut pas le temps de réagir… La « bonne » fée Morgane est bien une vraie salope !
Ajouter un commentaire