Chap 2.
Lors d’un autre voyage, je décidais l’aller plus loin et cette fois-ci de me travestir complément. Je fis donc plusieurs achats en conséquence, de jolies boots à talons hauts, porte-jarretelles, perruque et maquillage, mais aussi jupe et petit top, histoire de recevoir dans une tenue chic mais sexy sans être à poil pour l’entrée en matière.
Je me mis donc à la recherche d’une rencontre via un site internet, mais je souhaitais quelqu’un de doux, je ne répondis donc pas aux messages trop vulgaires. Mon dévolu tomba sur un asiatique qui me paraissait fort sympathique et que me promettait de me traiter avec douceur et volupté.
Le moment venu, je me préparais donc avec la plus grande attention. Epilation, maquillage et ma tenue chic/sexy.
Il m’avait dit qu’il arriverait vers 22h00 à l’hôtel et plus l’instant arrivait, plus grande se faisait mon excitation. J’avais même acheté pour l’occasion un joli gag-ball rose, espérant qu’il serait d’accord pour que je le porte pendant qu’il m’enculerait !
Puis, l’horaire passa et mon petit étalon bridé ne pointait toujours pas le bout de nez (ni de sa queue !)…
Après deux longues heures d’attente, il arriva enfin. J’étais sur le point de laisser tomber le rendez-vous, las d’avoir tant attendu.
Il commença d’abord par m’embrasser puis demanda à prendre une douche.
Je l’attendis donc encore quelques minutes de plus, me disant que moment allait enfin arriver.
Puis une fois propre, il s’allongea sur le lit et me demanda de le sucer.
Je lui retirai donc son boxer et une fois de plus comme le veut la légende, je me retrouvais face à un sexe de taille très moyenne voire petite et en plus légèrement tordu. Qu’à cela ne tienne, je le pris de suite en bouche avec l’espoir d’être aussi performant qu’avec mes blacks !
Malheureusement, bien qu’il se soit très vite mis à bander sous mes coups de langue, rien ne se passait de plus…
Fatigué d’avoir passé ma soirée à attendre, mon excitation et mon envie finirent aussi par retomber. Je ne me sentais plus la force de continuer. Il ne le prit pas mal et compris, puis il m’expliqua pour quelle raison, j’aurais pu le sucer la nuit entière sans qu’il éjacule.
Il était une espèce d’insensibilité qui faisait qu’il n’avoir jusqu’à ce jour jamais d’orgasme avec ses partenaires. Seul lui-même en se masturbant, parvenait à la jouissance et il pouvait « limer » (ce sont ces termes !), pendant des heures, qu’il en fatiguait les prostituées !!!
Notre soirée s’arrêta sur ces discussions, et je me retrouvais donc seul et frustré de ne pas avoir eu ma petite défonce anale et mon dessert de sperme…
Les choses commencèrent à changer à compter de ce jour, en effet, j’avais oublié un string dans mes affaires de voyage et ma femme tomba dessus…
A ses yeux, j’avais forcément eu une aventure extra-conjugale avec quelques petites trainées du net et elle me le ferait payer un jour où l’autre ! Que dire à cet instant… je ne me voyais lui révéler que non, ce string n’étais pas à une fille mais qu’il était à moi, et que je me travestissais, qui plus est, que je suçais des bites et me faisait faire le cul…
Elle acheta donc une cage à pénis qu’elle me fit porter à chaque fois que je partais en déplacement pour être sûre que je ne recommencerais pas.
Puis, avec la période de crise et la récession économique, je perdis mon job. Seul son salaire de secrétaire nous permettait de survivre mais cela ne pouvait pas durer…
Un jour, alors que je ne devais pas partir en voyage, elle me demanda d’enfiler ma cage. Sans trop comprendre, je m’exécutais, en effet, nous devions juste nous faire un petit resto tranquille. De plus, elle s’était habillé ultra sexy. Minishort avec des bas qui se révélaient dès qu’elle était assise, talons aiguilles, top en voile noir qui montrait complètement son soutien-gorge et rouge à lèvres vif.
Cette soirée prit alors une allure bizarre, car en fait, je découvris en arrivant au restaurant que la réservation était faite pour trois personnes. A la table, nous attendait déjà le patron de mon épouse, qui se prénommait Philippe. C’était un homme d’environ 45ans, les tempes grisonnantes, mesurant dans les 1m85 et au physique plutôt sportif, il était beau à regarder et avait des yeux si sombres qu’on les aurait crus noirs.
Chacun commanda un apéritif et le repas débuta sur des discussions banales puis je me rendis compte que ma femme caressait en fait une grosse boursouflure sous la braguette de son boss. Voyant mon air choqué, elle dit alors à voix haute :
– « Je t’avais bien dit que je me vengerais… et tu ne vas rien dire, ni rien faire, tu vas juste nous regarder ce soir, car grâce à moi, tu vas en plus retrouver du travail. »
Je compris mieux pourquoi elle m’avait fait mettre en cage…
Le repas continua donc ainsi, elle avait même ouvert la braguette pour mieux caresser la bite de son patron. Une fois le repas terminé,
Nous nous rendîmes donc chez lui. Il habitait une belle villa en campagne qui ressemblait plus à un manoir qu’autre chose.
La demeure semblait immense vu de l’extérieur.
Une fois à l’intérieur, on devinait le goût de l’homme pour les belles choses et le luxe qui convenait à son rang.
Il nous installa dans un petit salon et nous offrit un peu d’alcool histoire que chacun soit bien détendu. Nous étions installé sur des fauteuils en velours et il demanda alors à ma femme de s’occuper de lui pendant que je les regarderais.
Elle alla donc s’assoir à califourchon sur lui et ils se mirent à s’embrasser fougueusement. Déjà elle ondulait du corps et frottait son minishort contre la braguette de Philippe. Puis, elle se laissa glisser à genou pour sortir son engin tout gonflé et l’enfila entièrement dans sa bouche. Sa bite était de belle taille et je devenais à tour super excité mais complètement à l’étroit dans ma cage.
Je m’imaginais moi aussi la prenant dans ma bouche et le suçant avidement. Mais c’était ma femme qui avait cette chance, et elle excellait en la matière. Elle lui faisait une de ces gorges-profondes dont elle avait le secret.
Puis elle se releva et enleva son minishort, je découvris alors qu’elle ne portait même pas de string et que sa chatte était déjà bien humide.
Elle vient alors s’assoir sur la bite de Philippe, face à moi, je pense pour mieux me faire souffrir… Le membre s’engouffra et disparu dans son trou et pendant qu’elle se remuait sur lui, il lui caressait le petit bouton.
Je n’en pouvais plus la scène était insupportable pour plusieurs raison, ma femme se faisait prendre par un autre homme sous mes yeux, je ne pouvais rien dire ni rien faire et j’étais à la fois super excité d’assister à cette scène.
Lui, pendant ce temps me regardait et voyait bien que je souffrais mais que je prenais aussi du plaisir d’une certaine manière.
Puis, ma femme se leva, vint se mettre debout face à moi et baissa son buste sur moi. Elle présentait donc sa croupe à son boss qui se leva à son tour pour la prendre dans cette levrette verticale. Il ne la pénétra pas tout de suite, si bien que je voyais son sexe frotter celui de ma femme par en dessous. Je compris alors qu’il était en train de préparer l’anus de ma femme, en insérant d’abord son pouce, puis 2 doigts.
Enfin, il entra dans son petit trou très doucement mais au plus profond possible.
Ma femme en avait les yeux révulsés et s’agrippait à mes poignets. Puis il accéléra la cadence, allant de plus en plus vite et lui giflait les fesses de temps en temps. Ma femme criait, elle haletait de plaisir et lui soufflait et respirait fort comme taureau.
Finalement, il finit par sortir de son cul et lui éjacula sur les fesses. Je ne m’étais pas aperçu que j’avais complètement mouillé mon pantalon mais lui s’en aperçut et ne dit rien cependant. La soirée se termina donc de cette manière, nous rentrâmes chez nous sans mot dire, chacun se refaisant le film de la soirée.
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