Dans l’entreprise où je travaille, il y a une femme de ménage qui passe le soir peu de temps avant que je ne quitte mon bureau. Au fur et à mesure des jours et des semaines, nous avons commencé à discuter et j’apprenais petit à petit un peu plus sur elle. Elle s’appelle Andréa, elle vient de la Réunion, elle a deux enfants adultes qui sont restés sur l’île quand elle est partie pour suivre son second mari qui l’a quittée lorsqu’elle a découvert qu’il la trompait. Elle a la peau noire comme l’ébène, des cheveux courts et frisés, des yeux marron, une taille fine, des hanches qui ont été peu épargnées par ses grossesses et des seins qui ont grossi avec celles-ci. Petit à petit, une complicité naissait entre nous deux et il m’est même arrivé de rester un peu plus tard à mon bureau juste pour la voir et discuter un peu avec elle. Cela ne la dérangeait car j’étais au dernier étage qu’elle devait nettoyer et elle fit bientôt en sorte que mon bureau soit le dernier à faire pour mieux profiter de ma compagnie et ne pas être pressée ensuite. Plus notre complicité s’installait et plus les discussions se firent coquines. Cela commença tout d’abord par des plaisanteries sur le sexe qui devinrent de plus en plus chaudes puis par du flirt, d’abord gentil pour aller de plus en plus sensuel et excitant. Là où au début nous ne nous saluions que de loin, nous nous faisions la bise chastement, puis en nous posant une main sur le bras, puis sur la taille pour finir dans le creux de ses reins. Nos bises sur les joues se faisaient au fil des jours nous rapprocher de plus en plus de nos bouches jusqu’à, une fois, que celles-ci se frôlent légèrement. Ce jour-là, après cette furtive caresse buccale, nous sommes restés tous les deux à nous regarder dans les yeux, nos visages à quelques centimètres l’un de l’autre. Je pouvais voir dans son regard le même désir, la même envie que je ressentais. Nous n’avons toutefois rien fait ce jour-là et nous nous sommes séparés ainsi, laissant notre excitation en suspens.
Le lendemain, j’ai réfléchi toute la journée à ce qui s’était passé la veille et mon cœur battait la chamade rien qu’à penser que je reverrais Andréa le soir même. J’ignorais si mon rythme cardiaque était rapide à cause du stress et de l’affrontement ou à cause de l’excitation, peut-être les deux. Le soir arrivé, Andréa est arrivée dans mon bureau, comme chaque jour le dernier qu’elle faisait, puis nous nous sommes fait la bise. Nous avons discuté de ce qui était arrivé la veille au soir et nous avions décidé d’agir comme s’il ne s’était rien passé. Au moment de partir, nous nous faisons la bise, mon bras autour de sa taille et, une fois la bise passée, mon bras s’est bloqué et refusait de la laisser partir. Andréa me regarda comme si je l’avais fait exprès, peut-être inconsciemment, et devant son visage si proche du mien je n’ai pu me retenir de l’embrasser sur la bouche. Mon baiser fini, j’attendais sa réponse, ne sachant si j’allais ou non me recevoir une gifle pour mon acte déplacé alors que nous venions de dire de ne pas aller dans cette direction. Les deux secondes qu’elle mit pour me répondre me parurent une éternité durant lesquelles je sentais mon cœur battre si fort que j’ai cru qu’il allait sortir de ma poitrine. Pour seule réponse, elle me fit un sourire puis me rendit mon baiser. Nos langues ne tardèrent pas à se croiser dans nos bouches puis à danser ensemble dans celles-ci. Pendant ce temps, mes mains se mirent à lui caresser le dos, d’abord à travers ses vêtements, puis rapidement en-dessous pour dégrafer son soutien-gorge. Une fois celui-ci défait, je l’ai amenée jusqu’au bord de mon bureau et dès qu’elle fut assise sur ce dernier j’entrepris de lui ôter ses vêtements du haut. Elle fit de même ensuite, ce qui me permit de pouvoir admirer ses deux seins noirs dont les tétons étaient gros et pointus.
Lorsque nous fûmes tous deux torses nus, nous nous sommes de nouveau embrassés. Je pouvais sentir sa poitrine frotter contre mon torse. Ses mains étaient derrière ma nuque et dans mes cheveux pour m’empêcher de me retirer de sa bouche tandis que ma main droite lui caressait son dos dénudé, depuis son cou jusqu’à ses reins, et ma main gauche lui malaxait les fesses à travers son jean. Je sentis tout d’un coup l’une de ses mains venir sur mon torse et descendre jusqu’à mon entrejambe pour me caresser le sexe à travers mon pantalon. De ses doigts experts, ce dernier tomba rapidement, suivi par mon caleçon avec l’aide de sa seconde main. Une fois nu devant Andréa, celle-ci commença à me masturber d’une main pendant que l’autre me caressait les testicules. De mon côté, mes mains lui malaxaient les fesses sous son jean qu’elle avait ouvert pour me faciliter l’accès. Au bout de quelques minutes, je la fis s’allonger sur le bureau pour pouvoir lui retirer son jean et sa culotte. Je remarquais que son vagin était déjà bien humide d’excitation et qu’elle n’avait pas de poils sur le pubis. Je l’ai laissée allongée et j’ai commencé à jouer avec son sexe, d’abord en le caressant avec une main puis en insérant un doigt suivi d’un second dans son intimité pour finir par frotter mon membre sur l’entrée de sa vulve et enfin la pénétrer en une seule fois jusqu’à la garde. Cela lui fit sortir un gémissement du plus profond de son être. Je sentais que son désir et sa libido n’avaient pas été relâchés ainsi depuis son dernier mari et peut-être même avant. J’ai commencé à faire des mouvements de va et viens en elle, allant jusqu’à la limite de sortir d’elle pour ensuite rentrer bien à fond, et ainsi de suite pendant plusieurs minutes.
Lorsqu’Andréa me demanda de sortir d’elle, elle se mit à genoux devant moi pour ensuite prendre mon pénis en bouche et me procurer une fellation dont j’ai rarement eu aussi bonne. Elle me léchait le gland avec telle dextérité que j’ai dû lui demander de s’arrêter un peu pour ne pas jouir tout de suite. J’ai entrepris ensuite de lui rendre la pareille et de m’occuper de son abricot chaud et humide. Je l’ai donc relevé, tourner face à mon bureau et je l’ai fait pencher vers ce dernier jusqu’à ce que ses seins s’écrasent contre lui. Andréa a ensuite posé un genou sur mon bureau pour mieux ouvrir son entrejambe et ainsi me donner l’accès à son sexe gonflé par le plaisir. En approchant mon visage de son intimité, j’ai senti l’odeur de celle-ci m’enivrer et me donner encore plus envie de goûter à son fruit défendu. A chaque coup de langue, je l’entendais gémir de plaisir comme une furie à s’en faire éclater les cordes vocales. A ce moment-là, je me suis dit en mon for intérieur qu’heureusement que nous n’étions plus que tous les deux car sinon nous aurions eu de la compagnie. Au bout d’un moment, elle explosa dans ma bouche dans un puissant orgasme. Ne lui laissant pas le temps de reprendre ses esprits, je me suis relevé derrière elle et j’ai inséré mon sexe au fond du sien frénétiquement pour une furieuse séance de levrette. Cela dura pendant presque une demi-heure et, à la fin, je n’ai pu tenir et j’ai joui sur ses fesses de longs et puissants jets de sperme qui allèrent jusqu’au milieu de son dos. Sachant que ce serait certainement la seule et unique fois que nous aurions une relation sexuelle ensemble, je lui ai demandé si elle accepterait que je la sodomise. Elle accepta mais me demanda de lui laisser quelques minutes pour reprendre son souffle car elle avait eu tellement d’orgasmes pendant la levrette qu’elle avait failli perdre connaissance une fois. Je devais reconnaître que je n’avais pas ménagé mes efforts à ce moment-là.
Une fois nos forces retrouvées, Andréa s’est à nouveau assise au bord de mon bureau, les jambes suffisamment écartées pour que je puisse être tout proche d’elle. Elle a ensuite pris ma verge dans sa main afin de me redonner de la vigueur. De mon côté, je lui mettais des doigts dans son vagin afin de les lubrifier avant de les insérer dans son fondement. Une fois son anus suffisamment travaillée, Andréa a présenté mon pénis à l’entrée de son œillet, puis j’ai commencé doucement à m’enfoncer pour ne pas lui faire trop mal car cela faisait pas mal de temps que personne n’était venu par là. Arrivé au fond d’elle, nous sommes restés ainsi une minute environ pour qu’elle puisse s’habituer à ma présence en elle. Puis, j’ai commencé à lui ramoner sa voie anale, d’abord doucement puis rapidement de plus en plus vite jusqu’à y aller au maximum de mes capacités. A cet instant, j’ai senti en elle monter le plaisir jusqu’à son paroxysme où elle a joui tout en se relevant et me prenant dans ses bras pour s’embrasser. Mon orgasme est venu tout de suite après et j’ai lâché toute ma semence dans ma partenaire. Une fois sorti d’elle, nous nous sommes nettoyés du mieux que nous pouvions puis nous nous sommes habillés avant de nous quitter dans un dernier baiser. Andréa m’a même remercié car cela faisait trop longtemps à son goût qu’elle n’avait pas vécu quelque chose d’aussi fort.
Comme cela s’était déroulé un vendredi, nous ne nous sommes pas revus avant la semaine suivante. Nous avons discuté de notre partie de jambes en l’air de la semaine précédente. Aucun de nous deux n’avions regretté ce qui s’était passé mais nous avions convenu que cela ne se reproduirait pas pour notre bien à tous les deux. Nous continuions à discuter et plaisanter tous les soirs comme si tout cela ne s’était jamais passé, bien qu’aucun de nous deux n’avait oublié. Un an plus tard, j’ai trouvé une place plus intéressante pour moi et j’ai donc déménagé sans jamais l’avoir revu.
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