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La petite nana qui avait des dettes

La petite nana qui avait des dettes



Ce jour-là, avec Mathilde, j’ai joué le rôle du propriétaire de notre appartement qui venait frapper à notre porte pour réclamer deux loyers de retard. Mais j’étais absent et Mathilde était seule. Elle invita le propriétaire à entrer. Il était en colère.
Dans ce scénario, nous étions un jeune couple qui avait des difficultés financières. Ce n’était pas le cas en vrai, mais Mathilde interpréta son rôle à la perfection. Et moi aussi, je crois.
Elle demanda au propriétaire de se calmer et lui proposa un verre. Il refusa. On lui devait presque mille euros et ça ne pouvait plus durer. Il voulait repartir avec un chèque.
« Ce n’est pas en s’énervant que les choses vont se régler, dit Mathilde dans le plus grand calme. Asseyez-vous et prenez un verre, j’étais sur le point de m’en servir un. »
« Je ne me suis pas déplacé pour prendre un verre, dis-je en fusillant ma locataire du regard. Où est votre conjoint ? C’est lui qui me fait les chèques et je voudrais lui parler. »
« Il est en formation pendant toute la semaine à Orléans. Il sera de retour vendredi soir. »
« Vendredi soir… dis-je. Et vous, vous avez un métier ? Vous pourriez peut-être faire ce chèque à sa place, non ? »
« Non, je suis étudiante. J’ai juste une bourse et je fais la plonge dans un restaurant pour compléter mes revenus. Nous traversons une mauvaise passe. Arrêtez de vous énerver. Asseyez-vous et acceptez un verre, je vais essayer de téléphoner à mon ami. »
Je soupirai en regardant ma locataire.
Elle portait une petite robe de printemps, kaki, dotée d’une ceinture et boutonnée devant. Je distinguais un peu la naissance de ses seins. La robe lui arrivait au milieu des cuisses. Elle était pieds nus.
Je me suis assis dans le canapé sans répondre.
J’ai suivi des yeux la fille quand elle a quitté la pièce.

A son retour, elle avait deux verres de kir dans les mains. Elle m’en a tendu un et je l’ai remercié dans un grognement. Elle a posé le sien sur la table basse et s’est assise à l’autre bout du canapé, à ma droite, à moitié tournée vers la table et vers moi. Elle a sélectionné un nom dans le répertoire de son téléphone et l’a collé à son oreille en me regardant. Le temps que ça réponde, elle a croisé les cuisses. Le bouton du bas de sa robe était défait et j’ai aventuré mon regard à cet endroit.
Et son conjoint a répondu.
La fille a dit :
« Chéri, c’est moi. Ça va ? Bon… Oui, ça va. Ecoute, le propriétaire est là et il voudrait qu’on lui règle les loyers. Oui, tout de suite… Il est venu pour ça et… Non, mon compte est déjà à découvert. Ben oui, il est en colère, dit-elle en me regardant dans les yeux. »
Elle décroisa ses cuisses et les croisa dans l’autre sens. J’évaluai à moins de dix centimètres la distance qui séparait le deuxième bouton de sa culotte. Elle avait la peau dorée. De belles jambes. Et je pouvais toujours voir la naissance de ses seins dans son décolleté, sans pouvoir affirmer qu’elle portait un soutien-gorge, ou pas.
Elle reprit :
« Mais toi, où en est ton compte ? Ah… D’accord… dit-elle en haussant les sourcils et en me regardant toujours. Ecoute, je vais voir ce qu’on peut faire, mais… Non, non, ne t’inquiète pas. Oui. Je te rappellerai pour te tenir au courant. Comment se passe ta formation ? »
Elle avait un chignon. Ses cheveux étaient châtain foncé. Elle devait avoir vingt ans, maximum, et elle n’avait pas de gros seins, ça se voyait. J’ai pris une gorgée de kir et suis revenu à elle au moment où elle disait à son conjoint qu’elle l’embrassait.
Puis elle raccrocha et posa son téléphone sur la table. Elle prit son verre et se tourna vers moi en disant :
« Ça va être difficile. »
Je répondis :
« Mais il n’y a personne dans votre entourage qui pourrait vous avancer cette somme ? Je n’ai pas envie que ça traîne et que vous vous retrouviez avec quatre ou cinq loyers de retard. »
« Non, il n’y a personne. Nos parents ne roulent pas sur l’or. »
« C’est très ennuyeux, dis-je. Je n’aime pas cette situation. »
« Moi non plus, je ne l’aime pas, dit-elle en décroisant de nouveau les cuisses. Mais on doit bien pouvoir trouver un arrangement. »
Elle les recroisa et mes yeux restèrent fixés à la peau de ses cuisses le temps que je lui réponde :
« Ce n’est pas un arrangement que je veux, c’est un règlement. »
« Je sais, dit-elle. Mais en attendant qu’on soit en mesure de vous régler, on doit bien pouvoir s’arranger, non ? »
C’est à ce moment-là qu’elle a défait l’avant-dernier bouton du bas de sa robe, sous mes yeux, en me regardant. Le bouton suivant se trouvait pile au niveau de la jointure de ses cuisses, autrement dit de sa culotte.
J’ai répondu :
« A quoi vous jouez ? »
« A rien, dit-elle. J’essaye de trouver une solution. »
Mon regard était remonté vers son visage le temps qu’elle me réponde, et il redescendit aussitôt vers ses cuisses.
Je ravalai ma salive et dis :
« Et que proposez-vous ? »
Elle avait l’air tout à fait sérieux. Presque grave même.
Elle répondit :
« Je n’ai pas de culotte. Je peux vous montrer ma chatte. »
Je ne quittais plus le bas de sa robe des yeux.
« Et vous croyez que ça solutionnera notre problème ? »
« Non, ce sera juste pour patienter. Vous n’avez pas envie que je vous montre ma chatte ? »
J’ai tardé à répondre. Elle venait d’ouvrir légèrement les cuisses et je réalisai qu’elle ne mentait pas : elle n’avait pas de culotte. Je devinais ses lèvres et ses poils coupés très courts.
J’ai répondu :
« Que dirait votre compagnon s’il savait ce que vous êtes en train de faire là ? »
« Rien, dit-elle. Il le sait. »
« Comment ça, il le sait ? »
« Eh bien, il sait que je suis comme ça. Il sait que je me montre très facilement. Je le lui ai dit dès le jour de notre rencontre. Et je l’ai prévenu par la suite, que ce n’était pas une bonne idée de se mettre en couple, car je ne suis jamais parvenue à être fidèle. C’est plus fort que moi, dit-elle en faisant sauter le troisième bouton du bas de sa robe. Mais ça ne le dérange pas, au contraire. Il aime bien savoir que je suis comme ça. Qu’à tout moment, en son absence, je suis susceptible de me mettre toute nue devant d’autres que lui. Vous avez envie de me voir toute nue ? »
Je voyais parfaitement sa chatte à présent. Elle ne s’épilait qu’au maillot. Ses poils très courts couvraient son pubis et elle avait des lèvres volumineuses à souhait, bien saillantes.
Sans quitter sa chatte des yeux, j’ai dit :
« Pourquoi pas. »
Sur ces mots, elle s’est mise debout et, sans cesser de me regarder, elle a dénoué sa ceinture, puis fait sauter le reste des boutons, de bas en haut. Elle a ouvert sa robe, puis elle l’a enlevée. Elle l’a jetée un peu plus loin, sur le plancher, et s’est rassise à cinquante centimètres de moi. A poil.
Je lui ai dit :
« Quel âge vous avez ? »
« Presque dix-neuf. Et vous ? »
« Cinquante-quatre, dis-je en fixant ses petits nichons fermes et pointus du regard. »
« L’âge de mon père, dit-elle. Vous êtes marié ? »
« Oui. »
« Ah… fit-elle. Mais vous avez quand même envie de faire l’amour avec moi dans le lit où je dors avec mon conjoint ? »
« Oui, c’est possible. »
Elle a souri, puis dit :
« Par contre, je n’ai pas de préservatif, mais ça ne me dérange pas de me faire pénétrer comme ça. Je préfère, même. Et vous ? »
« Ça ne me dérange pas non plus. »
Mathilde jouait parfaitement son rôle. Je bandais à mort. Ce n’était pas elle qui était là devant moi, à poil, c’était une étudiante de moins de dix-neuf ans qui venait de me dire qu’elle préférait les relations non protégées.
Elle a ajouté :
« Nous sommes d’accord que ça n’effacera pas notre dette, mais vous pouvez néanmoins me demander ce que vous voulez. Tout ce qui vous passe par la tête. Allez-y. »
Je matais tantôt ses seins, tantôt sa chatte.
Mais je l’ai regardée dans les yeux pour lui dire :
« J’ai envie que vous posiez votre chatte sur ma bouche. »

Nous l’avons fait dans le canapé. Entre temps, j’avais enlevé mes habits. J’étais aussi nu qu’elle et je me suis couché parmi les coussins. La fille m’a enjambé et elle a ouvert ses cuisses au-dessus de mon visage. Sa chatte s’est approchée de ma bouche et j’ai sorti ma langue pour la lécher dès que ce fut possible. Elle était trempée. C’était un mélange de mouille et d’urine.
Ma queue était raide et je me masturbais tout en léchant.
Pour sa part, ma locataire se caressait le clito avec sa main droite, tout en se tripotant les seins avec la gauche. Elle poussait des petits murmures et des syllabes : « Han… Oui… Mmh… Oh… Mmmmh… Oui… »
Je sentais qu’il en faudrait peu pour que j’éjacule. Une goutte de sperme bien laiteuse avait jailli de mon gland pour couler entre mes doigts. Quelques secondes de pénétration et j’allais gicler dans la chatte de cette étudiante.

Mathilde aimait bien jouer le rôle d’une étudiante. Ce n’était pas la première fois qu’elle le faisait à l’occasion d’un scénario. La fois précédente, elle était venue frapper à l’improviste chez un de ses profs pour lui dire que la note catastrophique qu’elle avait eue dans la semaine allait compromettre son passage en deuxième année de fac, mais qu’il devait bien y avoir moyen de s’arranger. Cette fois-là, elle portait une chemisette blanche, très légère, et une jupe noire assez longue. Dessous, elle n’avait rien. Ni soutif ni culotte. Elle avait commencé par enlever la jupe et s’était retrouvée avec la chatte et le cul à l’air devant son prof, en chemisette. Je l’avais sautée comme ça, sur le sol du salon, sans préservatif.

Cette fois-là, je l’ai sautée sous les draps du lit où elle dormait avec son compagnon qui me devait presque mille euros. Je l’ai prise par devant, puis en levrette. Et à plusieurs reprises elle a fait allusion à mon âge, et donc à celui de son père. J’ai déchargé une première fois au fond de sa chatte, mais je n’ai pas cessé de bander pour autant. Le sperme a débordé de ses lèvres et je lui de nouveau enfoncé ma queue.
Et je lui ai dit :
« Pourquoi tu parles si souvent de ton père ? »
« A ton avis ? » a-t-elle répondu.
Nous étions toujours en levrette et je tenais ses fesses.
J’ai dit :
« Tu as couché avec lui ? »
« Non, dit-elle. C’est un gros con et il est moche. Mais là je ne suis pas moi, je suis une autre fille, alors je peux m’inventer le père que je veux. Un père qui abuse un peu de sa fille. »
« Sa fille de quel âge ? »
« L’âge que tu veux », dit-elle entre deux à-coups contre ses fesses.
« Elle est jeune ? »
« Oui. »
« Très jeune ? »
« Trop jeune », dit-elle.
« Beaucoup trop jeune ? » dis-je en fixant son cul du regard.
« Oui, beaucoup trop. »
Elle avait un petit cul. Un petit cul et des petits seins. Un corps menu et une imagination au moins égale à la mienne. Et plus on se faisait de scénarios, plus on se découvrait de vices communs.
Depuis deux minutes, j’avais cessé d’être le propriétaire venu réclamer son chèque. J’étais redevenu moi et c’était bien le cul de Mathilde qui était ouvert sous mes yeux. Ma queue allait et venait dans sa chatte.
Je lui ai dit :
« Quel âge veux-tu avoir ? »
Elle a répondu :
« Je ne te le dirai pas. L’âge que tu veux. »
J’ai alors fermé les yeux. J’imaginais ce que je voulais. J’étais en train de pénétrer la chatte d’une fille de l’âge de mon choix, dans ce lit. L’âge que je voulais, tandis que Mathilde avait choisi le sien.
J’ai retiré ma queue de sa chatte et j’ai déchargé sur son anus après avoir rouvert les yeux. J’ai regardé le sperme gicler de la fente de mon gland, puis couler entre les petites fesses que j’avais sous les yeux.
L’âge de mon choix.
La fille de mon choix.

Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre ce soir-là, en position de petites cuillères, après avoir pris une douche. On s’est couverts de bisous et on s’est fait un gros câlin. Les pires vices n’empêchent pas la tendresse de survenir à tout moment. Au contraire.

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