La soirée – Belle, seconde partie
Il y en aura une troisième !
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– Je vois ce que tu veux dire.
J’ai enlevé mes vêtements, à peine gênée par la présence de Belle qui me regardait surement, j’ai posé mon masque sur mon visage, aidée par ma guide pour ajuster mes cheveux autour de la lanière, puis je l’ai prise par la main et j’ai ouvert la porte. Comme elle me l’avait dit, tous les regards se sont tournés vers nous quand nous sommes entrées dans le salon, et mon entrejambe s’est instantanément liquéfiée d’être ainsi observée. Les groupes d’invités se retournaient vers nous, les femmes prenaient le bras de leurs hommes pour les retenir, et même une esclave qu’un invité montait à côté de la porte d’entrée nous a regardées en souriant.
Malgré mon apparente assurance, j’étais terrifiée de me retrouver nue au milieu de tant de gens bien habillés, et j’ai serré la main de Belle pour me rassurer. Elle s’est tournée vers moi pour voir si j’allais bien, puis en me voyant hocher de la tête, elle décida de continuer notre découverte de la soirée. Nous avons quitté la pièce, toujours suivies des yeux par les trois quart des invités, et nous avons traversé un couloir où se mélaient invités et esclaves. Ces dernières étaient d’ailleurs bien souvent collées contre les murs par les invités ou leurs compagnes, les bras maintenus au dessus de la tête par des fers, pendant qu’on leur dévorait le cou, la poitrine ou le sexe…
Nous nous sommes glissées au milieu de cette orgie, attirant immanquablement l’attention des invités qui nous glissaient quelques mains aventureuses sur les fesses ou dans le cou, puis retournaient vers les autres esclaves, plus réceptrices… Arrivées de l’autre coté du couloir, je me suis retourné et j’ai regardée impressionnée la foule que nous avions traversée nues toutes les deux, sans qu’aucun des invités n’essaye de nous prendre. Apparemment, les instructions sur les masques étaient bien passées et les invités préféraient se concentrer sur les esclaves qui portaient un masque ouvert.
Après avoir passé cette première épreuve, je me sentais prête a continuer la découverte de la soirée, et je me suis glissée dans une nouvelle pièce à la suite de Belle.
« – Ah, nous arrivons juste à temps
– à temps ?
– As-tu déjà assisté à une vente aux enchères ? »
De part et d’autres du couloir par lequel nous étions entrés, des esclaves se tenaient fièrement, chacune sur son piédestal attitré. Debout, droite, la poitrine bombée, ou faisant la belle les jambes entrouvertes, six esclaves au total étaient le cœur palpitant de cette nouvelle pièce. Au milieu, assis sur des rangées de chaises, des invités les regardaient attentivement, préparant ce que Belle m’avait annoncé comme étant une session d’enchères.
« – Elles vont être…vendues ? Par qui… A qui ???
– Oh ne t’inquiète pas, de vente, ce que tu vas voir n’en a que le nom…
– Mais, ces esclaves ?
– Elles se sont toutes arrangées avec leurs maitres respectifs pour être à cet endroit ce soir… Elles sont toutes volontaires pour une…location le temps d’une soirée.
– Elles se prostituent ?
– Câline ma belle, appelle une seule de ces filles une prostituée, et je pense qu’elle t’enverra finir la soirée à pleurnicher entre les jambes de ton maitre… »
Apparemment j’avais touché un point sensible… Je bredouillais quelques excuses à Belle, qui me pardonna rapidement en me caressant la hanche.
« – J’avoue que les apparences sont trompeuses, certes… Non, les enchères ne leur reviennent pas, c’est une des sources de financement de la soirée. Pourquoi crois-tu qu’on peut déguster champagne et petits fours à volonté ?
– Qu’est ce qu’elles y gagnent alors ?
– Les…lots, comme elles s’appellent, et les acheteurs, font partie de la liste des invités privilégiés pour la soirée suivante. Et crois-moi, elles y gagnent aussi de très bons souvenirs… »
Peu convaincue par les explications de Belle, je la suivis néanmoins dans la pièce et nous sommes allées nous asseoir sur des chaises de la dernière rangée. Je profitais de ce petit moment de pause pour regarder les esclaves mises en vente tout autour de la pièce.
Posées sur leur petit piédestal surélevé, elles attendaient patiemment le début de la vente, regardant les invités qui les évaluaient des yeux. A coté d’elles, un petit pupitre portait un cahier dont je n’arrivais pas à distinguer le contenu quand des invités l’ouvraient. Chacune portait un masque complet, qui recouvrait non seulement sa bouche, mais cachait surtout son visage, rendant compliqué pour les éventuels acheteurs de juger la beauté de l’esclave. Enfin, elles avaient entre les jambes un étrange accessoire métallique qui ressemblait à une culotte, et cachait leur sexe et leur anus.
« – Câline !
– Oui ?
– Tu vois le couple, deux rangées devant nous ?
– Oui
– Ils veulent acheter une esclave. La numéro 16… »
Devant nous en effet, un couple d’une quarantaine d’années regardait attentivement l’esclave qui portait le numéro 16 depuis quelques minutes. L’homme parcourait ses jambes du regard, la femme regardait sa poitrine. Ils discutaient entre eux, visiblement intéressés par l’esclave portant le numéro 16. Puis ils se sont levés et son allés voir de plus près, lui, lui caressant les jambes pour découvrir la douceur de sa peau, elle, prenant entre ses mains le mystérieux cahier.
« – C’est le descriptif de l’esclave.
– Le descriptif ?
– Oui, il contient tout ce qui pourrait aider les acheteurs à faire leur choix… La vitesse à laquelle elle fait jouir un homme, une femme, le temps qu’elle peut supporter sans jouir… Et puis des photos, de son sexe, de son anus et de sa bouche.
– Pas de son visage ? »
Belle n’a pas eu besoin de me répondre pour que je devine que non… Après tout, pour ces esclaves dont le seul rôle serait de donner du plaisir à leurs acheteurs pendant la soirée, la beauté du visage devait peu importer. Une partie de moi était scandalisée par cette idée, en réalisant que ces filles n’étaient que des vulgaires bouts de viande, qu’allaient se partager une bande de charognards…
« – Je sais à quoi tu penses, Câline, je pensais à la même chose la première fois que j’ai vu une fille se faire acheter comme ça… Mais regarde la main de l’homme… »
Je regardais donc l’homme tâter les cuisses de l’esclave qui restait impassible. Puis j’ai été surprise de le voir retirer la main pour la montrer à sa compagne : elle était recouverte de mouille. Amusée, la femme a caressé délicatement le ventre de l’esclave, et si nous avions été un peu plus près d’elle nous aurions sans doute pu l’entendre soupirer de plaisir.
« – Avoue que tu ne t’y attendais pas…
– Qu’est-ce que c’est cette espèce de culotte ?
– Une banale ceinture de chasteté.
– Une ceinture de chasteté ?
– Oui, c’est le courtier qui en a la clef, et il la donnera à ses acheteurs… C’est une garantie pour eux que leur esclave leur a été entièrement réservée pendant la soirée et que personne d’autre n’y a touché !
– Elle… elle n’a pas pris de plaisir depuis le début de la soirée ?
– non… Pourtant tu vois comme elle aime être touchée par ces personnes ? Tu imagines ce qui lui passe dans la tête ? Mmmmh, quels bons souvenirs ! »
Comprenant qu’elle avait déjà été « vendue » pendant une soirée, je me retournais vers Belle. Ce n’était plus seulement de la curiosité, à ma grande surprise j’avais envie d’entendre son histoire… Belle me raconta donc que oui, elle avait été achetée. Chanceuse, elle portait le numéro 3, et elle avait donc été mise aux enchères dès le début de la soirée. (Moins) chanceuse, elle avait été achetée pour un prix obscènement élevé par un couple qui avait voulu vérifier l’exactitude de son cahier descriptif.
Mais auparavant, Belle avait tellement mouillé pendant la bataille d’enchères qui avait opposé pas moins de trois couples, qu’une flaque s’était formée sous elle en coulant le long de ses cuisses : le premier ordre que lui avaient donné ses acheteurs était de nettoyer son piédestal. A quatre pattes devant les acheteurs, les esclaves et les autres lots, Belle avait lapé le sol, avec le lot suivant qui se tenait a la place ou elle se trouvait quelques minutes plus tôt… Rien que d’y penser, je mouillais moi aussi.
Ensuite, ils l’avaient emmenée dans un petit salon privé avec son cahier, et l’avaient testé. Montre en main, si elle jouissait pendant que l’homme la montait en moins de 14 minutes, alors ils lui demandaient d’essayer de les faire jouir en moins de 3 minutes. Et si elle échouait, rebelote… J’ai souri quand Belle m’a avoué que son copain et elle avaient exagéré les chiffres pour mieux séduire les acheteurs, et qu’au final, elle avait supporté ce petit manège pendant plusieurs heures sans jamais avoir rempli aucun de ses objectifs. Mais à l’entendre parler, je devinais qu’elle s’était bien amusée !
De retour à notre lot n°16, nous avons vu que le couple était retourné s’asseoir à sa place. Le courtier avait annoncé le début des enchères, et ils ne voulaient pour rien au monde passer à côté de cette esclave. Vendues par groupes de 5, n°16 était la première de sa session… Le courtier alla se tenir à côté d’elle, et lui glissa dans la main la clef de sa ceinture de chasteté, ouvrant ainsi les enchères. Le couple leva la main, et le courtier annonça 50 euros. Visiblement, une autre personne que je n’avais pas remarquée tenait à n°16, puisque le courtier enchérit, 100, puis 150 du couple et 200…
Du coin de l’œil, je voyais l’esclave qui tremblait d’excitation. J’imaginais le raz de marée qui devait être en train de gronder sous sa ceinture de chasteté, et je comprenais peu a peu le plaisir qu’elle pouvait prendre ainsi. Cette bataille d’enchères devenait une bataille de désir, et elle ne pouvait etre sûre que le grand gagnant voudrait en avoir pour son argent… Et de son coté, elle se devrait de remercier ses acheteurs qui lui auraient fait confiance pour se battre pour elle jusqu’au bout.
Le second enchérisseur abandonna quand n°16 fut estimée à plus de 500 euros ! Le couple s’échangea un sourire satisfait, puis se leva et se dirigea vers leur esclave. Ils la prirent par la main, l’aidant à descendre de son piédestal avec ses jambes tremblotantes, puis chacun d’un côté d’elle, ils allèrent s’isoler dans un des petits salons avoisinants, quittant l’effervescence de la vente aux enchères.
La suite des enchères ne présentait pas beaucoup d’intérêt. Le lot suivant était une esclave à la poitrine aussi impressionnante que retaillée… Je n’aimais pas ce genre de chirurgie esthétique, c’était comme si elle n’appréciait pas son corps et avait besoin de se donner ces…atouts supplémentaires… Nous avons donc décidé de suivre le couple qui avait acheté le lot n°16 dans la pièce voisine. Ils n’avaient pas fermé la porte derrière eux, semblant vouloir être dérangés par des curieux.
D’un simple coup d’œil, Belle et moi nous somme fait comprendre que nous voulions toutes les deux aller retrouver le couple qui venait d’acheter n°16 pour voir ce qu’ils lui faisaient de beau. Nous nous sommes levées, abandonnant la vente aux enchères, et glissant notre tête par l’embrasure de la porte nous avons découvert l’esclave, debout au milieu de la pièce, faisant face à madame, pendant que monsieur était dans son dos en train de lui embrasser la nuque.
La femme était en train de retirer le masque de l’esclave, préférant sans doute profiter de sa bouche plutôt que d’entretenir le mystère de son visage. En l’enlevant, elle dévoila la bouche de l’esclave qui était occupée par un bâillon boule, maintenu en place par deux lanières de cuir attachées l’une à l’autre derrière la tête de l’esclave par un petit cadenas. Elle examina le bâillon, faisant glisser ses doigts de part et d’autres des lanières, sur la peau des joues de l’esclave, puis léchant la bave qui coulait sur la boule du bout de la langue. Enfin, confiante que le fameux bâillon n’avait pas quitté la bouche de son achat depuis le début de la soirée, elle daigna la libérer. Elle lui laissa quelques instants pour reposer sa mâchoire, puis repris ses baisers.
Tout en l’embrassant, elle jeta un coup d’œil vers la porte, et nous remarqua en train de les regarder toutes les deux avec envie. Nous avons eu peur un moment qu’elle ne nous demande de partir, préférant la compagnie d’autres invités plutôt que celle d’esclave, mais son grand sourire et son petit mouvement de doigt nous ont rassurées et nous sommes entrées dans la pièce en refermant la porte derrière nous. N°16 nous regardait elle aussi, toute souriante d’avoir de nouveau un public.
Derrière elle, monsieur est descendu lentement le long de son dos, jusqu’à aller poser sa bouche sur le métal de la ceinture de chasteté de l’esclave. Il en fit rapidement le tour du bout des doigts, vérifiant qu’elle tenait bien en place, s’attardant sur ses cuisses pour l’exciter un peu plus, puis récupéra finalement la clef des mains de sa compagne et libéra le bas ventre de n°16 de sa ceinture. Sans même prendre la peine de vérifier que les photos dans le cahier descriptif de l’esclave correspondaient, il lui ouvrit les fesses des deux mains et plongea son visage dans son sillon.
Privée de plaisir depuis le début de la soirée, n°16 chancela en sentant la langue de l’homme lui pénétrer l’anus, et dû s’agripper au cou de la femme, ses jambes flageolantes menaçant de ne plus la porter. Elle la serra gentiment dans ses bras, pendant que son compagnon continuait de lui laper l’anus et profitait de sa position pour lui coller quelques bonnes fessées bien énergiques qui lui firent rougir les cuisses et pousser des petits couinements de douleur.
Puis il fit signe a sa femme de s’asseoir dans un fauteuil, et celle-ci entraina leur esclave à sa suite, n°16 se retrouvant ainsi à quatre pattes face à son acheteuse. Ouvrant lentement les cuisses, la femme dévoila son sexe à son esclave en chaleur, qui résista cependant à la tentation de se jeter sur ce fruit défendu, attendant docilement un ordre de ses propriétaires. Attrapant n°16 par les cheveux, la femme l’attira à elle, plaquant le visage de l’esclave contre son sexe qu’elle se mit à lécher avec soin. Puis, sans la relâcher, elle referma ses cuisses autour de la tête de l’esclave, l’immobilisant dans cette position incroyablement humiliante, mais au combien plaisante tant pour l’une que pour l’autre.
Abandonnée à même le sol, la ceinture de chasteté de n°16 n’était désormais plus qu’un lointain souvenir, sa croupe tendue vers son acheteur l’invitant à la prendre immédiatement. Le filet de mouille qui coulait de la culotte métallique ne laissait aucun doute sur l’état de sexe de l’esclave : après une heure passée à être exhibée sur son présentoir, touchée, palpée, jaugée, puis finalement achetée, elle dégoulinait de jus. Quant à son cul, l’homme avait remplacé sa langue par une paire de doigts qui la fouillait sans ménagement.
L’estimant prête, il présenta son sexe dressé contre l’anus de son esclave, et se glissa d’une seule traite en elle, lui arrachant un hurlement de plaisir difficilement étouffé dans le sexe de madame, et c’est ainsi que moins de cinq minutes après avoir été achetée, n°16 était déjà en train de se faire énergiquement enculer par son nouveau propriétaire pendant qu’elle dévorait avidement le sexe de la femme de celui-ci. Elle n’en émergeait que pour reprendre sa respiration, avant d’y replonger le visage pour tenter de dissimuler ses cris de plaisir.
Nous serions bien restées plus longtemps voir notre couple rentabiliser son achat, mais Belle me fit signe que nous devions continuer notre visite pour avoir le temps de tout voir. Nous avons donc fait un signe de tête au couple pour les remercier, et nous sommes sorties, saluées par les premiers cris de jouissance de no16, pour qui la soirée ne faisait que commencer.
Dans la salle des enchères, l’horloge retentit, et les esclaves présentes se réunirent immédiatement dans un coin de la pièce pour s’échanger les masques. Ne me sentant pas encore prête, je choisis à nouveau un masque fermé, mais en la regardant, j’ai vu que Belle avait préféré ouvrir les hostilités sans moi en prenant un masque ouvert. Elle me lança un air coquin, puis me pris la main pour continuer. Nous traversions de nouveau quelques salles, puis soudain Belle m’attrapa la main !
« -Câline, regarde… Comme elle est belle !!!!
– Qui ? »
Belle me désigna un coin de la pièce où discutait un petit groupe de personnes qui avaient l’air de bien se connaitre. Un nouveau couple était en train d’arriver, et quand elle s’est tournée vers eux, je remarquais que la femme avait un beau ventre rond : elle était enceinte. Je me retournais vers ma guide, et je la vis perdue dans ses pensées, les yeux rivés sur cette femme.
Apparemment, elle n’avait pas vu ses amis depuis quelques temps, et tous voulaient passer la main sur son ventre ou la félicitaient. Elle leur souriait amicalement, répondant à leurs caresses du bout des doigts, pui se rapprochant de son compagnon derrière elle qui a passé ses mains autour de sa taille.… Je n’ai pu retenir un cri de surprise en le voyant la déshabiller devant eux, comprenant en voyant le collier qu’elle avait autour du cou qu’elle était elle aussi une soumise malgré sa grossesse.
Pleine de questions, je me tournais à nouveau vers Belle, qui me caressait la main sans détacher ses yeux de la scène qui se déroulait devant nous. Désormais complètement nue devant ses amis, la femme enceinte leur souriait toujours, recevant leurs caresses avec tout autant de plaisir.
« – C’est une esclave elle aussi ?
– Oui ! Oh, regarde comme elle a l’air heureuse ! »
Effectivement, la femme ne semblait pas gênée le moins du monde par l’étrange situation dans laquelle elle se trouvait. Ses amis avaient tous plus ou moins le même âge qu’elle, peut-être se connaissaient ils depuis la fac, ou même depuis le lycée ? Quoi qu’il en soit, ils la complimentaient sur ses belles formes, elle les laissait lui soupeser les seins ou lui caresser les cuisses en leur souriant.
« – Mais…elle était esclave avant ?
– je ne sais pas…
– Je ne comprends pas comment elle peut accepter d’être esclave dans sa condition ? Je veux dire…elle…elle attend un enfant… de son maitre en plus ?
– Et alors ? Imagines a quel point ton Maitre t’aimerait si tu étais enceinte de lui ? A quel point tu compterais pour lui, à quel point il voudrait te protéger ?
– Je…
– Elle a un maitre qui est là pour répondre au moindre de ses besoins, pour prendre soin d’elle… Ce n’est pas ce dont rêve toutes les soumises ?
– Si, tu as raison… C’est juste que… il faut qu’ils soient prudents, non ?
– Oui… Les laitières, c’est comme ça qu’on les appelle, sont les esclaves les plus douces, les plus aimantes, les plus coquines, mais aussi les plus fragiles et les plus vulnérables… C’est pour ça que le plus souvent, leurs maitres sont leur mari… Tu veux bien qu’on aille les voir ? »
J’ai hoché de la tête, très intriguée par cette étrange esclave, cette…laitière, comme l’avait appelée Belle. Pas besoin de réfléchir bien longtemps pour comprendre d’où venait ce nom, en nous rapprochant, j’ai pu voir les gros seins gorgés de lait de l’esclave enceinte… Sa belle poitrine était le centre de toutes les attentions, son mari était passé derrière elle et la soulevait, laissant leurs amis jouer avec ses tétons, essayant d’y faire perler quelques gouttes de lait…
Nous nous sommes arrêtées suffisamment près d’eux pour pouvoir écouter leurs discussions tout en restant sagement en retrait pour ne pas les déranger s’ils ne souhaitaient pas notre présence. Belle la regardait toujours avec autant de passion, et je remarquais que les amies de l’esclave la regardaient avec tout autant d’envie que ma guide. Clairement, elles rêvaient toutes d’être à la place de la laitière, et après ce que Belle m’avait dit sur elle, je comprenais pourquoi.
Un des hommes caressait la joue de l’esclave qui commençait à avoir de plus en plus chaud et peinait à rester debout sans trembler.
« – Alors, combien d’orgasmes ton mari t’a il laisser prendre aujourd’hui ?
– Aucun, c’est jour de sortie…
– Aucun, bigre… Ce n’est pas trop dur pour une femelle en chaleur comme toi ?
– Si !
– Pour les sortie, elle est privée de plaisir pendant la journée, mais elle se ratt**** la nuit… Autrement, elle n’a qu’a meugler et je lui offre bien volontiers un orgasme…
– Tu me ferais jouir toi chéri, si je me mettais à meugler ? »
L’ambiance était détendue dans le groupe, et ils ont tous ri… J’ai souri moi aussi en voyant la femme enceinte rougir un petit peu, probablement gênée que ses amis se moquent –gentiment, d’elle.
« – Combien de fois est ce qu’elle demande à jouir, par jour ?
– Dix, quinze, ça dépend des jours…
– Tant que ça ? Tu la fais jouir à chaque fois ? Tu y arrives ?
– Ce n’est pas bien compliquée, elle est tellement excitée en permanence… »
Quinze orgasmes par jour ? Belle se retournait vers moi en souriant, et je réalisais à quel point le maitre de cette esclave lui était dévoué… A lui donner du plaisir à chaque fois qu’elle le lui demandait, il s’en retrouvait presque à son service ! Il continuait de caresser le ventre de sa femme, mais s’est tourné vers nous et nous a remarquées en train de les regarder. Suivant son regard, toutes les personnes du groupe se sont retournées vers nous, et nous nous sommes senties très gênées, presque des intruses malgré les sourires intéressés.
Volant à notre secours, la femme a imité un meuglement de vache, et nous a souri à son tour. Son mari a regardé le masque ouvert de Belle, puis lui a tendu la main de sa compagne.
« – On dirait que ma chérie a envie que tu lui donnes du plaisir petite esclave… Tu veux bien ?
– Oh oui monsieur, s’il vous plait !
– Je t’en prie. Nous allons profiter du spectacle… Et si elle est contente de toi, nous réfléchirons à une récompense !
– Merci monsieur ! »
Me laissant seule, Belle s’est avancée vers le groupe qui s’est écarté pour lui faire un chemin vers la laitière qui lui souriait. Son mari et les autres se sont ensuite écartés, s’asseyant dans les canapés tout autour et laissant les deux esclaves au milieu de ce cercle. Moi, je me suis assise sur le sol a coté d’eux, laissant l’une des invitées me caresser les cheveux pendant que je regardais, très intéressée.
Belle a avancé une main tremblante vers la laitière et lui a caressé la poitrine, ce qui lui a fait pousser un soupir d’encouragement. Puis, ma guide s’est agenouillée devant elle et a parcouru son ventre gonflé du bout des lèvres, grignotant le nombril proéminent au milieu, puis continuant sa descente vers son sexe.
« – Vous voudriez bien vous allonger madame ?
– « madame », vraiment ?
– Pardon…
– Couche toi sur la table chérie, elle a raison, ça sera plus confortable pour toi et plus facile pour elle… »
Obéissant à son mari et maitre, la laitière s’est allongée sur la table basse au milieu du cercle. Ses seins se sont affaissés sur sa poitrine sous leur poids, l’obligeant à les prendre dans les mains pour les maintenir en position. Trop grande pour la table, elle avait la tête qui dépassait, et elle l’a fait doucement tomber en arrière pour regarder son mari et ses amis, pendant qu’elle ouvrait ses jambes pour offrir à Belle un accès à son intimité. J’ai vu la tête de ma compagne disparaitre derrière le ventre gonflé de l’esclave, mais depuis ma position, je ne pouvais rien voir d’autre.
La laitière a soupiré de bonheur quand Belle a commencé à s’occuper d’elle, souriant à ses amis qui ne perdaient pas une miette de son plaisir. De temps en temps, je voyais les mains de Belle passer sur ses cuisses ou son ventre, mais seuls ses petits miaulements me laissaient devnier que ma guide était en train de la lécher.
« – Elle se débrouille bien ?
– Elle…elle est très joueuse…
– mmmh, tu aimes ça, hein ?
– Oh oui maitre… »
Son mari s’est levé et est allé voir ce que faisait Belle, et il a rigolé pour une raison que je n’ai pas comprise. Il m’a fait signe de venir voir et je me suis approchée à quatre pattes… J’ai découvert Belle, la joue confortablement appuyée sur la cuisse de l’esclave, en train d’inspirer à plein poumons les effluves enivrantes du sexe de la femme, et souffler un petit jet d’air frais dessus, ce qui semblait suffire pour la faire gémir de plaisir.
En regardant l’intimité de l’esclave, je remarquais que son clitoris était gigantesque. Je me retournais vers son mari pour lui demander ce qu’il lui arrivait, mais c’est Belle qui m’a répondu.
« – Ca s’appelle de la saline… C’est un liquide qu’il lui a injecté dans le clitoris en lui faisant une petite piqure…
– une piqure ? sur le clitoris ? Ca doit faire mal…
– Un peu sur le coup, mais touche, tu verras sa réaction… »
Intriguée, je passais le bout d’un doigt sur le bouton gonflé de la laitière, et ce simple contact lui a fait pousser un long gémissement de plaisir. Amusée par la sensibilité de l’esclave, je recommençais, tant et si bien que son mari a du me retenir pour que je ne la fasse pas jouir trop tôt.
« – Doucement ma grande, doucement… Ton amie a compris, elle la fait monter très lentement et lui soufflant dessus. Dommage que tu n’aies pas le même masque qu’elle…
– Je peux la caresser doucement ?
– Tu penses pouvoir faire ça sans lui donner trop de plaisir ?
– Oui monsieur, je m’arrêterai si je l’entends gémir… »
C’est ainsi que je rejoignais Belle entre les jambes de la belle esclave enceinte, jouant avec mes mains sans chercher à la faire jouir… Je passais et repassais mes doigts sur sa peau, tout le long de ses jambes de ses pieds aux limites de son sexe épilé… Belle m’encourageait, me donnait des instructions quand elle voyait que l’esclave prenait un peu trop de plaisir, nous nous amusions comme deux petites folles à la maintenir aussi près de la jouissance sans jamais la laisser l’atteindre. Si au début elle s’amusait elle aussi de cette gentille torture, elle a fini par demander à son mari l’autorisation de jouir, mais il lui a refusée.
« – Non, nous n’avons pas encore assez profité du spectacle… Tiens d’ailleurs en parlant de profiter, est ce que quelqu’un veut profiter de sa bouche ?
– Ah oui tant qu’a faire… Les gars, quelqu’un ?
– Vas-y, on attendra notre tour. »
Un des hommes s’est levés, et après avoir baissé sa braguette et sorti son sexe, il s’est approché de l’esclave qui a docilement ouvert la bouche et avalé le membre qu’on lui tendait. Il lui a attrapé les seins, lui permettant de faire autre chose de ses mains, et elle a directement pensé à nous en nous caressant gentiment les joues pour tout le plaisir que nous lui donnions. La laitière a grogné de plaisir quand l’homme lui a tiré les seins en l’air en la pinçant par les tétons. Je regardais d’un air captivé les beaux seins de la femme se soulever, et j’ai poussé un cri de surprise en voyant un petit filet de liquide couler le long de sa poitrine et goutter sur la table.
« – Tu la trait déjà ?
– Un jour sur deux pour l’instant, elle n’allaite pas encore assez…
– Qu’est ce que tu fais du lait ?
– Elle le boit…
– Une vache qui boit du lait ? On dirait une mauvaise blague…
– Oui, j’avoue… Mais ça tombe bien, nous avons une petite chatte ce soir, elle va pouvoir en profiter ! »
Comprenant qu’il parlait d’elle, Belle a émergé d’entre les cuisses de la laitière et a regardé son mari, les yeux brulants d’excitation.
« – Vraiment monsieur ?
– Tu aimerais ?
– Oh oui !
– Alors ça sera ta récompense…
– Merci monsieur…
– Cécile, tu veux la traire ?
– Moi ? Oh oui avec plaisir…
– Tu as entendu ma chérie ? Mets toi à quatre pattes pour que ta meilleure amie puisse te traire
– mmmmh, oui mon amour ! »
La laitière s’est relevée, aidée par l’homme qu’elle suçait, puis elle s’est mise à quatre pattes sur la table basse. Cette fois, ses seins pendaient sous elle d’une bonne quinzaine de centimètres, et la dénommée Cécile s’est levée pour aller s’installer à coté d’elle, lovant ses mains autour des seins de son amie. Elle lui a embrassé le bout du nez, puis a caressé sa belle poitrine délicatement
« – Dis moi comment je dois faire ma chérie…
– Pince mes tétons et essaye de viser vers la gamelle…
– Pincer fort ?
– Tant que je ne crie pas tu peux pincer plus fort… mmmh oui come ça c’est parfait… »
Belle et moi avons laissé l’esclave entre les mains de ses amis, assistant au spectacle qu’ils nous offraient. La laitière couinait de plaisir à chaque fois que son amie lui pinçait les tétons, et nous pouvions voir des petits jets de lait lui gicler des seins pour aller remplir peu à peu une petite gamelle qu’ils avaient placée dessous. L’esclave avait les yeux perdus dans le vide, murmurant des mots que nous n’entendions pas à l’oreille de son amie qui a fini par sourire en comprenant ce qu’elle disait
« – Elle demande si quelqu’un peut la prendre pendant que je la trait ?
– oui bien sûr ma chérie… Tu veux qui ?
– Toi ?
– Nos amis vont etre très jaloux…
– Ils me prendront après toi…
– gourmande »
Sans que Cécile ne s’arrete de lui pincer les tétons, la laitière a tendu la croupe vers son mari, poussant un long soupir de plaisir quand il a glissé son sexe en elle. Il la limait très lentement, mais elle était tellement excitée et gonflée à bloc, qu’en moins d’une minute elle avait déjà un orgasme, d’autant plus que son amie avait pris le coup de main et qu’elle lui tirait sur les tétons en les tordant pour en faire jaillir le lait.
Son homme n’avait pas encore joui, et l’esclave a ouvert la bouche dans sa direction, l’invitant a se faire sucer, ce qu’il n’a pas pu refuser. Il a laissé sa femme le finir en lui caressant gentiment les cheveux, éjaculant ensuite dans sa bouche en soupirant de bonheur. Puis il a récupéré la gamelle de lait et l’a posée sur le sol en faisant signe à Belle de s’approcher.
« – Viens ma grande, c’est l’heure de ta récompense !
– Merci beaucoup monsieur !
– Il n’y a pas que moi qu’il faut remercier !
– Oui oui bien sûr ! Merci madame la vache ! »
Nous avons tous éclaté de rire, puis quand Belle s’est mise à quatre pattes face contre le sol pour laper le lait de la femme enceinte dans sa gamelle, nous l’avons tous regardée, impressionnés par son assurance malgré l’étrangeté de la situation. La laitière est même descendue de sa table basse pour aller câliner Belle pendant qu’elle buvait son lait en ronronnant.
« – Tu es une sacrée coquine toi, dis moi…
– J’aimerais tellement devenir une esclave comme vous un jour madame…
– Oh mais je ne doute pas que tu y arrives ! Aller, à mon tour de m’occuper de toi »
La laitière s’est glissée derrière Belle, puis pour la remercier de tout le plaisir qu’elle lui avait donné pendant la dernière demi heure, elle lui a offert un délicat cunnilingus pour la faire monter tout doucement sans la déranger pendant qu’elle buvait son lait. Ma guide a fini par pousser des petits cris de plaisir quand la langue de la femme l’a faite jouir, puis les deux se sont embrassées pour se remercier mutuellement.
Belle est restée quelques minutes supplémentaires à discuter avec la femme enceinte, et je devinais qu’elle aurait bien voulu passer le reste de la soirée avec elle. J’avoue que l’idée m’intéressait aussi, mais ma curiosité et l’envie de découvrir le reste de la soirée ont fini par être les plus fortes, et je me suis glissée contre elle en lui demandant si nous pouvions continuer. Elle a gentiment râlé, puis nous avons fini par partir après avoir fait jouir notre compagne une ultime fois. Se sentant pressée, Belle a tout simplement posé ses lèvres sur le clitoris gorgé de saline de l’esclave et l’a titillé du bout de la langue, ce qui l’a faite jouir quasi-instantanément, puis nous sommes parties en faisant à tous un amical signe de la main.
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