Le lendemain, Sofia se réveille dans une cave glauque. Elle a mal partout et se remémore la soirée dantesque qu’elle vient de vivre. Elle pue le stupre et le sperme séché tiraille sa peau. Elle sait pourquoi elle est là. Même si elle l’assume puisque c’était son souhait le plus intime, elle regratte d’en avoir fait le vœux et se demande si elle n’a pas été trop loin en se livrant à ces racailles de cette façon. Elle ne sait pas qu’elle heure il est. Elle se sens souillée, humiliée et ça ne fait que commencer. Tom a fait de la pub sur le net, sur le chantier proche et dans la cité racontant la chienne qui est à leurs disposition pour la modique somme de 10€. Il a décrit en détail ce que je suis capable de faire. Prise dans ces pensée tourmentées, elle sursaute quand la porte de la cave s’ouvre dans un grincement sinistre. Tom fait entrer une bande d’ouvrier et me jette en pâture entre leurs sales pattes en vantant la marchandise comme le ferait un maquignon pour vanter une vache.
« Allez les mecs ! Allez-y ! Elle est à vous ! Passez à la caisse et amusez vous bien avec cette chienne ! Elle ne refuse rien. »
Surexcités, la meute de mâle en rûtes se jettent sur elle et la pelotent sauvagement. Des dizaines de mains plus ou moins crasseuses pétrissent son corps délicat. Des bouches goulues sucent ses seins. Des doigts pénètrent son vagin et son cul. Elle est la proie d’une quinzaine de mâles en chaleur et affamés. Il y a de tout, des beaux, des laids, des blacks, des beurs, des jeunes, des vieux. Ils sentent la sueur. Elle voulait être dans la peau d’une putain et elle était comblée. Ces mec sont en manque de femmes, exilés loin de chez eux. Sofia entre leurs mains est une femelle à saillir au sens propre du terme et à ce tarif ridicule, ils ne vont pas se priver de se servir d’elle.
Comme une automate, elle branle vigoureusement les engins qui tombent sous ses mains. Mais bien entendu, des bites force rapidement sa bouche. En se faisant défoncer de toute part, les homme riaient entre eux et parlaient d’elle dans des dialectes inconnus. Elle est secouée par un grand black qui la bourre à grand coups de queue en lui giflant les seins comme si elle était un vulgaire a****l.’ C’est la curée et les hommes se battent presque pour prendre la place de l’autre, qui dans le cul, qui dans la chatte ou la bouche. Sofia prise dans ce tourbillon démentiel à l’air d’adorer ça. Son sentiment de soumissions à ces émigrés augmenter sa jouissance. Entre deux queues, elle crie son plaisir. Deux sexes se coulent dans sa bouche distendue qu’elle arrive à sucer ensemble, bavant abondamment sur ces membres inquisiteurs. Tom regarde avec bienveillance cette orgie qui va lui rapporter un max de fric, en se disant que cette bourge est une bonne gagneuse.
Au bout d’une bonne vingtaine de minutes, tout dégénèrent et devient plus hard quand Sofia se retrouve assaillit par deux bites dans le cul et dans le vagin. Elle veut hurler mais les queues dans la bouche l’en empêche. Ses yeux sont révulsés. Leurs sexes se touchent et labourent ses chairs. Ses deux trous sont béants et comme des bêtes ils n’arrêtent pas de la fourrer sauvagement. Se sont de vrais machines à baiser.
Sofia d’un coup se tend comme un arc en giclant sa mouille comme si elle pissait. Jamais ces rustre n’avaient du voir une femme dans un tel orgasme. Épuisée, en sueur, complètement à l’ouest, les mecs se mettent à juter sur elle. Elle avale des quantité incroyable de sperme. Je suis certaine que bien des femme n’en boivent pas autant dans toute leurs vies.
Tout en éjaculant, les mecs continuent à lui maltraiter ses mamelles endoloris. Les gars lui crient qu’ils vont juter sur elle et elle en redemande. Elle se fait remplir, comme une souillure. Elle n’est qu’un trou à remplir. Ce n’est plus une bourgeoise et tout ces émigrés en profite. Sofia avale en hoquetant. Elle prend tant de sperme qu’elle a une furieuse en vie de vomir. La belle bourgeoise chique est devenue une épave. Les mecs partent un à un rasaisiés. Tom vient la prendre avec une délicatesse qu’elle ne lui connaissait pas pour l’amener à la douche et la couché dans un lit confortable afin qu’elle puisse récupérer car la semaine ne fait que commencer pour elle.
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