L’emprise de Bruno sur moi grandit de jour en jour… il me rend complètement dingue, je deviens une vraie chaudasse à ses côtés! Pour autant je m’étonne encore de mon changement d’attitude, de ce qu’il parvient à me faire faire sans jamais me forcer, c’est sans doute son charisme et la virilité qu’il dégage qui parviennent à me dominer…
Après un bon petit déjeuner préparé par mon amant, je file dans la salle de bains pour me laver les dents. Lorsque je reviens dans la cuisine, Bruno m’offre un petit paquet, je suis surpris.
– Tiens Chris… Joyeuse St Valentin ! Ouvre-vite !
Je reste sans voix devant cette jolie attention. Je déballe alors mon cadeau et tombe sur une sorte de bouchon en plastique noir.
– Qu’est-ce que c’est ?
– C’est un plug anal. Tu vas le mouiller avec ta salive et te l’introduire dans le cul… Allez, vas-y.
– Pas maintenant! Peut-être ce soir. Je vais bosser là.
– Justement, tu ne comprends pas ? Je veux que tu le portes au boulot.
– Ça va pas, non ?
– Allez ! Tu n’as que 2 heures de cours ce matin. Ensuite, tu reviens ici à midi et on bouffe ensemble.
J’hésite un instant mais je sens que Bruno n’a pas envie que je tergiverse, alors j’accepte.
– D’accord…
Je baisse mon pantalon et mon boxer, j’humecte de ma salive cette sorte de champignon puis, debout, penché en avant, je le pose à l’entrée de mes reins. Il n’est pas très gros, moins que le sexe de Bruno, et je n’ai aucune difficulté à le mettre en place. Je le sens me pénétrer, je le sens glisser en moi, petit à petit… mon anus cède doucement, il s’ouvre de plus en plus pour l’accueillir… jusqu’à ce qu’une dernière pression le pousse complètement en moi, laissant mon petit trou se refermer derrière… La sensation est plutôt étrange mais pas désagréable… Je reste ainsi, penché en avant, une main sur le plug.
– Redresse-toi et lâche-le. Il est conçu pour tenir tout seul.
Je me redresse doucement. Effectivement, le plug reste fiché dans mon rectum. Je le sens, mais il ne me gêne pas. Simplement, il est omniprésent. Je sens cet objet planté dans mon cul qui me procure une sensation excitante, surtout lorsque je bouge…
– Finalement ça devrait aller! Retrouve-moi ici à midi. Bonne matinée mon chou.
– Bruno, je te rappelle que j’ai pas de voiture.
– Ah oui, c’est vrai. Bon, bin je t’emmène la récupérer…
Au moment de partir, je marche convenablement, les sensations sont fortes mais pas trop gênantes… Pour se rendre au parking du bowling il nous faut à peine 10 minutes durant lesquelles les vibrations du plug dans mon rectum me provoquent un effet certain… Bruno se gare, et avec un grand sourire, il me dit :
– Tu as bien apprécié les montagnes russes? Je crois que tu vas passer une bonne matinée. Et je compte sur toi pour garder le plug dans ton cul.
– Je te le promets… (‘mais dans quoi je me suis embarqué ?’)
Je sors de la voiture de Bruno et je récupère la mienne. J’ouvre la portière et je m’installe au volant, en me laissant tomber lourdement sur le fauteuil conducteur, par habitude oubliant totalement le plug que j’ai dans le cul. A cet instant je ressens une énorme pression dans mon fondement, je ne peux m’empêcher de serrer les fesses… Je suis complètement excité, mais il faut que j’aille au boulot… je démarre alors et prends la direction du collège. Chaque aspérité de la route me fait sentir ce large plug qui remue en moi… je commence à mouiller du cul tant ce bout de plastique m’excite en même temps je me sens vulnérable. Sur le trajet, le plug est très sollicité et ne cesse d’onduler dans toutes les directions… me provoquant même des absences par moment, quand l’excitation me submerge… Mon anus s’est assoupli et j’ai la sensation étrange qu’il est grand ouvert. Enfin j’arrive et je me gare sur le parking des profs. Je prends une profonde respiration puis je sors de ma voiture pour me diriger vers le bâtiment. Je n’ai jamais eu autant de plaisir à marcher qu’en ce moment-là, mais c’est un supplice car je ne dois pas me faire choper. Je suis à 2 doigts de jouir alors pour éviter d’en arriver là je mets toute mon attention à tortiller le moins possible du cul pour calmer l’excitation. Il faut dire que marcher avec le plug dans l’anus est pour moi une sensation nouvelle, certes agréable et unique mais aussi effrayante comme de se promener tout nu dans la rue. Et je suis bien trop pudique pour ça…
Très vite, je comprends que l’objet a été bien étudié. À aucun moment il ne semble en capacité de s’extraire malencontreusement… de ce point de vue je suis rassuré. Je monte alors dans ma salle de classe au 2ème étage, mais en route je dois régulièrement marquer une pause car le plug dans mon cul me fait beaucoup d’effet et je dois étouffer parfois des gémissements de plaisir. Les derniers mètres sont les plus difficiles, je sens le plug au creux de mes fesses qui assouplit ma rondelle… ça me trouble, ça m’excite à vrai dire. Au moment où je franchis la porte de ma salle, je suis en train de mouiller… Je me dépêche d’entrer à l’intérieur et de refermer derrière moi. Je file à mon bureau et je m’assois de tout mon poids sur ma chaise… le plug envahit ainsi complètement mes reins ce qui me déclenche une série d’orgasmes anaux incontrôlables… j’essaie pourtant de me contrôler mais je suis pris de crampes à répétition, à la suite de quoi je ne peux m’empêcher de lâcher un énorme cri. Quelques minutes plus tard je réussis, non sans mal, à reprendre mes esprits avant l’arrivée des élèves. Ça y est, ils sont là, je les fais entrer et ils s’installent. Le cours débute, me voilà au tableau, devant eux… avec mon plug bien enfoncé dans le fion. Je croise les regards bienveillants de ces adolescents qui ne savent pas que j’ai ce truc en moi : j’adore cette sensation. La première heure passe lentement, j’ai du mal à me concentrer avec ce plug en moi, même si je m’habitue doucement… Je sens parfois mon ventre chaud, je suis excité… et même terriblement excité! Je dois souvent prendre le temps de réguler les vibrations de cet engin au fond de mes entrailles. La 2ème heure de cours est un peu plus sereine, désormais je le supporte bien, depuis plusieurs heures je l’ai entre mes fesses, je gère mes interventions… travailler avec ce gros dard dans mon cul ne me pose quasiment plus de problème. Je sens toujours les vibrations de mes allées et venues dans la classe au travers du plug mais je parviens à contrôler ses effets. Cependant au bout de deux heures à alterner les soubresauts de ce plug et empêcher mon excitation, je suis complètement épuisé. Il est temps pour moi de rentrer à la maison.
Je me dépêche de descendre sur le parking, en prenant soin de ne croiser aucun collègue pour ne pas perdre de temps en discussions interminables. Je saute dans ma voiture et prends la direction de chez Bruno. Sur le trajet je n’ai plus la force de réfréner mes pulsions, je me laisse envahir par cette excitation qui ne veut plus me quitter… Je suis pris par moment de petits sursauts et de frissons, je suis en train de mouiller, je sens que mon boxer colle à mes cuisses, à mes fesses… Je ressens une grande plénitude, dans un dernier spasme je freine brusquement sur le seuil de la maison. Devant la porte je sonne. Mon bel amant m’ouvre à poil et mes yeux plongent sur sa grosse bite pendante à demi molle : je suis surexcité !
– Et ben entre mon chou, je vais pas te manger. Et mets-toi à poil que je vérifie si le plug est toujours en place.
Je rentre et arrive dans le salon, sans me retourner j’enlève mon tee-shirt, laisse tomber mon pantalon et, pour enlever mes chaussures, je me penche bien en avant pour montrer à Bruno le bout de plastique qui sort de mon cul. Je sens alors une de ses mains me caresser les fesses et mettre deux petites tapes. Il me retire alors doucement le plug.
– Et bien mon salop, t’es un gourmand, t’es bien dilaté. Tant mieux !
Bruno me refourre alors le plug presque d’un coup ce qui a pour effet de me faire gémir.
– A genoux et suce ma bite maintenant. Je suis sûr que tu en meurs d’envie.
– J’en rêve depuis des heures… J’ai jamais été aussi excité! J’en peux plus!
Je me retourne et découvre la bite de mon amant complètement en érection, bien raide, bien droite, bien lourde et bien épaisse comme je l’aime. Dans un premier temps, je m’applique sur sa verge avec ma bouche, ma langue… je lui fais la totale, je bave, je lape, je lèche. Je la prends à fond, je gobe aussi ses testicules, j’imagine qu’elles sont de nouveau pleines d’un foutre bien gras.
– C’est bien, tu sais y faire, t’es vraiment un bon suceur Chris.
Après quelques instants de suce intense, Bruno se retire de ma bouche et va t’assoir sur le canapé. Je me dirige vers lui à quatre pattes, pose mes bras sur ses cuisses et retourne de plus belle sur sa bite, tout en le fixant dans les yeux… J’aime voir mon amant prendre du plaisir.
– On va passer aux choses sérieuses maintenant. Mets-toi à quatre pattes sur le canapé que je te défonce le cul.
Je me mets en position. Le moment arrive enfin : Bruno retire le plug de mon cul (je l’avais presque oublié celui-là !) et j’ai un énorme sentiment de vide… mais heureusement pas pour longtemps, je sens bientôt son gland sur ma rondelle et d’un coup il engouffre sa queue en entier. Je pousse un râle. Il me tient par les hanches et commence à aller et venir dans mes entrailles. Je sens bien sa queue en moi qui me ramone, je suis aux anges ! Puis la cadence s’accélère, Bruno m’att**** par la tête, me tire à lui et me dit à l’oreille :
– Tu la sens bien ma queue, hein ?
– Oui elle est trop bonne.
– T’aime ça être soumis ?
– OUI J’ADORE !
Bruno me défonce le cul de plus en plus fort et profond, je déguste. Heureusement que le plug m’a bien préparé le fion! J’entends alors le souffle de mon amant s’accélérer, il pousse des râles… puis il se déverse en moi en criant. Il pousse trois derniers gros coups de rein et reste en moi, comme ça quelques secondes. J’ai le cul en feu. Bruno se retire ensuite et me remet aussitôt le plug bien en place dans mon trou.
– Nettoie-moi la bite !
Je me retourne et lèche la bite de mon amant avec délectation tout en le fixant dans les yeux. Une fois astiquée, il me relève et m’embrasse.
– File à la salle de bains maintenant.
J’y vais de ce pas et je me retrouve nu, devant le miroir. Je retire alors le plug de mon cul et le sperme coule le long de mes jambes. Je le porte à ma bouche et le lèche avec application tout en me regardant dans le miroir. Je me branle et expulse plusieurs jets puissants…
( » Oh Bruno ! Qu’est-ce que tu as fait de moi ? » je me dis intérieurement.)
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