Histoires de sexe gratuites Histoires gays

Le resto Marocain

Le resto Marocain



A l’époque nous n’avions pas beaucoup d’argent et vivions à Paris dans un petit studio dans le cartier de la goutte d’or, non loin de Barbés. Un soir pour fêter une promotion de mon mari qui allait nous permettre de quitter Paris pour la province et une vie plus confortable, nous allons dans un restaurant Marocain. Pour l’occasion, je me fait une beauté et Alain est admiratif devant moi.
Au restaurant l’ambiance est très chaleureuse. On se croirait transporté au Maroc et la nourriture est délicieuse. Par chance, ce soir là, lors du repas, nous avons eu le droit à un spectacle de danse du ventre. Mon mari est moi sommes totalement absorbés et envoûtés par cette danseuse qui exprime une sensualité extraordinaire dans sa tenue et ses déhanchés d’un érotisme torride.

A un moment tout en ondulant sensuellement, elle se rapproche insensiblement de notre table et m’invite à venir danser avec elle. Je me met à rougir, et ne souhaite pas me donner en spectacle mais mon mari en me souriant amoureusement me dit :
« Vas-y chérie tu vas être merveilleuse avec elle ! »
À ma grande surprise, Alain m’incitait à m’exhiber avec cette femme magnifique dans ce restaurant arabe bondé de clients. Je me lève et la sculpturale arabe m’entraîne sur cette musique envoûtante au milieu de la salle. J’entends quelques youyou qui m’encouragent. Nous passons furtivement derrière un paravent et en un tour de main, avant même que ne puisse dire quoi que ce soit, des habilleuses ôtent ma robe et m’habille en danseuse. La tenue est si sexy qu’elle ne cache pas grand chose de mes appâts. Quand nous réapparaissons aux yeux des clients un tonnere de youyous retentit.
Après un moment de traque, je me suis mise à onduler face à la danseuse. Je suis comme enivrée par l’ambiance, la musique et cette danse si sensuelle. Les clients au rythme de notre danse lancent des youyous et tapent dans leurs mains. Quand la musique s’arrête, prise dans cette douce euphorie, je continue à onduler au milieu de la salle. Se sont les applaudissement qui me font revenir à la réalité. Une foi de plus, je rougi redescendant sur terre et prenant conscience de ma semi nudité.

Alors que je repars vers le paravent pour me changer, mon mari se léve et me prend la main en me disant :
« Tu a été magnifique mon amour. Si il n’y avait pas autant de monde, je te ferais l’amour sur place. »
Je l’embrasse et lui dit :
« On se ratt****ra en rentrant à la maison. Mais là je doit me remettre dans une tenue plus correcte ! »
La danseuse, qui avait certainement enttendu notre conversation, nous dit :
« Si ça peut vous être agréable vous pouvez rester avec la tenue toute la soirée. »
Avant même que je ne puisse refuser, Alain, avec un grand sourire, lui dit :
« C’est vraiment bien aimable de votre part. »
Et me tenant par la main il me ramène fière comme Artabant à notre table. Tout les yeux sont tournés vers moi.Je glisse à l’oreille d’Alain :
« Tu exagère quand même. Mais je suis toute excitée et j’ai chaud. »
Alain me dit alors :
« Ha oui ? Alors comme ça de danser à moitié nue devant tout le monde t’a excité ? Tu sais que tu me fais bander et je pense que je ne dois pas être le seul dans la salle ! T’a  aimé ça dis-moi ! »
Je me met à rigoler nerveusement avec une chaleur bien connu au creux de mes reins. Un rire qui voulait dire oui. Le repas se déroule merveilleusement bien. Le Sidi Brahim me tourne agréablement la tête. A un moment mon mari s’excuse pour aller au toilettes. La salle du restaurant c’est un peu vidée et il ne reste qu’une petite dizaine de clients. La musique lancinante reprend et la danseuse vient me chercher pour l’accompagner. Quand Alain revient, je suis entrain de danser avec cette femme en ondulant l’une contre l’autre. Le tableau doit être pour ces hommes d’un érotisme rare. Je n’ai pas remarqué que le patron parlait à mon mari. De retour à la table, le patron du restaurant vient nous voir et nous dit :
« Madame a été sublime Monsieur. Elle a bien diverti mes clients et pour vous être agréable, je vous offre le dessert dans la salle VIP au sous sol. »
Alain accepte volontiers et nous voilà quelques instant plus tard dans une salle plus intime et richement décorée. Seuls quatre jeunes arabes se trouve à l’opposé et fume la chicha. Nos dessert sont apportés et la musique reprend , toujours aussi envoûtante. Le patron nous demande :
« Le dessert vous convient ? »
Je lui répond :
« C’est divin ? Merci Monsieur. »
Il me sourit et rajoute :
« Nos quatre amis serait enchantés de vous voir évoluer sur la piste juste pour eux. »
Je suis prête à refuser mais Alain est plus rapide et accepte l’invitation. Je le regarde un peu agacée, mais de bonne grâce et certainement l’alcool me désinhibant, je me lève et commence à danser timidement devant ce comité restreint.
Les quatre jeunes se mettent à taper dans les mains ce qui m’incite à devenir plus sexy dans ma façon de danser. Je vois mon homme qui est aux anges de me voir ainsi me tortiller sur la piste. Mes hanches ondulent comme dans un acte amoureux, mes seins ballottent au rythme de la musique à risqué de sortir du soutient gorge. Un des jeune se lève et vient danser autour de moi.Je suis dans un état proche de la transe, mais malgré cette ambiance érotique, tout cela reste bon enfant. Les quatre jeunes maintenant dansent autour de moi. Je suis la princesse arabe de la soirée. Mon mari n’en perd pas une miette et reste assis en dégustant un digestif. Puis les quatre jeunes se sont mis à dire des trucs en arabe que je ne comprend pas. Envoûtée par cette musique, je ris de les voir danser autour de moi et leur demande ce qu’il disent. L’un d’eux me dit :
« T’es magnifique princesse ! Enlève le soutien-gorge qu’on t’admire danser top-less ! »
Je suis dans un tel état que malgré mon refus, tout en continuant à dans, l’un d’eux passe derrière moi et dégrafe mon soutien gorge libérant mes seins qui dodelinent sous leurs yeux .Curieusement, je ne m’en indigne pas et trouve même ça amusant.

Mon mari me dévore des yeux tout comme ces quatre gars qui doivent bander comme des âne. Le spectacle que j’offre sans vraiment le vouloir est très érotique. Mais soudain, l’un d’eux ouvre sa braguette et exhibe un membre d’une grosseur exceptionnelle. Il continue à danser devant moi sans me toucher faisant bouger son énorme engin au rythme de la musique arabe.
Je suis subjuguée et ne sais que faire. Voyant que mon mari n’intervient pas, je continue de danser en rigolant bêtement. Comme dans la salle du restaurant tout à l’heure, les youyous fusent. Les quatre jeunes sont de plus en plus excités. Je fais des mouvement d’épaules pour que mes seins offerts ballottent furieusement provocateurs devant ces jeunes. Je suis de plus en plus excité aussi par cette situation inhabituelle.
J’ai le sentiment à ce moment là que les choses vont dé****r et que je suis capable de faire des folies devant un mari qui semble se complaire dans mon comportement inhabituel.
Devant mon exhibition les jeunes commencent à être moins courtois et me traitent de pute, de salope….etc. Celui qui a la queue à l’air me dit d’un ton autoritaire et en regardant mon mari qui ne bronche pas :
« La pouf ! Bouffe moi la bite devant ton cocu de mari! »
Je regarde à mon tour apeurée Alain qui d’un signe de la tête me fait comprendre que je doit accéder aux désirs de ces lascars. Alors, je me prends les seins et joue avec de manière provocante.

Je n’arrête pas de les provoquer en ondulant du cul et malaxant ostensiblement mes nibards devant eux. A nouveau il m’ordonne :
« Suce moi la bite putain ! »
N’étant pas assez réactive, un jeune me prend la nuque et en me poussant vers la queue de son ami, il me lance :
« Putain de salope ! Tu va la sucer la bite de mon pote ! »
Même si j’aime sucer, d’un accès de pudeur, j’arrive à me dégager de l’emprise de ce mec. Cette foi, il me reprend par les cheveux et l’autre engouffre son monstre dans ma bouche. Il s se mettent à m’insulter et en un instant, je deviens leurs objet de plaisir.
«  Vas-y ! Suce-la, suce-la, grosse coche ! »
« Putain de salope ! »
« Salope de blanche suce ma grosse queue d’arabe ! »
Alors que j’ai la mâchoire explosée par la dimension de cette engin, Alain se masturbe devant le spectacle.
Tout à coup il retire sa bite de ma bouche et me demande :
« T’as envie de sucer ma grosse bite salope ? »
« Heu oui Monsieur. »
Il me repose la question :
« Putain ! Dis le à haute voix ! T’as envie de sucer ma grosse bite d’arabe devant ton mari hein ! Chienne ? »
Je dégluti et lance haut et fort :
« OUIIII ! Je veux sucer ta grosse queue d’Arabe ! »
« Dis devant ton mari que t’es une grosse pute qui aime sucer des bites d’Arabes ! »
« J’suis une grosse pute qui aime sucer des bites d’Arabes ! »
Puis je me jette sur son engin sous les youyous des autres qui exultent d’avoir sous la main une telle salope.

Pendant que je suis occupée à sucer le gros engin, les autres commencent à se branler.
Tout à coup, une main se met à me fouiller la chatte et son propriétaire dit à ses potes :
« Elle mouille comme une grosse pute celle-là ! »
Il remue violemment sa main dans mon vagin et un cri de plaisir étouffé par le monstre que j’ai dans la bouche s’échappe de ma gorge. Me saisissant par les hanches, un des mecs me pénètre d’un coup et se met à me limer avec une v******e peu commune. À partir de ce moment-là, l’orgie bat son plein comme un élément déclencheur. Je joui sous cette multitude de bite et cette brutalité.

Assailli de tout côté, l’un d’eux qui n’a pas de trou à sa disposition décide de se branler entre mes seins. Soudain, je reçois un premier jet de sperme sur le visage. Lorsque le mec à la grosse queue explose dans ma bouche, ceux qui me baisaient la chatte et le cul se lâchent aussi inondant mes entrailles. Je suis exténuée par tant d’assauts. Couverte de sperme, je reste hagarde au milieu de cette salle alors que les quatre arabes, ayant bien jouis de moi, se rhabillent et sortent du restaurant.
Il ne reste que mon mari et le patron du restaurant. Le patron me demande alors :
« Ça t’a plus de te faire mettre par des arabes devant ton mari ? Ça te plaît de faire la salope devant ton mari hein ? »
Encore sur un nuage, je ne réponds pas. Il s’adresse ensuite à Alain et lui demande :
« Et toi ça te plaît de voir ta femme se faire défoncer par des grosses queues ? T’aimes voir ta femme se faire traiter comme une pute ? »
Alain très excité lui répond avec un calme olympien :
« Oui j’aime bien voir ma chienne de femme se faire saillir devant moi ! En plus elle a aimé ça apparemment! »
«  Ah oui ça te plaît de voir ta femme se faire traiter comme une salope par des arabes, He bien finissons nous avec elle ! »
Me prenant par mes cheveux poissés de sperme, il engouffra sa bite dans ma bouche et mon homme se met à me saillir par le cul, il est vrai encore ouvert et graissé par les autres.

Trop excité, ils ne leurs faut pas longtemps pour jouir. Ils se mettent devant mon visage et m’asperge de leurs crèmes d’hommes. Malgré mon épuisement, je gueule comme une chienne en chaleur.
À peine finit de jouir, le patron exige que je lui nettoie la queue. Je le fais bien entendu. Mais là, je suis à deux doigts de m’évanouir d’épuisement et c’est très mollement que je le suce pour le nettoyer. Je de mon côté dans un état pitoyable couverte de sécrétions masculines.

Mon mari alors que je nettoie la bite du patron, d’accroupi et se met à me lécher la chatte. Elle est détrempée et c’est un mélange de cyprine et de sperme qu’il se met à déguster. Le patron satisfait fini par se rhabiller et remonter dans le restaurant nous laissant seul avec mon homme. Ces coups de langues me finissent et je joui une dernière foi en m’écroulant sur le sol. Nous sursautons quand nous entendons le patron nous dire :
« Bon assez roupillé ! On ferme, j’ai pas que ça à faire ! C’est pas un hôtel de passe ici ! »
Nous nous rhabillons et au moment de sortir, le patron nous dit :
«  Dîtes donc, c’est pas tout ça mais les gars ont consommé une bouteille et ils ne l’ont pas payé. Vous me devez vos deux repas plus une bouteille. Ça fera 255 €. Bon comme la dame est gentille j’’arrondis à 200 ! ».
Stupéfait de cette annonce , alors que j’avais donné de moi même, mon mari règle la note sans rien dire et nous rentrons chez nous sans rien nous dire sur le trajet. Dés à la maison, je prends une douche et m’effondre sur le lit totalement anéantie et honteuse, mais heureuse de cette aventure.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire