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On ne plaisante pas avec la fessée (2)

On ne plaisante pas avec la fessée (2)



Le lendemain, j’arrive chez ML avec un sac rempli d’accessoires. Je sonne et, par l’interphone, elle me dit de monter.
Quand j’arrive sur son palier, je vois que la porte de son appartement est entrebâillée.
J’entre et ferme derrière moi. Pas de trace de ML, je parcours alors son appartement et la trouve au milieu du salon sur une table basse en bois.

Elle était à 4 pattes sur cette table, vêtue de ses bas noirs, du collier de cuir, des chaussures à talons et du corset. Son cul est dirigé vers l’entrée du salon et je vois que de son sexe dépasse le bout d’un vibromasseur. Je passe devant elle et voit qu’elle s’est maquillée outrageusement les yeux et que des traits épais d’un rouge à lèvres criard décorent sa bouche.
‘Cest bien. Maintenant les choses sont claires : tu ressembles vraiment à la vraie pute que tu es. Et je vais m’occuper de toi comme tu le mérites.’

Je lui ai d’abord retiré le vibro du sexe en lui disant qu’elle ne croyait quand-même pas qu’on était ici pour s’occuper de son plaisir à elle et pour la punir, je lui ai placé des pinces aux seins reliées par une chaîne en métal.

Elle a à peine tressailli quand les pinces se sont refermées sur ses mamelons. Par la suite elle m’a dit qu’elle avait aimé le pincement lancinant qui avait succédé à la légère douleur du début mais surtout que ses mamelons avaient encore été sensibles très longtemps après et que, pendant 2 jours, chaque frôlement de sa main ou d’un vêtement sur le bout de ses seins lui rappelait délicieusement notre séance.

Quand je lui ai demandé si elle pensait que son corset était assez serré, elle m’a répondu qu’elle n’arrivait pas à le faire plus. Je l’ai donc resserré moi-même de 2 ou 3 centimètres en disant que maintenant avec ses pinces et son corset convenablement serré elle était presque équipée comme une vraie salope mais qu’il manquait encore quelque chose.

Je lui ai alors posé un bâillon boule retenu dans la nuque par une lanière de cuir que j’ai serrée bien fort.

Puisque c’était de fessée qu’elle rêvait, je n’allais pas la décevoir.
J’ai donc commencé à frapper, lentement, de plus en plus fort chacune de ses fesses qui ont commencé à rougir.

Après un moment, je lui ai fait écarter les jambes et creuser le dos le plus possible. De cette manière son sexe arrivait au même niveau que ses fesses.
Quand j’ai recommencé les fessées, j’ai pris soin de ne pas frapper seulement une de ses fesses mais les 2 en mêmes temps et son sexe était également touché.
Elle a d’abord tressailli à chaque coup mais par la suite elle creusait encore plus son dos pour que son sexe entre le plus possible en contact avec ma main. ‘Tu aimes ça hein salope ?’ Elle a gémit un ‘oui’ à travers le bâillon.

‘Cela te gêne tu veux que je l’enlève ?’ Elle hoche affirmativement la tête.
Je me place devant elle et lui enlève le bâillon. Elle bouge ses mâchoires et ses lèvres pour les décontracter.
Puis je lui dis que puisque sa bouche est libre, elle peut maintenant me sucer. J’ouvre mon pantalon sort ma bite gonflée et la met devant sa bouche elle lui disant ‘c’est ça que tu attendais salope ? alors montre moi ce que tu sais faire’

Elle commence à activer ses lèvres autour de mon sexe. Je lui ordonne de la prendre plus profond et elle s’exécute. De temps en temps elle a du mal à déglutir et a un mouvement de recul. Je frappe alors violemment son cul avec ma main en disant ‘Quand on est un salope comme toi, on doit savoir avaler une bite à fond. Et si tu ne sais pas, alors entraîne-toi’.
Cela dure quelques minutes puis quand je sens qu’elle va me faire jouir, je me retire rapidement et lui dit que la récréation est finie et qu’on va passer à des choses plus sérieuses.

Je lui remets le bâillon boule et la fait mettre debout. Elle a un peu de mal à retrouver l’équilibre après la position à 4 pattes et avec son cul endolori. Je prends des bracelets de cuir et lui attache les poignets dans le dos.

En tirant sur la chaîne qui relie les pinces de ses seins, je la fait avancer dans le salon jusqu’à une chaise et la fait s’asseoir.
Je lui fais avancer son bassin jusqu’au bord de la chaise et place chacune de ses jambes sur le côté, le talon de la chaussure coincé dans les barreaux latéraux.
Ses mains son toujours attachées dans son dos derrière le dossier.

Dans cette position, bassin très en avant et dépassant du bord de la chaise, mains derrière le dossier, jambes écartées, elle est toute offerte, ouverte à mes envies.
Tout en lui caressant le visage, l’intérieur des cuisses, en jouant avec la chaînes de ses pinces à seins, je lui demande si c’est qu’elle imaginait quand elle pensait à moi, si c’est ça qui la faisait mouiller quand je parlais de fessées. A chaque phrase, elle fait un petit signe oui de la tête. Je lui dis qu’il faut être une pute une vraie salope pour aimer être traitée comme ça. Toujours de petits hochements et le regard qui brille.

Puis je mets un doigt sur son sexe. Il est trempé.
Je m’assieds par terre devant elle. Son sexe est ouvert devant mes yeux, luisant de désir.
J’introduis un doigt dans son sexe, puis un deuxième en lui disant qu’un doigt ce n’est bien sûr pas assez pour un salope qui a dû se faire enfiler par tant de bites.
Mes doigts entrent et sortent lentement de son sexe, elle gémit sur le même rythme.
‘Il t’en faut plus n’est-ce pas ?’.
ML répond par un hochement vertical de la tête.
Trois puis quatre doigts fouillent maintenant son sexe qui dégouline de mouille qui lui descend sur l’anus.

Je lui demande si son cul n’est pas jaloux, s’il n’a pas envie de se faire pénétrer.
Sans attendre sa réponse, je ressors 2 doigt de son sexe et les faire descendre jusqu’à sa rosace.
Ils sont bien lubrifiés et rentrent facilement.
J’ai maintenant l’index et le majeur dans son sexe, les 2 autres doigts dans son cul.
A nouveau je la traite de salope, de pute tout en recommençant un mouvement de va-et-vient.

Le bâillon augmente le bruit qu’elle fait en respirant de plus en plus vite.
De sa bouche bâillonnée coule de la salive sur sa poitrine
Ses muscles se tendent mais, attachée sur la chaise, elle ne peut pas bouger.
Son râle se fait de plus en plus fort et rauque.

Je lui dis qu’elle ne ressemble plus qu’à une chienne en chaleur mais que comme c’est une bonne chienne je lui donne l’autorisation de jouir.
Pendant ce temps mes doigts continuaient à bouger en elle.
J’approche ma tête et commence à lécher son clitoris.
Cela va très vite et tous ses muscles se contractent pendant qu’elle jouit violemment.
Elle voudrait que je la laisse récupérer mais ma langue continue à la lécher et elle se tortille sous la caresse.

Je me lève et me place à califourchon au-dessus d’elle, toujours sur la chaise en lui disant qu’elle va maintenant avoir sa récompense.
Je me masturbe devant elle.
La première giclée de sperme balafre son visage, les autres tombent sur ses seins.

Quand je reviens vers elle après m’être rhabillé, je commence à agacer ses seins ses cuisse…. Je vois qu’elle est encore ‘électrique’.
Je lui dit que ça suffit pour aujourd’hui, lui demande si elle croit que je n’ai rien d’autre de plus important à faire que de m’occuper d’une traînée … Je lui dit aussi qu’aujourd’hui elle m’a montré, et elle s’est montré à elle-même, qu’au fond d’elle elle n’était vraiment qu’une grosse salope et que maintenant qu’elle savait cela il allait falloir qu’elle trouve des choses pour occuper la pute qu’elle était.
Je lui demande si elle veut que je m’occupe de ça avec elle ? Réponse oui de la tête.
‘Je vais y réfléchir. Mais il faut que tu m’envoies une lettre de motivation’

Je détache ses poignets et ses jambes et je quitte l’appartement.

Si vous êtes une femme, ou un couple, et que vous voulez vivre une histoire semblable, il vous suffit de m’envoyer un message. Nous pourrons convenir d’un scénario qui convienne à tous.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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