2- Lui les regardaient collés l’un à l’autre, sa bite était un peut moins molles et un filet bavait au bout. Il la secoua et la bave tomba sur les fesses du mec. Il se plaça devant sa femme, de l’autre coté de la table. Le mec saisit sa bite et tira dessus, puis le branla sec.
-Tu veux m’enculer dit le vieux, si tu peux encore.
-Mais il est encore raide dit la vieille, il est jeune et en forme.
Il sortit du cul de la vieille avec un sourire niais. La femme pris un essuie-tout et s’essuyai le cul en rentrant son doigt dans l’orifice pour bien le nettoyer. Puis elle poussa le mec vers son mari avait pris la même position que elle avant. Il tendait son gros cul, les coudes appuyé sur la table. La vieille attrapa la bite et dit.
-Je vais bien te la sucer avant, puis tu pourras le défoncer en attendant, doigte le bien. Ce qu’il fit. Elle enfonçait la bite en gorge profonde tout en caressant tantôt la bite, tantôt les couilles de son mari. Elle arrêta un instant, pour prendre le bout de baguette de pains qui trainait sur la table et se l’enfoncer dans la chatte ouverte dans un grand « Hannnn », puis elle reprit sa sucette et ses caresses. Quelques minutes plus tard, elle se couchait sous la table entre les jambes du vieux et commença à sucer ce qui pendait non sans avoir dit avant
-Tu peux y aller encule le bien à fond.
Le vieux senti le mec s’agripper à ses hanches et entrez en lui. L’homme reculais pendant que le mec entrait, il en voulait plus dans son cul, mais bientôt tout fut à l’intérieur et il commença à limer. Et la vieille tétait et retaitait. La nuit était tombé, il y avait juste la lumière du camping car la porte ouverte qui les éclairer. On entendait juste les bruits venant de la route, avant le bois. Une main se posa sur les fesses du mec. Une main râpeuse inconnue. Le mec regarda derrière lui, un homme, la cinquantaine, lui caressait le cul, puis rapidement le doigta et lui dit à l’oreille.
-Ne t’arrête pas, je vais te baiser aussi si tu veux ?
– Oh oui monsieur, baise-moi dit le mec.
Le vieille s’aperçu bien vite qu’une paire de couilles, venaient d’apparaître en plus. Sans rien demander, ni poser de question, elle entreprit cette troisième paires de couilles qui pendaient au-dessus de sa bouche ouverte. Les trois hommes sentaient cette bouche avide et cette langue qui les chatouillait parfois les gobaient.
Le nouveau commença à accélérer et rentrant à fond à chaque coup de hanche. Le mec se mordait les lèvres parfois de douleur, car la bite était belle, mais surtout pour ne pas crier de plaisir. Ce n’était pas la première fois, mais quand même. Il habitait en ville, revenu chez sa mère, par manque de travail et depuis six mois, rien ni boulot, ni baise, et aujourd’hui sans trop y croire, il baisait et se faisait baiser. Ça change de la masturbe le soir dans sa chambre ou des quelques fois où il avait guetté sa mère se déshabillant dans la salle de bains où il avait planqué une mini caméra en haut du meuble. Sa mère avait cinquante huit ans est était veuve et sans mec, ne sortant pas faute de moyens et surtout d’envie. Et puis les hommes disait elle je m’en passe. N’empêche qu’une fois, il l’avait filmée en train de s’enfoncer la brosse à dans le fion, couchée par terre jambes relevée devant la glace de la porte elle enfonçait le manche sans difficulté. Mais trop souvent les images étaient calmes. Elle avait aussi une belle paire de loches comme la vieille en moins ridés et pendant moins aussi. Un jour il avait laissé une revue porno dans sa chambre et un slip plein de sperme sur la table de chevet. Quand il était rentré le soir la revue avait était bougée et le slip disparu. En regardant le film, il avait vu sa mère se doigter en lisant la revue et s’essuyer la chatte pleine de mouille avec le slip et après elle l’avait lécher et mise dans sa culotte. Elle était donc aussi chaude et il s’était promis de ce faire surprendre par elle en train de ce branler, mais il n’avait pas encore osé.
Aujourd’hui, tout était différent c’était bon… son foutre allait venir et il sentait l’homme commencer à se raidir. La vieille compris que ces trois hommes allait bientôt perdre leur semence. Elle cria.
-J’ai la bouche ouverte, donnez moi votre foutre, bande de salaup. Elle ouvrit sa bouche en grand et attendit caressant plus fort les trois paires de couilles. Ce fut son homme qui lâcha quelques gouttes qui tomba au fond de sa gorge, puis l’inconnu, cracha son venin… au fond de longue giclée acre et liquide, mais abondante, elle cru qu’il ne finirait jamais. Le mec se retira pour s’enfourner dans la bouche à moitié pleine de sperme puis gicla, épais, très épais, là aussi il y avait de la matière. Elle lacha la biche de sa bouche, ferma les yeux avec délectation et avala-le tout… La baguette toute mouillée était toujours dans sa chatte, devenue complètement humide et baveuse malgré l’âge. Il y avait bien longtemps que trois hommes à avaler, elle ne l’avait pas fait. Elle se dit qu’ils devraient rester quelques jours dans cette ville et encore plus sur ce parking. Elle sorti de dessous la table, le mec se secouait la bite et l’autre avait déjà disparu… Dommage.
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