Plus d’une semaine avait passée depuis la fameuse rencontre avec ma soeur. J’avais eu deux cours de sports et malheureusement, Valérie ne m’adressait la parole que lorsqu’elle était obligée et ma foi, elle ne le semblait pas souvent. Malgré tout, je continuais à vouloir l’impressionner en m’entraînant toujours plus fort que les autres et en levant la plus grosse charge possible. Elle n’avait même pas daigné regarder une seule fois vers moi.
J’étais déçu mais résigné, comprenant qu’elle ne me trouvait tout simplement pas à son goût ou à son âge.
Un soir, ma soeur remarqua cet état d’esprit qui se reflétait jusque dans mon comportement et même mes yeux selon elle.
-Qu’est-ce qui ne va pas Nathan, s’enquit-elle.
-Valérie m’a ignoré toute la semaine, m’endendis-je dire,penaud.
-Et bien, elle ne c’est pas ce qu’elle manque celle là!
-Peut-être…
-Aller, je déteste te voir comme ça, qu’est-ce qui te ferais plaisir, à part elle, me demanda-t-elle avec un sourire en coin.
-Oh rien, je vais bien m’en tirer, ne t’inquiètes pas.
-Tu es bien sûr, continua-t-elle en approchant ses mains de mon torse.
-Oui, définitivement,dis-je tellement perdu que je n’avais même pas remarqué le comportement pour le moins étrange de Sarah.
-J’ai faim, dis-je en me levant.
-D’accord, allons manger un morceau, répondit-elle en me suivant.
Alors que j’y repense, je suis presque que sûr qu’elle a voulu toucher mon membre quand je me suis lever, mais impossible dans être vraiment assuré.
Sarah n’eut aucun autre attitude ou actions déviantes durant la soirée, laquelle fut ennuyeuse à mourir. Je décidai de monter tôt pour m’en faire une petite vite avant que ma soeur ne vienne se coucher.
Toutefois, alors que je me donnais( J’approchais du moment tant libérateur qu’est l’orgasme masculin), ma soeur franchit le seuil de la porte. Vraiment, elle commençais à prendre des mauvaises habitudes. Bien entendu, j’arrêtai immédiatement et fit semblant de dormir. Cependant, cette fois-ci, elle ne fit aucun commentaire et alla simplement se coucher sur le dos.
Durant la nuit, un bruit m’éveilla en douceur. Au début, je ne voyais pas de quoi il s’agissait, puis en écoutant attentivement, je crus reconnaître le bruit le plus paradisiaque qu’il m’ait été possible de percevoir. Une femme qui se touchait, qui approchait du plaisir ultime. J’écoutai le bruit durant de longues minutes, puis ne put résister à la tentation de reprendre ma masturbation la où elle avait stoppé, car vous vous en doutez bien, j’avais une très belle érection. Alors que l’orgasme cognait à ma(nos) porte(s), je décidai de m’exciter encore plus et de regarder ma soeur se toucher. Je fis mine de me retourner en dormant, la faisant cesser son mouvement durant quelques secondes, puis elle recommença de plus belle, avec plus d’ardeur. Je me forçai à attendre quelques secondes pour être sûr qu’elle serait retourner au septième ciel et ainsi qu’elle ne me verrait pas. Enfin, je les ouvris. Un spectacle digne de Dieu s’offrait devant moi. Cette beauté qu’est Sarah était toute nue, la couverte lui arrivant aux anges m’empêchant de voir sa chatte que je devinais inondée de mouille, ce liquide si divin. Elle se touchait les seins ‘une manière tout simplement trop érotique et sa peau de miel luisait à la lumière de la nuit, puisqu’elle suait beaucoup. Ses cheveux brun-roux était en bataille, mais je voyais tout de même sa sa queue de cheval qui était si excitante. Je n’en pouvais presque plus, mon membre, qui était plus dur que le fer était maintenant, en voyant ma soeur se toucher, devenu comparable au diamant. Je n’allais plus tenir très longtemps alors que je crus entendre un son de sa bouche.
-hhnnnnnammm, jouissait-elle
Probablement mon imagination. Puis le son revint de plus belle et cette fois, j’étais sûr de pas l’avoir rêver.
Maintenant, elle ne criait plus qu’elle ne marmonnait et j’adorais sa.
Exactement deux secondes avant que je n’éjacule, le son ce fit très clair et provoqua sans aucun doute le plus beau jet et plaisir de ma vie.
-Hooo Nathan, oui hooo oui je viens,souffla-telle.
Comme je vous les dis plus tôt, la réaction fut immédiate et jamais je ne pensai éprouvé un tel plaisir à entendre mon nom malgré le fait que j’oubliai de m’attarder sur la véritable raison de son souffle orgasmique. Sarah continua de se toucher les seins en les pinçant tout doucement et en les malaxant, puis elle sortit sa main droite de sous les draps, lesquels étaient souillés. À ma grande surprise, elle introduisit très sensuellement les doigts de sa main inondée de mouille dans sa bouche. Enfin, la langue s’occupa de tous suçant tout jusqu’au bout. Elle sembla apprécier ce miel qu’elle produisait beaucoup, puisqu’elle continua ses spasmes jusque ce que le jus fut entièrement avalé.
C’est seulement à ce moment qu’elle ouvrit les yeux et moi dans mon éternel rêve réel érotique, je la fixait mon engin encore dur comme la pierre duquel s’échappait abondamment de sperme. Nos regards se croisâmes et nous ne réagirent pas.
Nous restâmes pétrifiés durant d’interminables minutes, chacun se pinçant mentalement le cerveau, alors que j’espérais que c’était qu’un fantasme génial que je m’avais autorisé. Malheureusement, ou le contraire, ce n’était que trop réel. Sarah bougea finalement, portant son doigt de la main gauche à sa bouche. Pendant un instant, je pensai qu’elle allait le sucer, comme je rêve qu’elle le ferait avec ma verge en ce moment mais à la place, elle fit plutôt le signe du silence. Puis, sans aucune autre parole ou geste elle se retourna et tomba dans les bras de Morphée. Je restai les yeux grands ouverts, sans sourciller une seule fois pendant près de cinq longues minutes, puis je me retournai à mon tour. Le lendemain, ma soeur avait tout simplement disparut de la maison, ma mère m’expliqua qu’elle avait une soirée entre filles de prévue depuis quelques semaines déjà.
Je me mis tout simplement dans mes cahiers pour ne pas à avoir à penser une cette, fantastique je dois bien l’avouer, nuit d’hier soir. Une fois mes devoirs complétés et mes leçons apprises, je ne pus résister à la tentation d’entamer une magnifique masturbation en repensant à cette merveilleuse nuit passée. Le plaisir, en rien comparable à celui d’hier fut quand même très apaisant.
La fin de semaine fut sans histoire, remplie de vide qu’est la vie avec ses parents la fin de semaine lorsque vos amis semblent vous oublier.
Malgré tout, je détestai les lundis, comme la planète tout entière j’imagine. J’avais sport à la fin de la journée ce qui acheva de me rendre dans la piteuse état que j’étais. Le cours fut, comme à son habitude, consacré à l’entraînement individuel. Cependant, Valérie vint me parler avec une air que je ne lui connaissais pas beaucoup, on aurait dit der la joie mêlée à de l’arrogance.
-Bonjour Nathan, j’ai remarqué que tu levais de plus en plus ces temps-ci, tu m’as l’air encore plus en forme qu’il y a quelques semaines, me dit-elle.
Je me retins de répondre une connerie du genre: En forme de quoi, car secrètement, je voulais encore Valérie pour moi seul.
-Merci, vous aussi, vous semblez reluisante ces jours-ci mademoiselle.
-Je t’en prie, appelle-moi Valérie.
-Très bien Madame…Valérie.
-Tu veux savoir pourquoi je suis tellement rayonnante?
-Pourquoi pas?
-Et bien, j’ai enfin laisser ce connard qui me servait de copain.
-Ah bon, il était si con que sa?
-À première vue, non, mais maintenant que je le connais, je te confirme que c’est un connard de première et en plus il est nul au pieu…
Vraiment, je croyais que j’avais tout bonnement imaginé la dernière parti de son discours. Je devais absolument vérifier, coûte que coûte.
-Pardon, lui dis-je pour la forcer à répéter.
-Oh rien, répondit-elle consciente de son erreur.
-Vous êtes sûr qu’il n’y rien?
-Combien de fois me faudra-t-il te le dire, Nathan tout va bien et tu resteras après le cours pour ton insubordination, me cria-t-elle.
Décidément, elle était vraiment bizarre celle-là, d’abord mes poids, puis mes écouteurs, ma queue et enfin cette crise de rage pour absolument rien.
-OK, que je réponds, conscient qu’une argumentation serait vaine.
La cloche sonna trente minutes plus tard et, alors que tous les autres élèves rentraient chez eux moi j’étais encore dans la salle avec cette putain de folle de rage qui me sert de prof. Désoler, mais j’étais réellement fâché après elle.
Elle me dit d’approcher et commença la conversation, le sujet qu’elle choisit me surpris quelque peu.
-Tu sais que j’ai t’as soeur dans un autre groupe?
-Oui…
-Elle n’a que d’éloges à ton égard, tu le savais sa?
Je hausse les épaules, indifférent.
-Je les aussi entendu, surtout ceux de ton corps….
À ce moment, je ne comprenais plus rien.
-Et…, je risquai-je.
-Et bien cela fait longtemps que je t’observes et je crois que tu ferais bien l’affaire.
-L’affaire pour?
-Cela fait longtemps que je n’ai pas eu d’activités sexuelles et je crois bien que tu as ce qu’il faut pour me combler, continua-t-elle sans m’entendre.
-…
J’avais tout simplement l’air d’un retardé avec ma bouche ouverte.
-Si tu acceptes, tu feras tout ce que je te dis, et ce, sans condition.
Je ne réfléchis pas une seule seconde à l’offre.
– OUI
-Très bien, sa commence maintenant, excite-moi!
-Comment?
J’étais complètement déboussolé.
-À toi de voir chaton.
Chaton, elle m’avait vraiment appeler comme ça? Ce qu’elle est bizarre cette femme. Elle va voir qu’après une séance avec moi sa sera plutôt tigre ou peut-être même étalon mon prochain surnom.
Sur ce, je m’approche de son corps parfait.
Mon Dieu que j’aime les Lundis.
Elle était debout contre le mur, une position qui ne faisait que me rendre encore plus dur. Cette érection, je l’avait depuis longtemps déjà! Elle ne fit aucun geste, ses yeux m’invitant tout seul à m’approcher d’elle. Ce que je fis, très lentement mais sûrement. Je décidai alors de la surprendre et de ne pas être que son esclave sexuel. Maintenant rendu collé contre elle, je pouvais sentir son souffle chaud et ses petits parfaits qui commençait à se compresser sur mon torse. Je pris ses mains dans chacune des miennes et je les posai sur ses seins, tout en les malaxant doucement pas l’intermédiaire de ses propres doigts. Elle fut surprise mais sembla grandement appréciée la chose, ses petits sons en sont la preuve. Puis, je voulus embrasser ses douces lèvres mais elle s’interposa en tourna la tête. Tant pis, puisque ses mains étaient toujours prisonnières des miennes, je l’embrassai tout de même. Au début, elle ne sembla pas aimer mais je lui soufflai quelque chose dans l’oreille qui changea la donne.
-Abandonnes-toi au plaisir ma belle!
Aussitôt, elle ouvrit sa bouche et nos langues se rencontrèrent en fusionnant, tout bonnement. J’aurai pu rester des jours dans sa bouche mais, il ne fallu pas longtemps pour que nos corps en veuillent plus.
la suite bientôt ….
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