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La correspondante allemande: Poursuite des hostili

La correspondante allemande: Poursuite des hostili



Le lendemain je me réveillais l’esprit quelque peu embrumé. Les évènements de la veille dans le local à instrument me revinrent assez vite. Est ce que j’avais vraiment vécu ce qui s’était passé cette nuit ?… Jenna m’avais demandé de la gifler ce qui n’était pas très commun pour une fille de 17 ans. Ceci étant je l’aimais, je l’aimais beaucoup, même si ce n’était pas de la manière dont je l’avais prévu.

Je me décidais à sortir de mon lit. Il y avait du bruit en bas de la maison de mon correspondant. Il étaient déjà tous levés. Je devrais encore me sacrifier au rituel du petit déjeuner à l’allemande.
En attendant je me dirigeais dans la salle de bain. Mathias et les autres pouvaient bien m’attendre encore un peu. Je m’assis sur la lunette des toilettes, ma bite bandait du réveil matinal et je commençais à me caresser l’entrejambe et les tétons.
Une fois la bite à la main je visualisais une Jenna en robe de soirée rouge vif montée sur de solides stilletos. Ses formes généreuses et magnifiques s’harmonisaient délicieusement dans ses vêtements. Elle se mit à effectuer une danse suggestive en me jettant parfois un regard torve. Ses deux mains n’étaient pas de trop pour caresser sa magnifique poitrine et le déhanchement de son large fessier me rendit fou…
J’éjaculais de bonheur sur la faïence en dessous de mes cuisses puis je tirais la chasse.

En bas je retrouvais Mathias mon correspondant allemand et toute sa famille à savoir sa mère qui était divorcée ,son grand frère et sa petite soeur. Tout le monde se montrait aimable et chacun tenait à rendre mon séjour aussi agréable que possible.
Ce jour là j’accompagnais Mathias qui se rendait à ses cours, moi je devais rejoindre ma classe non loin de là pour une journée de visite à Francfort ,perspective qui me barbait au possible. Une fois au lyçée je laissais mon correspondant à ses cours lorsque je vis à l’entrée du lycée Jenna qui s’avançait dans ma direction.

-Ma belle teutonne. Tu n’as pas cours toi ?.
-Si mais je suis dispensée de sport ,alors je rentre très tôt aujourd’hui.
« Dispensée de sport. » Ca sonnait curieusement dans ma tête.
Elle me fit un sourire que je n’oublierai jamais.
-Du coup. Peut être que tu pourrais venir chez moi. Mes parents ne sont pas là pour quelques jours…
-Et Laurent?.
-Laurent est parti ce matin prendre le car pour visiter la ville. Tu ne l’as pas rejoins ?. Ce n’est peut-être pas obligatoire…
Jenna venait elle même de me donner les meilleurs arguments pour ne pas me coltiner cette visite, décidemment cette nana savait ce qu’elle faisait.

Deux heures après elle finissais sa journée de cours et nous rentrions ensemble chez elle. Pendant le trajet je ne pus m’empêcher de lui raconter mon petit fantasme masturbatoire de ce matin.

Cela ne la choquait pas ni ne la dégoûtais. Au contraire elle venait d’appréçier que je lui en parle. La robe rouge vif, les stilletos…

Elle habitait une sympathique petite maison au jardin bien entretenu et plein de couleurs, l’intérieur était charmant. Jenna me proposa à boire, et l’on prit tout les deux un Coca que nous buvions à 2 pailles.

-J’aime cet objet. C’est vraiment une très belle invention.
Elle me désigna sa paille.
-Euh oui je te crois…
Elle retira sa paille de la canette.
-Tu pourrais m’attendre içi disons… une dizaine de minutes ?.

Elle monta au premier étage, dans sa chambre je supposais. Je terminais tranquillement la canette jusqu’à ce qu’elle redescende un peu plus tard en robe rouge et stilletos.
Comme dans mon fantasme de ce matin.
Elle avait même rajouté une grosse ceinture à boucle de cuir noir qui lui allait à ravir. Elle ressemblait à un cadeau de noël comme ça. De l’index elle me fit signe de la suivre dans sa chambre.

Montant les escaliers je pouvais idéalement admirer sa sculpturale silhouette grimpant une à une les marches. A chaque pas elle faisait rouler sa croupe volumineuse et une fois dans la chambre je me jettais sur elle comme un mort de faim. Elle riait. Elle adorait ce pouvoir dont elle disposait à cet instant et elle riait. Je lui tordait déjà les seins à travers le tissu rouge. Je connaissais maintenant ses vices. Je jouais avec sa grosse langue dans ma bouche. Elle émettais des grognement de plus en plus aigus accompagnés de spasmes chaque fois que je tordais un peu fort.

Elle me balança sur le lit, je crus qu’elle allait se jeter sur moi mais elle entama une danse un peu maladroite mais tellement excitante. Elle se tournait et se retournait en se caressant de partout et en bombant les parties les plus érogènes de son corps.

J’étais déjà en train de me masturber quand elle me rejoignit sur le lit pour m’att****r la bite. Elle me suça cette fois avec plus de fougue et de conviction que la nuit préçédante,on se connaissait mieux, n’oubliant pas de me lècher les couilles ce que j’appréçiais particulièrement…
Ensuite elle se servit de ses énormes seins pour m’étouffer la queue. Du bonheur pur. Elle semblait ravie de me montrer ses capaçités mammaires, me branlant en agitant ses loches dans tous les sens
.
Seulement il fallait ne pas jouir. Je voulais la baiser. Au bout d’un long moment je lui demandais de monter sur moi. Ma bite était dressée en l’air ,toute dure et violaçée. Délicatement elle fit rentrer l’engin dans sa chatte puis elle commença des mouvements de và et viens puis ensuite de haut en bas pendant que je pétrissais ses monstrueux nibards, les tétais avec rage ,les tordais puis ensuite je les claquais avec force. Et elle m’encourageait. M’encourageait de lui frapper les seins, qu’elle adorait ça… elle me demandait de la gifler au visage sans hésiter ce que je fis avec force. Et elle jouit. Elle prenait mes doigt pour les mettre dans sa bouche. Puis je lui claquait ses énormes fesses là aussi de plus en plus violemment. Son derrière devait être très rouge… en tout cas son visage et ses seins l’étaient , je m’en souviens très bien. Et pour finir je lui fourrais un doigt dans le cul tout en la baisant…

Elle me demanda que je jouisse dans un verre qui se trouvait sur sa table de nuit, je remplis le fond du verre de ma jouissance. Elle se saisit d’une paille pour ensuite minutieusement récupérer le fond du verre tout en me jettant de temps à autre des petits regards coquins.
Puis elle ouvra sa bouche pour me montrer tout le foutre.
Et elle avala.

Souvenir terrible que ce jour là. Je crois que c’est depuis ma rencontre avec Jenna que je suis tombé dans le côté obscur de la sexualité.

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