Nina c’est ma compagne. Celle qui un jour a accepté de passer du stade de soumise occasionnelle à celui plus particulier de chienne à plein temps. Nous avions des amis communs, des plaisirs partagés, … Depuis je fais évoluer Nina par les différentes étapes de la domination.
Que les choses soient claires, nous n’aimons pas la v******e. Nous préférons la douce soumission et l’obéissance inconditionnelle même si parfois une petite fessée aide à replacer le Maître à sa juste place.
Je me souviens d’une des premières sorties de Nina.
Il faisait chaud, et les tenues d’été légères et colorées paraient la plupart des femmes ce jour-là. J’avais envie de montrer Nina. Quel endroit plus discret et excitant qu’un sexshop pour la faire désirer ? Je choisis une robe blanche, assez décolletée. Nina n’est pas grande, mais sa poitrine lourde lui donne des formes très agréables à regarder. Je lui imposai donc de mettre la robe, mais en la privant de tout sous-vêtement.
Sans soutien-gorge, ses seins prenaient tout-à-coup la liberté de se déplacer et rebondissaient joyeusement à chacun de ses pas. Ses aréoles sombres se devinaient à travers le tissu peu épais. Sans lui annoncer le but de notre promenade, je l’emmenai dans les coins chauds du centre.
Les regards se posaient invariablement sur ses seins, ma présence devenant invisible à ses côtés. Je la dirigeais par de courtes phrases, tout en observant les passants mâles se jeter à fonds perdus dans son décolleté.
Enfin, le sexshop se profila au bout de la rue. Coincé entre deux peepshows, son entrée discrète promettait le plaisir défendu et sentait bon la perversité anonyme.
Nous entrâmes avec impatience. Le lieu était sombre, contrastant avec la lumière du dehors. Quelques clients se répartissaient les allées vidéos, et les rayons des accessoires. Je promenai Nina comme on promène son chien près de chacune des personnes présentes. En ayant soin, vu l’étroitesse des allées, de m’assurer d’un contact léger avec chacun des hommes.
Arrivés au rayon des tenues sexy, je lui demandai de trouver une tenue d’infirmière. Penchée en faisant ses recherches, je savais que le spectacle commençait vraiment. La vue plongeante sur ses seins eut vite fait d’attirer les clients vers nous, de façon ordonnée et discrète. Je lui intimai l’ordre de se pencher davantage, sans trop plier les genoux comme je lui avais appris. Je vérifiai que la robe choisie avait bien la taille voulue : qu’en se baissant ainsi, un peu de sa chatte serait visible.
Je ne m’étais pas trompé. Sans avoir l’air d’y toucher, je mis ma main dans son dos tout en faisant semblant de chercher moi aussi une tenue, et remontai doucement le pan de sa robe. Jusqu’au dessus des fesses. « Ne bouge plus » lui intimai-je. Derrière elle, trois clients ne perdaient une miette de la vue. L’un des trois avait sorti un sexe légèrement en érection et avait entrepris de se masturber.
« Ecarte un peu les jambes » ajoutais-je, ce qui eut pour effet de rapprocher les clients.
Voyant que la masturbation était tolérée, voire encouragée, les deux autres sortirent leur engin et ne se firent pas prier pour commencer eux aussi à se masturber. Nina mouillait, c’était visible. Je pris au hasard la première tenue d’infirmière qu’elle avait sélectionnée et lui ordonnai de l’essayer. « Déshabille-toi ».
Elle se retourna et fit lentement glisser les bretelles de sa robe sur ses épaules, commençant par montrer ses seins. Ensuite, d’un coup de reins la robe tomba à terre et elle fut nue.
Elle n’eut pas l’occasion de mettre sa tenue d’infirmière, l’un des clients prenant l’initiative de lui caresser les seins de sa main libre. En moins d’une minute, elle avait une queue dans chaque main et la troisième dans la bouche. Le gérant n’en croyait pas ses yeux et entreprit de filmer la scène avec son portable.
Je lui savais la langue agile, et en peu de temps, elle du avaler le sperme de la queue qu’elle suçait. Les autres jouirent sur ses seins. Elle remit sa robe, qui laissa des traces sombres là où le sperme perçait l’étoffe et nous rentrâmes à la maison.
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