Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe lesbiennes

Notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (7)

Notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (7)



Les amants pervers 4 : notre esclave sexuelle au Cap d’Agde (7ème partie)

Le lendemain matin, assez tard dans la matinée pour être précise, un léger grattement à la porte de la chambre me tire du sommeil. « Entre » dis-je d’une voix pâteuse. Manon passe la porte, un plateau dans les mains. Elle porte pour seule parure le collier de chien.

– Qu’est-ce que tu fais là ? On ne t’a pas demandé de venir. Greg est à la pêche avec Richard.
– Je suis arrivée tôt. Il m’a ouvert la porte.
– Et il t’a mis le collier à ce que je vois. A-t-il eu le temps de te baiser ?
– Non Madame, il ne l’a pas fait. Permission de poser le plateau Madame.
– Vas-y.

Je croque dans un croissant. Manon reste debout à côté du lit, avec son air un peu cruche. Je suis prise d’un accès de pitié.

– Viens dans le lit.
– Merci Madame !

Elle se blottit contre moi. Je ne peux pas m’empêcher de laisser vagabonder ma main.

– Tes poils n’ont pas l’air de repousser… Tu te rases la chatte ?
– Tous les matins Madame.

Une fois le petit déjeuner terminé, je reprends la conversation :

– Tu t’habilles vraiment n’importe comment… Est-ce que tu as de la lingerie chez toi ?
– Des strings… Mais j’aime bien me balader sans culotte.
– On va faire les magasins ce matin. Greg a pris la voiture, il nous reste les vélos.

Manon enfile un short très court et un t-shirt blanc avec un motif vraiment moche. Elle ne porte pas de soutien-gorge et ses tétons pointent sous le tissu. Il est grand temps d’améliorer sa tenue.

Nous voilà parties pour une petite excursion. Manon a un bon coup de mollet, nous arrivons rapidement en ville. Je prends la direction de ma boutique favorite. La vendeuse nous accueille chaleureusement.

– J’aimerais voir quelques échantillons pour ma jeune amie. Des strings rouges et noirs, un brésilien gris. Il nous faut des hauts en harmonie, bien évidemment, des bas et des porte-jarretelles.

La vendeuse montre les articles à Manon. Comme tout ce qu’elle lui présente lui convient, j’effectue moi-même la sélection. Je m’enthousiasme pour un ensemble complet, en dentelle blanche avec un très joli bustier.

– Viens, lui dis-je, nous allons tester cette nuisette rouge et noire.

Je l’entraîne dans la cabine d’essayage.

– Déshabille-toi !
– Complètement ?
– Mais oui enfin !
– Qu’est-ce que vous allez me faire ?

Je lève les yeux au ciel.

– A ton avis ?
– C’est que nous sommes dans un endroit public. La vendeuse n’est pas loin…
– Une exhibitionniste comme toi, je pensais que tu sauterais sur l’occasion.

Je me rapproche d’elle, passe le bras dans le creux de son dos et la colle contre moi. Elle frémit. Je l’embrasse langoureusement tout en lui caressant les seins. Sa résistance est brève. Son short et son tee-shirt sont bientôt en vrac sur le siège de la cabine. La voici toute nue devant moi.

– Tiens, lui dis-je en lui tendant la nuisette.

Avec une certaine élégance, Manon se pare de la pièce de lingerie. J’ai fait le bon choix. L’étoffe transparente met en valeur ses formes. Je ne peux y résister.

– Tourne-toi.

Elle me présente son postérieur. Je me baisse. J’introduis deux doigts dans sa chatte. Trempée, bien sûr. Tout en continuant de la doigter, je lèche la pastille brune entre ses fesses. Manon gémit. Merde, elle va rameuter la vendeuse si elle continue.

– Tout va bien Mesdames ? dit une voix de l’autre côté du rideau.

Bingo ! C’était à prévoir. Je lui réponds :

– Oui parfait. Mademoiselle se rhabille et nous sortons.

Je chuchote à l’attention de Manon :

– Je connais un endroit où nous serons plus tranquilles.

Nous reprenons les vélos. En quelques minutes, nous atteignons notre destination suivante.

– Un sauna ? Vous ne trouvez pas qu’il fait déjà assez chaud Madame ?
– Je ne sais pas si un jour tu apprendras à obéir sans discuter…

Nous attachons les vélos à proximité de l’établissement.

– Et qu’est-ce que nous allons faire de nos emplettes ? ajoute-t-elle.
– J’ai de bonnes relations avec la fille de l’accueil, nous aurons droit à un casier supplémentaire.

Effectivement, je claque la bise à Yvette à l’entrée.

– Du monde ?
– Non, ce n’est pas vraiment la saison… Juste les habituées.

Nous nous changeons rapidement dans les vestiaires des femmes. Inutile de préciser que la mixité n’est pas de mise en ces lieux. Après avoir noué les serviettes de bain, nous nous dirigeons vers le hammam. Les équipements sont neufs, l’entretien irréprochable. La décoration florale arabisante des carreaux de faïence, la robinetterie en cuivre, tout concourt à rendre le lieu luxueux et un brin désuet. Manon est ravie, elle n’imaginait pas que la journée se déroulerait ainsi et elle n’est pas au bout de ses surprises.

Une femme est déjà assise sur un banc. La serviette posée sous les fesses, rien ne cache ses formes voluptueuses. Ses longs cheveux roux se répandent en cascade sur ses épaules. Elle a de très beaux seins, lourds, avec de larges aréoles. Sa chatte n’est pas rasée, on dirait une petite fourrure de renarde. Ce n’est pas non plus la friche, on devine facilement la forme des lèvres sous le duvet. J’ose espérer que vous me pardonnerez cette métaphore opportuniste mais tout en elle transpire une sensualité sauvage. Elle ne doit pas avoir plus de trente ans. Je la connais bien.

– Audrey ! dis-je, quel plaisir de te voir !
– Axelya, ma chérie, je suis ravie.

Ses sublimes yeux verts se posent sur Manon.

– Je ne pense pas avoir déjà rencontré ton amie.

Je fais les présentations tout en laissant tomber ma serviette sur le banc.

– Je fuis le soleil. Avec une peau claire comme la mienne, dit Audrey, cet endroit est un vrai refuge…
– De notre côté nous avions un… besoin urgent d’intimité si tu vois ce que je veux dire.

Audrey rit. J’adore son rire, à la fois joyeux et spontané mais avec une légère pointe de menace, comme un petit nuage gris dans un ciel bleu.

– Allez Manon, mets-toi à l’aise nous sommes entre amies. J’ajoute à l’attention d’Audrey : c’est ma petite esclave, sais-tu que je l’ai rasée moi-même, la première fois ?

Manon rougit et ce n’est pas que l’effet de la chaleur.

– Qu’est-ce que tu attends ? Montre-lui ta chatte.

D’un geste, je l’aide à écarter les cuisses. Audrey s’approche :

– Je peux toucher.
– Bien sûr.
– C’est doux comme un petit oiseau.

Manon gémit. Je suis derrière elle, mon ventre contre son dos, mes lèvres sur sa nuque. J’ai envie de mordre son cou. « Ouvre-toi pour mon amie » lui dis-je. Audrey écarte les grandes lèvres et glisse un doigt au milieu.

– Elle mouille.
– Oui, nous nous sommes un peu échauffées en faisant du shoping…
– J’ai envie de la goûter
– Ne te gêne pas.

Le visage d’Audrey disparait entre les cuisses de Manon, je ne vois plus que la chevelure rousse. Je saisis mon esclave par le menton et pousse ma langue dans sa bouche. Elle est molle et fondante, à notre merci. Comme je l’ai dit, je connais Audrey, je peux témoigner de son habilité dans la pratique du cunnilingus. Manon ne lui résiste pas longtemps.

– Je suis sûre qu’elle rêve d’envie de te sucer les seins.

Manon se réveille :

– Oh oui Madame !

Audrey s’assied. Nous nous installons chacune d’un côté pour téter ses gros globes blancs. Je caresse le ventre de la rousse, ma main descend plus bas, je tâtonne un peu, ne mets pas longtemps à trouver le clitoris que je stimule d’un geste lent. La voix d’Audrey ne tarde pas à se faire entendre. Un son rauque, un appel à accélérer le rythme, à la faire jouir. Je viens me placer contre elle, une jambe entre ses cuisses, nos vulves collées. Nous frottons nos sexes l’un contre l’autre jusqu’à obtenir un orgasme synchronisé. Nous soufflons un peu.

– Tu crois qu’elle pourrait jouir encore ? demande Audrey.
– Bien sûr. C’est une vraie chienne en chaleur. Mets-toi à quatre pattes Manon, montre nous un peu ton cul.

Une fois qu’elle est en position, nous pouvons l’examiner à loisir.

– Je parie que tu t’es occupé de ton dépucelage anal, dit Audrey.

Je réponds en riant :

– Greg s’en est chargé. Elle ne l’avouera jamais mais elle adore qu’on la chahute un peu.
– Tu aimes ? dit Audrey en introduisant son index dans l’anus de Manon.
– Oh non Madame, c’est sale.

Petite menteuse. Son expression extatique la trahit. Pour ma part je m’intéresse à sa chatte. Elle est bien ouverte, j’y loge deux puis trois doigts sans difficultés. Je poursuis la caresse jusqu’à ce qu’elle gicle sur mes doigts.

Nous continuons de nous embrasser, de nous lécher et de nous caresser. La moiteur du hammam vient finalement à bout de notre résistance.

Sur un dernier baiser, nous prenons congé d’Audrey.

Je demande à Manon :

– Il est temps de rentrer, as-tu passé une bonne journée ?
– Oui Madame excellente !
– Viens à la maison demain soir vers huit heures.
– On sort ?
– Oui.
– Où allons-nous ?
– C’est une surprise, petite curieuse.

Dès que je suis seule, j’appelle Greg sur son portable. « Elle est prête. »

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire