Enfin, nous trouvons un lieu qui se prête mieux à notre rencontre. Nous entrons donc dans un bar plutôt petit, assez étroit en fait. Le bar fait presque toute la longueur de l’établissement. Il est assez sombre malgré l’heure, et il y a beaucoup moins de monde. Même très peu : 1 table avec un couple à l’entrée et un habitué au bar. Nous nous mettons au bout du bar, dans un coin un peu plus tranquille. Nous nous installons sur ces grands tabourets et commandons un cocktail chacun.
La commande est à peine transmise au serveur que nos langues se retrouvent. Nous restons presque chastes, peu de jeux de mains pour le moment. Nous attendons nos breuvages…
Les voici, ils sont frais, perlants. Au vu de la fréquentation des lieux, nous avions un peu peur de leur qualité, mais c’est finalement correct.
Nos bouches se rafraichissent donc, appréciant cette basse température. Assis ainsi à tes côtés, je tiens ma paille d’une main, et j’aventure l’autre sous ta robe. Elle remonte doucement le long de tes cuisses. Tu sens la fraicheur des perles d’eau qu’il y avait sur mon verre, cela te fait tressaillir. Je m’approche de tes lèvres, ma main les frôle, flirte avec elles. Mes doigts les effleurent, les écartent doucement, je découvre ton humidité intense, ta moiteur….
Cela me donne le désir de t’embrasser de nouveau.
Ce baiser fini dans ton cou, ma bouche remonte vers ton oreille, doucement et je te susurre mon désir profond du moment : « J’ai très envie de m’agenouiller là devant toi et de te gouter »
Tu me regardes alors, interrogatrice. Je lis quelque chose du genre « Est-il capable de le faire ? » dans tes yeux.
Ma main est toujours là, active, qui joue flirte avec ta chatte et frôle régulièrement ce jouet oublié. Tu es excitée, de plus en plus chaude. Tu te rapproches encore de moi et de me dis :
– Si nous allions aux toilettes que je te présente mieux ma chatte.
– Non, si nous allons là-bas, c’est pour faire du bestial…. Là j’ai envie de te gouter pour la première fois. Pas aux toilettes.
Je glisse alors un doigt en toi, pendant qu’un autre stimule le plug par de petites secousses.
Ce doigt dans ta chatte t’a arraché un petit gémissement.
Faible mais suffisant apparemment pour avoir alerter le jeune serveur. Il semble avoir deviné ce qui est en train de se passer, te regarde régulièrement désormais.
Tu te mords doucement les lèvres.
Tu ondules de plus en plus intensément sur ma main, prise par l’envie, tes bras m’entourent, m’agrippent. J’approche ma bouche pour parcourir ton cou, lécher, mordiller doucement ton lob d’oreille. J’aime ce moment égoïste où je suis seul à agir et te sentir ainsi pleine de désir.
Ainsi, penché dans ton cou, ton regard croise celui du serveur. Tu te raidis un peu, tu viens de comprendre qu’il sait. A son œil un peu perdu, tu devines une intense érection, cachée par le bar.
Je te sens désireuse de jouir, rongée par une petite culpabilité de ne rien faire et l’excitation d’être vue et entendue. Tu me préviens pour le serveur :
– il nous matte.
Je ne me retourne pas :
– Je sais, du moins, j’imagine… et ça m’excite que tu fasses bander le serveur pendant que je te doigte …
Le tabouret est trempé. Ton souffle est vraiment court, tu fais de plus en plus de bruit….
J’ai très envie que tu jouisses ici, sur ce tabouret, ton regard dans les yeux du serveur. Je te le dis.
Tu gémis de plus en plus fort, ta bouche s’approche de mon oreille, tes yeux figés toujours sur ce barman, et assez fort pour qu’il entende :
– Doigte-moi plus fort, vas-y… Je veux que tu me fasses jouir là, devant tout le monde.
Tu poses ta main sur ma queue pour vérifier que je bande fort. Tu sens mon jean très tendu, et commence à la caresser à travers l’étoffe.
Je laisse maintenant le plug tranquille et glisse un deuxième doigt dans ta chatte trempée. Cela t’arrache un nouveau gémissement plus aigu… le serveur ne tient plus.
Tu commences à le chauffer de plus en plus, ta langue fait le tour de tes lèvres, ton regard est braise.
Mes doigts sont 3 désormais en toi, tu te cambres de plus en plus.
– Jouis maintenant, jouis pour moi ici et tu pourras me faire ce que tu veux aux chiottes.
Cette phrase est dite au moment où tu réalises que le serveur a commencé à se toucher à travers son pantalon…c’en est trop, cela t’excite trop. Tu jouis à ce moment-là, sur ce tabouret. Un spasme brutal, long… qui semble terriblement intense…
Je reprends une gorgée de mon cocktail, et m’aperçoit alors que nous sommes désormais seuls dans le bar. Les autres clients sont partis.
Je ne réfléchis pas longtemps, je bande trop. J’ai encore trop envie de te gouter. Je descends donc, m’agenouille devant ta robe et la remonte pour mieux découvrir ta chatte chaude, béante, qui s’écarte en même temps que j’écarte tes cuisses.
Rien que mon souffle entre tes cuisses semble te redonner très faim. Tu viens de sentir ma langue…tu te cambres, passe une main dans mes cheveux… de ton autre main, tu dévoiles un sein et commence à le caresser en regardant le serveur… il devient fou, tu le rends fou.
Il va pour sortir son sexe, un peu gauche, un peu timide.
Mais tu l’interpelles. Ça y est, tu veux aussi sa queue… « Et si vous fermiez le bar ? »
Il s’exécute pendant que je suis en train de gouter ta chatte, de jouer avec ton clito…
Une fois qu’il a terminé, il s’approche doucement, un peu fébrile. Je lève la tête un instant et le vois planté là devant toi. Je te regarde avec un sourire que tu me rends.
Tu att****s délicatement ma tête et me force doucement à me replonger dans ton intimité.
Il reste là, son pantalon tendu, gonflé. Tu recommences à te caresser la poitrine, tu aimes le contempler un peu. Puis tu le saisis et le rapproches de nous. Tu déboutonnes son pantalon, sors son membre et te penche pour commencer à le sucer.
Tu suces son gland, pendant que ta main experte le caresse. Je te vois descendre avec ta langue le long de cette tige dressée… Je sens ta chatte de plus en plus trempée.
Je ne tiens plus, j’ai trop envie de te baiser.
Je me redresse et commence à faire glisser mon jean le long de mes jambes. Je sors ma queue pour te prendre. Tu as bien compris ce qui se passait car tu es en train de prendre une posture superbe. Tu poses ton ventre sur une petite table m’offrant ton cul en vision et continuant à sucer son chibre.
Je retrousse entièrement ta robe sur tes hanches, découvre de nouveau ce plug brillant. Je pose mon pouce dessus et joue avec. En même temps, tu sens mon gland gorgé flirter avec tes lèvres.
Ton excitation augmente, tu lâches un instant la bite du serveur, te retournes :
– Vas-y prend moi fort, ne te prive pas…
J’appuie plus fort sur le plug dans ton cul et je rentre en toi doucement, mais loin… tu pousses un long râle, avec cette queue dans la bouche. Tu as l’air heureuse de te faire remplir.
Je te baise doucement. De grands coups, profonds, intenses, mais espacés… Mon regard alterne entre ton cul superbement offert et ta bouche qui gobe activement cette hampe.
– Elle semble te plaire sa bouche ? J’ai l’impression qu’elle suce bien, non ?
Il n’ose pas répondre mais hoche la tête positivement, l’air comblé. Tu t’affaires avec un intense appétit, il n’y a pas un pouce de son membre que ta langue ne parcoure.
Cette conversation est le seul moyen que j’ai de me déconcentrer, le seul stratagème trouvé pour ne pas jouir là, trop excité par la situation. Ta chatte est de plus en plus large, ma queue y entre de mieux en mieux, chaque coup est encore plus intense. Leur bruit aussi, mes couilles, venant claquer de plus en plus vite sur ton clito.
– Dis-lui qu’elle te suce bien
Tu te retournes rapidement et me dis :
– Toi occupe-toi plutôt de ma chatte, baise-moi plus fort !
Je m’exécute, excité…
Maintenant mes coups de rein sont vraiment fréquents, intenses. Tu as de plus en plus de mal à garder sa queue dans ta bouche. Tu le regardes et lui dis
– Je veux ton jus
Le mot l’excite trop, tu sens sa queue se raidir, se gonfler. Il râle et explose entre tes seins, ta bouche, ton visage. De Nombreuses giclées, lourdes… Il en met partout, une bonne partie tombe au sol.
Cette scène m’excite énormément, j’accélère encore, toujours avec mon pouce sur le plug. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps.
Ta bouche libre tente de le nettoyer mais tu abdiques. Tu me regardes alors, chienne, fière de l’avoir fait jouir… Tes gémissements sont désormais forts.
– Je vais jouir moi aussi.
– Oh oui, donne-moi ton foutre…
Je me retire, et couvre ton cul de ma semence, je souille ta petite robe avec plaisir…
La combinaison de ton clito plaqué sur la table et de ce foutre chaud qui te recouvre te fait jouir une deuxième fois, plus brève.
Tu as l’air heureuse, tu es superbe encore chaude et béante, là, encore offerte. D’un seul coup, nous entendons un long gémissement, puis les bruits de gouttes lourdes qui tombent sur le sol. Je réalise que le vieil habitué n’était pas parti en fait, il s’était caché dans un coin, à l’abri des regards. Il vient de répandre sa semence sur le sol au fond…
Tu le regardes avec tendresse, un peu excitée par cette découverte :
– Vous auriez dû vous manifester Monsieur…
Nous avons bien fait de quitter la terrasse, elle était bondée…
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