Récit envoyé par un ami photographe
Le lundi suivant, au bureau, je reçois un appel de Julia. Sans faire allusion à notre soirée, elle me demande :
« Seriez-vous libre aujourd’hui après les heures de travail, pour une séance photo?J’ai eu l’autorisation d’utiliser nos bureaux ce soir, mais ça n’arrivera pas souvent alors autant en profiter! »
« Oui bien sûr ! Génial ! Je serais au magasin vers 20h00, juste assez de temps pour passer prendre mon matériel. »
Le soir, je la rejoins près d’une entrée de service. Elle me fait une bise et me fait signe d’entrer dans le magasin désert. Il me semble que ses yeux brillent, et elle paraît déborder d’énergie. Elle s’est vêtue façon écolière: courte jupe plissée à carreaux, longs bas de coton, chemisier blanc à l’allure sage mais dont le mouvement suggère des seins libres sous le tissu. Les trois boutons du haut sont détachés, un pendentif doré se perd dans l’ouverture.
Elle est jolie et je me permets de le lui dire :
« Vous êtes très j’oserais dire bandante en écolière ! »
Julia me guide vers la salle des employés, où elle a préparé un repas de sushis. Se tournant, très charmeuse vers moi elle me dit :
« C’est une surprise! Pour te remercier du souper de l’autre jour. »
Je me dit « Tiens, nous sommes passés au tutoiement! ». Elle sort du réfrigérateur une bouteille de vin d’Alsace et deux coupes.
« Je croyais seulement prendre des photos, je suis reçu à un souper gastronomique! »
« On va travailler tard, et à cette heure on ne peut pas penser se mettre au boulotl’estomac vide. »
En mangeant, elle me décrit les ensembles qu’elle veut porter ce soir. Elle a plusieurs idées de poses, d’attitudes à essayer. Elle a vu des vidéos, fouillé sur le Web. Je la laisse parler, admirant son enthousiasme.
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À la fin du repas, je constate que la bouteille est vide… Avons-nous bu tant que ça?
Elle monte les marches si vite que sa jupe se soulève sous mes yeux, me laissant voir la naissance de ses fesses. Nous passons en revue certains lieux à utiliser comme arrière-plans. Pour ses vêtements actuels, qui feront partie du catalogue, je lui demande de se placer de profil, et de consulter un dossier posé sur un photocopieur. Je tamise l’éclairage du fond et je fais fonctionner la machine, dont la lampe éclaire le visage de Julia par en dessous. Un pied légèrement soulevé vers l’arrière, les cheveux ramenés sur l’épaule opposée à moi, les reins subtilement cambrés.
Elle se glisse dans son bureau à proximité pour passer un autre ensemble. Elle n’a pas entièrement fermé la porte comme si elle voulait que je la vois se changer.
Elle me rejoint dans un ensemble de pantalon et veste assez strict. Elle se place assise, les pieds sur le meuble. Elle essaie plusieurs poses et expressions du visage, jouant avec un crayon, son pendentif. Je m’assure que sa posture, pieds levés, ne brise pas la ligne de son corps.
Julia est motivée, énergique. Elle propose des idées, se lance même dans des suggestions d’éclairage… Les vêtements s’empilent en tas sur le plancher de son bureau. Je travaille vite pour suivre son rythme. Pour le dernier morceau, je décide d’utiliser la salle de conférence où nous avons déjà travaillé. Julia part se changer pendant que j’ajuste mes lampes.
Elle revient un moment plus tard. Elle a enfilé une jupe grise, extrêmement courte et extrêmement serrée, le genre de vêtement avec lequel il est impossible de courir. Elle l’accompagne d’une camisole noire, très moulante elle aussi. Son pendentif doré fait un joli contraste sur le tissu, mais je constate surtout qu’il repose entre ses seins comme dans un écrin…
Je ressens une chaleur bien malgré moi au niveau des reins. C’est le genre d’image pour laquelle les hommes se retournent dans la rue. À moi de la mettre en valeur.
Nous essayons quelques poses plus classiques, debout autour de la table, penchée sur un document. Ses fesses serrées dans la jupe capturent mon regard à chaque fois qu’elle bouge. Elle me lance des clins d’oeil, des sourires à tout propos. On dirait qu’elle flirte! Je n’ose lui demander d’essayer une pose assise, la jupe si courte risque de révéler plus qu’elle ne cache. Mais c’est l’image qui fonctionnerait le mieux.
Finalement, c’est elle qui le propose. Elle enlève ses vêtement et se retrouve quasiment nue devant mon objectif, avant que j’aie pu voir quoi que ce soit.
Que j’aimerais poser mes mains sur ses cuisses, sa chatte et ses seins. Saisir la peau douce offerte aux regards, écarter ses jambes, glisser mes doigts dans son antre humide et la sentir vibrer sous ma queue en l’entendant gémir de plaisir.
Elle me sort de ma torpeur en me lançant :
« Ça va? »
Je sursaute. Julia me regarde, amusée, clairement consciente de ce qui me trouble. Elle tourne le couteau dans la plaie en me demandant :
« La posture n’est pas bonne? »
Je prends mon appareil et essaie de la guider, demandant de changer l’expression du regard, la position du dos. J’espère que mon excitation n’est pas visible à travers mon pantalon. Elle se lève, se plante devant moi, d’un geste soulève son haut en me disant :
« J’ai vu des poses suggestives sur « metart ». Je veux les essayer. »
« Je t’avais dit que je voulais des photos sexy ! »
Je suis sans voix. J’ai envie de la baiser sauvagement. Ses jambes fines et longues, sa poitrine haut perchée, ses hanches bien formées assaillent mon regard.
Je reprends mes esprits sous son regard intense, tente de penser à des postures acceptables pour un catalogue.
Mais pour elle, elle souhaite des poses plus osées.
Après un temps, elle me demande :
« Si on essayait quelque chose de plus provocant? »
Sans attendre ma réponse, elle grimpe sur la table et se place face à moi, à quatre pattes. Par mon objectif, je me régale de ses seins gonflés par la gravité. Elle sourit, coquine.
Puis elle se redresse, à genoux. Je lui demande de placer les mains dans ses cheveux. « Jolie, jolie, jolie! » Elle éclate de rire et je capture une image superbe.
Les photos que je prends n’iront jamais dans aucun catalogue. Chargées d’érotisme, elles ne valorisent pas le vêtement mais le corps de la femme.
Elle se soulève sur les coudes et me fixe, les cheveux ramenés sur une épaule. Ses doigts jouent avec ses seins en me disant provocante:
« Tu me trouves comment en tant que modèle? »
« Je te trouve purement magnifique. »
« Magnifique? C’est gentil… Dis-moi, tu as déjà fait des photos porno ? »
Je déglutis en lui répondant :
« Oui, ça m’est arr… »
Pendant que je tente de répondre, ses mains malaxe sa poitrine. Ses mamelons, d’un rose profond, forment de petites pointes effrontément dressées.
Julia prend un gode et se l’enfonce dans la chatte dans un bruit juteux en me disant :
« Fais-moi de belle photos érotiques ! »
Elle continue de bouger, lentement, langoureusement, devant mon objectif. Ses mains sont sur son cou, puis sur ses seins, son ventre, ses jambes dressées dans les airs. Le gode faisant des va et viens dans sa grotte trempée.
Puis, alors que sa jouissance arrive, elle me crie :
« Viens ! Baise moi ! »
Je ne me fait pas prier. Je pose mon matériel et remplace le gode par ma queue raide.
Après quelques va et viens, elle se dégage et prend mon sexe dans sa bouche pour une divine fellation.
Je malaxe trop durement ses seins mais elle ne fait que gémir et ne se plaint pas du traitement que je leurs réserve.
J’enléve ma queue de sa bouche avant de risquer de l’innondé de mon sperme et replonge dans sa chatte brûlante.
Tout à coup, elle lance la tête en arrière, contracte tous ses muscles et crie sa jouissance. Je l’accompagne dans un puissant orgasme suspendu dans le temps.
Elle ouvre les yeux, me sourit, complice. Nous restons emboîtés, reprenant notre souffle. Je veux parler, mais ne trouve pas les mots pour briser la pureté du silence. Finalement, elle dit :
« J’espère qu’on va continuer à faire des shooting, parce que ce serait dommage de ne pas revivre ça… ! »
« Tu es merveilleuse et j’ai aménagé dans mon studio une sorte de donjon où je te verrais bien t’exposer à mon gros objectif attachée et sans défense totalement à ma merci ! »
« Huuuum oui. Je suis impatiente de voir ça ! Mais, il est tard et je dois travailler demain ! »
Elle me raccompagne nue et nous nous embrassons en prenant un rendez-vous pour un shooting très bdsm. »
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