Tout en caressant sa poitrine je lui fais comprendre qu’une belle bosse s’est formée dans mon jogging, je lui prends sa main pour la plaquer contre ma queue, ses yeux sont remplies d’étoiles comme un mélange d’excitation et de surprise.
Je n’y vais pas par quatre chemins et baisse mon pantalon, ma queue en garde à vue la plus totale tangue sous l’effet du geste, je vois ses yeux qui ne lâche pas d’une seconde mon membre.
Je me sens en position de force et lui ordonne de se mettre à genoux avant de lui dire tout simplement
– « Suce moi vite avant qu’on se fasse repérer »
Hé oui malgré la situation je suis toujours conscient d’être entouré de dizaine de clients juché juste derrière le rideau et qu’on peut se faire remarquer à tout moment. Je l’att**** avec ma main gauche au niveau de son épaule droite et la dirige vers ma queue qui est resté sagement au plus haut point et qui attend qu’on s’occupe d’elle.
Ma main droite se trouve à la base de ma verge et d’un mouvement sec je lui plaque ma bite dans sa bouche, « Hurk »… s’échappe discrètement du fond de sa gorge qui traduit la surprise de mon geste. Sa bouche est chaude et humide, je suis aux anges, Carole est la à mes genoux en train de me sucer, cette scène je l’ai imaginé des centaines de fois je m’y suis masturbé des centaines de fois en y pensant et voila cette fois elle est la en train de me la bouffer tel une esclave à genoux.
Ma main gauche la retient cette fois derrière le crane, mon autre main malaxe ses nibards coincés par son bustier, la vue de son 95C ainsi que de sa bouche me léchant le gland ne me tarde pas à l’envie de lui balancer toute la sauce dans sa gorge. Je me retiens tellement fort qu’un petit râle s’échappe, j’écarquille les yeux et lui ordonne de se relever j’en profite pour lui malaxer de nouveau ses seins tout en lui demandant si je pouvais la ramener chez elle. Coup de chance, elle n’a toujours pas le permis et donc une deuxième occasion s’offre à moi et ma pensée de pervers reprend le dessus.
Arrivés sur le parking, énorme coup de bol car mon véhicule est coincée entre deux voitures type espace ce qui réduit la visibilité extérieur….
Après être installé, je lui ordonne une nouvelle fellation, Carole se tourne dans tous les sens et rassurée du peu de visibilité extérieur me lance tout en approchant son visage vers le bas de mon pantalon
– « Tu as aimé tout a l’heure » ?
– « Bien sur c’était royal j’ai l’impression de rêver tellement c’était bon et excitant »
A peine ai-je fini ma phrase que sa bouche est déjà au fond de ma queue, la je ne peux me retenir un AH de soulagement m’échappe, j’ai toujours eu un faible pour la domination masculine donc ma main droite vient naturellement dans l’arrière se son crane et lui coince sa bouche sur ma queue.
– « Allez suce moi putain, tu suces trop bien Carole, ne t’arrête pas vas y » …
Carole ne manque pas de s’étouffer, tout en gardant ma verge je l’entends tousser mais je ne souhaite absolument pas qu’elle lâche ma bite, je fais un mouvement de va et vient de haut en bas, de nouveau sa vision de ses seins tombant cette fois ci et caressant légèrement le cuir du siège passager forme un mouvement de vague excitant sur le dessus de sa poitrine et me donne de nouveau l’envie d’éjaculer. Cette fois c’est moi qui dit stop sinon je ne tenait plus.
Et la surprise elle se relève aussitôt et me lance :
– « Ca suffit, ramène moi chez moi c’est dégelasse ce que l’on fait »
Il est vrai j’avais presque oublier qu’elle était mère de famille et mariée, mais franchement dans cette situation je ne pouvais et surtout ne voulait plus reculer c’était trop bandant et excitant de voir cette maman me donner des leçons de fellation.
– « Qu’est ce qui se passe » lui dis je ?
» T’inquiète ca reste entre nous et on ne vit qu’une seule fois »
– « S’il te plait, allons nous en je ne veux plus rester ici »
Je suis dubitatif et un peu triste à la fois, elle était excité comme une jeunette il y a à peine cinq minutes et la elle me la joue maman coincée.
Tout en partant je ne démords pas et la contemple de bas en haut, je la regarde s’essuyer toute la bave qu’elle a lâché en me faisant cette belle gâterie, ses gestes lui font balloter ses seins ce qui m’excite encore et toujours, je fais exprès de m’arrêter brusquement et de prendre des dos d’ânes pour ne pas rater un seul morceau du spectacle.
Quinze minutes plus tard, j’arrive en bas de son immeuble, elle ne me dit pas un mot mis à part un « Merci » très froid.
Je ne peux pas en rester la, je décide de sortir de la voiture ….
Suite prochainement
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