3- L’apothéose.
Encore une belle journée. J’ai promis à ma femme de l’emmener au restaurant ce soir. J’ai trouvé l’excuse de la laisser se préparer tranquillement, pour pouvoir m’échapper et faire ma promenade plus tôt que d’habitude. J’ai pris un déjeuner léger, et suis parti vers la clairière. Je voulais être là suffisamment à l’avance. Il y avait plus de randonneurs que les autres fois et j’étais furieux parce qu’ils risquaient de nous déranger. Mais, plus je marchais vers le haut de la colline, moins ils étaient nombreux.
Quand j’ai quitté le sentier, je n’en avais plus rencontré de promeneurs depuis au moins dix minutes. J’ai pu bifurquer sans danger vers la clairière. Il était déjà là. J’ai été surpris de le voir vêtu d’un costume. Il avait aussi un petit bagage à main et son sac à dos. J’ai remarqué qu’une grande valise était posée contre le tronc sur lequel il était assis. À mon arrivée, il se leva et vint au devant de moi. Il semblait contrarié :
« Ils ont avancé mon vol et je n’ai pas beaucoup de temps. On va faire notre petite affaire et après, il faudra que je me dépêche. J’espère que cela ne vous dérange pas ? »
Je le rassurai :
« Au contraire. Je suis heureux que vous ayez pu venir. »
Il ajouta :
« Oh oui. Ça fait trois jours que j’attends ça ! »
Il passa ses bras autour de mon cou et me donna un long baiser langoureux. Instantanément, je fus excité. Il dit :
« Laissez-moi vous aider », et rapidement il m’aida à retirer mes vêtements. Il tournait autour de moi en me détaillant de haut en bas, s’attardant surtout sur ma queue en érection :
« Vous êtes magnifique ! »
En fait, chaque jour, depuis que je l’avais rencontré, j’avais l’impression qu’elle grossissait. Mon gland était presque complètement décalotté. Ce qui n’était encore jamais arrivé. Il demanda :
« Voulez-vous commencer le premier ? »
Je n’étais pas sûr de ce qu’il voulait dire par là, et j’ai été surpris par sa question.
« Vous m’avez dit que vous étiez vierge. Vous voulez me baiser en premier ou attendre après ? »
Voilà… On y était. Le dernier fantasme à accomplir !
J’en avais envie et je redoutais en même temps ce qui allait arriver. Comme d’habitude, j’avais la bouche si sèche que je n’arrivais pas à parler.
Alors, il décida :
« Vous d’abord. Attendre un peu sera encore plus excitant pour moi ! Je vais d’abord me déshabiller pour vous. »
J’avais un strip-tease pour moi tout seul. Il retira ses chaussures, ses chaussettes. Puis il enleva sa veste et, avec précaution, la plia et le mit sur le dessus de son bagage. Il déboucla ensuite sa ceinture et baissa soigneusement son pantalon. Il voyait que je le dévorais des yeux, et me fit son charmant sourire habituel.
« C’est bientôt fini. Il n’y en plus pour longtemps ! »
Cette fois ci,il portait un maillot et un caleçon. Je voyais le renflement de son paquet. Très lentement, très mutin, il retira son maillot puis son caleçon. Il était nu devant moi, la queue bien raide. Il fit un tour sur lui-même pour que je l’admire et il se mit à rire :
« OK. Le meilleur arrive. J’ai apporté tout ce qu’il faut. »
Il se dirigea vers son sac à dos, sortit des mouchoirs, des préservatifs et un tube de lubrifiant. Devant mon regard étonné, il dit :
« Quand je voyage, j’aime bien être toujours prêt. Je sais que vous êtes vierge, mais moi, j’utilise toujours une protection. Ça réduit un peu les sensations, mais c’est une précaution indispensable. Ça vous dérange ? »
Au contraire, j’étais ravi. Tout le monde savait qu’il fallait se protéger contre les infections, mais, pour être honnête, j’étais tellement excité que je l’aurais fait de toute façon, avec ou sans protection. J’ai réussi à marmonner que ça m’allait très bien. Il s’empressa :
« Parfait. Alors, allons-y ! »
Il sortit une serviette de son sac à dos et l’étala sur le tronc d’un arbre mort, tombé en biais au bord de la clairière. Il ouvrit un préservatif, prit le lubrifiant et se dirigea vers moi :
« Laissez-moi vous mettre du gel. » Lentement, il enduisit mon pénis palpitant. Il se pencha et embrassa la pointe gonflée, prit encore du lubrifiant sur sa main et me masturba pour l’étaler. Le seul mouvement de sa main a failli me faire jouir. Il sourit :
« À vous de faire le reste ! »
Me tenant par la queue, il m’amena près de l’arbre. Il me passa le tube de lubrifiant :
« Tenez. Mettez moi en une bonne dose. »
Il se retourna, se pencha sur le tronc, la serviette sous lui. J’avais devant les yeux ses fesses si blanches. Il écarta un peu plus les jambes. Je voyais son anus entre ses fesses écartées. Il était plissé, brun clair, quelques poils tout autour. Je ne pouvais pas en détacher les yeux. J’ai versé du lubrifiant sur ma main et délicatement, je l’ai étalé autour de son anus. Il se régalait :
« Mmm, que c’est bon ! »
Il se pencha un peu plus pour que son anus soit encore plus accessible :
« Allez-y. Profitez-en ! »
Mon cœur battait la chamade. J’avais la bouche comme de l’étoupe et je ne pouvais pas articuler un mot. Ma queue, énorme, tressautait à chaque battement de mon coeur. La tenant d’une main tremblante, je l’ai posée contre son anus. Il écarta un peu plus les jambes. Je poussai doucement. Il y eut un peu de résistance, puis la pointe se fraya un passage ! J’avais l’impression d’être dans un étau tout chaud, retenu par les muscles du sphincter. J’ai poussé encore tout doucement, et j’ai glissé en douceur jusqu’à toucher ses fesses. Mes poils pubiens étaient contre sa peau. Quel plaisir fantastique ! Je savourais ce moment. J’ai commencé à aller et venir en lui. Il m’encourageait :
« C’est bien, mon garçon ! Maintenant, donnez moi tout ! »
Je n’avais pas besoin d’encouragements ! J’ai commencé à le défoncer, les mains serrées autour de sa taille. En baissant les yeux, je voyais ma queue entrer et sortir dans ce fourreau si chaud. L’excitation était trop intense. Je ne pouvais pas me retenir plus longtemps.
Je me suis laissé aller en lui. Des vagues de plaisir me parcouraient. Je sentais mon pénis sauter à l’intérieur de lui. C’était ma plus grosse éjaculation ! J’ai continué à remuer jusqu’à ce que le plaisir ralentisse progressivement et je me suis effondré sur son dos. En me retirant, j’ai réussi à haleter :
« Seigneur, c’était absolument fantastique ! »
J’ai regardé le préservatif débordant de sperme. Il se redressa en souriant :
« Je savais que vous alliez adorer. Laissez-moi vous nettoyer. »
Il a retiré le préservatif et a essuyé ma queue toute rouge avec un mouchoir, qu’il a ensuite rangé dans son sac à dos, comme hier.
Il fixa mon visage tout rouge :
« Maintenant, à mon tour ! J’attends ça depuis trois jours. Depuis la première fois où je vous ai vu vous branler là-bas. Aidez moi à mettre ça. »
Il m’a donné un autre préservatif. Mes mains tremblaient encore et j’ai eu un peu de mal à le sortir de son emballage. L’homme était devant moi. Son pénis avait l’air encore plus gros qu’hier.
J’étais inquiet. Est-ce que je serais capable de prendre ça ! J’ai un peu d’expérience avec des godes et des plugs. Je sais ce que ça fait de rentrer quelque chose dans son cul. J’avais essayé par curiosité, et à chaque fois, ça avait été l’occasion de me taper une bonne branlette. Mais, pour être honnête, ça ne m’avait pas procuré une sensation extraordinaire. Peut-être que là, ça serait différent ?
Je me suis agenouillé devant lui et j’ai glissé le préservatif sur sa bite raide. Peut-être que c’était dans ma tête, mais la capote me semblait bien trop petite pour son membre ! Il me coucha sur la serviette posée sur le tronc et me chuchota dans l’oreille :
« Penchez-vous. Avec ce que je vais vous mettre, j’espère que ça va vraiment vous faire du bien ! »
Je me suis penché, étreignant l’arbre.
« Écartez-vous un peu plus. »
J’ai écarté mes jambes le plus possible, et je me suis penché davantage. Il plaisanta :
« Vous êtes magnifique, vu de derrière. Ça va être vraiment cool ! »
Je l’entendis presser le tube de lubrifiant. Sa main droite était posée sur ma taille. Les doigts de sa main gauche étalaient le gel sur mon anus. Il tartina bien autour de mon trou et dans la raie des fesses, comme s’il me mettait de l’huile solaire. Il s’arrêta un instant et je l’ai entendu prendre encore du gel :
« Comme c’est votre première fois, je tiens à m’assurer que vous allez vous sentir bien. »
J’ai haleté quand un doigt, puis deux, se sont enfoncés dans mon anus. Il étalait le lubrifiant à l’intérieur dans un mouvement circulaire. Mon pénis, qui s’était rabougri après ma jouissance, se raidit à nouveau. Il sortit ses doigts. Je l’entendis faire quelques pas en arrière :
« Bon. Voyons voir ça. Ouaouh ! Vous êtes très appétissant ! », dit-il d’une voix émue.
Je fermai les yeux. Un homme regardait entre mes fesses blanches toutes nues, mon petit anus ridé, et moi, j’étais impuissant, totalement exposé devant ce parfait inconnu. Ma queue grimpa en flèche. Depuis des mois, je fantasmais sur cet instant qui arrivait enfin.
Il me dit :
« Prêt ? » J’ai grommelé une sorte de « Oui ». Je l’ai entendu se rapprocher. Ses mains ont empoigné mes fesses et les ont écarté. J’ai senti le bout du gland gonflé frôler mon anus. Il y eut une pause et il commença à pousser. Malgré toute ma bonne volonté, mon sphincter restait hermétiquement fermé et il n’arrivait pas à entrer. Il me dit :
« Détendez-vous », et il poussa à nouveau.
La pression était violente. Je tentais de pousser moi aussi, comme quand je m’enfonçais un plug. Je sentis mon sphincter se détendre et, tout en douceur, il me pénétra peu à peu. Il appréciait :
« Oh ! Que c’est bon ! »
Au bout d’un moment, je sentis ses poils pubiens chatouiller mes fesses. Il était au fond ! Puis il se retira jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le gland à l’intérieur, comme un bouchon dans une bouteille. Il enfonça à nouveau toute la longueur et poussa à fond. De le sentir ainsi en moi, me faisait bander encore plus. Il le vit, passa une main entre mes jambes et me caressa. J’ai poussé un « Oh ! » de plaisir.
Il lâcha mon pénis, me saisit aux épaules et me lima en augmentant progressivement la vitesse et la force. Je n’avais jamais ressenti ça. Je comprenais maintenant pourquoi tant de gens appréciaient ! Il avait le souffle court :
« Tout va bien ? » Je répondis :
« C’est super ! Et pour vous ? Je suis assez bon ? » Il éclata de rire :
« Vous plaisantez ? Vous avez un super cul ! »
Il me labourait toujours. Ses mains caressaient mon dos et mes fesses. Je me suis penché un peu plus sur l’arbre et la vitesse de ses coups a augmenté. Il haletait :
« Oh ! Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps ! »
Il posa une jambe à côté de moi sur le tronc pour changer de position et il me martelait comme un fou. Je sentais sa queue gonfler dans mes entrailles. Il me bourrait si fort que j’avais le torse écrasé contre l’arbre, mais ça m’était égal !
Soudain, il s’arrêta :
« Je veux voir votre visage quand je vais jouir. » Il sortit tout doucement et m’aida à me relever. Il prit la serviette et la posa sur l’herbe.
« Venez ici. Allongez vous sur le dos et écartez les jambes ».
J’ai fait ce qu’il me disait. Il s’agenouilla entre mes jambes, se pencha, plaça mes jambes sur ses épaules, puis me souleva. J’étais presque cassé en deux, le trou du cul levé vers le ciel.
Pour être franc, ce n’était pas du tout confortable, mais je voulais lui donner le maximum de plaisir pour le remercier de ces merveilleux moments dans la clairière. Je me suis regardé. J’ai vu mon corps et ma queue bien raide qui pointait vers mon visage. Je voyais le gland violacé à moitié recouvert par mon prépuce. Sa queue à lui était vraiment grosse et ses couilles étaient resserrées contre son bas ventre. J’ai allongé les bras le plus que je pouvais et j’ai pris ses cuisses dans mes mains. Il s’approcha de moi sur ses genoux, prit son pénis dans la main gauche et positionna le bout contre mon anus. Sans attendre, il s’est enfoncé violemment en moi. J’en ai eu le souffle coupé. Il a fait une douzaine d’aller et retour profonds, puis des petits coups plus rapides et plus forts. Il haletait. Son front et son torse étaient couverts de sueur.
Il s’agitait de plus en plus vite et sa respiration s’accéléra encore. Ma bite ballotait en cadence, mes couilles sautaient dans tous les sens. Il poussa une dernière fois. Il y était presque, je le voyais dans ses yeux. Je lui ai crié :
« Allez-y. Ne vous retenez plus ! Crachez tout ! » Il a gémit :
« Seigneur ! », et je l’ai senti jouir en moi.
Il a donné encore quatre ou cinq longues poussées, s’arrêtant un instant après chacune d’elles, puis il se pencha et m’embrassa.
Il se retira lentement. Le préservatif était bien rempli. Il le retira, s’essuya lui-même avec un mouchoir en papier et mit le tout dans son sac à dos. Il se retourna et revint vers moi. J’étais assis sur la serviette et je le regardais. Il a vu que j’avais toujours une énorme érection. Il dit :
« Bon Dieu ! Il y en a qui ne sont jamais rassasiés ! Voyez-vous ça ! J’ai encore quelques minutes devant moi, et j’ai promis de vous apprendre. Vous avez envie d’essayer cette position ? »
Mon regard était la réponse qu’il attendait. Il marcha rapidement vers son sac à dos et en sortit un autre préservatif. Il plaisantait toujours :
« Il faut toujours avoir des pièces de rechange ! »
Il le déballa et le glissa sur ma queue. Ça m’a fait un peu mal. Il me mit sur mes pieds, s’allongea sur la serviette. et écarta les jambes devant moi. Je n’avais pas besoin d’autres encouragements. J’ai mis un peu de lubrifiant sur mon pénis. Puis je me suis agenouillé, plaçant ma queue à l’entrée de son anus, et d’une poussée délicieuse, je revins à l’intérieur de lui. Il me souriait pendant que je commençais à remuer. C’était une sensation en partie douloureuse, en partie jouissive. Cette fois ci, il me fallut un certain temps pour atteindre l’orgasme. Je n’avais pas encore récupéré de la dernière fois. Mais j’ai déjà remarqué que la deuxième fois est souvent plus intense. Cette fois ci, ça se vérifia. Je me suis presque évanoui. Quand j’ai joui, il me souriait et m’encourageait.
Je suis ressorti et je me suis écroulé à ses cotés, tout essoufflé. J’ai réussi à dire :
« Je ne vous remercierai jamais assez. Ces trois jours ont été les plus beaux de ma vie ! »
« Non. Merci à vous. Je n’avais encore jamais fait l’amour avec un puceau. C’était vraiment extraordinaire pour moi aussi. C’est la cerise sur le gâteau de mon séjour professionnel ! »
Il se dirigea vers son sac et regarda sa montre :
« Ouaouh ! Il est déjà cette heure là ?! Je ferais mieux de me dépêcher ! »
Il me tendit un mouchoir pour me nettoyer et le rangea avec les autres. Il s’habilla rapidement pendant que je restais allongé dans l’herbe.
« N’oubliez pas votre serviette. », lui dis-je en lui lançant. Il sourit et la mit dans son sac :
« Merci. »
Je me suis levé. C’était étrange d’être nu, debout devant un homme vêtu d’un costume. Il me serra la main, comme si nous sortions d’une réunion. Il dit :
« Superbe rencontre ! » Je répondis :
« Je ne sais même pas comment vous vous appelez. »
Il fit un geste de la main :
« C’est mieux ainsi. C’était une très belle parenthèse. Nous avons chacun notre vie. Alors, ne créons pas de complications ! »
Il ramassa ses affaires, fit un signe de la main et s’éloigna.
Je restai assis quelques minutes. Le vent caressait mon corps nu. Puis je m’habillai et quittai définitivement la clairière, plus tout à fait le même que la première fois où j’étais venu.
FIN
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