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Quand Margot devient chienne 30

Quand Margot devient chienne 30



Dans le monde des affaires.

« BHV » recevait au château. Rien à voir avec la faune habituelle. D’ailleurs là, il y avait peu de monde. Deux couples et deux messieurs seuls. Tous bien habillés. Très chics, très BCBG comme on dit. Presque tous avait une serviette ou un attaché-case et entrecoupaient leur conversation en répondant à leur téléphone mobile qui semblait être pour eux, la pièce la plus important de leur panoplie. Le majordome, enfin le « croque-mort » aurait dit Margot, les avait accueillis et les avait installés dans le salon. Il leurs avait servis des boissons en les informant que leur hôte était retenu au téléphone et qu’il arrivait dans un court instant.

– Oui, vas-y, pompe moi bien ma Perle. Toi tu sais ce que j’aime. C’est si bon tes mains sur mes couilles et ta langue autour de ma bite. Tu es vraiment une reine de la pipe !
– Huuummm …..
– Oui je sais ma Perle. Ne parle pas, continue. Avale ma queue mon trésor. Fais-moi gicler au fond de ta gorge de chienne. Tu es trop bonne !
– Huuummm …
– Vas-y, vas-y ! C’est bon, ça monte. Hannnn !! Oh putain ! Tu sais y faire bordel, ouuuiiiiii !!!! Aaaaahhhhhhhh ! Putain de merde que c’est bon. Allez avale moi tout ça petite catin. Tu l’aimes hein mon foutre ?!!
– Oh oui Maître, je l’aime votre liqueur.
– Oh non de Dieu, ça fait du bien. Je vais pouvoir aller affronter tous ces requins maintenant. Tu m’as bien détendu ma Perle. Il n’y a que toi pour me faire ça, tu es la meilleure suceuse que je connaisse.
– Merci Maître.
– Bon, c’est pas tout ça, il faut qu’on y aille.
– Moi aussi Maître ?
– Oui bien sur, je pourrai avoir besoin de toi.
– Très bien Maître.
– C’est bien bonne petite chienne, allez, on y va et n’hésite pas à en montrer, ça les distraira. Comme ça je pourrai peut-être maîtriser la situation plus aisément.

Lorsque « BHV » entra dans le salon, Perle sur les talons, il salua tout son monde en négligeant volontairement de présenter la jeune femme qui l’accompagnait. Un peu de mystère dans les affaires ne pouvait nuire pensa-t-il. Nul doute que cet oubli aura été remarqué mais aucun des protagonistes n’osa poser la moindre question. Pourtant inutile de préciser que Perle fut détaillée sous toutes les coutures, même par les femmes. Perle les a regardées en coin et elle pouvait lire dans leur regard, soit de l’envie, soit de la jalousie, voire même les deux. Quand aux hommes, ma foi, comme toujours, un regard vicieux qui en disait long. Une fois encore, elle pu constater que ce n’était pas ses yeux qu’ils mataient.
Le majordome revint avec un nouveau plateau, mais de coupes de champagne cette fois-ci. « BHV » invita tout le monde à prendre un verre et ils trinquèrent tous aux futures affaires qu’ils ne manqueraient pas de conclure prochainement. On parla un peu de la pluie et du beau temps puis, sous l’impulsion de « BHV », ils se dirigèrent vers le bout du salon où trônait une vraie table de conseil des ministres. On pouvait compter au moins une vingtaine de chaises autour si ce n’était pas davantage. Chacun pris place sur un bout de la table en déballant ses dossiers, téléphone mobile et autre ordinateur portable. Bien entendu Perle ne comprenait rien à la discussion à laquelle d’ailleurs, elle ne prenait pas part. Elle s’était quand même munie de feuilles de papiers et de stylos et faisait semblant de prendre des notes de temps à autres en écoutant religieusement les propos des uns et des autres.
« BHV » lui fit un clin d’œil discret et lui demanda de bien vouloir aller chercher des verres et une ou deux bouteilles d’eau. Chemin faisant, elle dégrafa quelques boutons du haut de sa robe et deux autres en bas. Elle se rendit à l’office et revint un court instant plus tard chargée d’un plateau avec verres et bouteilles. Arrivée près de la table elle déposa d’abord les deux bouteilles d’eau en se penchant suffisamment afin que d’en face ils aient une vue plongeante sur ses nibards et de part et d’autre d’elle, ses voisins ne puissent faire autrement que de lorgner sur sa chute de reins qu’elle avait fort belle au demeurant. Et bien entendu ça n’a pas manqué. Pour certains, les mots restaient dans la gorge ou s’entrechoquaient, pour d’autres, notamment les femmes, les bouches étaient en cul de poule et les yeux fixes. Cela dura un très bref instant mais il sembla à Perle que cela avait été suffisant pour que « BHV » reprenne l’initiative de la conversation. Il distillait son point de vue sur le sujet et il avait l’air conquérant qu’elle aimait tant chez lui. Il donnait l’impression d’avoir gagné la bataille, peut-être pas la guerre, mais cette bataille. De plus, même une fois assise, perle avait fait en sorte que sa robe dévoile une bonne partie de ses seins. Du coup, les regards de l’auditoire allaient de « BHV » qui parlait au décolleté de Perle qui exhibait ses nibards sans pudeur. Leur attention étant moindre, son Maître semblait marquer des points.
Un peu plus tard, Perle en avait un peu ras le bol de leurs affaires d’ailleurs, « BHV » proposa une pose. Tous acceptèrent volontiers de se détendre un peu et se levèrent de concert. Les uns marchaient dans la pièce en continuant leur conversation en aparté, un verre d’eau à la main. D’autres avaient saisi l’opportunité pour se ruer sur leur téléphone mobile. Et oui, comment peut-on vivre sans mobile ??! Alors qu’un dernier discutait encore avec « BHV » tout en lorgnant du côté de Perle.
– Mes amis dit « BHV » à la cantonade, avant que nous concluions nos petites affaires, j’ai une pièce de la maison que j’aimerai vous faire découvrir. Monsieur la connaît déjà ajouta-t-il en désignant celui avec lequel il était resté parler, et il m’a suggéré que cela devrait vous intéresser. Voulez-vous me suivre.
Tous acceptèrent et emboîtèrent le pas à leur hôte et à sa mystérieuse compagne. Déjà dans les escaliers de pierres froides et à l’atmosphère lugubre, les commentaires allaient bon train. Mais où nous emmène-t-il ? Disaient les uns. Il veut nous perdre dans un cul de basse fosse ajoutaient les autres. Les femmes avaient même sans doute les mêmes frissons que Perle avait eus à sa première visite ici. Enfin « BHV » ouvrit la porte et laissa pénétrer devant lui tous ces invités.
Là, chacun y allait de son « oh ! », de son « ah ! », de son « Mais où sommes-nous ici ? » ou « Mais c’est le retour au moyen âge ! ». Bref ce qui vient à l’esprit de toute personne sensée qui entre pour la première fois dans cet antre du vice.
– Voilà, vous êtes dans mon petit royaume secret. Je vous en prie, faites le tour, regardez, touchez, essayez même si ça vous fait envie.
Cette fois encore personne ne se fit prier et tous investirent la pièce. Une fois de plus les questions fusaient :
– Mais qu’est-ce que c’est ça ?
– Et ça, ça sert à quoi ?
– Cet engin, comment on s’en sert ?
– Là, c’est dans quel sens qu’on met les chaines ?
Et bien d’autres encore. « BHV » tentait de répondre au mieux, mais restait évasif quelquefois tout de même. Et pour cause. Toutefois, une des femmes demanda si on pouvait essayer un des engins. Ou du moins lui faire une démonstration. « BHV » lui demanda si elle souhaitait qu’il l’installa dessus mais manifestement elle voyait ça autrement. Bien entendu « BHV » avait compris et il proposa que Perle en fasse la démonstration. Ce fut accepté aussitôt, on s’en doute.
L’engin en question était la croix en X avec ces sangles aux extrémités. Un simple regard de « BHV » et Perle vint se positionner devant la croix, écarta ses jambes afin qu’elles soient dans l’alignement et qu’il puisse fermer les bracelets sur ses chevilles. Elle fit de même avec ses bras et se retrouva donc prisonnière devant le petit groupe au demeurant fort intéressé. Rien d’étonnant à cela, puisque en prenant cette position et bien qu’ayant gardé sa robe, le tissu s’était tendu et la quasi totalité de ses seins était à la vue de tous et cerise sur le gâteau, impossible d’ignorer qu’elle n’avait ni culotte, ni string.
Quelques bouches ouvertes avaient manifestement du mal à déglutir devant le spectacle. On pouvait également observer la formation de quelques bosses proéminentes explicites au niveau de certaines braguettes. Une des femmes reprenant ses esprits plus rapidement demanda ce qu’il se passait à partir de cet instant. « BHV » répondit que le choix en revenait à celui ou celle qui avait attaché la suppliciée. Beaucoup de choses sont possibles ajouta-t-il, c’est selon l’imagination et ce qui a été éventuellement convenu entre les partenaires de jeu.
– Mais peut-être êtes-vous tentée chère amie ?
– De … De prendre sa place ??
– Non. De prendre quelques initiatives.
Il n’en fallut pas plus que ça de la part de son hôte, pour que l’intéressée se précipite sur Perle devant un parterre plus ou moins médusé. Enfin médusé, cela ne dura pas longtemps. Ils changèrent tous de place pour mieux voir la femme embrasser Perle à pleine bouche, la langue en avant. Une main pétrissant les nichons et l’autre sur la motte. Puis sans quitter la bouche de Perle, elle retira chemisier et jupe qui volèrent derrière elle. Il ne lui restait plus qu’un string minimaliste car de soutien-gorge elle n’avait point. Elle se frotta au corps de perle en continuant d’investir sa bouche et en épousant la même position qu’elle. Du coup les deux femelles en chaleur étaient toutes les deux en croix mais une seule était attachée. Un des hommes dont « BHV » ne se souvenait plus si c’était le mari de la femme en rut ou un autre, se déshabilla à la vitesse de la lumière et, la bite tendue se rua sur le cul qui s’ouvrait devant lui. Il écarta la ficelle et s’enfonça avec vigueur dans les chairs visqueuses dans un va-et-vient frénétique. Il se tenait aux hanches et pilonnait la chatte à grand coup de rein.
– Dans mon cul !!!
– Quoi ??!
– Encule-moi bordel !!
Comment résister à une invitation si gentiment demandée ? Il ne se fit donc pas prier. Il retira sa bite trempée de cyprine, écarta les deux globes fessiers faisant apparaître une rondelle déjà dilatée par le désir. Il présenta son gland et n’eut même pas à pousser, la salope recula et s’empala elle-même sur le pieu raidi. Dans le même temps « BHV » avait proposé qu’on s’occupa de Perle et un candidat se déshabilla tout aussi vite que le premier et fit le tour du trio. Pour l’occasion, « BHV » se félicita de ne pas avoir fixé la croix au mur mais uniquement au plafond et au sol. On pouvait ainsi agir de part et d’autre.
C’est ce que fit donc notre deuxième homme. Après s’être enduit la queue de lubrifiant que « BHV » lui avait tendu, il se saisit également des fesses de sa partenaire qu’il écarta et l’encula sans autre procès. Les deux femmes étaient collées bouche à bouche, seins à seins et se faisaient labourer le trou du cul en même temps avec, semble-t-il, le même plaisir.
Excités par cette vision, les autres n’étaient pas en reste. La deuxième femme s’était retrouvée à poil plus vite qu’il ne faut pour le dire. On l’avait allongée sur un banc rembourré et elle suçait une bite alors que l’autre lui défonçait la moule qu’elle avait d’ailleurs bien baveuse. Le bruit de succion qu’on entendait à chaque coup de rein était suffisamment explicite.
Du côté de la croix il semblait qu’on arrivait près de la conclusion. Les ahanements sourds qu’on entendait ne laissaient aucun doute. De fait, quasiment en même temps, les deux mâles s’écartèrent, laissant vacant les deux trous du cul dilatés et giclèrent de grands jets de foutre sur le dos des deux salopes.
Ce n’est qu’à ce moment là, que la femme lâcha la bouche de Perle. Durant toute la fornication ces deux gouines s’étaient roulées une pelle magistrale.
A côté aussi on arrivait à terme. La bouche de l’autre salope déborda bien vite de sperme bien chaud et bien épais. Elle avait bien du mal à déglutir. Sans doute la position allongée. Le dernier à limer faisait maintenant seul l’objet de toutes les attentions. Mais ça ne dura pas très longtemps non plus. Dans un dernier cri sourd, il retira sa queue gonflée de désir et cracha son venin en longs jets sur le ventre de sa partenaire de jeu. Il la redressa et lui déposa un baiser sur la bouche.
Tout ce petit monde fila à la douche alors que « BHV » finissait de détacher Perle.
– Tu as été parfaite ma Perle ! Merveilleuse. Une bonne chienne, bravo !
– Merci Maître.
– Si avec ça ils ne signent pas le contrat, c’est que je n’y comprends plus rien.
– Maître s’il le faut je suis encore là. Je ferai ce que vous voulez.

A suivre…

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