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De plaisirs en douleurs délicieuses 4

De plaisirs en douleurs délicieuses 4



Quand je regarde Isabelle prendre place, je remarque que sa chaise possède quelque chose que le mienne n’a pas, un gode bien au centre de l’assise. Je patiente avec un certain délice pendant qu’elle s’assoit en relevant son kimono. Elle ne cesse de me fixer.

– C’est un peu spécial ici. J’aime à y venir manger et…plus si je trouve quelqu’un.

– La chaise est comprise dans le prix, je suppose.

– Dans le prix, ici, je dois être la seule cliente qui ne paie pas. Vois autour de toi la raison.

– Je l’ai vue dès qu’on a passé la porte. Comme cette estampe très particulière. Je suppose qu’il en a d’autres du même genre, deux en un.

– Mais toutes ces estampes son double. Il te faut juste trouver où se cache l’autre dessin dans le premier. Tiens, cette commande est à celui qui domine l’autre, donc toi. Use et abuse de cette petite chose. Tu verras, je ne pense pas être la seule d’ici un moment

Un petit boitier sympa, trois bouton, un plus, un moins et le dernier qui fait office d’interrupteur on/off. On va bien s’amuser si j’en crois Isabelle.

Durant tout le repas, j’observe les autres clients ainsi que tout le personnel. Je trouve vite pourquoi on ne peut venir y manger que sur réservation. C’est à peine croyable, c’est un club très sélect. Il faut être membre et réserver sa place avant de pouvoir venir y manger. Si la cuisine est excellente, les orgasmes commencent à augmenter en puissance. Des hommes et des femmes ne sont ici que pour subirent les ordres de leurs dominants. Ainsi, Isabelle ne déroge pas à la règle. Quand un homme se fait vertement rabroué, obliger de se mettre entièrement nu et de ne se déplacer autrement qu’à quatre pattes, je bande comme un forcené. Partout où il passe, il se ramasse un coup de cravache sur son corps. Il déambule ainsi de table en table avant que sa Maîtresse ne l’oblige à se rendre en cuisine se faire méchamment enculer à sec par tout la brigade. Sans oublier les coups de cravache qu’on lui inflige. Mon Isabelle jouit pour la seconde fois quand je me décide enfin à la pousser à retirer ses atours. Nue devant moi, je l’envoie sucer toutes les bites et tous les vagins qu’elle croisera.

Si cet homme fut le coup d’envoi, mon Isabelle la seconde, très vite d’autres soumis se voient contraint de se donner en spectacle pendant que les stores du restaurant descendent lentement, occultant la vue que les passants pouvaient avoir de l’extérieur. Le personnel déplace le buffet froid qui trône au centre du restaurant. On y place une roue avec 43 numéros, une roue de la fortune, somme toute. Puis, trois jeunes japonaises, trois jeunes japonais prennent place de chaque côté de la roue, entièrement nu. Une des trois jeunes femmes attire immédiatement mon regard. Petite, elle possède un corps de rêve et une chevelure qui lui descend jusque derrière ses genoux. Elle est magnifique, pire encore, sublime. En la dévorant des yeux, je lui donne 22 ou 23 ans, guère de plus. Un homme en tenue de soirée s’approche, japonais comme tout le personnel. Il nous demande de mémorisé le numéro de notre table, j’ai le 16. Puis, il tourne la roue. Pendant qu’elle tourne, il explique que ces six soumis seront à l’entière disposition de celui qui en gagne un. Autant que si je peux choisir, cette fille sera ma soumise, le temps de cette nuit qui s’annonce sur les meilleurs hospices. Zut, c’est le 23 et, ouf, c’est une femme, elle choisit le plus petit des trois hommes, le mieux fait aussi. La roue tourne encore. Le 14 et c’est encore une femme qui prend un autre des deux jeunes hommes restant.

La roue tourne déjà, je regarde Isabelle achever un homme de petite taille. Une voix annonce clairement le numéro 16. Le 16 ? HEIN ! Mais c’est moi ça. Je me lève d’un bon, surpris. Je choisis cette jolie jeune femme qui s’en vient immédiatement vers moi, s’agenouiller à mes pieds. Je ne regarde pas la suite du tirage, tout juste un regard sur Isabelle qui lèche une femme. Ma japonaise devant moi, je me sens soudainement emprunter, ne sachant exactement quoi en faire. Je lui ordonne gentiment de me sucer ma queue. De ses mains frêles, elle défait mon pantalon et en extirpe ma queue tendue à mort. Je sais, j’ai encore un peu de mal à me contrôler. Cela étant, la jeune femme se met à me lécher ma queue jusqu’à mes couille qu’elle ne se gêne pas pour les lécher avec une certaine envie qui me fait plaisir. De ses mains, elle cherche à me fait m’assoir sur le rebord de ma chaise. Une fois en place, elle pousse le vice plus loin encore, plongeant sa langue dans mon cul et bien au fond. C’est que sa langue est longue et fine. Je ne crois pas en avoir jamais vu de pareil longueur.

Je crois qu’Isabelle à fait le tour de la salle, elle s’attaque au personnel de l’établissement. Entre mes cuisse, le corps tordu, ma japonaise s’ingénue à lécher mon cul, mes couilles en me branlant de sa main tellement douce. Cette fois, je prends mon temps, le temps de profiter de cette bouche comme de cette langue. Sur ma table, un serveur encore vêtu dépose un martinet, il est fin, composé d’une bonne dizaine de lanières fines en cuir. Il a même une lanière pour la passer au poignet. Le prenant, je commence à fouetter le dos de cette sublime soumise. La belle dégage son dos de ses longs cheveux noirs et soyeux. Je crois qu’elle est exactement comme Isabelle, masochiste autant que soumise. Plus je frappe fort, plus elle se dévoue avec vigueur sur ma queue et entre mes fesses. J’avoue que sa langue dans mon cul c’est quelque chose. Aucune femme ne m’avait léché à cet endroit. Pour un peu, je regrette presque de m’être longuement doucher avant de venir.

Quand je jouis enfin, n’y tenant plus, ma jeune soumise s’écarte de ma queue, ouvre une grande bouche, sa langue entièrement sortie. Je jouis sur son visage comme dans sa bouche et que c’est bon de jouir pareillement. Une femme à quatre pattes s’avance vers moi, le visage et les cheveux poisseux, c’est Isabelle qui me revient, sa tâche terminée. Du manche de mon martinet, je lui montre la croupe de la petite japonaise pendant que cette dernière s’efforce de rendre de la vigueur à mon sexe un peu détendu. Entre ses fesses, elle peut sentir la langue d’Isabelle s’activer. Plus je regarde autour de moi, plus le restaurant tente à disparaitre pour faire place à un énorme donjon, un peu comme celui dans les films d’Isabelle. Cette femme, celle qui avait gagné ce soumis, vient suspendre ce jeune homme à une sorte de grand X avant de le fouetter copieusement pendant que son esclave à elle le suce, aussi vigoureusement fouetté que l’autre sur son X. J’avoue que je découvre ce monde et que je commence sérieusement à y prendre du plaisir. Aussi, quand, bandant comme un âne, je retourne ma petite japonaise et l’encule sèchement, je ne suis pas autrement étonné qu’elle pousse un cri strident. Je subodore que la brulure de ma queue dans son anus y est fortement pour quelque chose. Mais je m’active et la jeune femme me lance un regard malicieux avant de plonger son visage entre les cuisses sales d’Isabelle. Toute la nuit, je fustige, encule, baise mes deux soumises. J’ai laissé tomber les autres pour ne plus m’occuper de mes deux belles soumises. Je termine cette nuit en les attachant ensemble, face à face, les bras suspendu au plafond et les fouettant copieusement l’une et l’autre. Je me branle pendant que je les fouette, je ne cherche même pas à leur donner du plaisir, mais à prendre le mien, pour une fois. Cela étant, une fois douché et habillé, je me verrais bien prendre cette jeune femme avec nous, chez Isabelle. Je le verrais bien figuré sur les œuvres s’Isabelle.

De retour chez Isabelle, elle me conte sa soirée, sa nuit. Je suis d’avis que ce n’était pas sa première nuit dans ce restaurant atypique. Pour mon compte, je compte bien y retourner, avec ou sans Isabelle. Seulement sans elle, cela ne me parait pas faisable, une des conditions pour y pénétrer est d’être en couple après, peu importe la composition du couple. Dans le lit d’Isabelle, nous baisons encore avant que le sommeil ne vienne s’abattre sur nous de tout son poids.

Quand j’ouvre les yeux, midi est passé depuis belle lurette. Devant moi, je vois une femme merveilleuse, portant un plateau bien garnit. Alors que je m’assois, une demoiselle vient se joindre à nous. C’est ma japonaise de cette nuit. Dans sa petite robe sexy, elle n’en est que plus belle encore avec son corps d’enfant.

– Ce matin, avant que tu n’ailles ouvrir la voiture, je l’ai suppliée de venir nous rejoindre. C’est elle qui a confectionné se plateau exprès pour toi, mon chéri.

– Wow, c’est quoi ton prénom ma toute belle.

– Mariko, Monsieur Alain.

– Ainsi, tout comme Isabelle, tu es une de ces soumises masochistes que peint Isabelle ?

– Oui Monsieur Alain. Si je peux me permettre, cette nuit, c’était la dernière fois dans ce restaurant. La semaine prochaine, je rentre au Japon.

– Hein !

– Oui, son contrat est terminé. Alors, je me suis dite que je pourrais lui proposer un nouveau contrat, d’où sa présence ici. Là, pendant deux bon mois, j’ai de quoi peindre à ne plus savoir où donner de la tête. Mariko pourrait devenir notre femme de chambre, tu en penses quoi ?

– Que tu as eu là une foutue putain de bonne idée. Cependant, j’y mets une toute petite condition. Je refuse qu’elle se coupe les cheveux. Enfin, sauf si c’est juste les pointes, tu vois quoi !

– Monsieur Alain, je n’avais nullement l’envie de mes les couper. Ce que vous me dites, sur mes cheveux, me rend heureuse autant que cela m’honore d’être à votre service.

– Tu peux me la déshabiller de manière lascive, j’ai une furieuse envie de vous regarder faire l’amour, toutes les deux. Mais pas ici, en haut, que cela soit filmé.

– Vicieux personnage, que voilà des idées comme je les aime.

Et aussitôt dit, aussitôt mis en action. Un DVD neuf et vierge dans le lecteur et silence, ça tourne et action ! J’ai une caméra en main, les trois autres sont en mode enregistrement. Je filme au plus près de l’action. Parfois une main se perd sur ma queue tendue. Je ne sais pas combien de temps je vais résister avant de les attacher l’une à l’autre et de profiter de ces corps entremêlé. Peu à peu, je délaisse ma caméra, je la pose même sur son trépied. À l’aide de longue sangle, j’unis ces deux corps, tête-bêche. J’attache ensuite les pieds de l’une avec les mains de l’autre, tout en caressant ces deux corps. J’unis même leurs seins à l’aide de petites chainettes munies de pinces bien mordantes. J’affectionne ce que je fais, j’adore ce que je vis et je suis loin d’être le seul. Quand ma queue plonge entre les fesses de mon Isabelle, c’est pour l’entendre jouir. La langue de Mariko plonge dans son sexe largement ouvert, telle une magnifique rose pendant que je m’active dans ce cul. Ensuite, je les retourne pour venir enculer lentement Mariko que je sais déjà adorer être sodomisée à sec et graduellement. Elle aime que les brulures que cela engendres durent dans le temps. Une fois bien elle, là encore, je n’y vais pas en douceur, bien au contraire. Et cela hurle de tout côté, de plaisir. Quand cela ne crie pas, que cela ne hurle pas, les gémissements de mes deux gourgandines ne sont que des chants à la gloire des orgasmes qui les traversent.

Plus je sodomise Mariko, plus Isabelle se montre inventive avec sa bouche. Surtout quand elle la laisse glisser sur mon sexe qui va et vient. Je jouis dans ce cul, amenant un merveilleux orgasme dans le corps de Mariko. Il est grand temps de faire une pause.

– Mariko est une artiste masochiste comme moi. Elle ne peint pas, elle danse. Regarde bien, tu vas comprendre et bander encore.

Isabelle, délivrée, se redresse, m’embrasse amoureusement. Puis, près de cette commode, la caressant d’une main, elle ouvre un tiroir, en sort une jolie boite multicolore. Sur le sol, devant moi, elle vide le contenu, des punaises, des centaines de punaises de toutes les couleurs. Puis, elle délivre Mariko qui vient embrasser ma queue avant d’aller mettre de la musique lascive. Devant Isabelle et moi, entièrement nue, elle danse sur les punaises. Parfois, souvent même, elle se roule sur le sol, toujours sur les punaises. Elle grimace, son visage se tord même de douleur et pourtant, elle continue. Je connais ce slow, il dure presque 20 minutes dans sa version remixée. Et Mariko danse encore, lascive, n’hésitant pas à se rouleur sur le sol et les pointes, peu à peu même, tout son corps se recouvre de punaise qu’elle n’hésite pas à caresser et presser davantage. Isabelle lui sort alors la boite des aiguilles. L’une après l’autre, Mariko se les plantes sur son corps, dessinant une fleur sur chacun de ses seins, une plume sur ses cuisses, un cœur sur son ventre. La musique s’arrête, Mariko s’approche de moi, prend ma main, la pose sur ce cœur. Je l’enlace alors, l’embrasse en serrant son corps contre le mien, bien fort. Si je ne subis aucune piqure, ce n’est de loin pas le cas de Mariko. C’est Isabelle qui entre en jeu, me prenant Mariko, elle l’attache entre deux colonnes du lit et la fesse érotiquement.

Ma queue devant la bouche de Mariko, sa langue vient me la caresser, la guider à l’intérieur de jolie petite bouche. C’est une jeune femme terriblement douce, majestueuse dans ses mouvements. Ce faisant, Isabelle retire toute les pointes qui gisent encore sur le corps de Mariko. Elle y prend un certain plaisir, le faisant avec une petite pointe de sadisme pas vraiment désagréable pour l’homme que je suis. Quand à Mariko, sa chatte secouée par la main d’Isabelle, sent ses aiguilles quitter son corps et jouit longuement. Puis, enfin libre de ses mouvements, Mariko achève ma pipe avec un délice certain. Sur le lit, je couche mes deux donzelles pour les aimer et les faire s’aimer dans une partie fine à trois. Elle dura ce qu’elle dura, une grande partie de la nuit.

Au réveil, trois corps sont encore allongés, ils s’étirent, des bouches embrassent des bouches, des mains caressent des corps. Le temps d’un déjeuner, Isabelle emmène Mariko dans son atelier pour la dessiner sous toutes ses coutures. J’en profite pour visionner tout ce que les diverses caméras ont enregistrés et il y a matière à bander. Je rejoins mes miss, toutes heureuses de me voir venir à poil.

Dans l’atelier, Isabelle, dont l’imagination tourne à des vitesses vertigineuses, dessine, peint, nous met en scène Mariko et moi, photographie et se remet à réfléchir à la suite. Là, je suis en train de faire semblant (snif) de durement fesser Mariko. Quoique, je ne me gêne pas pour la fesser en douceur, ce qui enrage quelque peu Isabelle qui exige que nous ne bougions plus quand elle peint. Cela dit, si elle râle encore, Mariko et moi, nous nous sommes entendus pour la fesser cruellement, NA !

Désormais, je me partage entre ces deux femmes et la vie n’en est que plus belle depuis.

Fin

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