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Branlette normande

Branlette normande



Quand on est un gamin qui commence à ressentir quelques frissons dans le bas ventre, et qu’on est surtout un gamin « normal », les choses du sexe deviennent vite une obsession. C’est la nature. Et on cherche plus ou moins à vivre ses premières expériences avec les copains. Cela aussi, c’est normal. D’autres franchissent la ligne et cèdent aux avances de certains adultes qu’ils rencontrent, un jour, au coin d’un bois. Je me suis moi-même trouvé, un jour avec un copain, face à face avec un « vieux » qui nous a montré sa grosse bite molle en nous demandant : « Elle est belle, hein ? ». On n’en voulait pas de sa queue. Elle était monstrueuse et grise. Mais cet épisode avait tout de même jeté le trouble dans mon esprit…
Je me souviens de vacances en Normandie, chez une famille d’agriculteurs amis de mes parents. J’y allais faire la moisson, garder les vaches, etc. C’était le bon temps où les fermes avaient encore taille humaine. Cette année-là, j’avais eu mes premières éjaculations nocturnes. J’avais 13 ans et, un soir, dans mon lit, en me caressant la bite (j’avais vu faire des copains de colo l’été précédent), celle-ci se mit soudain à être prise spasmes qui me parurent effrayantes au début. Je m’étais arrêté de me branler mais c’était comme si ma bite se branlait toute seule à présent ou qu’une main invisible poursuivait les caresses ! C’étaient délicieux mais terriblement surprenant. Et puis, je me suis retrouvé avec la main pleine d’un liquide chaud et poisseux et un sentiment de bien-être fabuleux ! Inutile de dire que je n’ai pas arrêté de me branler les soir suivants et à faire des cartes de France sur mon drap. Ma mère, un matin, en me demandant de monter dans ma chambre changer mes draps, y a fait une allusion discrète… En fait, je la soupçonne d’avoir été surtout un peu fière de voir son fils devenir un petit homme…
En vacances, donc, chez nos amis normands, je ne participais pas toujours aux travaux des champs même si cela me plaisait. Je pouvais conduire le tracteur, c’était chouette ! J’avais aussi beaucoup de temps libre et j’avais lié amitié avec Eric, le fils d’un fermier voisin, un garçon qui ressemblait davantage à un garçon de la ville plutôt qu’au fils d’un fermier : sympa, racé…
Quand il venait me retrouver, on allait s’asseoir en haut d’une meule de paille ou ans la grange et cela ne manquait jamais, il demandait rituellement :
– Qu’est-ce qu’on branle ?
Moi, je savais ce que j’aurais bien branlé, alors, un jour, j’ai proposé :
– Ben on peut se branler, non ?
Eric a paru surpris mais pas choqué. Sans doute n’attendait-il que cela mais peut-être s’était-il imaginé que ce serait plus difficile que prévu :
– D’ac, il me répond.
Et, sur ces mots, ni une, ni deux, il déboutonne la braguette de son short et extirpe sa quéquette de son slip. Un quéquette assez moyenne mais jolie et déjà toute tendue. Il me dit :
– Touche la !
– Ouais, j’veux bien mais tu veux pas voir la mienne ?
J’en tremblais. C’était une chose de jouer à d’innocents touche pipi avec mes potes derrière l’église après l’école mais là, c’était comme si je réalisais que, avec lui, c’était plus sérieux que ça. C’était sexuel à fond.
– Ouais, montre voir.
Moi aussi je bandais dur. Alors, à mon tour, je baissais mon short et fit jaillir ma bite, comme un diable sort de sa boite. Il ouvrit des yeux enfiévrés : mon zob était presque deux fois plus gros et plus long que le sien ! Automatiquement, sa main s’avança vers mon gland, hyper décalotté, et il s’empara de ma queue, les yeux rivés sur elle, la parcourant du regard, du gland aux couilles, avec un sourire béat sur les lèvres. Il en bavait presque. Il aimait la queue, ça se voyait !
En tout cas, quel plaisir de se faire branler !
Nous étions assis sur des bottes de paille, bite à l’air et nous branlions à tour de bras. J’aimais le contact de ma main sur ma hampe. Il aimait aussi me masser les couilles. Et j’aimais sa petite bite très dure dans la mienne. Nous ne disions pas un mot mais nos regards allaient d’une bite à l’autre. Il soupira :
– P…., c’est bon ! Elle est grosse la tienne !
– Elle est bien aussi la tienne
Tout à coup, il se leva et me présenta sa queue dont le bout commençait à devenir humide.
– Tu veux la sucer ?
Moi, je ne savais pas encore que ça existait les pipes. Ca ne m’était jamais venu à l’idée de prendre une bite en bouche.
– Vas-y. Ma sœur suce celle de son copain et elle m’a dit que c’était amusant !
J’hésitais.
– Non, non… j’ai pas envie !
C’était trop d’un seul coup pour moi ! Je ne savais plus quoi penser, plus quoi décider. Confusément, j’avais envie de plus mais je ne savais pas quoi, finalement. Tout ce que je sais c’est que j’avais enregistré qu’Eric avait une sœur.
– Elle a quel âge ta sœur ?
– 16 ans. Elle m’a montré ses nénés aussi…
J’étais de plus en plus perdu et finalement je dis :
– Non, non, une autre fois…
Pendant ce temps, je continuais à me branler et je sentais les fameux spasmes arriver. Devant Eric, qui reporta soudain toute son attention sur ma bite de nouveau, je me cambrai et avec un petit cri projetai plusieurs jets de sperme à deux pas devant moi ! Eric éjacula aussitôt après moi.
Nous venions de vieillir de plusieurs mois d’un coup. Tandis que nous rangions nos queues restées encore bien raides et humides dans nos shorts, nos regards étaient à des miles de là ! Nous nous sentions un peu coupables, comme si le monde entier avait assisté à ces ébats secrets. Et nous n’osions pas nous regarder.
Eric ne tarda pas à rentrer chez lui et moi je retournai à la ferme. En entrant dans la cuisine, je me cognais presque à la nièce de la fermière venue, avec son mari, participer à la moisson comme moi. C’était une jeune brune d’une trentaine d’années, pas « Bimbo » pour un sou mais pleine de vie, sexy et très bien faite. Même habillée de façon prude, elle dégageait un charme fou auquel les mâles de la ferme n’étaient visiblement pas insensibles.
Je devais être encore sous le choc de expériences sexuelles avec mon copain car elle me dit en me prenant le menton :
– Ah, te voilà… mais qu’est-ce que tu as ? Tu es tout drôle ! ».
Je bafouillais une explication quelconque mais elle n’écoutait déjà pas :
– Je vais au poulailler chercher des œufs. Tu viens avec moi ?
Et, sans attendre ma réponse, elle me prit par la main…
Jusqu’au coucher, je m’efforçai de surmonter ce qui avait bouleversé ma journée et, une fois au lit, je ne dus mon sommeil qu’à deux nouvelles séances de branlette forcenée. Demain serait un autre jour. Et puis, il y a la sœur d’Eric…

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