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Argent et famille (18 et fin)

Argent et famille (18 et fin)



Nous étions mardi. Sandrine et ma mère revenaient ensemble du salon de massage. Elles avaient également fait quelques courses. Elles passaient de plus en plus de temps ensemble. Durant leur absence, j’avais essayé d’échanger des messages avec ma soeur, mais elle devenait de plus en plus distante. La relation virtuelle ne lui convenait plus, et elle commençait à trouver malsain cet inconnu qui lui demandait regulièrement de se masturber en pensant à son frère. Cela avait été jouissif et excitant, elle ne le cachait pas, elle avait eu quelques orgasmes tellement forts qu’elle en avait presque honte, mais elle souhaitait à présent tourner la page. Je sentais à nouveau que la situation m’échappait.
Sandrine monta me rejoindre et me fit un petit résumé de sa matinée.
– Tu sais, ta mère est en plus en plus en manque d’un homme. Je lui ai dit qu’il fallait qu’elle rencontre quelqu’un, et hier elle s’est créé un compte sur Meetic.
– Vraiment ?
Plusieurs idées me venaient en tête. J’avais aussi le sentiment que Sandrine me soufflait les idées au fur et à mesure qu’elle me parlait de ma mère. Elle me donna l’identifiant de son compte, et je pus m’y connecter. Elle n’avait pas mis beaucoup de renseignement et il y avait eu encore peu de visites. Cela me rassura.
– Tu connais parfaitement ta mère. Tu sais ce qu’elle apprécie chez un homme. Tu devrais créer un profil et la contacter… Pour commencer… Et essaie de décrocher un rendez-vous…
– Un rendez-vous ce n’est pas possible…
– Sauf si c’est quelqu’un d’autre qui va au rendez-vous. Tu peux très bien louer les services d’un escort masculin, qui corresponde à ses attentes. Ils sont en général bien éduqués, ils savent flatter une femme, il suffit de trouver un homme de son age, au physique très avantageux. Tu as largement les moyens de payer ça.
– Je veux bien, mais ça m’apporte quoi ?
– Au moment de passer au lit, vous échangez de place. Il s’en va, et tu rejoins ta mère au lit, dans le noir. Et tu lui fais tout ce que tu as rêvé de lui faire.
Je me rendis aux toilettes. Sandrine me tint la queue pendant que je pissais.
– C’est assez risqué ton plan…
– Je pense que c’est le seul qui peut t’amener à réaliser ton fantasme ultime.
J’étais hésitant. Mais également porté par le désire et le fantasme. Sandrine savait y faire. Elle me suça pendant que je créais le faux compte sur Meetic. Elle me parlait de ma mère. Ca me rendait fou. J’éjaculais dans sa bouche.
Ma mère me répondit le soir même. On échangea quelques messages. J’avais attiré son attention en indiquant mon amour de l’art (j’étais restaurateur de tableaux, je travaillais souvent au Louvre mais voyageait également souvent, ce qui avait été incompatible avec une vie de famille jusqu’ici). Ma mère aimait les voyages, elle avait gardé un souvenir merveilleux de l’Egypte. Mon faux compte y allait regulierement, il aimait aussi. Ils aimaient le théatre tous les deux, n’y allaient pas aussi souvent qu’ils voudraient.
Ca commença à me faire bizarre quand ma mère aborda les relations intimes. Elle avoua ne pas avoir eu de relation depuis plusieurs mois. Pour l’avoir vu à plusieurs reprises à la camera, je savais qu’elle pratiquait la sodomie et appréciait ça, mais c’était délicat d’aborder ce sujet par message. Je faisais l’homme rafiné, sur de lui, confiant, qui cherchait une relation fiable.
Sandrine trouve un escort d’une quarantaine d’année, un homme sportif, de ma taille, à peine grisonnant sur les tempes, avec beaucoup de charme. Il était d’accord pour une soirée au restaurant, en reprenant le roleplay que nous avions établi, puis de partir sans poser de question au moment du passage à l’acte. Il demanda 5000 euros. Ce n’était pas donné, mais j’acceptais.
Je proposais donc un rendez-vous à ma mère dans le plus beau restaurant de la ville. Elle accepta.
La rencontre eut lieu le vendredi. L’escort, Michel, avait été parfaitement brieffé. J’attendais avec Sandrine, à la maison. On ne pouvait pas savoir si cette première rencontre allait donner lieu à plus de choses derrière.
Le taxi les ramena vers minuit. Je fus parcouru par un long tressaillement en voyant Michel accompagner ma mère, et entrer dans la maison avec elle. Ma mère lui fit signe de ne pas faire de bruit, et ils entrèrent directement dans sa partie privative, sans passer par l’entrée principale. Ils se retrouvèrent rapidement dans sa chambre. Ils s’embrassèrent. Ma mère recula d’un pas, se tourna, et demanda à Michel de l’aider à lui baisser la fermeture éclaire située en haut de sa robe. Il s’executa.
Je descendais les marches quatre à quatre, en essayant de ne pas faire trop de bruit. Je me rendis à l’exterieur et me précipita vers l’entrée privative amenant à l’appartement de ma mère. J’attendis un instant. Mon coeur battait la chamade. La porte s’ouvrit. Michel sortit, tira la porte, et me considéra d’un oeil un peu méprisant.
– Elle est couchée et attend. J’ai éteint la lumière. J’ai juste dit que j’avais du faire tomber mon téléphone en sortant du taxi et que je revenais.
Il ouvrit la porte et lança un : « c’est bon je l’ai retrouvé ».
J’entendis ma mère répondre : « viens maintenant ».
J’entrais dans le noir et avançait dans la semi obscurité. Je connaissais les lieux par coeur, donc j’entrais dans la chambre de ma mère et me dirigea vers son lit.
– Viens… Tu veux que j’allume ?
Je fis simplement un claquement de langue deux fois, pour dire non non. Je retirais mes vêtements, gardant juste mon boxer, et entra dans le lit. Je sentis le corps chaud de ma mère, juste à coté de moi. Elle m’enlassa et m’attira vers elle. Mon visage se retrouva vers ses seins, et je me mis à les lécher et les embrasser. Ils étaient tellement doux et généreux. Je restais ainsi quelques instants, savourant le moment, puis me sentit un peu bête, je sentais cet immense parfum d’interdit. Je descendis ma main sur le ventre de ma mère, puis mes doigts passèrent dans son pubis. En touchant sa chatte, je crus que mon sexe allait exploser. Je bandais comme jamais. Heureusement que je m’étais masturbé quelques heures avant, en prévision de ce trop plein d’excitation. Je masturbais la chatte de ma mère, et elle se laissa faire, en écartant les cuisses. Elle était trempée. Elle avait envi. Je m’allongeais sur elle, et ma queue se retrouva contre sa chatte. Lentement, je la glissais à l’interieur. Ma mère poussa un petit souffle de plaisir. Je rentrais toute ma queue, et me mis à aller et venir. Ma mère passa ses jambes autour de moi, et je commençais à lui donner des coups de queue vigoureux. Ma mère gémissait. Sa chatte mouillait de plus en plus. Je lui pétrissais les seins dans mes mains. Je tapais ma queue au fond d’elle. Après quelques instants, je me redressais, et lui fis comprendre de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle se retourna, et je lui écartais les fesses de mes deux mains, plongeant ma langue dans sa chatte et sur son cul. C’était quand même meilleur que ses culottes. Même si j’y retrouvais les mêmes parfums. Je présentais mon gland entre les fesses de ma mère. Je forçais un peu. Ma mère me fit :
– Ohh oui comme ça !
Je rentrais ma queue dans son cul, et ma mère se mit à se masturber la chatte et à raler à chacun de mes coups de queue.
– C’est bon ! c’est bon ! fit ma mère.
Je me sentais libre comme jamais. Je réalisais mon plus grand fantasme en enculant ma mère. Peu d’homme peuvent se venter d’avoir réalisé cela. Je le devais à ma perséverance, à mon argent, à Sandrine…
– Plus fort ! Elle est bonne ta queue !!!
Sandrine.
– Je vais jouir !! hurla ma mère tandis que je l’enculais de plus en plus fort.
La lumière s’alluma. Mon coeur tapa si fort que je crus perdre connaissance. Je reculais et sautais du lit. J’éjaculais. Ma mère se retourna et hurla en me voyant. Sandrine se tenait à la porte, habillée, une veste sur le dos, et une valise à coté d’elle. Elle s’adressa à ma mère :
– Ca fait des mois qu’il t’espionne et te filme dans ta chambre, qu’il me baise contre ma volonté en pensant à toi, il m’appelle maman quand il jouit dans ma chatte…
– Qu’est ce que ça veut dire ?? Et qui était cet homme au restaurant ?? Fabrice ??
Je ne savais pas quoi dire. Je me sentais tellement honteux. Mon coeur tappait si fort. Je regrettais tellement. Je regrettais tout. J’étais allé si loin. Trop loin. Pour ce moment fugace. J’avais k**nappé et séquestré Sandrine. J’avais trahi ma famille. Je m’étais trahi moi-même.
Ma mère s’était recouvert avec le drap. Sandrine me fit :
– J’ai envoyé tes clés usb à la Police. J’ai pris des photos de l’endroit où tu m’as séquestré. Je leur ai tout expliqué. J’ai expliqué à ta soeur à quel point tu t’étais moqué d’elle, et que tu la regardais se masturber.
– Pourquoi ? Tu aurais eu tout l’argent du monde…
– Regarde où tu en es, avec ton argent.
Mon coeur battait. Tout semblait flou. Je perdais complètement le contrôle. Le sang battait dans ma tête. Il fallait faire un choix…
Un choix ?
Il fallait…
J’hésitais…
J’avais peur…
Cet instant semblait durer des heures…
Tout était flou dans ma tête. Je m’imaginais tellement de scénarios différents.
Non… Je n’avais pas le choix. Je devais avouer. Je n’avais pas d’alternative. Sandrine était assise derrière les écrans, et me regardait, debout dans la chambre de ma mère. Je devais avouer. Il n’y avait jamais eu de panic-room. Mon imaginaire avait cherché des solutions. Il n’y en avait aucune. Le temps s’était étiré au maximum. La continuité revenait.
– Qu’y a t-il ? répéta ma mère.
Cette fois-ci, je n’allais pas lui proposer du thé ou du café qu’on lui amenerait au lit.
– Maman, il faut que je te parle. J’ai fait des erreurs. Il y a des cameras dans la maison. Je t’ai espionné… Je vais les enlever… Et je pense que ce serait mieux que vous trouviez un autre logement, avec ma soeur.
Le visage de ma mère se ferma.
Mais vous savez quoi ?

J’étais soulagé.

FIN

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