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Rita 3

Rita 3



La partie de chasse.
Le lendemain, nos deux Nemrods, habillés de cap et d’épée, prennent la Nissan tout terrain pour aller au château de Bresson-l’Église, fief du Baron De Bresson.
– Bonjour Madame la Baronne disent les 2 Nemrods, à l’arrivée au Château.
– Bonjour, je vois que vous avez pris la 4×4, c’est bien, je me permets de me joindre à vous pour aller sur les
terres ducales où nous allons chasser la bécasse parait-il.
– Julien, monte derrière pour laisser la place à Madame la Baronne.

Arrivé au pavillon de chasse, ils sont accueillis par Monsieur le Duc.

– Bonjour, je suis désolé, mais cette fois, je ne me joindrai pas à vous pour la chasse, mais je vous laisse le
pavillon à votre discrétion, Le frigo est plein et le traiteur a aussi passé. Je dois me rendre à Paris pour une
affaire importante.
– Merci, nous pensons passer deux ou trois jours à traquer la bête, nous pensions nous occuper de la bécasse.
– Ce serait mieux le sanglier, mes paysans se plaignent des ravages que causent ces animaux.
– C’est plus musclé, mais pourquoi pas. Ce sera une bonne initiation pour Julien, mais on avait pas prévu de
prendre les fusils pour. Peut-on vous emprunter les vôtres ?
– Sans problème, le garde chasse fera demain le nécessaire.
– Ah ! Oui, Charly minaude la Baronne.
– Je lui passe un coup de fils pour qu’il ait en repérage des traces de sangliers. Voila installez vous, la nuit va
tomber et ici pas de télé ni d’ordinateur. Janine, je te laisse présenter le pavillon à tes invités et je m’en
vais.

Le duc part et Janine :

– On va laisser tomber l’étiquette, on va se tutoyer pendant tout le temps de la chasse. Après on reprend nos
habitudes. Voila la salle de séjour, vous pouvez admirer la collection de têtes de cerf, pour la petite
anecdote, à chaque cerf correspond un cocu. C’était une habitude qu’avait le père de Monsieur le Duc, très
grand chasseur tant d’animaux que de femmes. À chaque nouvelle conquête, si elle était mariée, il demandait
au taxidermiste de lui empailler une tête de cerf et mettait le prénom de la coquine. Le mien, le voici, vous
pouvez voir que c’est un exemplaire unique, ces yeux sont des rubis alors que les autres sont faits avec des
billes de verre. La raison est que je lui avais offert mon pucelage, avant de me marier.
… Voila la chambre à coucher que nous occuperons, on peut remarquer le lit qui n’a rien d’un grabat de
prêtre, mais qui tient plutôt du baisodrome. Avis aux amateurs, j’espère que vous êtes en forme, car cette
nuit, c’est moi qui chasse et c’est vous le gibier.
– Comment cela s’étonne Julien, je n’ai pas envie d’être tirer avec un fusil.
– C’est pas ce genre de chasse que je pratique dit Janine, ton père t’expliquera, je vous laisse pour diriger le
personnel avant qu’il parte et qu’il prépare les agapes pour la soirée.
Elle s’éloigne en dandinant de la croupe.
– Père, c’est quoi ça ?
– T’en fais pas, elle fait des fois des petits jeux sexuels qui sont bien agréables.
– Puisqu’on en parle, j’ai une question indiscrète et si tu ne veux pas y répondre, tu fais comme tu veux.
« Pourquoi tu délaisses maman ? Elle s’est plainte même au curé qui, ce salaud, en a profité pour tirer un coup
avec elle »
– Je pourrais te dire « tu verras demain », mais autant crever l’abcès tout de suite.
… Voila, je trouve ta mère sans goût, trop bien, propre, ni fantaisie. Moi, j’aime le contraire et avec Janine,
c’est l’éclatement perpétuel. Tu verras. Demain par exemple, tu verras, elle monte à cru sans culotte, juste
une jupe pour cacher vis à vis du monde et là, quand je la déguste, c’est divin. Tu vois, en comparaison avec le
fromage, il y a des gens qui aiment le petit lu ou la vache qui rit et d’autres qui ne jurent que par un
camembert super mur ou un Munster ou un Olomouc syrecek. Avec la baronne, c’est du super choix et cela
j’aime à crever et elle adore que je lui mange sa moule quand elle est très odorante. Ce soir, ce ne sera pas
encore le cas, mais on va quand même bien s’amuser.
– Mais cela me gêne un peu vis à vis de maman.
– Mais, finalement pourquoi tu ne t’en occuperais pas de ta mère, cela lui ferait plaisir d’avoir un grand garçon
qui s’occupe d’elle, moi, elle ne m’inspire pas, mais peut-être que toi, on dit que tous les garçons sont un peu
amoureux de leurs mère.
– Rassure-toi papa, je m’occupe bien de maman. J’essaye de lui remonter le moral le plus possible. Mais je vaisêtre souvent absent. Tu devrais essayer de te rapprocher d’elle, je lui parlerai de tes goûts et peut-être ce
sera une découverte pour toi.

À ce moment là, Janine, arrive avec des plats pré cuisinés, mais qui ont l’air super bons.

– Restaurez-vous bien mes coco, la nuit sera longue et je me sens d’un appétit féroce. Mais avant, je pense
qu’il serait bon qu’on se mette à l’aise, que diriez-vous de passer à table tout nus ? Je ne te choque pas trop
Julien.
– Un peu tout de même, je ne suis pas habitué à cette forme de libertarisme. Mais je vais faire un effort.
– C’est bien, après le repas, j’ai prévu une partie à gages avec des dés sur la base des règles du poker. Le
perdant doit exécuter un gage que le gagnant demande.
– Comme je n’y ai jamais joué, je pense que je vais être le dindon de la farce, dit Julien.
– Bon on se déshabille et on mange, je suis un peu impatiente, mon mari n’étant pas trop intéressé par les
femmes, mais par les jeunes hommes, j’ai un petit retard à ratt****r.

Janine commence à enlever ses habits en encourageant les autres de faire de même. Julien assez rouge dans la figure, jette cependant un oeil curieux sur la baronne et la trouve très jolie. Ses cheveux roux sont bien en accord avec la toison qui orne son pubis, sa poitrine en forme de poire Belle Hellène donnent l’eau à la bouche. Julien devant ce spectacle commence à sentir que sa pine commence à gonfler et son teint s’approche de plus en plus de celui de pivoine.

– Allez un peu de courage que je voie de quoi va être faite ma soiré. Enlève moi tout ce commerce. Oh ! Il me
semble que tu as tout ce qu’il faut pour faire plaisir aux dames. J’espère que tu sais bien t’en servir et que
je ne serai pas obligée de jouer l’institutrice.
– Mais Janine, je n’ai encore jamais couché avec une femme. Dit Julien, en jouant son timide.
– Quoi avec un calibre pareil, tu veux me dire qu’il est encore tout neuf et a encore son label de garantie.
Jamais sorti de l’emballage.
– Non, je ne dirai pas ceci, il m’arrive de l’utiliser pour mon usage personnel.
– Ah ! Ah ! Petit coquin. Tu t’amuses à jouer à cinq contre un.
– Hé, il faut bien de temps en temps se faire plaisir, mais j’ai pas le temps, ni l’occasion d’aller chasser la
gueuse.
– Le petit cache bien son jeu, je le soupçonne d’être amoureux de sa mère.
– Père, tu n’es pas obligé de m’humilier.
– Mais je ne t’humilie pas, au contraire.
– Aller descends encore ce slip pour voir au complet. Ce soir, je vais te faire perdre ta virginité.
– Cela saigne ou ça fait mal ? demande Julien d’un faux air naïf.
– Mais non, c’est avec les femmes qu’à la première fois cela saigne et peut faire mal. Hum, tu m’as l’air d’être
bien monté. Je sens que je vais bien apprécier cette nuit. Oh les baloches, Viens un peu vers moi que je tâte
un peu la marchandise en primeur.

Les convives se tapent la cloche jusqu’à ne plus pouvoir avaler et en partant, ils empochent (façon de dire puisqu’ils sont nus les trois) une bouteille de champagne.

– En route vers le baisodrome, dit Janine, toute émoustillée de pouvoir dépuceler un jeune homme qui pourrait
être son fils.

Arrivé sur place, Janine sort une boite avec 5 dés et un plateau de jeux. On va commencer la partie.

– Honneur aux dames. Elle retourne une double paire, tiens le Jean, joue !

Il retourne une paire et le reste parsemé.

– Et le fils, qu’est-ce qu’il va tirer.
 » Tiens, intéressant, il a une tierce, ce qui est mieux que le papa, mais moins bien que moi, donc c’est à moi de
décider le gage. Hum, il faut que je trouve quelque chose d’original et ne pas commencer trop fort. Il faut
que j’impose quelque chose au père. Voyons voir. » pense-t-elle

Le père ne la sent pas bien, qu’est-ce qu’elle va encore inventer pense-t-il. Mais attends un moment, quand ce sera à moi de dire.
– Voila, j’ai trouvé, il va se branler avec 20 aller et retour sans éjaculer.

Ouf se dit le père, j’ai eu vraiment peur. Bon c’est pas trop compliquer et il se met gentiment à branler sa bite en
évitant au maximum de faire monter la crème.

– On fait la deuxième partie ? Dit la baronne
– Oui, répondent les deux autres.

Là le sort n’est pas favorable à la baronne et c’est le père qui gagne. Il a là l’occasion de faire un de ses
fantasmes.

– Janine, tu suces la bite à mon fils et tu vas jusqu’au bout et tu avales tout.
– Salaud, tu sais bien que je n’aime pas trop la crème de pruneaux, mais le gage est le gage et elle s’empare du phallus de Julien et l’embouche en le branlant simultanément.
– J’ai bien dit sucé, mais pas branler.
– Tu as raison excuse moi
– Hum c’est bon, dit Julien en voyant cette bouche gourmande lui ripoliner l’essieu. Je ne connaissais pas cela,
raconte-t-il en jouant son rôle de puceau.
– Tu aimes ? Demande Janine en sortant un petit peu pour reprendre son souffle.
– J’adore, tu me suces bien, c’est très agréable.
– Laisse toi aller et donne moi ta sauce, j’ai pas envie d’avoir une crampe à la mâchoire, avec ton engin qui me
distant les mandibules.
– Ça vient, Justin, ne change pas de main.
– C’est quoi ce langage, je ne m’appelle pas Justin,
– Si j’avais dit Janine ça vient, ne change pas de pine, cela t’aurai plus plu ?
– Ah je vois mosieur est poète à ses heures, aller donne moi ton sperme, c’est le deal.

D’un bon coup de rein, Julien se plante encore plus au fond et commence à lui tapisser les amygdales.

– gloup ! Gloup fait Janine en essayant de suivre le rythme des jets de sperme, elle est pas mauvaise ta crème,
je la préfère à celle de ton père.
– On continue le jeu ? J’aimerai bien gagner une fois, mais à priori, je ne sais pas ce que je vais demander.
– Lance les dés
– Ho super, carré d’as. Là, cela va être difficile de battre. Aller le père envoie les dés !
– Quelle misère, une mauvaise paire. Va-s-y Janine, mais cela peut pas être plus mauvais que moi. Je sens que je suis à la merci de mon fils. Qu’est-ce qu’il va inventer pour me punir d’avec sa mère.
– À nouveau une double paire. Julien, à toi de donner un gage à ton père.
– Voila, j’aimerai qu’il vous lèche le cul.
– Ah ! Je vois que tu as plus d’imagination que je pensais. C’est un bon gage, mais combien de temps ?
– Je ne sais pas, j’ai pas d’expérience. Disons jusqu’à ce qu’il ait la langue fatiguée.
– Ouille, cela risque de duré, ton père a une langue redoutable et très endurante. Je te recommande jusqu’à mon premier orgasme et il peut s’aider en me pinçant le clito, sinon on va y passer toute la soirée.

Ravi le père dévore le cul de la baronne en lui plantant la langue dans l’oeillet

– Je viens, regarde Julien ce que cela me fait quand on me bouffe le cul, j’ai ma moule qui gicle. Tu veux
goûter ? Je garde cela pour le gage suivant.

Nouvelle partie et cette fois, c’est Julien qui est obligé de satisfaire au gage. Son père qui a gagné lui propose de faire une minette à la baronne tout en lui mettant le doigt au cul.

– Excellent gage, marmonne à nouveau la Baronne, mais si tu n’as jamais léché une femme, est-ce que tu sauras le faire comme il faut. Au besoin je t’aiderai. Je me mets sur le dos et voilà, je te présente mon sexe, tu
peux y mettre ta langue.
– Aïe, enlève tes lunettes, cela m’écorche les cuisses.
– Cela ne va pas remets tes lunettes, tu bouffe le linge !
– Là c’est bon, maintenant que tu es à bonne hauteur et j’écarterai bien les cuisse pour que tu puisses garder
les lunettes.
– Comment trouves-tu le goût ? Cela te plaît.
– C’est fort comme odeur, je pense qu’un petit coup de lavette au préalable ne gênerait pas.
– Je pense que ton père ne serait pas content, lui il aime quand cela pue vraiment. C’est ce que je vais lui
garder pour demain soir.
– Voila, je pense que maintenant, ma moule est toute propre.
…Sans jouer, je vous propose de faire la suite. Je prévoyais que le père me prenne par devant et le fils par
derrière, simultanément, mais si je veux monter à cheval demain, vu le calibre du fils, il vaut mieux que Jean passe par la porte de service, comme d’habitude, prépare moi encore un peu.
… Julien, viens te mettre sur le dos que je puisse m’empaler sur ton braquemart. Il est vraiment très gros, je la sens passer, il me remplit bien la nursery, là, il est bien au fonds, reste tranquille,de manière que ton père puisse m’aléser le cul.
– Jean, tu viens, je sais que tu es déçu, je t’avais promis de passer par l’entrée principale, mais tu peux me
comprendre que si demain on veut aller à la chasse, je ne peux laisser Julien me tarauder l’entrée de service.
On verra cela demain soir parce qu’après demain, on ne va pas à cheval, on rentre.
– Voila, je m’enfonce, Cela rentre vraiment comme dans du beurre en été. Mais je sens que le tuyau d’à coté a
déjà un locataire. Cela fait tout drôle de frotter sa pine contre celle de son fils, même si il y a une membrane
entre nous.
– Allez-y en alternance, j’aime bien sentir le frottement mutuel de vos queues. Je sens que je viens, Jean,
remplit moi le colon et toi Julien crépit moi mon utérus.
– Mais Janine, pourquoi on a pris une bouteille de champagne ?
– C’est pour le deuxième service, pour redonner du coeur à l’ouvrage.

À ce moment là, Jean, excité comme un morpion dans le pubis d’une pute sur le retour décharge sa bossette de lisier au fond du boyau de la baronne.

– Dis Jean, je te connaissais un peu plus endurant, tu es parti comme un puceau la première fois et quand je
vois ton fils, qu’est-ce qu’il lime bien. J’ai mes trompes de salope qui appellent au crime, mes ovaires crient
famine et lui tranquillement, il lime, il lime et moi j’en suis à mon troisième orgasme et il continue à limer, à
force de grimper aux rideaux, je vais me payer la tringle du siècle. Ah enfin, je sens que les vannes se sont
débloquées. Oh ! Le raz de marée ! C’est mon mari qui va être content, il ne me baise plus, mais espère que je
tombe en cloque. Il lui faut un héritier sinon le patrimoine ira chez un neveu qu’il ne peut sentir, ni moi non
plus.

Là, Janine s’écroule sur lit, complètement vidée de force et remplie de sperme elle s’endort de suite. Jean et
Julien la voyant partie dans les bras de Morphée, ne tardent pas à la rejoindre.

Le lendemain, elle est la première levée et voyant l’érection matinale de Julien, se dit tient si j’en remettais une
couche, elle lui prend délicatement le fuseau (pas horaire, il serait trop large) dans la bouche pour lui faire un
réveil de rêve.

– Hum c’est bon des réveils de ce type. Mais je crois que je dois saigner à la tête, regarde voir.
– Attends que je mette un peu la lumière. Non je ne vois rien
– Bizarre, mais j’ai une telle envie de pisser qui me fend le crâne.
– Couillon, tu m’as bien eu, vas-y vite je t’attends pour regarnir ma nurseriy. Je vais avec toi tout bien réfléchi, je vais aussi libérer ma vessie. Les voilà les deux dans les toilettes, par politesse il lui laisse la place pour pisser en premier et dés que les premières gouttes arrivent, cela lui augmente la douleur de se retenir.
– Je ne tiens plus !
– Bien viens et mets toi sur mes genoux et mets ta queue dans ce qui reste de place, cela ne fait rien si je
reçois un peu de pisse sur ma toison, elle n’en sera que meilleure pour ton père.

Ainsi fut fait et au passage, Julien ne visa que la chatte de la baronne qui était toute excitée de sentir cette
douche chaude lui réchauffer le pertuis.

– Viens, avant le déj, je veux que tu m’en remette une couche, je vais devenir acro de ta belle queue.

Pour accélérer un peu la prise de Jérusalem par les croisés, elle se met sur le dos et en bonne missionnaire, elle l’invite à investir son temple. Elle saisit cette épée divine et la plante au milieu du tabernacle et lui tout content de cette nouvelle saillie commence à piocher sérieusement comme pour découvrir le trésor de Salomon.
Mais, le piochage entraîne des vagues certaines dans le lit et à son tour Jean émerge, à regret, des bras de
Morphée, mais voyant le spectacle matinal qu’offre les deux amants, son outil aratoire à son tour s’érige, voulant aussi participer aux agapes matinales, mais il faut quand même qu’il décharge aussi sa vessie, sinon, ce ne sera pas bon. En revenant, il voit que les amants ont fini leur affaire et se dirige vers la salle principale pour se restaurer. Là, du coup, il se sent frustré et son excitation tombe misérablement et sa pine pointe vers le sol toute flétrie.
– Oh mes salauds, vous ne m’avez pas attendu.
– Mais oui on a pas encore commencé à manger. Les rabatteurs vont arriver d’un moment à l’autre. Précise la
baronne encore en petite tenue. Il faut que je me dépêche, surtout que Julien m’en a remis une couche et
qu’elle est en train de couler. Il faut au moins que je m’essuie avant de monter à cheval.
– Bon appétit.
Après le repas, il y a l’habillement et Janine s’habille en amazone sans culotte et son cheval n’a pas de selle. Elle a l’habitude de monter à cru. Les autres sont équipés normalement les fusils et munitions sont distribués à chacun y compris un grand couteau de veneur.
L’équipe des rabatteurs arrive et après avoir dressé le plan de chasse, ils se répartissent sur le terrain avec les
chiens et piques.

Sus aux sangliers.

Jean, Janine et Julien, les 3 J à cheval essayent de deviner selon les aboiements et le plan de chasse où il faut se poster. Julien est toujours derrière Janine, car il n’est pas très sûr avec son fusil, mais il commence à sentir ce qui excite si fort son père, c’est pas triste, c’est vraiment du condensé, il pense que ce soir, cela va être la fête pour le paternel, si Janine n’a pas encore certaines idées tordues.
Enfin, ils voient un super verrat qui jaillit du bosquet et qui charge les cavaliers. 2 coups de fusils partent, mais
pas 3. Julien est un peu à la traine. Le sanglier n’est pas tout à fait mort et continue à essayer de charger. Julien met pieds à terre et vise la tête avec son fusil mettant fin au martyre de l’a****l.

– Il ne fallait pas viser la tête, mon trophée est bien abîmé se plaint Janine.
– T’inquiète, je sens qu’il y a la laie qui n’est pas loin, recharge ton fusil dit mon père.

Effectivement peu de temps après, poursuivie par les chiens, une grosse laie débouche menaçante des fouillis.

– feu crie Janine
– Trois coups de feu simultanément freine l’a****l et Julien, saisissant son poignard de veneur, taille haut
dans le cou, sectionnant la carotide, dans la meilleure tradition des musulman lors de l’Aïd al-Kebir
– Bravo Julien, tu deviens un vrai de vrai comme chasseur.

Les deux bêtes sont ouvertes et les viscères hors le foies et les testicules sont données aux chiens et les bêtes
sont coupées en 2 Julien et son père en recevant un quartier pour leur participation, et le reste est réparti entre
les participants rabatteurs.
De retour au pavillon, le chef des rabatteurs se fait fort de cuisiner un excellent repas fait à la base de foie de
sanglier. Une fois le repas terminé, vient le moment de la sieste, ils ont bien couru ce matin. Les 3 J se retirent dans le baisodrome et reprennent leurs activités de la veille. Janine en retirant sa culotte et en présentant son entrejambe à Jean, se bouche un peu le nez tellement l’odeur est forte, mais elle sait que pour Jean, plus c’est fort, plus c’est bon et qu’il va lui ripoliner la chatte avec sa langue mieux que n’importe quel traitement.
Jean, comme un chien de chasse, la langue qui pend, le regard fou, la bite au bord de l’explosion s’approche de son dessert.

– Humm quel délice ! Cela valait la peine d’attendre

Il en promène sa langue sur la connasse de la baronne, surchauffée par la cavalcade à cru du matin qui sent encore un peu de pisse du matin et des restants de spermes qui traînent par-ci par-là.

– Je vais nettoyer tout cela avec application et après je vais me payer à mon tour ton petit puits d’amour. Le
fils maintenant peut se payer l’entrée de service pour autant qu’il la prépare bien.
– Père, tu sais que je ne suis pas un amateur des fions qui puent, j’aimerai bien qu’une fois que tu soies
rassasié, qu’on passe sous la douche, toi y compris, ça fouette et cela me gêne de baiser dans une puanteur
pareille.
– Mon fils joue le délicat, mais je suis d’accord si la baronne l’est aussi.
– Je trouve aussi que l’odeur est un peu trop forte à mon goût personnel et je serai heureuse de passer sous la
douche pour me rafraîchir.

C’est ainsi que les trois se retrouvèrent propres sur l’espace de baise, le baisodrome.

– Julien, j’aimerai maintenant que tu me prennes l’entrée des artistes, mais surtout que tu me la prépares, car avec ton manche de pioche, sans préparation, je ne vais pas pouvoir le supporter.
– Tu n’as pas de vaseline ?
– Non, mais on pourrait prendre de la graisse de sanglier, cela irait peut-être très bien, j’ai jamais utilisé.
–  » A force de patience et de saindoux, l’éléphant sodomise le pou » (Proverbe africain), selon mes
classiques, cela devrait aller. Mais ton mari va trouver bizarre quand tu vas rentrer avec la démarche du canard ou du marin.
– T’inquiète, d’ici là, tout reviendra normal. Tartine moi bien la rondelle et mets 1 puis 2 puis 3 puis 4 doigts et
masse bien, je sais que je vais la sentir passer, mais c’est le prix à payer pour connaître le 8ème ciel.
– À vos ordre Madame la Baronne, tout va très bien. Je vais à la cuisine pour prendre un peu de graisse sur les
gigots et après comme dit le proverbe africain, c’est une question de patience. Pendant ce temps là Papa
peut te faire prendre ton mal en patience, je sais que ta figue n’a plus son parfum comme il l’aime, mais
comme il n’a pas le nez au bout du gland, il peut très bien te limer en attendant.
– C’est une bonne idée, tu as compris Jean, ton fils est plein de ressources, qu’est-ce que tu en penses.
– Pour moi, du moment qu’une fois je puisse passer à coté de l’entrée de service, c’est tout bon.
– Te fais pas d’illusion, tes petits spermatozoïdes ont déjà perdu la course, ceux qui sont partis hier soir
doivent avoir déjà investi la place et mes ovaires sont déjà occupés.
– C’est pas cela qui m’importe, mais de voir tes yeux quand la température monte et que le réchauffement
climatique atteint son paroxysme.
– Alors en piste, mais Jean, tu vas dessous, de façon que Julien puisse bien me préparer le trou du cul et je ne
vais pas trop bouger temps qu’il étale.

à suivre
Prochain épisode: Chez Monsieur le Baron

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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