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Eté 1984 (part 1)

Eté 1984 (part 1)



Quelques jours après notre petite partie au bord de la rivière, le téléphone sonna vers 19h à la maison.
– Allo Eve ? C’est Cathy, tu te souviens ?
– Oui bien sûr, comment oublier !!! Comment vas tu ?
– Très bien merci. Voilà, mes parents possèdent un petit mazet dans les Cévennes, au dessus d’Anduze. Ils me le prêtent de temps en temps. Ça vous dirait de venir passer le week end avec nous ? Fabienne et Michel seront là aussi. C’est un endroit tranquille dans la pinède et il y a une piscine. Les premiers voisins sont à plus de 4 kms.
– Il faut que je demande à Franck, il n’est pas encore rentré du boulot. S’il n’a rien de prévu, ça sera avec un très grand plaisir de nous joindre à vous.
– Ok, dès que tu as sa réponse, tu me passes un petit coup de fils pour que l’on s’organise. Je t’expliquerai où nous retrouver.
– D’accord pas de problème.
– Je te laisse, j’attends ton coup de tel. Passez une bonne soirée. A bientôt, je t’embrasse.
– Merci, vous aussi bonne soirée. Bises.

Je fus surprise d’être excitée à l’idée de les retrouver. Franck arriva 20 minutes plus tard. Je lui transmettais aussitôt la proposition de Cathy.
– Tu en penses quoi ? Me demanda-t-il. Il n’y a rien de prévu sinon ce week end.
– Je ne sais pas si je serai capable de refaire la même chose et d’un autre coté quand j’y repense, ça m’excite et j’en mouille ma culotte.
– Tu sais très bien que ça m’a plu et si tu es partante, je suis partant aussi. On peut essayer une fois de plus pour voir si on y trouve autant de plaisir. Dans le cas contraire, on ne reste pas.
– D’accord, je lui tel de suite.

Il est environ 19h45 quand nous arrivons au mazet. Cathy est venue nous attendre sur la place du petit village à quelques kilomètres de la résidence. Effectivement l’endroit est isolé. Nous avons suivi un chemin au milieu des bois pendant plusieurs minutes avant d’arriver. C’est une bâtisse rectangulaire en pierre avec un étage. Cathy nous apprend que c’était une remise à bois de 180 m² au sol à l’origine que ses parents ont acheté une bouchée de pain et que son père, entrepreneur a restauré. Il y a 6 chambres et 2 salles de bains. Nous retrouvons Fabienne, Régis et Michel dans le salon. Cathy nous montre notre chambre et nous nous retrouvons sur la terrasse derrière le mazet. Il y a un barbecue où la braise est déjà bien rouge. Sur une table ronde, il y a des verres et des bouteilles d’apéritif.

Après le repas et après avoir débarrassé la terrasse nous sommes allés dans le salon pour boire le café.
– Fabienne et moi ne prenons pas de café, dit Cathy. Nous allons en profiter pour prendre une douche. Tu viens Eve ?
– Et bien je prendrais bien un café, j’irai après si ça ne vous ennuie pas.
Régis revenait avec un plateau de tasses et le café. Les 2 filles disparurent dans l’escalier. Michel bu rapidement son café, se leva : « Je vais à l’autre douche. Pas la peine de vous proposez pour m’accompagner les gars, dit-il en rigolant. ».

Franck et moi avons discuté un peu avec Régis avant d’entendre les filles redescendre en riant. A leur vue, la conversation cessa d’un coup. Cathy portait juste un paréo noué à la taille, tandis que Fabienne avait noué le sien sous les bras avec le nœud juste au milieu de ses seins. Il était largement ouvert sur le devant laissant voir sa fine toison pubienne. Cathy avait un bras autour du coup de Fabienne qui elle, lui tenait la taille.
– Vous pouvez disposer de la salle de bain, nous dit Fabienne.
– D’accord j’y vais, dis-je.
– Je t’accompagne, me dit Franck.

Une fois dans la salle de bain, je confiais à Franck mon malaise. Je ne ressentais pas la même sensation qu’au bord de la rivière et la vue des 2 filles m’avait même un peu choquée. Franck avoua n’être pas totalement à l’aise et proposa que nous gardions un peu nos distances pour commencer et si le malaise subsistait tout au long de la soirée, d’aller nous coucher et de repartir demain matin. Il me proposa quand même de nouer mon paréo comme Cathy et de rester totalement nue dessous.

Dans le salon, il y a trois canapés formant un U avec une table basse carrée au centre. Deux canapés de deux places encadrés un canapé de 3 places. Quand nous sommes revenus, Fabienne, avait retiré son paréo et était contre Michel sur un canapé. Ils s’embrassaient et la main de Fabienne était glissée dans le bermuda de Michel. Sur le canapé en face, Cathy les regardait en se caressant la chatte. Franck et moi nous nous sommes donc assis sur le grand canapé. Ils n’avaient pas l’air de faire attention à nous. On voyait les langues s’entremêler. Michel caressait les seins de Fabienne. On devinait la main de Fabienne empoigner le sexe dans le bermuda. Quelques minutes plus tard, Régis arriva à son tour dans le salon. Avec Cathy, ils retirèrent la table basse et installèrent une sorte de matelas en mousse, qui devait faire deux mètres sur trois, au milieu des canapés. Cathy jeta un drap bleu sur le matelas ainsi que quelques coussins. Puis Régis et Cathy prirent place sur le canapé.

J’étais de plus en plus mal à l’aise et je me collais à Franck. Régis glissa une main entre les jambes de Cathy qui aussitôt s’ouvrirent pour nous laisser voir sa chatte déjà humide. Fabienne avait sorti la bite de Michel qui avait une bonne taille et on pouvait voir sa main le branler lentement, puis prendre ses couilles et les malaxer pour revenir sur le membre. Franck avait glissé une main sous mon paréo et me caressait l’intérieur des cuisses, remontant vers ma chatte mais je n’arrivais pas à ouvrir mes jambes pour lui faciliter le passage. Fabienne maintenant était penchée sur le ventre de Michel. Elle donnait des petits baisers sur le ventre, juste en dessous du nombril et des petits coup de langue sur le gland dégagé.

Cathy commençait à gémir sous les caresses de Régis qui avait fait ôté son short. Elle écartait son intimité avec les deux mains laissant bien voir les deux doigts de Régis fouillaient l’intérieur tandis que son pouce faisait pression sur son clito. Fabienne avalait maintenant la queue de Michel, je la voyais descendre lentement puis remonter. Je ne pus m’empêcher de repenser avoir senti cette queue gonfler dans ma bouche et je me demandais s’il en était de même dans celle de Fabienne. Régis s’était mis à genoux entre les jambes relevées et bien écartées de Cathy. Elle grognait de plus en plus vite et fort, la tête légèrement en arrière, les yeux fermés. La main de Franck se faisait de plus en plus pressante. Je pouvais voir la bosse prometteuse qui se formait dans son short. Mes cuisses opposaient de moins en moins de résistance. Les gémissements de Cathy et la bouche avide de Fabienne faisaient leur petit effet et je sentais ma mouille envahir ma chatte.

…/… (à suivre)

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