Récit d’une aventure …
Les jours passent et ma quête de nouveau plaisir charnel devient pareil que chercher le saint Graal. Les jours passent les messages s’accumulent mais ne suscite que très peu d’intérêt. J’ouvre les messages pour les lires dans leurs globalités jusqu’au jour ou je tombe sur ceci :
Bonjour, mademoiselle, je vous trouve d’un charme éblouissant, et je suis bien heureux que d’être tombé amoureux dans ma vie qu’une seule fois, il y’ a de cela 40 ans. Vous êtes ce qu’a été ma femme dans sa jeunesse, en plus dévergondé !
Ce message me fit sourire, on passa alors beaucoup de temps à discuter, nos similitudes, nos habitudes. Les sujets de notre discussion ce sont bien éloigné du cadre qui à permis cette rencontre.
Les semaines passent, l’histoire de sa vie me captive, ancien bucheron, boulanger puis commerciale. Je lui propose que l’on se rencontre afin de discuter de manière plus conviviale ! On se donne rendez vous dans une pâtisserie, il me reconnait sans peine contrairement à moi.
On se fait la bise, et on s’en va tout en s’amusant des regards étonnés des passants. Mais les regards ce faisait un peu plus persistant et en devenait malsain… il proposa d’écourter notre rencontre pour ne pas que le malaise ne nous traumatise. Chose que j’ai acceptais.
Le mois passe, est on se donne notre deuxième rendez vous ! on visite le musée historique de sa ville, de beau tableau, de belle sculpture, puis j’ai admiré tout le long sa culture. Suite à cette visite il me propose de prendre un café chez lui. Chose que j’ai acceptais.
Passé le temps du trajet, il prépare le café pendant que je visite sa maison. Une bâtisse d’époque, beaucoup de souvenir parsemé dans sa maison, photo de ses enfants, de sa femme. Elle me ressemble vraiment. Seul notre coupe de cheveux nous distingués ! Je les mets alors en arrière et les attaches de manière à faire une queue de cheval. Puis je me vois dans la glace… Identique je l’entends dire. Je le vois me regarder avec des yeux humides, noyés par le chagrin d’une présence maintenant absente. Il sourit et dit « A mon age je n’arrive pas encore à savoir si la vie est cruel ou formidable » Mon coeur empathie à sa douleur.
Le voir ainsi a éveillé en moi une personnalité que je pensais maitrisé … Je lui propose sur le moment de faire un jeu. Ce jeu lui permettra de se décider sur ce qu’est la vie. Il m’écoute attentivement. Je lui demande qu’elle est le prénom de sa femme. Puis lui dis que le jeu commence quand il dira son nom. Il comprit alors que ce jeu était à double tranchant pour lui et que la seule gagnante c’était moi qu’il en souffre ou qu’il en prenne plaisir.
J’étais alors coiffé comme sa femme, je répondais au nom de sa femme, j’avais juste besoin de m’habiller comme elle. Son armoire est resté telle qu’elle, un peu de poussière mais rien de rebutant. Je choisis une robe longue classique, je me change et retourne le voir dans le salon. Les larmes aux yeux, je tourne lentement tout en le regardant. Le voir ainsi tourmenté me remplis d’une satisfaction malsaine mais au combien plaisant.
On essaye de discuter, il n’est pas à l’aise, il commence-t’a bégayer. Je coupe cours à la conversation et me lève, je m’approche de lui qui est assis en face de moi, et lui demande: « Suis-je en tout point identique ? », en me redressant je lève lentement la jupe que j’emprunte, révélant ainsi ma cuisse, que j’ouvre doucement. A ce moment il ne lâche plus aucun mot. Je demande alors « c’est quand la dernière fois qu’ON l’a fait ? » en accentuant sur le on. Il murmure faiblement 5 ans …
C’est alors que j’ai décidé de le soulager. En lui tournant le dos je me baisse, remonte la jupe pour lui offrir une vue des moins déplaisantes, et descends ma culotte afin de lui révéler l’excitation que me procure mes perversions. Je guide ses mains le long de mes cuisses et les remontes jusqu’à mes hanches, je m’assois alors contre lui de dos. Je le laisse glisser ses mains, parcourir mon corps sous la jupe de sa femme. Mes cuisses écartés par dessus les siennes. Mes mains partent à la découvertes de son entre jambe, Poilu et flasque … il me dit ne plus pouvoir depuis. Mais je vois qu’il arrive tout de même à éjaculer. Il se lève pour nettoyer et couper un peu.
Le re-voila plus présentable, il garde sur lui un caleçon et ne laisse sortir par la fente, le vestiges de son ancien temps. On se replace, je me laisse affalé contre lui, les jambes écartés. Il me glisse à l’oreille « est-ce raisonnable? » je caresse alors son sexe contre le mien, il sent l’étendue de mon excitation s’éprendre sur lui. « Ma raison, j’ai du la laisser dans mon autre vie », je sentis alors un flot s’échapper et ruisseler de son sexe, comme un robinet d’eau ….
Cette seule eau qui puisse étancher les soifs de ma perversion.
Ajouter un commentaire