Je me rappelle encore comme il faisait froid à cette époque là de l’année.
Nous étions partis, moi et ma copine, passer quelques jours chez la cousine de cette dernière pour se changer les idées. Je connaissais déjà, notre hôte, j’eu l’occasion de discuter avec elle lors de réunions de famille. Une fille légèrement plus vieille que moi, un peu perchée mais surtout très coquine. C’est d’ailleurs ce qui faisait naître en ma copine une pointe d’aversion envers sa cousine « qui ne se respecte pas ».
Certes elle aime les hommes et pourrait être un peu plus précautionneuse mais ce que je retenais d’elle, comme ce que tout homme aurait retenu à ma place, c’est qu’elle aime la queue.
Elles étaient très jalouses l’une de l’autre habituellement et leur relation me semblait hypocrite parfois mais elles avaient apparement l’air d’avoir fait un effort pour que le séjour se passe bien.
Nous dormions, moi et ma copine dans le lit que la cousine nous avait gentillement cédé, elle, se tapait le vieux canapé du salon. Ma copine n’étant pas d’humeur à remplir son devoir conjugal durant ces quelques jours mon taux de frustation accumulée explosait des records, mes spermatozoïdes était littéralement dans les starting blocks, j’avais deux filles que je désirais sous les yeux h24 mais je ne pouvais m’unir avec aucune des deux.
De plus je remarquais bien les regards aguischeurs et la conversation très portée sur le cul, de la cousine.
Alors à votre avis, que fait un jeune homme lorsqu’il a une gaule incroyable à apaiser le soir, dans le lit conjugal tandis que sa copine nue à coté de lui dort profondément et qu’éventuellement une autre femme bien bandante est probablement nue dans la pièce à côté à se caresser le minou coquine comme elle est ?
Et bien il se masturbe. Bien sûr il faut y’aller doucement mais fermement, sans relâcher cette tension que l’on connait s’y bien mais qui reste un grand mystère tout de même. Surtout pas de gestes brusques, se faire chopper par sa bien aimée pourrait amener deux situations. La première, l’idéale, ma copine se réveille et se retrouve très stimulée par ce que j’ai entrepris et ce n’est pas moi qui finit le boulot ce soir ou bien, deuxième possibilité, l’humiliante, ma copine se réveille et j’ai le droit à un « t’es vraiment un gros porc qui pense qu’à ça ».
Ce soir là j’ai trouvé mon excitation dans l’idée de ce risque sans oublier la cousine qui a bien participé à la délivrance de ma queue turgescente, prète à éclater depuis trop longtemps.
Ce qu’il y’a de triste avec la branlette, c’est ce sentiment de dégoût de soi-même, qui vous pousse à vous dire que vous avez fait tout ça pour 10 petites secondes de plaisir. En attendant la nature parvient à nous redonner de la vigueur rapidement.
Le lendemain soir, après une belle journée, nous décidons de regarder un film, de merde par ailleurs, fatigué et alcoolisé que j’étais, je me plongeais dans un sommeil léger. Réveillé juste avant la fin du film, mon esprit élabore un plan stupide. Arrivé le générique ma copine décide de me réveiller pour que je la rejoigne, je fais mine d’être plongé dans un sommeil profond et j’obtiens l’abandon de ma copine qui part alors se coucher et me laisse la dans le fauteuil non loin de sa cousine qui se prépare à dormir également.
J’attends un petit quart d’heure, simule un réveil progressif. Sa cousine toujours éveillée me propose une place plus confortable sur les coussins du canapé. Je l’avertis que je vais bientôt rejoindre ma copine, même si c’est la dernière chose dont j’ai envie à cet instant, et j’accepte de m’allonger quelques minutes.
Nous discutons, rigolons un peu, une tension sexuelle presque palpable s’installe alors dans la pièce. Je pense aussi à ma copine qui pourrait aller faire un tour aux toilettes d’une minute à l’autre, et dans le cas où elle me trouverait là, aucun scénario où je m’en sors bien n’est viable cette fois.
A ce moment là, si ma queue avait des mains elle aurait déboutonné mon pantalon sans penser aux conséquences. Je décide alors de partir en chef, faisant mine de vouloir lui faire la bise pour la laisser dormir alors qu’elle est allongée, je lui glisse en fait un tendre baiser dans le cou, ce cou dont elle m’avait vanté la sensibilité plusieurs fois. Je me retire et elle me lance un « mais t’es fou », et là j’ai débandé, pensant que je m’étais fait des films durant tout le séjour. Je lui rétorque alors un « pourquoi » inquiet, et c’est là que cette sacré chaudasse me répond sans hésiter, « j’ai le cou hypersensible ». J’ai tenté de rester de marbre tout en réalisant qu’elle en attendait un autre et éventuellement deux doigts entre ses jambes aussi. Voyant que je décide de partir car ne pouvant plus contenir cette bite courbée sous les tissus, elle veut une vraie bise que je lui donne et qu’elle me rend par une caresse sur la bosse de mon jean.
On se dit bonne nuit, heureusement un peu plus et la situation devenait tres risquée et glaucque. Ce soir là après avoir checké que ma copine dormait profondément, j’ai déversé une quantité considérable de foutre chaud et épais en repensant à ce qui venait de se passer.
Bien sûr les situations les plus excitantes ne sont pas forcément les plus honnêtes ou raisonnables, mais dans un sens je suis un peu puni de cela car l’image que j’avais de moi même après cette branlette, située entre le fantasme et la réalité, était aussi négative que la situation dix minutes plus tôt avait été jouissive.
À grande excitation, Grande déception ?
J’ai recroisé cette cousine et elle est toujours aussi coquine mais je contrôle mes pulsions. Je repense à cette soirée un peu particulière parfois et je me dis qu’un jour, célibataire, j’irai la trouver pour la pénetrer de longues heures durant en toute bonne conscience.
Ou je pourrai arrêter d’être con tout simplement
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