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Ma fille…ma vie

Ma fille…ma vie



Depuis la mort accidentelle de mon mari, il y a maintenant une quinzaine d’années, ma fille, Isabelle, n’arrivait pas à se remettre de cette tragique disparition. Elle pleurait souvent et je devais toujours la consoler pour la rassurer. Nous étions un couple très uni, la naissance de notre fille nous avait donné un bonheur complet. Aujourd’hui, j’ai la quarantaine, j’ai un ami que je vois régulièrement chez lui, hé oui, la vie continue malgré tout. Michel n’était jamais venu chez moi et n’avait jamais vu Isa, j’espérais bien le présenter à ma fille un jour prochain, mais vu ce léger handicap, je repoussais toujours l’échéance.

Jusque là, tout paraissait normal et bien non ! Isa faisait des crises de larmes, le soir, en se couchant, elle venait donc se blottir contre moi dans mon lit malgré son âge.
La tête sur ma poitrine, une main posée sur un sein, comme lorsqu’elle était toute petite, je l’apaisais en lui caressant les cheveux. Le drame c’est que cela m’amusait et m’excitait en même temps. Je prenais de plus en plus de plaisir à cette situation, de sentir ses doigts jouer avec mon mamelon à travers ma nuisette, à tel point que je mouillais rapidement. Machinalement, je caressais son dos quand, un jour, je n’ai pu m’empêcher de descendre un peu plus bas et de passer ma main entre ses fesses pour atteindre sa fente à peine velue, j’étais très surprise de voir qu’elle était humide, la mignonne prenait du plaisir, elle aussi. C’est, depuis ce jour, que l’envie d’aller plus loin me tentait considérablement.

Mais avant d’y venir, j’avais, parfois, avec un léger fond honteux, déjà constaté que mon corps et mes envies s’orientaient peu à peu vers le corps de ma fille à la proximité toujours agréable, mais parfois déclencheuse d’effets d’une libido mal maîtrisée. Je me souviens de cette soirée où elle était très contente de me montrer ses bons résultats obtenus à son lycée. Nous étions enchantées, toutes les deux, de cet événement. Il est des détails, parfois bêtes, mais pourtant à l’origine d’idées érotiques fulgurantes qui ne peuvent être compris des jeunes filles. Cette soirée, en allant se coucher, Isabelle était plus tendre que d’habitude, emballée par son succès scolaire. Elle commença une série de petits câlins qui me paraissaient innocents, mais auxquels j’étais très sensible. Sans protester, je la laissai faire, en lui donnant quelques bisous sur son visage, puis je posai mes lèvres sur les siennes, me rappelant ce que je lui faisais quand elle était toute petite, je pris sa lèvre supérieure entre les miennes, Isabelle passa ses bras autour de mon cou et me serra très fort en me disant :

« Maman, je t’aime tellement ! »

Cette soirée a clairement été le moment de l’acceptation, au plus profond de moi, que le corps de ma fille m’excitait et créait, en moi, un désir sexuel fort et incontestable. On commença donc ce rituel, dont je savais, secrètement, que ce soir-là, il ne s’orienterait pas comme à l’habitude. Le silence de la pièce, sa légère respiration, sa nudité donnait une ambiance toute particulière.

« Oh ma chérie ! Moi aussi je t’aime…, je t’aime… ! » Lui dis-je, en l’embrassant, pour la première fois, d’un vrai baiser.

Et nous voila parties pour une exploration de nos bouches, sa langue fouillait ma bouche pour la première fois. Elle fouillait comme si elle cherchait un trésor enfui. Notre baiser dura plusieurs minutes et mon minou fut trempé en quelques secondes. Ses bras me serraient le cou, son corps écrasait ma poitrine et ses genoux frottaient sur mes cuisses. J’étais prête à jouir tant c’était doux et chaud, je me détachai pour ne pas aller trop loin, mon cœur battait à tout rompre, Je ne bougeai plus, je retins mon souffle, ma fille soupira dans son demi sommeil. Elle était sur moi, comme offerte. Je soulevai doucement le drap pour apercevoir son cul dans la pénombre du lit. Ses hanches se creusaient en une courbe lascive avant de remonter en une pente raide le long de son fessier. Je ne parvenais pas à démêler l’écheveau de mes sentiments où la culpabilité n’était, certes pas, ma première impression.

Je quittai ma chemise de nuit, enlevai son baby doll. Nous nous étreignîmes fortement. L’extrême douceur de sa peau m’enthousiasma pour continuer ma descente aux enfers, je lui caressai le dos, la poitrine, accentuai sur ses petits tétons, j’avais peur de la contrarier, mais je n’avais plus honte, mon désir était fort. Je poursuivis vers son bas-ventre, elle se laissa faire, quand mon doigt effleura son abricot, elle s’est mise à me sucer un sein, je me serais crue dans un paradis, tant la sensation était forte, elle se livrait complètement. Le sexe, entièrement trempé, semblait s’ouvrir sous mon doigt, mais je dus freiner mon ardeur, dorlotant seulement le clitoris.

Je tentai d’approcher ma bouche de cette petite merveille, sans désaccoupler la sienne de mon sein. Elle est un peu plus petite que moi, ce qui facilita ma démarche, mes lèvres arrivaient sur la vulve, une odeur envahit mes narines, je léchai, avec gourmandise, ce nectar rare, ma fille mordit mon mamelon, ce qui me donna une petite douleur agréable. Elle écarta, au maximum, ses jambes, je me masturbais, discrètement, en la suçant, quand soudain, Isa fut prise de secousses. Je jouis, à mon tour, d’une façon inconnue pour moi, nous nous sommes endormies ainsi, collées l’une à l’autre. Le lendemain matin, nous nous sommes levées comme si de rien n’était, c’est le soir, au cours du dîner, que j’ai ouvert la conversation sur ce sujet :

« Nous avons fait une grosse bêtise, hier soir, je voudrais que tu restes dans ta chambre, ce n’est pas la place d’une jeune fille dans le lit de sa mère ! »

Evidemment, elle s’est mise à pleurer de toutes les larmes de son corps, comme une gamine à qui on aurait arraché sa poupée. Ne pouvant la laisser dans cet état, j’ouvris mes bras où elle est venue rapidement se réfugier. Que faire ? Je suis prise au piège, je n’ai pas la force de la repousser, au contraire, je suis attirée par ce corps chaud qui se frotte contre le mien, je dus jeter tous mes scrupules et me rendre à l’évidence, je ne faisais de mal à personne. Je la laissai farfouiller dans mon soutien gorge avec son minois, au bout d’un moment, je la repoussai car ma culotte était déjà toute mouillée et lui dis :

« Allez, va faire ta toilette pendant que je débarrasse la table ! »

Lorsque j’arrivai dans ma chambre, je ne fus pas surprise de la trouver nue dans mon lit, elle ouvrit le drap en me tendant les bras :

« Viens, maman chérie, vient me caresser comme hier soir, s’il te plaît, maman… ! »

Je m’y attendais un peu et je dois avouer que, dans le fond de moi-même, j’éprouvais un énorme plaisir. Je retirai ma nuisette, sans précipitation et me couchai. À peine étendue qu’Isa me sauta dessus, en me tenant les bras en croix, elle m’embrassa directement sur les lèvres, sa langue pénétra ma bouche pour me faire un vrai baiser d’amoureux auquel je répondis.

Le fait que ce soit ma fille m’excitait au plus haut point, j’ai bien vu qu’elle en était consciente, cette petite dévergondée. Isa s’allongea sur mon corps, les jambes de chaque coté de mon ventre, comme si elle voulait faire du cheval, elle frétillait comme un poisson. Je dégageai mes mains pour la caresser, je pelotais ses fesses, avec, toujours, ce souvenir de ces années où elle était bébé. Je n’avais jamais caressé une femme, auparavant, mais l’amour que j’avais pour ma fille me poussait à l’extrême. Je passai mon index sur l’anus, sur le périnée et enfin je pénétrai légèrement les lèvres sexuelles, encore très surprise de l’humidité abondante qu’elles fournissaient. Je la soulevai un peu pour la remonter vers mon visage, afin de mettre sa fente sur ma bouche, je n’avais pas besoin de forcer, elle se prêtait à ce que je voulais et s’installa, les genoux de chaque coté de ma tête, elle posa sa chatte au duvet velouté sur mes lèvres, les mains appuyées sur mon front. C’était sublime, j’étais follement enivrée par ce parfum inédit, ma langue fouillait le jeune fruit, tenta de glisser à l’intérieur. Elle glissa son petit cul plus en avant pour me faire gouter le petit trou plissé, la saveur était incroyable, ce fut très rapide, Isa prit son plaisir comme une reine, en laissant échapper des petits cris, puis elle fit un demi-tour, plongea sa frimousse entre mes cuisses, ce qui me gênait terriblement, par ma touffe noire très fournie, sans compter les odeurs et le jus qui en sortait, je lui ai dit :

« Non ma chérie pas ça, ce n’est pas bien pour toi ! »

Hélas, elle était déjà dans mon intimité, les mains passées sous mes fesses, je sentais sa langue explorer mes replis pour s’attaquer au clitoris.

« Ma chérie, comment peux-tu me donner tout ce plaisir ? »

Isa me travaillait le corps aussi bien que Michel, je prenais même plus de plaisirs. J’appuyai légèrement sur sa tête pour accentuer l’action, je m’envolai dans un pied incroyable. Quand je repris mes esprits, Isa est toujours entre mes cuisses, le visage levé et souriant :

« Hé bien, toi au moins, tu ne fais pas semblant !
– Merci ma chérie, mais dis-moi, où as-tu appris tout ça ?
– Je dois vraiment te le dire ?
– Ah oui, j’y tiens !
– Sur des magazines que Véronique Delfi apporte au lycée, elle doit les emprunter à ses parents ! Il y a de tout, des hommes et des femmes entre eux qui font l’amour dans tous les sens, il y en a pour tous les goûts ! »

Moi qui pensais avoir une fille encore innocente.

« Vous regardez toutes les deux ces magazines pornos ?
– Oh oui, maman, plutôt deux fois qu’une et il y en a beaucoup… !
.. J’avais envie d’essayer depuis longtemps ce que nous avons fait toutes les deux et j’ai constaté que c’est exactement comme c’est écrit… !
.. Mais en plus, maman, c’est avec toi !

Je lui pris le visage, l’attirai vers moi, elle se dégagea de sa position pour se blottir dans mes bras, un baiser nous unissait. Un amour était en train de naître entre nous, finalement j’étais bien.

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